1. #1

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    ABC.net
    a publié aujourd'hui un article sur les conditions de travail des pvtistes étrangers en Australie (titulaires du visa 417). La médiatrice de FairWork, l'organisme indépendant chargé de réguler et de défendre les conditions de travail des employés, révèle que les plaintes venant des pvtistes sont de plus en plus nombreuses (ils sont, eux-même, de plus en plus nombreux).

    Principalement en cause, les salaires largement inférieurs au minimum légal (environ 15 dollars). Des pvtistes ont été payés 8 dollars, ou même 4 dollars de l'heure pour leur travail. Natalie James rapporte que FairWork a réussi à récupérer 67 000 dollars pour les pvtistes sous payés en 2011-2012. En 2012 - 2013, la somme a explosé : 350 000 dollars ont été reversés.

    Carl Walker, président d'une association d'agriculteurs dans le Queensland rapporte que son activité repose en grande partie sur les pvtistes : "They're good kids, they turn up every day, they have to work, if they don't work they don't eat and if they don't work they don't get their second visa." (Ce sont des "bons jeunes", ils viennent tous les jours, ils doivent travailler, et s'ils ne travaillent pas, ils ne peuvent pas manger ni obtenir leur 2e visa !)

    Suite à ces plaintes de travailleurs étrangers, FairWork a prévenu les employeurs qui n'embauchaient pas dans des conditions décentes, même s'ils passent par des "contractors".

    Source : ABC.net

    Est-ce que cela vous est arrivé d'être embauché en dessous du salaire minimum et / ou d'avoir de mauvaises conditions de travail ?
    Quoiqu'il en soit FairWork pourra vous aider : si vous ne récupérez pas votre argent, votre plainte permettra à ce que d'autres pvtistes ne se fassent pas avoir !


  2. #2

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    FairWork s'attaque aujourd'hui à l'emploi au noir : depuis peu, l'organisme a l'autorisation de vérifier si l'employeur respecte les statuts d'immigration (par exemple, si l'employeur a déclaré ses employés, et si ceux-ci ont bel et bien un permis de travail en bonne et due forme pour travailler en Australie) :

    Les employeurs doivent à présent se conformer aux lois de l'immigration australiennes, sous peine de représailles.

    Source : Fair Work Inspectors now checking employers comply with Immigration law obligations - Immigration - Australia


    On peut penser que les violations sont de plus en plus nombreuses, les plaintes aussi, et du coup FairWork a de nouveaux "pouvoirs"...