1. #21

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    IL n'y a absolument aucune raison d'avoir peur de la recherche d'emploi car........IL Y'A DU BOULOT......et même beaucoup, mais il est, effectivement difficile de se faire une place dans ce "turnover", pourquoi ? et bien premierement, ici personne n'attends les français pour travailller, a fortiori quand ils ont un permis de travail provisoire, principal ecueil, il ne faut pas se le cacher. le PVT est un principe "Batard" (même si sans lui je ne serais certainement pas là) qui ne mets absolument pas en confiance les employeurs potentiels.
    Si VOUS vous cherchez un emploi, les Canadiens aussi en recherchent un, alors pourquoi vont ils vous embaucher à vous, sans expérience canadienne et avec une expérience "exotique" donc quasiment invérifiable, alors que 15 "autochtones" parfaitement bilingues tapent au portillon pour le même poste que vous ? Vous me direz pourquoi ne faut il pas s'inquieter ? eh bien a partir du moment ou votre démarche de recherche d'emploi est efficace, il n'y a pas de raisons que ça ne fonctionne pas, OUBLIEZ simplement TOUT ce que vous savez sur la recherche d'emploi à la française. La recherche d'emploi a la canadienne implique un effort permanent, il faut se vendre 2 fois plus qu'un autre puisqu'on on part avec un handicap enorme : nous sommes des etrangers sans statut viable: oubliez la langue commune : le fait que les canadiens aient comme base la langue française est un avantage, un plus, mais ça s'arrête là, vous n'etes ni dans un département français, ni dans les DOM TOM, vous etes en Amérique. Oubliez la recherche d'emploi depuis votre ordinateur, ici vous devrez vous deplacer, vous presenter, demarcher : les bureaux et les boites mails des DRH regorgent TOUS de tonnes de cvs, le retour sur mail est quasi nul ( candidature spontanée et reponse a annonce cumulés : 10 réponses sur environ 250 CVs envoyé, .......oui oui vous avez bien lu), a moins d'être dans un secteur vraiment particulier d'être hyper spécialisé, si vous ne faites pas partie d'un "réseau" vos chances de decrocher la job de vos rêves pendant la durée de votre PVT est trés mince. Tout se passe sur le "marché caché" des emplois a pourvoir, la moyenne est de 80% des emplois qui n'apparaissent nulle part, ils ne sont pas passé en annonce, ces emplois sont pourvus par les réseaux, le bouche à oreille, le stock de cv deja présent, les candidatures spontanées etc.....80 % et bien plus pour certains secteurs (l'infographie par exemple, j'en sais quelquechose). La meilleure méthode pour trouver un travail intéressant est de cibler les entreprises dans le domaine voulu, de les contacter, de se débrouiller pour rencontrer une personne idoine et puis de se vendre. Sachez que les entretiens se passent toujours bien : vous en sortez toujours content en croyant que c'est dans la poche tellement ils sont sympas mais la réalité est tout autre.
    Bien sur il reste les jobines : rayon boulangerie ou emballeur chez metro, faire de la saisie de donnée a la BNC, vendeur chez GAP, caissière chez 1ere moisson....................sachez que pour la grande majorité des pvtistes, c'est le genre de boulot qu'ils ont trouvés : payé moins de 10 $ de l'heure (sauf chez Durand et Pratt : 10,44 $) sommes auxquelles ils faut enlever 30% d'impôt direct . Donc a vous de ne pas faire partie de la majorité et de trouver un Job intéressant parceque c'est possible a condition qu'on y mette les moyens et qu'on ait la bonne démarche, sans parler bien sur du facteur chance qui peut se manifester, mais dans l'ensemble rien ne viendra tout seul et rien n'est acquis, donc n'aillez pas peur mais soyez conscient que ce n'est pas facile.....................maintenant a vous de voir vu que vous etes prévenus, mais mieux vaux partir prudent que trop confiant
    Dernière modification par Gilles ; 02/03/06 à 00:41.

