1. #1
    Avatar de Mika_Mika_Mika
    Mickael 37 ans

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    Bonjour à tous,

    Je cherche à m'inscrire en doctorat en Sciences Humaines dans une université du Québec (peu importe l'université tant que le travail de thèse se fait en français) et les chercheurs que je contacte me découragent...

    Je souhaite travailler sur l'éducation des réfugiés, j'ai toujours un retour relativement positif où on me dit que mon sujet est intéressant et réalisable, mais qu'on hésite à recruter des étudiants étrangers car ils abandonnent souvent à cause des financements qui sont difficiles à obtenir. Or, je lis sur les forums que généralement les laboratoires qui recrutent des étudiants disposent d'un fonds pour les rémunérer durant la thèse. Le montant semble tourner autour des 20 000$ par an, sachant que l'on peut travailler en plus à côté cela me semble correct...

    Est-ce que c'est seulement le cas pour les Sciences Exactes ? Un doctorant en Sciences Humaines se balade-t-il sur ce topic et serait-il ok pour discuter avec moi ?

    Merci par avance,

    Mickael

  2. #2
    Avatar de Charlotte22
    Caroline 44 ans

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    Ce que j'aurais envie de te dire, c'est que ça me parait irréaliste de faire une thèse en français uniquement, au Québec. Tu auras forcément des références en anglais, ou bien tu te priveras de ressources/auteurs intéressants, ce qu'on risque de te reprocher à la soutenance.
    Je viens de suivre un cours en doctorat à l'UdeM, en psychologie, c'est supposé être francophone, mais sincérement, mieux vaut maîtriser l'anglais un minimum.

    Je préfère te mettre en garde au sujet de l'anglais, Pour le financement, je ne peux pas te répondre par contre, désolée.
    Dernière modification par Charlotte22 ; 12/01/16 à 01:35.

  3. #3
    Avatar de Mika_Mika_Mika
    Mickael 37 ans

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    Message de Charlotte22
    Ce que j'aurais envie de te dire, c'est que ça me parait irréaliste de faire une thèse en français uniquement, au Québec. Tu auras forcément des références en anglais, ou bien tu te priveras de ressources/auteurs intéressants, ce qu'on risque de te reprocher à la soutenance.
    Je viens de suivre un cours en doctorat à l'UdeM, en psychologie, c'est supposé être francophone, mais sincérement, mieux vaut maîtriser l'anglais un minimum.

    Je préfère te mettre en garde au sujet de l'anglais, Pour le financement, je ne peux pas te répondre par contre, désolée.
    Ah oui je parle anglais couramment pas de problème, je ne souhaite juste pas rédiger 500 pages en anglais c'est pour ça que moi choix d'universités se porte sur le Québec, par contre pour la lecture et les interviews aucun souci.

    Tu as réussi à avoir un financement toi en psychologie ?

  4. #4
    Avatar de Charlotte22
    Caroline 44 ans

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    Message de Mika_Mika_Mika
    Ah oui je parle anglais couramment pas de problème, je ne souhaite juste pas rédiger 500 pages en anglais c'est pour ça que moi choix d'universités se porte sur le Québec, par contre pour la lecture et les interviews aucun souci.

    Tu as réussi à avoir un financement toi en psychologie ?
    Tu me rassures pour l'anglais . Comme tu mettais ça en avant, j'avais compris que tu ne voulais rien avoir à faire avec, donc je préférais te prévenir, mais je comprend, c'est plus facile de rédiger dans sa langue maternelle.

    Comme je te le disais, je ne peux pas te répondre sur la question du financement, je suis juste quelques cours en doctorat (en étudiante libre) pour faire reconnaître mon titre français de psychologue, mais je ne suis pas inscrite en doctorat en tant que tel.

    Bon courage dans tes démarches, ne lâche pas, c'est souvent compliqué, mais tu devrais trouver ce que tu cherches, même si ça te prend un peu de temps. Il existe une multitude de bourses, il faut que tu te renseignes, que tu saches combien tu pourrais obtenir, que tu compares avec le coût de la vie ici (les universités ont des simulateurs de coût ou on en parle sur le site aussi). Ensuite, il faut aussi que tu sois éventuellement prêt à vivre avec peu pendant quelques années, car les thèses ici sont plus longues qu'en France.
    Peut-être aurais-tu aussi la possibilité de donner des cours en baccalauréat ?
    C'est sûr qu'en tant qu'étranger, tu pars avec moins de cartes que quelqu'un qui a fait toute sa scolarité ici, déjà tu ne connais pas forcément bien le fonctionnement, puis ça fonctionne pas mal par réseau et les autres ont eu plusieurs années pour le développer.
    J'aurais envie de te dire que ça sera plus compliqué, mais pas impossible, en tout cas, si c'est ton projet, fonces et n'hésite pas à pousser des portes pour montrer ta motivation.