Voici les 11 commandements de la préparation d’un voyage dans l’Ouest américain, avec des conseils objectifs et des conseils pas objectifs du tout !

Pour décider de l’endroit qui te fait envie, Internet tu consulteras

Internet, quel outil merveilleux ! Je me demande comment les gens pouvaient organiser un voyage avant Internet. Ca devait être un tantinet plus laborieux, et plus cher (en passant par une agence, par exemple…) L’avantage, c’était peut-être que l’on se sentait plus aventuriers… On partait sans avoir trop préparé, ou en ayant seulement un guide pas forcément actualisé sous le bras !
Ca peut paraître évident de donner ce conseil là, mais ce n’est pas forcément évident pour tout le monde. Pourtant c’est simple ! Il suffit de parcourir google images pour voir un peu ce à quoi vous attendre et choisir (difficilement) entre, disons, l’Utah et la Californie.

Quelques sites indispensables :

  • Ouestusa.fr : On va croire que je fais de la propagande pour ce site, mais promis, je ne touche pas de commission. Bien que les mises à jour commencent à être espacées, il y a l’essentiel pour un beau voyage dans l’Ouest américain : des lieux emblématiques comme des lieux hors des sentiers battus. Avec une carte qui est ma foi pas mal faite du tout. Cela devrait être votre site de référence. Mon seul regret : l’absence de la Californie et de la côte pacifique !
  • Le site des National Parks : Je pense que si vous voulez aller dans l’Ouest, ce n’est pas forcément pour faire des visites de musées. Sinon… vous êtes effectivement au mauvais endroit. L’attraction majeure de l’Ouest américain est évidemment les magnifiques National Parks, ainsi que les sites historiques !
    Le site des parcs nationaux est extrêmement bien fait : vous pouvez même cliquer ici pour arriver à une carte où ils sont tous répertoriés (ainsi que les National Monument et les National Recreation Area). Il vous suffit ensuite d’aller sur le site dédié au National Park en particulier (ils ont tous un site propre) où tout sera expliqué : ce qu’il y a à voir, à faire, où dormir, où manger, où randonner… Lorsque vous entrerez dans le National Park, on vous fournira également toujours une petite brochure avec un plan, quelques activités, et les chemins de randos. Pour ça, les Américains, ils savent promouvoir leur patrimoine !

Ce commandement ne serait pas complet sans : utilisez aussi le moteur de recherche pvtistes.net ! Beaucoup de pvtistes ont déjà fait ces voyages avant vous !

Pour planifier ta route, google maps tu utiliseras

C’est l’outil préféré de toute personne qui désire faire un peu de route ! Il faut utiliser la fonction « itinéraire »et non « map » pour pouvoir doser précisément votre trajet, connaître le nombre de kilomètres à faire, le nombre d’étapes et trouver de petits détours…

Ne sur-estimez jamais le nombre de kilomètres à faire, cela peut vite devenir fatigant. Prévoyez de petites étapes (ou alors seulement une ou deux longues étapes sur un séjour d’une dizaine de jours) pour profiter pleinement de votre voyage. On ne prévoit généralement jamais le nombre de kilomètres que l’on va réaliser à l’intérieur des parcs (et il peut y en avoir beaucoup, ne serait-ce que pour parcourir les routes panoramiques !). En bref, partez du principe que non, vous ne pourrez pas tout voir, donc ne prévoyez pas un planning trop chargé.

Conduire dans l’Ouest est assez simple (et c’est quelqu’un qui déteste conduire qui vous dit ça.) Les gens respectent beaucoup plus les limitations de vitesse, sont beaucoup plus « cools ». Ne vous en faites pas. Les routes sont généralement très belles, même dans les endroits déserts. Si vous désirez emprunter des chemins non goudronnés, faites attention à avoir un véhicule approprié… Sinon vous pourriez vous retrouver embourbé au milieu de nulle part à cause d’un orage soudain… Ce ne sont pas des choses à prendre à la légère, d’autant plus que certaines agences de location de voiture n’autorisent pas la conduite sur piste. Renseignez-vous !

