Discussion: Lecture !!!
- 28/09/05, 20:14 #1Hi,
Pour les mordus de lecture, les fans de librairie, voici deux adresses à Toronto qui vous combleront :
La Presse Internationale sur Yorkville avenue (à l’étage les bouquins) et la Librairie Champlain, sur Queen Street East (n’importe quel streetcar, arrêt « sackville »). En plus de trouver des bouquins français de France (lol), vous trouverez des bouquins Québécois !!!
A ceux qui sont installés depuis un petit moment et qui sont bien imprégnés de la culture nord-américaine, je recommande : « Les Français aussi ont un accent » de Jean Benoît Nadeau, ou les déboires d’un canadien en France. A la fois à mourir de rire et pathétique mais tellement vrai ! :laughing1
Enfin pour ceux qui partent à Montréal ou Québec, une bible chez L’Express Editions : « S’installer et travailler au Québec » de Laurence Nadeau. Trop bien, il y a tout dedans, tout !
Voilà ! Bonne lecture et pour ceux qui n’ont pas les moyens de dépenser des sous, vous pourrez trouver un peu partout (starbucks, bibliothèques, cinémas) l’Express, le journal hebdomadaire des francophones de Toronto.
PS : Et vous des bouquins à recommander ?
Bisous
- 28/09/05, 20:39 #2sur college street on peut aussi trouver la presse internationale, c est dans little italy, j ai pas le numero de rue en tete, enfin nous on s y rend souvent car on y trouve courrier international
sinon la librairie champlain, c est un super endroit c est clair, leur ai deja achete plein de bouquin
moi j adore les bouquins de john grisham, rappelez-vous la firme, l affaire pelican, bah c est lui, bref depuis il a ecrit plein d autres bouquins et c est vraiment sympa a lire
- 03/10/05, 03:17 #3Salut,
Si vous ne voulez pas dépenser des fortunes en bouquin,vous n'avez rien contre les livres usagés et vous désirez faire des progrès en anglais en même temps, il y a toujours la bibliothèque municipale de Toronto ( la principale est sur Younge Street (juste avant bloor St). C'est gratos, il suffit de montrer un justificatif de résidence ( permis de conduire, ohip ou autres) et hop on vous file une carte plastique ( une de plus ...^^ ) valide un an. On peux réserver même ses livres sur le net.
- 03/10/05, 08:59 #4Sinon j'ai découvert le book crossing et j'aime beaucoup le concept :
Les adolescents accros aux divX et aux MP3 n'ont qu'à bien se tenir car, à l'instar des Napster, Gnutella et autres eMule, une tendance à l'échange de données culturelles émerge depuis plusieurs mois. Respectueuse du droit, engagée ou artistique, la démarche de l'échange culturel se décline en plusieurs familles et dans toutes les langues.
Si vous êtes un "book-crosseur" ou un adepte du "V2V" vous êtes dans la tendance. En effet, la nouvelle émergence du peer-to-peer, autrefois cantonné à l'illégalité, c'est le partage, voire le prêt ou le don de biens culturels d'une personne à une autre. Le book-crossing est certainement la partie la plus visible et la plus médiatique de cette tendance qui devrait changer notre manière d'aborder la culture.
199 560 "semeurs" dans le monde
Si au Japon il est devenu habituel de déposer son exemplaire du journal quotidien dans les endroits réservés à cet effet dans les rames de métro, cet usage nous semble terriblement exotique. Mais cette culture de l'échange des savoirs propre aux Japonais parait faire des émules dans le monde entier. Le "book-crossing" en est une émergence. Il consiste à "libérer" un livre dans un endroit public à destination de qui voudra bien le ramasser. Le concept est simple, dès que vous avez fini la lecture d'un bon livre, vous vous connectez à Bookcrossing.com pour l'enregistrer sous un numéro d'identification et pour imprimer une étiquette à coller en deuxième de couverture. Cette étiquette permet au nouveau "propriétaire" du livre de le commenter avant de le libérer de nouveau. Ainsi chacun pourra suivre sur le site le parcours de l'ouvrage et éventuellement lire les commentaires qu'en font ceux qui l'ont adopté pour un temps.
La poussée d'adrénaline qui précède la libération d'un ouvrage dans un lieu public est, paraît-il, incomparable ; la peur que quelqu'un vous rappelle en disant : " Vous avez oublié votre livre ! " Tout l'art réside dans le lien qui existe entre l'ouvrage lui-même et le lieu du dépôt car, comme l'écrit Célia Mériguet, jouraliste au Monde, déposer " La nuit des temps de René Barjavel (qui se passe en Antarctique) au rayon des surgelés d'un hypermarché, ou encore Où s'embrasser à Paris sur un canapé rouge dans un magasin d'ameublement, c'est beaucoup plus qu'une invitation à la lecture ".
moi je vais libérer mon "angels and demons" devant le Cern a la frontiere suisse.Dernière modification par Tatane ; 03/10/05 à 09:02.
- 03/10/05, 19:59 #5Trop géniale comme info ! Merci Tatane.
Je pense que je vais m'y mettre, mais peut-être pas sur de trop beaux bouquins...
- 03/10/05, 20:09 #6Il paraît que ça arrive timidemment en France aussi...je trouve ce concept extra, mais comme PVToronto, mes beaux livres, je les trouves très bien de ma bibliothèque...lol...mais les livres de poches je dis pas non!
En plus ça doit franchement être marrant de découvrir où à attirer son bouquin préféré
- 06/10/05, 05:53 #7C génial ce concept merci Tatane je connaissais pas du tout !!!
Je vais tenter de m'y mettre moi aussi car je suis une mordue de lecture et les livres (même les poches) me coutent les yeux de la tête à la fin du mois !!!
- 06/10/05, 09:11 #8Je penses que c'est le contenu et le lieu de découverte l'interessant et pas le contenant alors pas la peine d'avoir de bo livres la version de poche c'est bien mieux
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