Côtés obscurs du pvt, l'adaptation, l'intégration

Andie, vue que tu poses une vraie question, qui n'avait pas avoir directement avec le sujet précédent, j'ai préféré créer une nouvelle discussion.

Oups, désolée vraiment, j'étais lancée.
En tout cas merci.

Salut
je ne peux pas te répondre pour le canada car je n'y suis pas encore au moment ou j'ecris ces lignes.

Dis toi que de toute façon, ce que tu vis reste gravé dans ta mémoire et le pire est tout de même enrichissant. Pourra te faire sourir plus tard
J'ai ressenti ça dans un autre pays, et je ne regrette pas pour autant

je ne saurais te conseiller 2 choses : profites pour faire le plus d'activité et commence à regarder pour t'installer dans un lieu qui te conviendrais mieu.
Les zones moins densément peuplées ne manquent pas que je sache au canada (partie anglo ou franco confondue)
De plus un petit village perdu ou tu te sentirais mieu te permettrai d'être peut être accueillie plus sincerement (à confirmer par les concernés)

Quand au gens apparement tu en connais deja c'est bien, donc tu n'aura pas de difficulté a bouger avec eux ou à rencontrer d'autres personnes pretes à le faire

Courage et dis toi que dans le pire, il y a toujours quelque chose de bon à en tirer

Salut Andie,
Ton message m'a touché. T'inquiètes pas, t'es pas la seule à avoir ressentie ça. Et les pvtistes qui décident de faire une demande de résidence permanente ne représentent pas la majorité! Tu n'es pas anormale! Ca faisait longtemps que je n'avais pas posté, j'en profite pour dire ce que j'ai ressentie. Montréal a été ma première étape. Je n'ai pas du tout, mais alors pas du tout, accroché avec la ville. Je l'ai trouvé moche et fade. Tu n'as peut-être pas l'habitude d'entendre ce genre de point de vue, mais je t'assure que tout le monde n'adore pas cette ville. Tu n'as qu'à rencontrer d'autres pvtistes et tu entendras un autre son de cloche que ce qu'on lit en général sur le forum.
Bref, je suis arrivée en été, j'en ai profité pour faire de nombreuses excursions, à la fois dans des villes et en pleine nature. C'était sympa mais pas non plus de quoi tomber par terre...
Ma première grosse claque, bizarrement, ça a été Toronto. Ce n'est pas ce qu'on appelle une 'belle' ville, mais pourtant j'ai adoré. L'ambiance, le gigantisme, le coté 'new yorkais'...
Je me suis dis que c'est là que je voulais être. Mais j'avais déjà prévu de partir pour Vancouver, alors...
Vancouver: déçue à nouveau. Mauvais feeling avec la ville, impression que tout est cher et ambiance pas chaleureuse...

Bref, tout n'est pas rose. Pour certains, comme c'est mon cas, c'est vraiment difficile de trouver son petit coin de paradis.
Je suis finalement revenue à Toronto il y a à peine quelques semaines. Ce sera ma dernière étape.

Dans ton cas, je pense que la vision que tu as de Montréal est aussi altérée par les difficultés que tu as rencontré. Si ça se trouve, tout ira bien mieux dans quelques temps et quand tu auras retrouvé ton chum! Je te le souhaite en tout cas.

Bonjour andie,
tout d'abord merci! ton récit m'a touché, non tu n'es pas anormale c'est comprehensible après toutes les galères que tu as du affronter seule loin de ta famille, de tes amis c'est pas évident. mais dis toi que les épreuves nous grandit et nous fait avancer, courage...prends du recul et peutetre que tu apprendras finalement à apprécier cette ville, tes jugements sont peutetre altérés par les difficultés que tu as rencontré.sinon au pire bouge le canada est grand, le but du pvt c'est quand même ça la découverte du pays c'est pas de rester à un seul endroit...
voilà courage ton copain arrive bientôt et ça sera mieux tu verras....

je te souhaite de bonnes fêtes, 1 joyeux noël et une bonne année 2007.