Avant de partir, le radin tu ne feras pas et des guides de voyage tu consulteras

Ah, les guides de voyage. Je lis ça comme des romans, quand ils sont bien faits. J’ai évidemment mes petits favoris. Le Routard, en fin de compte, ne fait que présenter des listes exhaustives d’hôtels et de restos (perso, je préfère écouter les conseils des locaux ou tout simplement regarder si le menu me plait… pas besoin de plus). Du coup je suis passée au Lonely Planet, que je trouve un peu « bobo » dans sa version française, mais beaucoup plus intéressant dans sa version originale. Un petit guide sous le coude peut souvent vous être utile pour la préparation du voyage et sur place !

Quelques guides indispensables :

Trois volets sont écrits par Laurent Martès : l’Arizona, l’Utah et le Colorado / Nouveau-Mexique. C’est en anglais mais je pense qu’avec un niveau moyen, vous pourrez déchiffer l’essentiel. Ce guide est une Bible absolue de tous les coins du Sud-Ouest, méconnus, largement documentés ou quasiment inconnus. Les conseils photographiques sont finalement secondaires : c’est bien écrit, bien illustré et vous donne la tête qui tourne tellement il vous donne de bonnes idées ! Je ne dirais pas que c’est un guide traditionnel, mais plutôt un outil de découverte.

Voilà un guide Lonely Planet concernant uniquement les parcs nationaux de l’Utah (Zion, Bryce, mais aussi Arches, Capitol Reef et tout le tralala). Il présente quelques randos pour chaque parc, c’est très précis, il y a pas mal de conseils. Vraiment une lecture utile.

Une version française de l’Ouest américain de Lonely Planet, qui couvre une zone très large et qui, bien que très généraliste, est une bonne introduction et présente l’essentiel.

J’adore la collection « Trips » de Lonely Planet. Elle existe pour la Californie, la côte pacifique, la Nouvelle-Angleterre, le sud-est… Je les ai tous sauf celui là ! A vrai dire je ne sais pas ce qu’il vaut, mais le principe de cette série c’est de présenter des itinéraires thématiques (littérature, bouffe, art, grands espaces…) et c’est vraiment toujours très sympa, bien écrit, et instructif.

50 best short hikes in Utah’s National Parks : pas indispensable, mais agréable à lire et pratique pour les petits marcheurs, voici un petit guide des meilleures randos à faire dans les parcs nationaux !

Des « state maps » Rand Mc Nally tu achèteras ! Dans les stations services en arrivant ou par correspondance avant de partir. Elles sont bien faites et vraiment indispensables, même si vous avez un GPS. Ca ne coûte vraiment pas grand chose mais ça vaut plus que le coup.

Pour en savoir plus sur tous les parcs nationaux des Etats-Unis, offrez vous ce beau pavé de chez National Geographic. C’est super beau, super bien expliqué. On en apprend vraiment beaucoup.

Pour toutes les villes, offrez-vous un petit Cartoville de chez Gallimard quand il est existe ! Généralement suffisant pour 4 jours, il mêle bonnes adresses et plans. A savoir que si vous ne voulez pas trop planifier les visites, l’office de tourisme local vous fournira gratuitement des plans et bonnes adresses !

Ton budget tu évalueras correctement

Ce n’est pas forcément la zone touristique la moins chère du monde, surtout si vous voulez dormir en hôtel. Certaines petites villes comme Moab, aux environs d’Arches, sont carrément à éviter pour les petits budgets. Cependant, si vous avez un budget serré, vous trouverez votre bonheur également, entre les campings et les motels, par exemple la chaîne Motel 6, peu présente cependant dans les zones rurales. Ce qui m’amène au commandement suivant.

Pour profiter des merveilles de la nature, en camping tu dormiras

Entre nous, ça ne sert à rien d’aller visiter l’Ouest américain pour rester uniquement dans les villes, plus ou moins grandes. Si vous voulez vraiment la vraie expérience de l’Ouest : dormez dans les campings des National Parks. Ils ne sont généralement pas chers (entre 10 et 20 dollars la nuit, pour un emplacement jusqu’à 4 personnes), super équipés et vraiment toujours propres. Oubliez l’idée que vous avez de certains campings français, ici, même le papier toilette est fourni.

