Refus de permis d'études

@MsyM

Bonjour MsyM,

Je viens de lire avec attention votre message si détaillé et je suis vraiment désolé que ton épouse a obtenu deux refus dans un intervalle de temps si petit malgré votre dossier consistant et convainquant selon moi où vous avez pu essayer, à mon expérience, de démontrer avec tous ces documents justificatifs que ton épouse (avec toutes ces caractéristiques présentées), semble être admissible au permis d'étude, selon moi .

En réalité il faut comprendre que le mode de traitement des demandes de permis d'étude diffère d'un bureau canadien à l'autre et par zone géographique compte tenu des différences significatives de conjonctures économiques et des contextes politiques et sociodémographiques d'une Zone à l'autre. C'est le cas du contexte "Africain" ou le fonctionnaire d'immigration (Agent des visas) chargé des traitements de demande de permis d'étude basé dans les bureaux Canadiens d'Afrique, attire beaucoup d'attentions particulière, de curiosité sur les demandes présentées sur le continent Africain afin d'examiner à fond la fiabilité, la crédibilité des documents présentés à l'appui de la demande, ensuite en se posant beaucoup de questions autour d'un tel dossier notamment si le demandeur résident en Afrique ne présente pas une telle demande à des fins d'immigration au Canada pour y s'établir permanemment (même si le principe de la double intention y est [...]!) car la demande de permis d'étude rentre dans la catégorie de demande de résidence temporaire où il faudra démontrer que vous quitterai le canada à la fin du séjour temporaire; ce que vous avez pu justifier vraisemblablement dans le dossier , en l'analysant personnellement.

Je vous encourage de présenter de nouveau une demande mais cette fois-ci ne vous précipitez plus pour soumettre la nouvelle demande car cela ne fait pas bon effet surtout que vous résidez en Afrique. Je vous prie de prendre un peu du temps pour revoir certains volets dans le dossier.

je vous invite donc à revoir votre "Plan d'étude" qui dans l'idéal doit être rédigé en bonne et due forme comme une "lettre d'explications" bien convaincante car l'agent des visas prend trop cette lettre au sérieux avec une certaine rigueur.

Dans cette logique je voudrais donc vous poser quelques questions avant de revenir à vous:

1. votre épouse est t'elle toujours en Etude ? en rupture d'étude ? en fonction ? est-ce alors pour elle une reprise d'étude ?

2. Le programme dans lequel elle est admise et inscrite est-il une suite logique de son parcours académique antérieur ? ou bien si elle est actuellement en fonction, en quoi son programme d'étude dans lequel elle est admise a-t -t-il un lien avec sa fonction actuelle ?

3. Y-a-t il une corrélation entre sa promesse d'embauche et son programme d'étude ? (si elle a une promesse d'embauche)

4. Concernant ses voyages antérieurs, a-t-elle effectué des voyages par avions dans le passé que l'on peut justifier par des visas et cachets (entrées-sorties) de l'aéroport estampillés dans son passeport ?

5. A-t-elle déclaré dans la demande que tu l'accompagneras en tant que son époux, ainsi que l'enfant ?

Bien cordialement ,

Lolo

Bonjour Lolo, déjà merci pour ton intérêt accordé à mon msg. Je te mettrai ci dessous sa lettre d'explication. Ca pourrait répondre à tes msg.