https://nancymyron.over-blog.com/

C'est seulement après 8 mois au Canada que j'ai voulu y rester, avant je me voyais bien rentrer, j'aimais bien ma vie à Toronto mais bon c'était pas "waw trop bien de la mort qui tue" tu vois ?
Pour avoir galérer avec ça je peux te dire que le job (ou l'absence de job) peut être vraiment destabilisant lorsque c'est mal vécu. Si en plus l'argent n'est pas très présent, ce n'est pas cool, et quand en plus il y a des problèmes avec l'appart, hou, c'est lourd tout ça, ça a été lourd pour moi aussi.
Pour Noël, rien ne t'empêche de voir s'il y a d'autres pvtistes (car les Canadiens seront sans doute en famille) qui aimeraient fêter ça avec toi. Vous faîtes chacun un cadeau d'une valeur de 10 euros ou alors comme nous l'année dernière, obligation d'acheter le cadeau au dollarama, c'est juste histoire de passer un bon moment, avec un petit cadeau, le suspens de l'ouverture des cadeaux, des photos sympas, un chapeau de pere noel sur la tete et ça fait du bien ! D'ailleurs je dois trouver un cadeau pour dimanche (pas very inspired )
Bref, rien d'anormal, certains ont le coup de foudre en arrivant, certains l'ont eu avant d'arriver (car ils s'en sont fait une idée) et se prennent une claque, certains ont besoin de temps pour s'adapter, certains ne s'y plaisent vraiment pas et profite de l'opportunité du PVT : ils changent de ville !
Allez, bientôt le chum est là et on a beau dire mais quand il est là, c'est 1000 fois mieux

Le moins qu'on puisse dire c'est que tu ne te ments pas... Mais je pense que beaucoup d'entre nous tombe de leur petit nuage en arrivant ici... On vit pas sur l'île enchantée et on a beau croire qu'on a pensé à tout on est toujours secoué en arrivant.

Maintenant, ça ne dure pas pendant un an comme ça (ou alors t'as vraiment pas de chance...) et c'est certain que tu vivras des jours meilleurs à Montréal comme ailleurs et tu apprecieras encore plus ces bons moments quand tu repenseras aux "galères" que tu es en train de vivre maintenant.

En tout cas, bon courage à toi et bonne année, tu n'es pas la première à tout remettre en cause à ton arrivée, et tu ne seras pas la dernière, mais saches que passé ce temps d'adaptation, le jeu en vaut vraiment la chandelle.

Coucou,
Ne t'inquiète pas, tu n'es pas la seule à rencontrer ça!
Même sans avoir rencontré des pb de colloc ou de NAS, je ne me sens pas chez moi pour autant à Vancouver, pas vraiment intégrée quoi! Pas de copains canadiens, une ambiance un peu austère et superficielle... Et les problèmes de tunes aussi, je suis en part-time et je bosse finalement qu'entre 10 et 20h par semaine, à 8 dollars de l'heure, ça fait pas énorme à la fin du mois, heureusement que mon copain a un full-time... D'un côté j'ai envie de rester, et des fois je me demande si on ne perd pas du temps et de l'argent (car finalement à Paris on avait plus d'argent, un taff intéressant et des copains!). D'un autre côté, on a décidé de partir ensemble un an - donc ce sera un an, il faut qu'on améliore notre anglais... Pour résumer, je prends un peu sur moi pour la vie quotidienne, mais heureusement dès qu'on va qqpart les paysages sont tellement beaux que je me dis que ce serait dommage de ne pas profiter.

Je suis d'accord avec toi Boucly! Le cote obscur de la force du PVT nous fait douter de nos motivations : c'est vrai on avait prevu un an de fun et on se retrouve avec des galeres et la sensation de peut etre perdre son temps!

