Discussion: Le CIDJ parle du PVT
- 23/04/12, 08:29 #1Salut tout le monde,
Certains ont sans doute vu sur notre page Facebook qu'une journaliste du CIDJ recherchait des témoignages pour proposer quelques articles (où il est souvent question du PVT) et les pauses pendant les études, sur le site du CIDJ, J comme Jeune.
Au programme de ces articles :
- Envie de souffler, de faire une pause pendant ses études, c'est réalisable
- Faire une pause dans ses études pour préparer des concours
- Une année off pour partir à l’étranger
- Une année off pour se frotter au monde du travail
- Le retour aux études, ça se prépare !
- Break avant ou pendant un BTS ou un DUT : bonne ou mauvaise idée ?
- Break avant ou pendant une licence : possible ou pas ?
- Break avant et après deux ans de prépa : bien vu !
- Année sabbatique pendant vos études : faites-en un atout !
- Le break de Margaux : "J'ai choisi de faire une pause dans mes études pour travailler"
- Le break d’Aurélien : six mois pour muscler son anglais au Canada
- Le break de Jean : un an de volontariat en Hongrie pour s'ouvrir
"Nouveau départ pour Sydney"
"Après l’obtention de ma licence, j’étais encore hésitante sur le type de master qui me tentait. J’ai choisi de repartir, cette fois en Australie. Loin de mon quotidien, je savais que je pourrais prendre du temps pour moi.
Finalement, j’ai obtenu le fameux Working Holiday Visa, qui me permettait de travailler sur place, et je me suis envolée pour Sydney. Là-bas, j’ai vendu des koalas en peluche et des T-shirts I Love Sydney dans une boutique de souvenirs pendant plusieurs mois afin d’économiser pour partir en vadrouille. Ensuite, j’ai découvert un peu le pays en passant d’auberge en auberge. Certains étudiants angoissent à l’idée de voyager seul. Pour moi, cette solitude a été bénéfique : j’ai pu faire le point et penser à mes projets."
"Mes 7 mois en Australie m'ont remotivée pour mes études"
"À l’inverse de ceux qui décrochent complètement après ce type d’expérience, mes 7 mois en Australie m’ont remotivée pour mes études. C’est durant mon séjour là-bas que j’ai pris les décisions les plus importantes pour mon avenir professionnel : j’ai su que je voulais travailler dans l’univers des relations européennes ou internationales. Ce que je fais d’ailleurs aujourd’hui pour une collectivité bretonne.
Je me suis donc inscrite à mon retour dans le master qui me semblait le plus adapté à mon projet, à l’université Paris 4, et j’ai recommencé les cours sans problème."
Le bol d'air de Fanny : deux années off pour penser à l'avenir
Bonne lecture !
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