  2. #22

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    J'irais dans le même sens que Gilles; les offres d'emplois sont à profusion, que ce soit sur le net, dans les journaux, dans les agences ou à même la rue, placardées dans les vitrines.
    Qui plus est, il n'est pas rare que vous vous fassiez des contacts, soit par téléphone, par mails ou de personnes à personnes, lors d'une distribution de cv ou pendant un entretien.
    Mais de là à trouver du travail immédiatement ou dans un avenir proche, et ce dans votre domaine d'activité, il y a un fossé, parfois, "un peu beaucoup quand même grand".
    Je ne reviendrais pas sur le pourquoi du comment de la chose, car Gilles a synthétisé à peu près toutes les raisons de cet état de fait, mais ce n'est pas pour autant inquiétant.
    Persévérance, humilité, démarchage physique, multiplication des contacts, chance ( et oui il en faut aussi ), bonne préparation et cv adéquat sont autant d'atouts mis de votre côté pour faciliter votre recherche et votre réussite.¨
    Bien sûr, il y aura des périodes où vous aurez envie de relâcher vos efforts mais c'est justement là qu'il faudra persévérer, rien ne vous empêche de trouver une jobine au début et de poursuivre vos recherches parallèlement.
    Bonne chance à vous tous dans vos recherches.

  3. #23

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    Allez, j'y vais moi aussi de ma petite anecdocte...

    Je suis venu trois semaines en janvier pour "tater le terrain". Avant ça, j'avais ciblé quelques entreprises (une dizaine) qui m'interessaient, essentiellement des agences de publicités. Je leur ai envoyé un mail en leur racontant mon histoire, et en demandant à les rencontrer pendant ce séjour. Résultat = 0 réponse, même pas un "allez voir ailleurs si j'y suis..."

    Donc en janvier, une fois sur place, je me remet à la recherche d'emploi. J'étais depuis quelques temps inscrit sur Jobboom et Isarta. Je répondais régulièrement à des offres d'emploi, sans succès. Un jour la personne chez qui je logeais me dit que quelqu'un a apppelé pour un job. Ici tout le monde a l'affichage du numéro, j'identifie donc rapidement l'annonce qui correspond au numéro. J'avais complétement zappé avoir répondu à cette annonce, une semaine auparavant mais en relisant l'annonce, je suis très enthousiaste.

    Je rappelle sonc la boite. Je tombe sur une secrétaire qui ne parle pas un mot, de français, elle me demande de parler en anglais. Je bafouille trois mots pour lui expliquer que quelqu'un m'a appellé, que je ne sais pas qui c'est, que c'est pour une offre d'emploi.

    La personne qui avait cherché à me joindre me réponds finalement, lui non plus ne parle pas français.

    On est à quatre jours de mon retour en France, je lui explique, toujours dans un anglais approximatif. Nous convenons d’un rendez-vous pour le lendemain.

    L’entretien se passe intégralement en anglais, une fois de plus. La boite est anglo. Ca se passe très bien, mais je regarde ma montre et je déprime. Finalement, un petit record : 2h45 ! C’est bon signe en général…

    Nous sommes six en compétition pour le poste. Je suis le premier à passer. Aïe !

    Quelques mails sont échangés alors que je suis en France. La réponse pour le second round ne se fait pas (trop) attendre. Le directeur marketing, que j’ai déjà rencontré, veut organiser une conf call avec le vice-président.

    La conférence se passe un peu moins bien selon moi, malgré la francophonie du vice-président. La faute à une qualité des lignes pas toujours au top au Canada…

    Le directeur du marketing doit me donner une réponse en fin de semaine, nous sommes lundi, je suis à Paris, vous l’avez compris.

    Le jeudi, un coup de fil, pour me dire que le Président de la compagnie veut me rencontrer pour discuter, de façon informelle, à propos des différents sites et de la stratégie que je pourrais avoir en tête pour augmenter le volume de business. Voilà bien le genre de petite phrase qui met la pression !