Parfois, dans les zones les plus arides ou les plus reculées, il n’y a pas de douches (mais sincèrement, vous pourrez vous en passer plus facilement que ce que vous imaginez) voire pas de toilettes de type « flush toilets ». Rassurez-vous, il y aura toujours au moins des toilettes sèches (« pit toilets »). Toutes ces infos se trouvent facilement sur les sites des National Parks.
En campant, vous pourrez voir le ciel étoilé, profiter des animaux (mieux vaut des biches que des ours), entendre les bruits de la nuit, participer aux animations nocturnes des rangers, vous sentir vraiment au milieu de nulle part, en définitive.

Rien ne vous empêche d’entrecouper le camping avec une ou deux nuits d’hôtel histoire de reposer votre dos !

Une voiture tu loueras

Autant vous le dire franchement, même si certains parcs nationaux sont accessibles via les transports en commun (par exemple la rive sud du Grand Canyon ou Yosemite), la plupart sont uniquement accessibles en voiture. Si vous voulez vraiment profiter de cette expérience, oubliez le train, le bus ou l’auto-stop, d’ailleurs carrément interdit par la loi dans certains Etats.

Pas facile de déchiffrer les offres des loueurs de voiture (qui font partie de ma liste des « Professions indésirables »). A chaque fois que nous sommes partis aux Etats-Unis, pour une poignée de jours ou un plus long séjour, nous avions loué chez un courtier, Autoescape, qui n’existe plus. L’avantage, c’est que votre interlocuteur sera français (pour la réservation et en cas de problème) et que (presque) toutes les assurances sont incluses dans le prix de départ. Pas de mauvaise surprise quand vous récuperez votre voiture au guichet du loueur (généralement avis, hertz, dollar, budget…) Sauf quand celui ci y met de la mauvaise volonté et vous rajoute une assurance optionnelle que vous ne voulez pas. Autoescape nous a remboursé par la suite. Les prix sont généralement bien négociés et avantageux, surtout si vous louez votre voiture au moins 6 mois à l’avance.

Quoiqu’il en soit, il faut vraiment faire le tour de tous les loueurs potentiels car les prix peuvent varier du simple au double. Faites le tour de TOUS les loueurs sur Internet.

Faites également bien attention aux clauses : qu’est ce qui est compris dans le prix de départ ? Etes-vous suffisamment assuré ? Il vous faut techniquement le Collision Damage Waiver Insurance, la Theft Protection Insurance (TP) et la Civil Responsibility. A cela, rajoutez une assurance personnelle (si vous vous blessez, vous ne serez pas couverts par ces trois là). La carte visa premier (et non Gold) vous offre une assurance personnelle, mais il faut que celui qui ai l’accident soit le possesseur de la carte. Bref, ne lésinez pas sur l’assurance, cela pourrait vous coûter cher.

Attention, si vous avez moins de 21 ans, vous ne pourrez pas louer de voiture. Si vous avez entre 21 et 25 ans, des frais (très élevés) supplémentaires de jeune conducteur seront ajoutés (généralement environ 25 $ par jour, donc cela double le prix basique de la location).

Si vous louez une voiture à un endroit et la laissez à une autre, des frais d’abandon (ou drop off) pourront être ajoutés. Ils sont généralement proportionnels au nombre de km entre les deux lieux de location. Attention, la plupart des compagnies ne fait pas payer de frais d’abandon entre les différentes villes californiennes et entre la Californie et le Nevada : c’est bon à savoir !

Pour en savoir plus, consultez cette discussion.

Las Vegas, comme la peste tu éviteras

Si le rêve de votre vie c’est de voir des nuages de fumée jaunâtres en atterrissant dans la ville lumière, si c’est de remonter le strip à minuit pour vous faire aborder par des prostituées, voir des fontaines gigantesques qui déversent des millions de litres d’eau pour le spectacle. Si votre rêve c’est de vous faire plumer dans des casinos décorés dans un goût douteux et d’entrer en compétition avec les mamies aux machines à sous, si votre rêve c’est de profiter des buffets illimités, de visiter une ville en carton pâte mais où il n’y a même pas Mickey… Las Vegas est pour vous. Je suis évidemment partiale, mais cette ville, au milieu d’un désert (qui ressemble plutôt à un terrain vague, à présent), qui gaspille une eau rarissime pour irriguer des terrains de golf (et qui compte la puiser à présent au nord du Nevada, dans des nappes d’eau douce protégées où vivent encore des poissons rares et endémiques) : Las Vegas est vraiment faite pour vous.
Tout au plus, Vegas peut être votre point de départ, celui où vous atterrissez et récupérez votre voiture. Mon seul conseil serait de prendre la route au plus vite pour vous enfuir.

