Tout étranger qui met les pieds pour la première fois au Japon sera surpris par le nombre de cyclistes, particulièrement dans les grandes villes !
Le type de vélo le plus répandu, et le moins cher, est le “mamachari” (“vélo de maman”), un vélo de ville. Il est souvent équipé d’un panier à l’avant pour y mettre des sacs ou d’un siège enfant, d’un porte-bagages, et d’un antivol intégré. Mamans, papis, lycéens, hommes d’affaire et même la police, tout le monde roule en mamachari, sans distinction ! Le port du casque n’est pas obligatoire sauf pour les enfants.
Le vélo est très pratique pour effectuer des petits trajets ou pour circuler le soir : le métro finissant relativement tôt (entre minuit et 1 h), il permet de rentrer chez soi sans crainte de rater son train. Les distances peuvent être importantes à Tokyo, mais à Osaka et dans toutes les villes de taille inférieure, le vélo fait partie intégrante de la vie quotidienne.
Les règles de conduite restent cependant très aléatoires. En effet, les pistes cyclables sont inexistantes et, avec la densité du trafic routier, les cyclistes montent souvent sur les trottoirs, doublant piétons et poussettes… Ils sont aussi sur la route au milieu des voitures, en sens interdit… partout ! Si vous pensiez que les Japonais étaient respectueux en toute circonstance, attendez de les voir juchés sur leurs vélos…
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Merci pour les renseignements
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