10 trucs qui nous gonflent au Canada

Hello !

Cela va faire presque deux ans que Djoumé et moi sommes arrivés au Canada, on a eu plein d'aventures depuis (un bébé notamment), bref, on a pu découvrir plein de côté de la vie courante, pépère et tranquille canadienne et globalement, on adore. Mais bien sûr, comme on des Français, des vrais de vrais, faut quand même se plaindre un peu (surtout moi !).

Alors pour de rire et un peu pour de vrai, j'ai fait une petite compilation sur notre blog de ce qui nous gonflait au Canada, à Toronto en tout cas. Je me suis dit que j'allais le poster ici, et vous demander ce qui, vous aussi, vous gonfle ici.

Particulièrement les petits trucs anodins - nous par exemple, c'est le fait de ne pas pouvoir trouver d'éponge potable qui nous exaspère

Voici donc mon article original, publié sur notre blog Niouzes from Toronto :

1. l'hiver qui n'en finit pas
2. l'irrégularité de l'approvisionnement des magasins, du jour au lendemain, les bons biscuits qu'on aime bien disparaissent alors on est obligés de faire des réserves de folie pour être sûrs de ne pas manquer. C'est pas possible quand même !
3. les prix qui souvent ne sont pas affichés sur les produits en magasin (et jamais en vitrine) - cela fait partie du programme de réformes que Djoumé entend mettre en oeuvre quand il sera président du Canada
4. les vendeurs dans les magasins qui commencent "salut, comment ça va aujourd'hui ?" et qui te font la discute... De toute façon, qu'est-ce que tu réponds à un inconnu qui te demande comment tu vas, "ça va pas aujourd'hui, mon chien s'est cassé la patte, c'est terrible". Pas moyen non plus de faire sa Parisienne pressée qui dit bonjour du bout des lèvres, tend sa monnaie et se barre, sans se sentir super impolie. Y mettent la pression, ces Canadiens.
5. les éponges : impossible de trouver une éponge qui reste en bon état plus d'une semaine, voire qui ne soit pas bousillée au bout d'une semaine. Et même les scotch-brit, elles sont nulles. Cela fait aussi partie du futur et potentiel programme de Djoumé, l'importation d'éponges directement de France.
6. le chocolat à dessert qui coûte la peau des fesses (bon ça c'est surtout moi que ça gonfle)
7. l'alcool qui coûte la peau des fesses (ah ça aussi, c'est que moi que ça gonfle) (et Djoumé ne veut pas ajouter la baisse des taxes à son programme, socialo va)
8. il n'y a pas de label bio défini légalement, donc quand je veux être sûre qu'un produit cosmétique l'est vraiment (bio), il faut que j'achète ceux qui sont certifés ecocert ou une autre certification européenne - en général, ce sont des produits allemands super chers
9. les poubelles ne sont ramassées qu'une fois par semaine (à Toronto en tout cas). Et encore : on alterne chaque semaine entre recyclage / poubelle normale. Ce qui fait que les poubelles se parfument de plus en plus au fil des jours (beurk) et puis ya plein de détritus partout dans la ville. En plus, les gars qui ramassent les poubelles les balancent sur le trottoir sans plus de considération une fois qu'ils les ont vidées, et je les retrouve systématiquement le couvercle ouvert (quand il pleut, c'est pas cool, quand il fait +35°C, c'est pas cool) et souvent elles sont au milieu du trottoir, gênent les passants et sont renversées. Scrogneugneu
10. le fait qu'à chaque fois que tu rencontres une vague connaissance, elle te dise "you look amaaaaazing today" soit "tu es mââââgnifique aujourd'hui" ou un autre truc hyper positif et hyper exagéré. Savent pas être négatifs ces Canadiens. Pas moyen d'être un bon Français râleur, dans ce pays.

Voilà, maintenant, j'attends vos contributions, je suis sûre qu'il y aura des trucs rigolos !
Et si j'en ai assez, peut-être que je ferai un deuxième article sur notre blog, qui sait !

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