Si vous voulez quand-même expérimenter une nuit vegassienne pour vous éclater comme jamais, passez une bonne soirée et attention à ne pas épuiser votre budget nourriture dans les machines à sous !

Pour en savoir plus sur Las Vegas, vous pouvez lire le On a testé plusieurs jours à Las Vegas de Julie, qui vous présentera son opinion de Vegas, sans doute un peu plus impartial que le mien ! 😉

Une carte « America the beautiful », tu achèteras

Ce pass est délivré à l’entrée de n’importe quel parc national ou monument national et vous permet, pour une durée d’un an, d’entrer autant de fois que vous le voulez dans les national parks, national recreation areas, et national monuments. Attention, les tribal parks et les state parks sont sujets à des frais d’entrées (même si ces derniers sont parfois gratuits.)
America the beautiful, c’est vraiment indispensable, pour 80 dollars c’est la liberté ! Il y a deux signataires derrière et vous pourrez entrer avec une voiture (de 4 personnes), avec. Le pass sera vérifié à chaque entrée de national park, avec une pièce d’identité ! Le prix du pass est amorti au bout de trois parcs… et demi.

L’approvisionnement en eau et en essence, tu ne négligeras pas

Si vous partez en été, attendez vous à avoir chaud. Voire très chaud. Dans les coins désertiques, vers Page, la Monument Valley ou même Moab (sans parler de l’Arizona et du sud du Nouveau-Mexique), il fait TRES chaud. Ne négligez jamais le fait d’avoir une très grosse provision d’eau dans votre voiture, et sur vous si vous décidez de randonner (au moins un gallon, soient 4 litres par personne pour une après-midi, et encore c’est vraiment le minimum). Ecoutez toujours les recommandations des rangers. Dès que vous montez en altitude (Bryce Canyon, Capitol Reef, Zion, la north Rim du Grand Canyon…) la chaleur sera moins intense car il y a souvent une petite brise plus fraîche et des orages un peu plus régulièrement. A Bryce Canyon, il y a même souvent beaucoup de vent. Si vous êtes asthmatique, faites attention, il peut être difficile de s’acclimater rapidement à l’altitude, alors ne vous lancez pas dans de grandes randos !

Dans certains coins du Sud-Ouest, vous pourrez faire des centaines de kilomètres sans traverser de village assez grand pour y avoir une pompe à essence. N’hésitez pas à refaire le plein si vous n’êtes pas certain de traverser une zone peuplée, ne remettez pas ça à la chance ! (A noter qu’entre Green River et Capitol Reef NP, il n’y a… rien)

Le bon équipement, tu emporteras

Comme dit plus haut, dans le sud-ouest, il fait très chaud. Mais il peut aussi faire très froid la nuit, où si vous partez au début de l’automne. Il nous est arrivé de camper en montagne avec 0°C… Pour éviter des déconvenues et profiter tranquillement :

      • quand il fait chaud : tee-shirts, shorts, chapeau (obligatoire !), lunettes de soleil, crème solaire indice 10 millions, tongs pour barboter dans l’eau
      • quand ça caille : un ou deux polaires, tee-shirts à manches longues, pantalons, chaussettes épaisses qui remontent, bonnet en polaire pour dormir avec, voire un anorak si vous partez à l’automne, sac de couchage prévu pour le froid et surtout, si vous dormez sur un matelas pneumatique, une longue couverture polaire pour éviter d’avoir des courants d’air par le dos !
      • quand les cieux se déchaînent : un vêtement de pluie (k-way, pantalon imperméable), chaussures de randos montantes et imperméables. Ou un maillot de bain, au choix, en fonction de votre état d’esprit.
      • pour le camping : une tente, c’est mieux quand-même. Des sacs de couchage chauds, une lampe de poche (à dynamo !) ou une lampe frontale, une plus grosse lampe histoire de jouer aux cartes le soir ;), une réchaud à gaz (et/ou du bois et du charbon : dans la plupart des parcs nationaux, il est prévu un endroit pour faire un feu – sauf dans certains parcs où cela serait trop dangereux.) Parfois, le bois est fourni par les rangers. Il ne faut en aucun cas prélever du bois dans la nature. Avec vos popottes et vos gallons d’eau, c’est bon, vous êtes parés !