    Dès mon arrivée à Montréal (quatre jours après) je rencontre le boss, la DRH, le dir Mktg, etc…

    J’avais préparé quelques slides à l’arrache. Nous parlons une demie heure et là il me dit que c’est bon pour lui, et me souhaite la bienvenue. Yeahhh !
    Comme je parle anglais comme une vache espagnole, il me dit que la compagnie va m’aider à financer une formation en anglais. Re-Yeahhh ! De toutes façons, j’y pensais, mais si c’est pas moi qui paie, c’est encore mieux !

    Voilà, j’ai déjà été bien long donc je vais abréger. Ca fait maintenant une semaine que je suis « Web Development Coordinator » chez ACP Marketing. Tout est à faire, car c’est une création de poste, et ça c’est super.

    Bon maintenant je vous livre mon secret. A la différence de beaucoup, je suis ici pour un peu plus longtemps qu’un an, et ça, je pense que ça aide (beaucoup). Le deuxième truc c’est que j’ai eu un énorme coup de bol de tomber sur des gens qui m’ont fait confiance.

    Mais comme on dit, la chance, ca se provoque, et quand elle est là, faut pas la laisser passer…

    Donc foncez, n’hésitez pas, et surtout ayez confiance en vous, ici ils cherchent des battants (vous etes un ouineur… !) pas des gens qui se disent qu’ils sont pas capables, qu’ils ont pas l’expérience, etc.

    Bon courage !

  4. #24
    Avatar de adthevenet
    Adrien 43 ans

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    J ai trouvé mon premier job grace a un ami australien dans ma residence. Je suis Conseiller en service financier pour JPmorgan (tout est en anglais) Mon grand atout est que je parle anglais couramment. Je suis toujours en attente d une reponse pour mon job de reve donc en mode bussboy actuellemnt pour rester dispo.
    Le desvaantages c est qu ils savent qu on est la pour pas longtemps donc ils veulent pas trop investir.

    Solution, dire qu on est en attente de la residence permanente, sinon c est mort.

  5. #25

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    Oui lors de mon entretien chez Handicap International, je suis restée vague => "Pour l'instant j'ai un permis de travail jusqu'en octobre..."
    En gros ça veut rien dire...mais ça peut tout dire (sous entendu => Pour l'instant c'est jusqu'en octobre mais il coule de source que je reste au Canada plus d'un an!...même si c'est totalement faux!)

    A lala c'est maudit français...de vrais roublardeur!!! :laughing1

  6. #26

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    Message de microbe
    au secours, moi aussi je galère... c'est beaucoup plus dur que ce qu'on ma dit; je suis à Montréal depuis 2semaines, je cherche à travailler depuis 1 semaine et c'est vraiment pas gagné.
    Et apres une semaines sur place tu tire deja ce genre de conclusion? tu croyait quoi? Qu'il pleuvait des boulots a Monreal? Sa se saurait si c'etait le cas.

    En France, il faut au moins 3 mois pour trouver du boulot correct, pourquois en faudrait-il deux semaines pour le Quebec?
    Message de microbe
    J'avais prévu de commencer très rapidement par un commerce (boutique ou resto) avant de trouver mieux. Naîvement je pensais, en lisant vos expériences, que j'allais toqué à 3 magasins et être embauché pour la semaine suivante, voire dès le lendemain.
    En marketing on dit que l'impacte du client sur l'image de l'entreprise a un rapport de 1 a 5: un client satisfait le rapportera en general a un client potentiel. Un client insatisfait le rapportera a 5... Il en va de meme pour les experiences personnelles.
    Relis ce forum, combien de posts positis sur de bon boulots trouves rapidement avec de bonnes coditions trouve-tu? Combien d'entre-nous avouent sur le forum etre en galere et ne pas s'en sortir au niveau taff? On est toujours fier de sa reussite et honteux de son echec. Donc pour 1 PVTiste avec un poste en or, 5 sont vraisemblablement en train de galerer... C'est proche de ce que je croise lors des reunions pvtistes de Toronto...
    Ce n'est pas que tu etait naive de croire aux posts reveur de certains: c'est juste que tu n'a pas eu l'occasion de voir suffisament de mauvaises experiences rapportees pour vraiment etre au courant des difficultees...

