Premierement attend de voir si tu as oui ou non un refus.
Sinon tu peux venir en touriste 6 mois et une fois sur place faire une demande de visa touristique (en ligne).
Deja trouve un employeur qui accepte de faire la demande de JP est pas evident alors le plante juste apres tu risques de griller les chances a tous les francais qui voudront postuler dans cette boite.
Apres rien ne t'empeche de demissionner.
Par contre il te sera impossible de sortir du territoire et de revenir. Car si le douanier te pose la question pour qui travaillez vous soit tu dis la verite et ils ne vont pas aimer soit tu mens et la non plus ca ne passe pas.
Bonjour à tous,
Je vais poser une question bête mais je débarque un peu sur le sujet du JP.
En fait je suis en attente de mon PVT et j'essaie de voir les possibilités en cas de refus.
Il se trouve que je n'ai absolument PAS envie de travailler dans ma branche : je veux faire uniquement des petits boulots à droite à gauche qui me permettraient de financer mon année au Canada. Admettons que j'obtienne une promesse d'embauche dans ma branche et qu'un JP me soit accordé, est-ce que je suis juridiquement liée à l'entreprise qui voudrait m'embaucher ? En d'autres termes, quelles sont les possibilités de rupture de la promesse ?
Certes, si je fais ça je ne pourrai pas bosser pour un autre employeur, mais je pourrai au moins faire du wwoof ou autres trucs de débrouille.
Vous allez me dire que je n'ai qu'à partir en touriste, mais le hic c'est que rester un an en touriste c'est quasiment mission impossible, et qu'apparemment à la douane ils n'apprécient pas trop le wwoofing (ils assimilent ça à du travail au noir). Du coup je me disais qu'avoir un JP me permettrait de rester un an sur le territoire...
C'est peut-être immoral de faire ça (vu qu'il y a un quota et que je prendrais la place de quelqu'un qui veut réellement un JP), mais j'aurais voulu avoir des avis "techniques" sur la faisabilité de la chose...
Merci et ne m'incendiez pas trop

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