Me revoilà avec plein de nouvelles questions qui se sont plantées dans ma tête ces derniers jours :
1) Il me semble que le PVT limite les heures de travail que l'ont peu effectuer par semaine (25h par semaine maximum, si j'en crois un topic sur ce forum). Si je me rends au Japon et que j'arrive à trouver un travail profesionnel (dans ma formation d'ingénieur) après quelques mois, il ne me sera donc pas possible d'effectuer ce travail avec mon VVT (car je travaillerai sûrement plus de 25h par semaine). Il me faudra donc demander un visa de travail (en présentant mon contrat de travail) et donc changer de status. Endareyn a dit, dans un post précédent, qu'il était bien possible de changer de statut pendant son PVT (et donc passer d'un VVT à un visa de travail sans avoir notamment à terminer sa période de PVT). Mais sur le site de l'ambassade du Japon, je vois écris "Les ressortissants français
bénéficiaires du programme ne peuvent ni prolonger leur séjour au Japon au-delà d’un an, ni changer de statut durant ce séjour" (
Visa vacances-travail | Ambassade du Japon en France), ce qui semble affirmer le contraire .
Salut je ne sais pas si c'est pour dissuader les gens de bosser à temps plein ou si c'est une nouvelle règle mais y'a deux ans, je pouvais faire autant d'heures que je veux tant que ce n'était pas un métier interdit par le visa (boite de nuit, hotesse etc.). J'ai connu un coréen en working holiday visa qui bossait à temps plein comme développeur pour une boite japonaise avec les heures supp etc. Par contre il parlait assez bien japonais. Donc ton working holiday ne sera pas un frein à l'embauche (à moins que tu trouves ton boulot trois mois avant le fin ce qe je te déconseille). Par contre ce qui peut être un frein c'est que tu dois faire un visa de travail pour rester après et la légende urbaine qu'il faut plein de papasserie pour faire le visa de travail reste encore bien encrée auprès des entreprises japonaises qui veulent pas se casser la tête pour le faire. Alors que non c'est pas si compliqué que ça, et en plus elles ont rien à payer, sauf si elles veulent passer par un avocat. Je te conseille de viser des boites qui ont l'habitude d'embaucher des étrangers, ne serait-ce qu'une ou deux personnes, ça sera moins dur à les convaincre. Par contre comme je dis, si tu connais le japonais, que tu peux argumenter auprès des entreprises, c'est beaucoup plus facile!