Soyons honnête ici : Je ne nie aucunement les problèmes environnementaux soulevés. Cependant, quelle est la variable indépendante ici : la consommation. En changeant les habitudes de consommation, nous changerons celles de production. Voilà. Comme je l'avais dit précédement, mon jugement sur les régions productrices est très subjectif. Les ensembles forestiers à cette latitude sont minimes, la région est très hostile à la vie végétale/animale.
Pour ce qui est de l'indépendance québécoise, il faut aussi considérer le revers de la médaille depuis le déclanchement de la structure qui coincide avec la déclaration de DeGaulle en 1967 :
- Délocalisation de l'investissement industriel canadien supporté par le gouvernement centrale du Québec vers l'Ontario (en 1965, Montréal était la métropole canadienne).
- Climat d'incertitude pour les investisseurs étrangers.
- La volonté d'affirmation nationale provinciale a créer une structure additionnelle que les québécois doivent supporter. (Deux ministères des revenus, Deux offices de la langue, Deux ministères de l'immigration, des tonnes de programmes de promotion culturelle ainsi que des organismes supplémentaires dans le domaine de l'éducation.
Voilà, je voulais simplement apporter quelques nuances au reportage qui reste toutefois intéressant dans l'ensemble. Comme le prof du HEC l'a rapidement soulevé avec son analogie des soldats, le décolage économique canadien est le résultat direct des ententes de libre-échange que les conservateurs ont signés avant la prise de pouvoir des libéraux. Les libéraux de l'époque étaient totalement contre cet accord que personne ne remet en question aujourd'hui tant la création de richesse directement liée fut énorme.
De plus, la triple réélection libérale provient de la divison de l'opposion à la suite des schismes conservateurs de 1992-1993 ( Reform, Bloc Québécois, Alliance Canadienne). Durant cette période, il n'y avait pas d'opposition aux libéraux. Bien qu'ils aient fait du bon travail, il faut tout de même soulevé ce point.
Mais bon, c'est avant tout une question d'opinion