    Message de microbe
    La vérité c'est que:

    - cela n'est pas la meilleure saison et meme si les cafés tournent, leurs effectifs ne sont pas au maximum
    Ben on est en Mars: ces entreprises sont sous l'influence des vagues touristiques. En hivert il y en a moins qu'en ete, c'est evident.
    Message de microbe
    - les boutiques ont peur en constatant qu'on ne connaît pas les produits et marques locaux
    On pouvait s'y attendre, mais sa depend des magasins vises aussi.
    Message de microbe
    - la langue est beaucoup plus un frein que je ne le pensais: meme au fast food le bilinguisme semble exigé.
    à la base j'ai plutôt de l'expèrience en bureau, type secrétariat ou réception, mais là j'ai meme pas essayé a cause de l'anglais.
    Le Canada est a plus de 80% Anglophone, sa semble difficile a priori d'etre dans le domaine du secretaria/recepioniste quand on maitrise mal l'anglais...
    Message de microbe
    là ca commence à etre la déprime, je ne sais plus quel genre de boulot chercher. c'est fou d'avoir tous ces diplômes et un début d'expérience qualifiée dans son domaine et de devoir presque se mettre à genoux pour trouver un boulot de m.... (auto censure)
    Comme on l'a souvent dit dans ce forum: ici les Canadien n'attendent rien de nous. Comme le dit tres bien Gilles plus haut, pourquoi l'employeur devrait-il embaucher un Francais qui a un visa de travail plus qu'incertain, parle mal anglais, n'a pas d'experience verifiable, pas de diplomes Canadiens, lorsque 15 autres pequenos bilingues imigres avec carte de RP, diplomes et experience nationale se bousculent au portillon ?? Je sait que sa peut paraitre rude, mais mieux vaut se renseigner avant de signer, un voyage au Canada sa se prepare correctement pour savoir a quoi s'attendre et se fixer des objectifs viables...
    Message de microbe
    Quelqu'un a t il un bon plan petit boulot sur Montréal quand on a encore presque tout à apprendre en anglais???
    Relis les posts sur ce forum, tu verra que ce sont toujours les bonnes vieilles recettes qui marchent: revise ton CV, reste humble, reaprend a passer un entretien d'embauche a la maniere Canadienne, persevere, ne te demoralise pas et tu recoltera les fruits de ton labeur.

    Bon courage!

  7. #27
    Anonyme
    Merci pour tout vos commentaires, c'est vari qu'il fautpas se leurrer mais en même temps il ne faut pas redouter la recherche du travail, moi j'arrive en juin et j'espère que il y aura pas mal de travail !
    Et puis il faut parfois commencer en bas et gravir les échelons !

  8. #28
    Avatar de Sateen
    Christelle 44 ans

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    Je suis assez d'accord avec les réponses de ces messieurs.. mm si ça peut paraitre rude !
    Jvais donc pas en rajouter..

    Par contre, si certains cherchent un ptit boulot à Montréal,
    j'ai vu ce matin en allant o boulot qu'à la Place Dupuis (souterrain au métro BerryUQAM) des magasins de vêtements - au moins 2 : j'ai vu des affichettes - recherchaient des vendeurs.
    So, vous pouvez peut être y allé tenter votre chance!


    Je sais que c'est une période difficile à traverser la recherche d'emploi
    Mais COURAGE! avec de la persévérance vous trouverez!
    Dernière modification par Sateen ; 02/03/06 à 17:33.