Cette notion de perdre son temps m'a beaucoup marque a vancouver : j'y travaille depuis le 4 aout... pas une semaine de chomage, j'ai fais trois jobs differents et comme j'ai demissionne en janvier je vais commencer mon 4e job (enfin des que je le trouve) et combien de fois avant de demissioner de mon job actuel qui ne me plait pas, je me suis dis "mais ma fille, ta vie n'est pas ici, rentre en France"...
Mais je me suis rappele que Vancouver m'a rapelle que le quotidien, l'ennui, le metro-boulot-dodo c'est partout a Vancouver, Paris ou Sydney... et que nous sommes seuls responsables de nos succes et nos echecs et de la perception de ces evenements!

Il m'a fallu du temps pour oser demissionner, job bien paye, a cote de chez moi, stable... j'ai meme les avantages sociaux a present! Mais je n'etais pas heureuse et je me sens libre comme au debut de mon PVT depuis que je suis future chomeuse!

Pour moi le temps de l'adaptation c'est fait dans la difficulte avec les pvtistes, les villes a decouvrir, le sentiement de se sentir chez soi... Un exemple, comme Boucly Vancouver me charme mais je ne me sens pas chez moi... mais une chose est sure, tous les soirs quand je rentre dans ma maison, le quartier, les gens qui habitent avec moi me font me sentir chez moi... c'est bizarre a expliquer... mais c'est comme ca que je le ressens!

Sans avoir a vivre catastrophes sur catastrophes, je pense que le PVT ce n'est pas le monde des bisounours non plus... et sauf si tu n'arrives pas a sortir la tete de l'eau... un jour tu te rappeleras de tout ca et tu en souriras peut etre Andie!

Change, bouge, teste... tu vas te planter comme nous tous... mais si tu n'essaie pas, tu ne reussiras peut etre jamais!
Cheers!

Moi je vous dis les gens, faut pas essayer de trop vous prendre la tête...
PRenons juste l'exemple du logement! N'allez pas forcémment chercher le truc parfais. JE vais vous donner mon expérience. JE suis dans une colloque avec 5 anglophones. Ok, au premier abord, ma chambre était pourris. J'avais un lit simple, une étagèe, et un meuble de rangement de bureau, ainsi qu'une chaise de bureau. LE tout dans un 2,5 par 4,5 (voir même moins je pense...). Bref, huuu, tendu. Avec 150 dollars et un plan relou chez IKEA, je me suis redécorée une chambre selon mes goûts, je me sens chez moi dans cette chambre (et je pense que c'est super important)
Ensuite, ok, ya des souris dans ma colloques. MAi c'est marrant, ça fait de l'animation! Tu fais juste gaffe à pas mettre de bouffe dans ta chambre, tu laisse le chat se balader partout et puis ça va!
Bref, même dans des trucs un peu galère, on peut en voir les avantages (la poursuite de la souris est quelque chose qui rapproche entre colloque et un bon lien sociale

Pour le taf, ne vous évertuez pas à chercher forcément dans votre branche...surtout si vous vous rendez compte que vous serez bientôt en galère de tunes! Trouvez même un job pas top, puis continuez vos recherches (mais continuez les vraiment, continuez à voir les offres d'emploi, à envoyer des CV, à rappeler les gens...!!!)

Essayez de profiter au maximum des moments positifs (des visites dans des lieux ou des choses comme ça) pour mieux digérer les moments négatifs (genre te défoncer le dos au taf et sortir en pleure parce que t'en peux plus...oui oui, ça arrive...).. Tout le monde en a, vous inquiétez pas (j'avoue, peut-être plus que d'autres...). Mais ces trucs là doivent vous donner l'envie de continuer, de vous battre... Si vraiment vous n'en pouvez plus, que vous avez retourné la question, rentrez, et ne regrettez pas, ne voyez pas ça comme un échec! Vous avez pris la décision de partir, vous y êtes allés, vous avez essayer! c'est déjà très fort! Pensez à toutes les personnes qui n'oseraient jamais faire ça. Ok, là on est sur un pvtistes de plein de gens qui ont tous les même projet de faire "tchao ma vie au moins pour un an, je pars à l'autre bout du monde, sans taf, sans logement, et je vais essayer de me construire un bout de vie là-bas..."
Mais je pense que vous avez eût plein de gens dans votre entourage qui vont ont fait: oh, mais comment tu fais, moi j'oserai pas....
C'est ça le truc, avec le PVT, on ose tenté quelque chose de rare. ça passe ou ça casse, au moins, on a oser prendre le risque!

