Le marché du travail québequois

juste pour info, voicis les sujets qu'il y a en allant sur la section emploi :

https://pvtistes.net/forum/f52.html

et à l'intérieur :

https://pvtistes.net/forum/showthread.php?t=1530

https://pvtistes.net/forum/showthread.php?t=6499

https://pvtistes.net/forum/showthread.php?t=5182

maintenant ce sont des sondages, peut-être souhaites-tu plus de sentiments, mais en lisant tout ça tu retrouveras les expériences de chacun.
de plus recherche dans https://pvtistes.net/forum/f8.html
là tu as les expériences canadiennes de chacun et il y a de grandes chances que tu y trouves des impressions liées à l'emploi.

Pour ma part je dirai qu'il est très facile de trouver une petite job au départ, et ainsi de prendre le temps de chercher dans sa branche. Et là tout dépend du secteur, mais pour ma part, alors qu'on m'avait dit que je ne trouverai rien dans le social puisque je ne connais pas le cadre légal de l'intervention par exemple, bref... j'ai trouvé en 10 jours! tu verras ce que cherchent les gens et ce qu'ils ont trouvé ici dans les différents sondages vraiment...
bonnes recherches et bonne lecture!!

C'est une bonne question que tu poses là.
En effet le marché de l'emploi québécois est très dynamique avec un % de chômage qui vient d'atteindre un record le mois dernier en passant sous les 6 %. Rendu à ce niveau là, on peut parler de chômage résiduel ou de situation de plein emploi.
Mais à côté de ça, on ne nous attend pas les bras ouverts, et certains immigrants se cassent le nez dans leur recherche d'emploi et s'en retournent au pays écoeuré...
Assez paradoxal comme situation.
Il y a tellement de paramètres qui entrent en jeu qu'il est difficile d'établier le parcour idéal, tout dépend de ton secteur d'activité et des concessions que tu es prêt à faire.
De ce que j'ai pu voir, les plus jeunes réussisent mieux : ils ont peu d'expérience professionnelle, des prétentions négociables et surtout une grande flexibilité par rapport à leurs attentes. Les gens que j'ai pu voir rentrer en France écoeurés sont plus souvent ceux qui sont dans la trentaine, qui avaient en France acquis un statut confortable et des postes à responsabilités et qui ont essayé de transposer leur situation à l'identique ici. Ben là, c'est un poil plus dur, faisable car j'en connais mais pas mal plus dur quand même. Tout ceci demande une sacré remise en question que nous ne sommes pas tous en mesure d'accepter et donc les gens s'en retournent en critiquant le système local.
Voilà une explication possible de ce paradoxe.

Bonne chance à toi