Bonjour,
Je vous écris car je viens de terminer un master en traduction. j'ai effectué un stage de 5 mois à Vancouver et j'ai donc participé une première fois à l'Expérience Internationale Canada dans la catégorie "stage". J'aimerai à présent chercher un emploi en agence de traduction à Montréal ou Toronto mais je me suis aperçue qu'ils avaient fermés les visas JP. Ainsi, je souhaite néanmoins envoyer des candidatures pour des postes de traducteur et je voulais savoir, si jamais un employeur s'avérait intéressé par ma candidature, et serait susceptible de m'embaucher, serait-t-il possible dans ce cas-là de faire une demande de PVT? Ou bien est-ce qu'il faut forcément un visa JP? En plus, ayant déjà participé une première fois à l'EIC, si je fais une demande de PVT, il ne me sera pas possible par la suite de la transformer en JP. Existe-t-il dans ce cas-là d'autres permis de travail permettant de rester travailler au Canada. J'ai également trouvé un dossier qui explique qu'on peut obtenir un permis de travail sans AMT grâce à l'Avantage Significatif Francophone, à condition de disposer d'une offre d'emploi en dehors du Québec. Quel visa conseilleriez-vous de prendre dans ce cas-là sachant que je souhaite immigrer au Canada sur le long-terme et m'installer à l'avenir en tant que traductrice freelance à Vancouver.
Je vous remercie pour votre aide.
Flora
Pour le PVT pas besoin d'offre d'emploi, mais tu dois te dépêcher, la 1re tranche de quotas ouvre aujourd'hui et les candidats sont nombreux !
En effet, si tu fais un PVT, tu ne pourras pas enchaîner avec un JP.
2 choix donc :
- faire une demande de PVT et trouver du travail sur place. Si ça se passe bien, que tu es hors Québec et que ton boulot fait partie des catégories A, B ou 0, tu pourras envisager de rester avec l'ASF.
- voir avec l'employeur s'il veut vraiment t'embaucher, lui parler de l'ASF, obtenir une offre d'emploi, la soumettre à l'ambassade et obtenir un permis de travail.