Je comprends Nalice! Quand on nous reconnaît au Starbucks d'à-côté, que le gardien nous salue par notre prénom, on ressent une petite sensation sympa d'avoir fait son trou malgré tout!
Et les "petites galères" ont un côté sympa malgré tout, ici tu peux tout relativiser, tu peux essayer plusieurs choses, te planter, c'est quand même une grande liberté. Plus le temps passe et plus j'ai l'impression d'être en train de changer, d'évoluer un peu mieux que si j'étais restée à Paris à m'embourgeoiser!

J'commencais à croire que le canada était le rève et que tout était facile et ton témoignage remet bien les pieds sur terre.
J'imagine que ce genre de situations se vivent différemment selon la personalité de chacun. Ce qui est sûr c'est qu'il ne faut pas laisser les galères s'éterniser et changer de lieux si jamais celui où on se trouve ne convient pas. De plus à la lecture des posts ils semble que les personnes inscrites sur ce site sont "éparpillées" un peu partout dans le pays et je pense qu'il ne faut pas hésiter à les rencontrer.

Courage et dis toi que ton copain va pas tarder à arriver (et à deux c'est forcément plus simple...!)

Bah écoute moi j'y suis pas encore, mais j'y ai été trois mois chez un ami. Il travaillait la nuit , donc autant te dire que j'étais seule la semaine de 10H30PM à 2 ou 3 PM jusqu'à ce qu'il se reveille... Et bah des fois je pétais les plombs, ma famille me manquait, mes amis aussi.. C'est dur de changer de pays... Mais en même temps c'est un super experience...

Moi j'ai de la chance, là il est en train de visiter un appart pour moi, et un autre pote peut m'aider p avoir un petit boulot, dc j'ai bcp d'aide pr commencer et du soutient à en revendre (et pr le moral ça compte bcp).
N'empêche si t'accroches pas avec une gde ville comme Montréal, bah bouge vers une plus petite... Moi je suis à Windsor (ohlala je leur fait trop de pub ici lol) et c'est super... 200 000 hab, dc pas trop petit non plus, les gens sont vraiment sympas et quand ils apprennent que tu es français ils sont tout contents d'utiliser quelques mots qu'ils ont appris à l'école y a 10 ans... Et oui, pas beacoup de francophones là bas donc t un peu une attraction lol

Vraiment, essaye d d'autres villes!!!

Et bon courage

Salut à tous d'abord merci pour cette chaleureuse discution..........(qui sort un peu du traditionnel genre : t'as pris quelle assurance pour ton PVT???)..........

Je ne peux pas trop parler car je pars pour Montréal dans 2 mois (en plein hiver!!bien vu, non???) mais tous vos posts m'ont vraiment touchés...
C'est bien pour un bonhomme comme moi de lire ce genre de post car il faut briser le mythe qu'on se fait avant de partir....Celui que la France c'est bof, ailleurs c'est le paradis!!!
Pour ma part, c'est toute ces incertitudes (difficultés pour le taf, le logement, nouveaux potes, les relations sentimentales,........) qui me motivent pour essayer de repousser mes limites.......
Plus le depart approche, plus je me libére de mes "contraintes" difficilement acquises pendant 5 ans (super taf, super appart, super nana), plus je deviens anxieux et septique (=eh gars : tu seras pas en train de faire une grosse boullette???)!!!
Etre libre ca parait sympa : etre capable de recommencer ce que l'on a construit ailleurs, ca rend "invinsible"......
Je me fous du resultat, l'important c'est le parcours, les rencontres avec ceux qui nous aident alors qu'on ne les connait pas..........se construire des souvenirs.......et vivre ces reves (meme si je reve pas du canada la nuit!!)........
Les villes nous paraissent grises, Paris, Montréal, Vancouver,.... mais ca depends aussi de nous.........
La couleur des villes ne doit pas influencer nos reves.........
Nektar...........................

