Comment dire deadsoul, oui tu peux critiquer la france et les Français, je m'en fous, le jour du 14 juillet, je reste dans mon lit douillet...
Pour le canadien anglophone, bien que peu confronté à lui, je vais donner mon avis parce que là, tout de suite, j'ai pas grand chose d'autre à faire.
Alors, d'après l'analyse sociologique et scientifique de ma collocataire québécoise, qui ne peut souffrir de la moindre contestation puisque scientifique, le canadien anglophone est complexé.
Je sais, dit comme ça de but en blanc, ça peut paraitre un peu too much, mais cette théorie à ses arguments.
En effet, d'après ma colloc (oui je sais, il s'agit là d'un vil stratagème pour me dédouaner des conneries que je vais sortir), les anglophones souffre d'un complexe d'image et de culture. Si proche des ricains politiquement et culturellement que l'on pourrait les confondre, loin des québécois dont ils jalousent la spécificité et la culture propre, les anglophones ont besoins de se "faire mousser", d'exister.
Les anglopones,(il s'agit là d'une généralité, il existe forcément des contres exemples), sont en général assez "pédant" envers les québécois francophone. Par exemple, nombre sont ceux qui après plusieurs années d'études à Montréal ne parlent pas un traitre mot de français, alors que l'inverse est impossible si tu veux survivre chez les anglophones.
Après, le québec à une forte identité culturelle et politique, les états unis aussi (Même si ce point pourrait être discuté), mais le canada anglophones non, ou du moins pas vraiment franche et affirmée.
La réaction de ton canadien Italien pourrait alors être expliqué par ce besoin de se conforter dans une forme de certitude de la vérité. Une auto satisfaction malsaine et ne pouvant souffrir d'aucune contestation encore moins d'un francophone.
Après, tout ceci n'est que l'avis d'une québécoise francophone assez radical traduit, pour votre plus grand plaisir, par un franchouillard de base n'aimant pas trop que l'on ne doute pas. Mais, la partie plus consensuel de mon moi intérieur, celle qui baigne dans le jus de consensus mou, y trouve quand même pour l'instant une certaine justesse d'analyse.
Car, franchement, les anglophones, bien que fort sympathique au premier abord, arborent leurs accents burger pas fini de macher qui ne semble pouvoir souffrir d'aucune contestation, tellement fièrement, que parfois on peux se demander si il ne s'agit pas là d'un complexe mal digéré.
Oui nous ne pouvons juger, oui nous sommes des hosties de français qui voulons toujours comprendre et piquer là où ça fait mal, mais franchement, dire à un canadien que son pays n'est pas le pays de candie, est-ce une offense ou une BA ?
Comment faire comprendre à un anglophones que le canada a aussi des défauts sans le piquer dans son orgueil personnel, lui, qui comme l'américain, ne survit sa frustration que dans l'engouement patriotique et la perception idylique de sa patrie ?
Je n'ai pas de réponse, mais comme je me souviens déjà plus de la question ça me parait normal...
Vive le canada anglophone et francophone et comme dirait le mossieur sur ma photo, vive cette époque formidable, qui, grace a l'avancé technologique et les grandes luttes nous permet sans sourciller d'appeler un chat, un chien !
Que viva, un beau monde tout lisse, sans aspérités, sans critique et sans français