  9. #29

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    bon, pour rentrer dans les détails et vous rassurer aussi...
    je précise d'abord que je ne cherchais absolument pas le boulot de mes rêves. la première étape était pour moi de trouver n'importe quoi pour avoir juste de quoi vivre, et de commencer des recherches de boulot intéressant par la suite...

    je me suis inquiétée très vite car je suis arrivée avec très peu d'argent liquide, que celui-ci a été vidé pour le premier mois de loyer, et que ma carte bancaire française ne voulait pas fonctionner...
    bref, plus de quoi manger, ni payer mes tickets de transport, ni avancer le 2eme mois de loyer que j'aurai déjà dû donner, rien... il me fallait de l'argent de tout de suite...

    et cela a été très dur psychologiquement de se faire jeter pour de simples jobines (bon personne n'a jamais été méchant je vous rassure, je comprenais juste en sous-entendu que ça marcherait pas à cause et de mon anglais et de mon inéxpérience du Québec)
    et j'ai eu très peur, tout à coup, de ne pas trouver de quoi survivre pendant 8 mois.

    le bilan maintenant: je n'ai finallement mis que 4 jours à trouver, pour commencer à bosser le 5ème. Et entre temps ma carte bancaire a bien voulu faire sortir quelques billets magiques en attendant ma première paie...
    Je vous rassure donc, ce n'est pas si horrible que ça, sachant que chaque fois je n'ai pas dû affronter le grand froid qui sévissait alors plus de 2h...
    J'ai donc commencé comme caissière, pardon, "préposée à la clientèle" s'il-vous-plaît, dans un dépanneur.
    entre temps j'ai reçu au moins 2 autres réponses positives, (je suis en train de voir pour passer serveuse),

    bref tout va bien, je commence maintenant mes recherches de boulot sérieux, je sais que ce sera pas facile et que ça prendra du temps, mais tant que je meure pas de faim, c'est l'essentiel...

    en résumé, sur 15-20 CV distribués, j'ai eu 3 rappels dans les 2jours (+ceux les appels que j'ai sans doute jms eu), quelques uns à prévoir dans les jours à venir, donc ça va, si on peut patienter quelques jours (ce qui n'était pas mon cas) y a aucun pb...
    bon courage à vous

  10. #30

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    a premiere vue le canada pour le boulot c pas le top je me demande vraiment ci c possible de trouver un taf de quelque mois et pas quelque semaine ???

  11. #31

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    Si c'est tout à fait possible. Seulement il ne faut pas t'attendre à trouver comme ça sous prétexte que tu viens du vieux continent! Mais ne t'en fais pas...ça se trouve!

    PS : Je sais je vais faire ma chieuse mais merci d'éviter le langage sms => "c"

  12. #32
    Avatar de Delph
    Delphine 43 ans

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    Pour ceux qui ne l'auraient pas lu, il y a un post très interressant sur les premiers boulots trouvés par les pvtistes. Ça se passe ici.

  13. #33

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    Salut Nico !
    Tu pourrais me donner le nom de ton agence d'interim ?
    Je voudrais pas tomber sur cette agence à vrai dire en arrivant !
    J'espere que tu vas rapidement trouver un contrat stable... Nous on compte frappé à chaque porte des grandes boites de Montréal et filer nos CV aux RH !
    Bon courage
    A+

  14. #34
    Avatar de charlye
    Charlye 43 ans

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    Bon moi, c'est différent, je suis resté à Toronto 3 mois en tant qu'étudiant. Mais quand je suis allé à Mlt afin de tatter le terrain pour mon Pvt, je me susi renseigné partout où je suis allé. Dans la plupart des restaurants de la Rue Ste Catherine et de la rue St Laurent, on m'a dit oui à 75% pour un job en tant que serveur. Idem à Québec City, là bas ils cherchent partout, il y a plein de boulots en tant que serveur ou vendeur. Vu qu'il y a plein de touristes, ça lache bien!

    Si vous êtes prets à vous à faire le serveur, y a pas de soucis. C'est dur mais ça paye. Ensuite comme je vous dis, je n'ai pas travaillé, donc le reste c'est mistere pour moi. Je ne connais que les dire et les expériences de potes.