N’oubliez pas votre trousse basique de médicaments et tout un tas d’autres choses. Voici une discussion et un dossier sur le sujet : le PVT du routard et Préparer ses bagages.

Faire des détours et prendre ton temps, tu aimeras

Entre nous, ça ne sert à rien d’aller dans l’Ouest américain si c’est pour faire Los Angeles / San Francisco / les parcs de la Californie / Las Vegas / l’Arizona et tout l’Utah en 10 jours. Je sais que des gens le font, en passant chaque nuit dans un nouveau motel au bord de la route. A mon avis, ça n’a pas un intérêt fou.

Sortez de votre voiture, osez passer trois ou quatre nuits au même endroit, faire moins de kilomètres mais en profiter. Sentir le parfum des eucalyptus de la baie de San Francisco, la terre mouillée du canyon de Zion après un orage, voir le coucher de soleil confortablement assis sur un banc à Fruita, profiter de quelques minutes pour tremper vos pieds dans un ruisseau… Mais pour ça, oui, il faut prendre son temps et sortir vos petites fesses (dorénavant musclées à causes des randos) de votre voiture ! Généralement, je conseille de consacrer un voyage entier à la côte californienne et à ses parcs, et un autre voyage au Sud de l’Utah. Et même comme ça, ce n’est pas facile de tout faire ! N’ayez pas peur de ne rien faire ! Prenez les petites routes plutôt que les autoroutes !

Et surtout… bon voyage et revenez nous avec des étoiles plein les yeux

On a testé plein d’endroits de l’Ouest américain :

isa

Amoureuse des Etats-Unis, de l'Utah et du voyage en train, j'ai passé 7 mois à Montréal en 2010, et j'en ai profité pour découvrir la Nouvelle-Angleterre en long, en large et en travers !
Mon coup de cœur avec Montréal date de 2008, et d'un mois estival là-bas... Depuis, je ne fais qu'y retourner !

J'ai réalisé deux tours des Etats-Unis (& Canada) en 2012 puis en 2014. Plusieurs mois sur les routes, c'est formateur... De retour à Montréal en 2019-2020 pour un PVT, avant de raccrocher !
Sur PVTistes.net, j'aime partager mon expérience sur le forum, dans des dossiers thématiques ou même en personne ! Vous me croiserez sûrement à Lyon, ma ville de cœur.

Ajouter à mes favoris
5
1 avis

Connectez-vous pour pouvoir voter.

(25)Commentaires

isa I |
On ne s’en lasse pas ! J’y retourne… encore, mais au printemps cette fois ci, une saison que je ne connais pas !
larousse I |
Nous y sommes allés à 2 reprises, pendant 1 mois à chaque fois, c’était super!
isa I |
Je l’espère ! S’il y a une destination à ne pas louper, c’est celle là (mais bon, mon avis est biaisé ! :-D)
Kévin I |
Olalah, ça donne trop envie d’y aller; Merci pour ce petit guide très sympa. Bientot peut être…
isa I |
Merci ! Rien ne peut me faire plus plaisir que de donner envie aux gens de voyager !
Alex I |
Ton article est vraiment super Isa, ça m’a vraiment éclairé sur pas mal de choses, mais surtout donné plus que tout envie de démarrer notre road trip !!! Tes photos sont justes magnifiques…
Pierre I |
Oh j’attend avec impatience car c’est un de mes objectifs d’aller dans les parcs nationaux ,)Oh j’attend avec impatience car c’est un de mes objectifs d’aller dans les parcs nationaux ,)
Hélène I |
* s’en va faire son sac, direction l’ouest américain!*
isa I |
Hihi, c’est fait exprès ! Il va y en avoir d’autres à venir…
Pierre I |
Merci pour ce road book de l’ouest Américain, on a tous envie de prendre notre sac est de partir… c’est malin ça