Oula la la...moi qui avait peur de passer pou une jeune aigrie. Merci pour tous vos encouragements !
Effectivement, je serai bientôt accompagnée de mon cheum mais allez savoir pourquoi je suis de ces espèces de nénettes qui se débattent avec elle-même pour se la jouer fille libérer ! Je veux donc pas tout faire reposer sur lui !
Je compte bien bouger de ville mais davantage au printemps (Vancouver)..et je voudrais essayer Québec aussi quelque part...Et sinon bouger plus le week-end si mon job me le permet...
Le pire c'est que j'ai déjà vécu à l'étranger...un an seule en Angleterre...en ERASMUS, ok ! Voilà peut-être pourquoi les débuts me paraissent plus difficiles ici car comparé à Bristol on constituait tous une grande famille internationale. C'était tout simplement extraordinaire. Y a pas d'autres mots. Là c'est un autre challenge, beaucoup plus personnel.
Je ne sais plus qui m'a écrit ça mais notre voyage devient simplement ce que l'on VEUT en faire. Dans les moments où je fais grise mine, je me foue de moi-même comme une grande en me disant que oui, effectivemnt, si j'ai décidé que tout était pourri ça le sera !!! Tout est question de point de vue...
En tout cas, ça m'a peut-être fait du bien de me "vider" là .

Bon bah j'espère que tu te sens un peu mieux... tu connais d'autres français là bas pour discuter un peu quand tu as le blues?

Stressé, désillusionné, triste, nostalgique, on passe tous par certaines de ses phases mais ça ne fait pas de nous des aigris
En tout cas, c'est bien que ça remette les pieds sur terre à certains, car même si on est plusieurs à essayer de transmettre dans nos articles cette info que le Canada n'est pas l'eldorado, mais c'est bien de le répéter

effectivement, je crois que tout le monde passe par la.
Il est vrai on se dit on part loin , vers d'autres horizons ca va etre genial, on va faire ci on va faire ca , et on ne pense pas vraiment aux cotes negatifs.
En Australie j'ai connu la grosse galère, pareil avant les fetes de noel, je n'avais toujours pas de boulot, ce qui entraine plus de tune mais quand je dis plus de tune c que ma carte ne passait plus, je n'avais pas de logement, il me restait deux jours en backpacks. bref grosse galere je me voyais deja dormir sous les ponts ( heureusment la bas ct l'ete donc pas peur d'avoir froid lol) . Bref mes parents m'avancent un peu d'argent ce qui me permet de trouver un appart. Le job c pas ca je trouve des petits trucs a droite a gauche mais payé une misere pour dire quand je pouvais le loyer une semaine sur deux ( heureusmt mon proprio etait un ange) je mangais que tous les deux jours et encore ct les noddles , un jour je mangeais uniqument le jus ( eau+ sachet ) et le lendemain les pates. je n'en pouvais plus grosse deprime donc bien evidement qd on est dans cet etat dur de trouver un taff car les gens te regarde dans la rue et ils ont peur !!
Je me dis , je n'ai pas le choix je dois retourner a Paris , je ne peux pas continuer comme ca.
J'étais décue et honteuse, car je me suis dit, je ne suis pas capable de... et puis ma nouvelle colloc me dit il ya une boite d'interimqui recherche ( childcare center, Select Education) et la pff ca marche ouahh génial, alors on reprend du poil de la bete et hop c parti.
Donc finalmt aucun regret, et finalmt je suis capable de ....
donc no panic !!! tout s'arrange et on en ressort grandi !!! et happy.

Yes idem pour nous en australie, on en était au point de dormir dans la caisse et se doucher à l'arrache dans les campings, on avait plus une tune, Noel on l'a fêté.... à manger une pizza dans les rues de Bundaberg! looool Bref on apas mal galéré, mais c'est pas pour autant qu'on se dit que c'était naze, au contraire avec du recul on sait quoi faire et où aller pour moins galérer!