  15. #35

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    Message de charlye
    Si vous êtes prets à vous à faire le serveur, y a pas de soucis.
    Hmm.... tu peux preciser stp, car c'est un peu flou la!

    Si vous etes prets a faire le serveur
    ou
    Si vous etes prets a vous faire le serveur

    :dejadehor

  16. #36

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    Personnellement je travail comme busboy sur st laurent depuis un mois et j'ai été pris tout de suite. J ai fait une "tournée de CV" le mardi, le mercredi je travaillais.
    Ok c'est pas le boulot le plus épanouissant sur terre mais ca permet au moins de vivre en attendant mieux.
    Alors que ceux qui arrivent avec un budget serré voir très seré ne s'inquète pas trop.
    Meme en quelques jours il est toujours possible de trouver si l'on est pas trop regardant sur le type de job.
    Alors bonne chance a tous et si vous avez des questions sur la restauration a montreal n'ésitez pas .

  17. #37
    Avatar de Sateen
    Christelle 44 ans

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    Message de blackdemon13
    a premiere vue le canada pour le boulot c pas le top je me demande vraiment ci c possible de trouver un taf de quelque mois et pas quelque semaine ???
    BlackDemon,
    As-tu bien lu tous les posts concernant les emplois ici ?

    Parce que trouver du boulot
    cela ne relève pas du tout de l'impossible tu sais
    sinon pkoi le PVT aurait tant de succès ici!

    Non
    Ckil faut retenir c'est que c'est plus ou moins facile selon ton domaine d'activité, ta situation géographique, ta manière de procéder et.. ta chance (oui tout de mm!)

    Donc ne sois pas si pessimiste
    Bp réussisse à trouver du travail, et heureusement!

  18. #38
    Avatar de charlye
    Charlye 43 ans

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    Message de Wali
    Hmm.... tu peux preciser stp, car c'est un peu flou la!

    Si vous etes prets a faire le serveur
    ou
    Si vous etes prets a vous faire le serveur

    :dejadehor
    Euh.... Pas d'ambiguité.... faire le serveur!!! LOL

    Par contre je prevenaos que j'avais une longue expérience de serveur. Je sais pas si quand on arrive et que l'on a jamais fait serveur ça change quelque chose:??:
    A la rigueur baratiné, être serveur c'être rapide, au service du client, aimable et être organisé!!! Si vous voulez bosser dans le gastro c'est une autre histoire

  19. #39

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    bon la question emploi est assez récurrente !!
    et je voulais juste un petit conseil, si je cherche un job de vendeuse (en magasin de sport se serait le top) est ce qu'il vaut mieux que je pose mes valises sur Québec ville ou Montréal...???
    Vous remerciant par avance de vos tuyaux...

  20. #40

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    Si tu ne maîtrise pas vraiment l'anglais, Québec est plus facile. De plus, le taux de chômage à Québec et ses environs (chaudière-appalaches) est 4,2% - Comparativement à 8,2% pour Montréal....Le coût de la vie est également moins cher. Le seul hic est le transport en commun. Il existe mais rien de comparable à Montréal.

    Honnêtement, la ville de Québec serait mon choix pour une expérience de PVT au Québec.

    -Les loyers, la nourriture sont moins cher.
    -La ville est plus jolie, les gens plus sympathiques.
    -L'anglais n'est pas requis dans la plupart des boulots
    -L'expérience culturelle québécoise sera probablement supérieure, Québec est d'avantage monoethnique (rien de comparable).
    -La nature environante est accessible, le ski, canot, parcs, fleuve, montages, tout à proximité.
    -Le Communautarisme n'est pas monnaie courrante comme à Montréal, il sera beaucoup plus facile d'établir des contacts avec les québécois qu'à Montréal où la plupart des français font du communautarisme au même titre que les autres groupes nationaux.

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