En effet, du fait de la crise du logement abordable, le gouvernement resserre les conditions d accès au Canada, autant pour les étudiants que les travailleurs temporaires, et il devient difficile de remplir les conditions pour obtenir la résidence permanente (démarche qui est toujours plus complexe et plus longue au Québec, en tous les cas). Oui, le bilinguisme du Nouveau-Brunswick peut rebuter certains francais qui ne s estiment au niveau pour travailler en anglais, mais sachez qu il y a des régions à forte majorité francophones (le nord et le littoral est du Nouveau Brunswick, des villes comme Edmunston, Grand Sault, Saint Quentin, Caraquet, Shippagan, Tracadie, Neguac, Rogersville, Bouctouche, Shediac... et plusieurs villles 50% francophones comme Campbellton, Bathurst, Dieppe-Moncton...). Surtout des petites villes rurales il est vrai, mais dans lesquelles on peut vivre et travailler principalement en francais, et apprendre aussi l anglais (surtout Dieppe-Moncton, pas le choix) ! Personnellement je le vois plutôt comme une chance pour devenir bilingue en douceur (et même pour les enfants scolarisés en francais au NB, l anglais s attrape, comme disent les Acadiens!)
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