Madame, Monsieur,
Je souhaiterais étudier au Canada et plus précisément à l'Université de Chicoutimi (UQAC) au programme de Baccalauréat 1er cycle en Communication Interculturelle et médiatique pour plusieurs raisons que je me ferais fort de vous expliquer. Le début des cours étant prévu pour hiver 2021.
Le Canada m’offre la possibilité de perfectionner mon niveau de langue en anglais tout en continuant de communiquer en français, langue officielle au Québec. Ce bilinguisme serait pour moi un véritable avantage compétitif une fois de retour dans mon pays de résidence et en Afrique d’ailleurs. En clair, communiquer en anglais et en français présentera des avantages importants au regard des tâches de mon domaine de compétences, notamment les relations extérieures de mon institution.
L’Université du Québec à Chicoutimi, l’un des meilleurs établissements Canadiens, offre des programmes assez intéressant, dont celui de mon choix ; Communication Interculturelle et médiatique, qui est en cohérence avec mes compétences académiques (Baccalauréat littéraire, voir mon diplôme) et m’ouvre des débouchés sur plusieurs profils de carrières, tels que :
• Professionnel des relations publiques et des communications
• Journaliste, rédacteur et chef du service des nouvelles
• Communicateur de la radio et de la télévision
• Directeur des ventes, du marketing et de la publicité
• Personnel de coordination du cinéma, de la radiotélédiffusion et des arts de la scène
• Agent de développement économique, recherchistes et expert-conseil en marketing
• Agent de programmes, recherchiste et expert-conseil en politiques sociales
• Enseignant au niveau collégial et autre instructeur de programmes de perfectionnement
• Travailleur des services communautaires et sociaux
• Professionnel en ressources humaines
Permettez-moi de vous énumérer ci-dessous quelques particularités du programme.
Le baccalauréat en communication interculturelle et médiatique de l’UQAC est unique au Québec et au Canada par la synergie de ces deux concentrations : médias émergents et communication interculturelle.
Le programme a comme principal objectif le développement d’un esprit critique permettant d’analyser les phénomènes sociaux dans une perspective communicationnelle afin de favoriser l’émergence de visions novatrices autour des défis que soulèvent les questions interculturelles et des médias.
Le stage est inclus dans le plan de formation dans une perspective de collaboration avec les chercheurs, les institutions ou les organismes participants.
Les diplômés du programme peuvent oeuvrer au sein de grandes entreprises publiques ou privées, de firmes de communication ou de consultation, dans le domaine communautaire et au sein d’organismes internationaux. Ce qui ouvre un large champ de perspectives très intéressantes d’emploi dans mon pays de résidence et de citoyenneté, avec l’accessibilité cette année des medias visuels sur la Télévision numérique terrestre (TNT), donc la libéralisation de ce secteur qui enregistre déjà une forte demande.
Le ministre Ivoirien de la Communication, Sidi Touré, a confié au journal de 20H de RTI 1 du 05 janvier 2020, que « la Côte d’Ivoire s’est engagée à achever la migration vers la TNT au plus tard en juin 2020, à l’instar de tous les pays africains qui émettent dans la bande Vhf, nous enregistrons déjà 03 chaines de télévisions publiques, 04 chaines de télévisions privées » qui émettent déjà et plusieurs autres en attente de licence et d’émission de signal.
Par conséquent, poursuivre mes études au programme de Communication interculturelle et médiatique me permettra d’acquérir une très grande compétence dans ce domaine de médias qui est en fulgurante évolution dans mon pays de résidence et de citoyenneté, la Côte d’Ivoire et en Afrique.
Je suis très consciente que l’occasion d’étudier dans cette université est d’acquérir des connaissances au profit de mon éventuelle institution d’accueil et de mon pays de résidence et de citoyenneté. Pour cet intérêt, je promets de participer à tous les cours du programme, à me plier à tous les règlements établis par l’Université de Chicoutimi et à faire de mes études l’activité principale au Canada. Je puis vous assurer que je n’aurais pas de difficultés à m’adapter dans ce pays d’accueil, car en effet je suis Boy Scout depuis le bas-âge et Chef scout depuis quatre (4) ans. Le scoutisme est reconnu pour être l’école de civisme par excellence, où on enseigne à l’adhérent des principes de vie tout en le formant afin qu’il puisse se débrouiller dans des circonstances difficiles.

Diplômée du Lycée CSP le Conquérant de Niamey, au Niger, en qualité de bachelière (baccalauréat littéraire, série A), je cumule avec moi une expérience professionnelle de deux (02) ans et six (06) mois passées à BOUBEK ENTREPRISE (Abidjan, Côte d’Ivoire), en qualité de Secrétaire de direction (voir mon CV et certificat de travail).
Cette expérience m’a donné l’occasion au cours des deux dernières années de réaliser les enjeux d’une communication virale pour les institutions. Il y a donc une grande nécessité pour les institutions de communiquer et améliorer leurs visibilités. Aussi, mes différents voyages dans mon village m’ont fait comprendre l’impérieux besoin pour mon pays de conserver ses valeurs, traditions et de promouvoir ses cultures au-delà des frontières ivoiriennes, sous régionales et internationales. D’où ma motivation à poursuivre mes études en Baccalauréat 1er cycle en Communication interculturelle et médiatique, avec un intérêt marqué pour tous les aspects de la communication.
Cette admission (voir lettre officielle) qui se trouve en cohérence avec mes objectifs, aspirations et qualifications me permettra ainsi de renforcer mes compétences en communication, en culture et médias d’une part, mais aussi permettra à mon pays de faire un bond significatif en avant dans la préservation de ses valeurs, la promotion des us et coutumes, la qualité de ses actions de communication et l’amélioration de la pratique des activités du monde de l’audiovisuel.
Le domaine des médias, dans mon pays de résidence et de citoyenneté, est enclin à une libéralisation progressive et remarquable. Des chaines de télévisions se sont récemment positionnées et plusieurs autres annoncent leur présence dans l’espace médiatique. Un domaine très prometteur.
Aussi, ambitieuse que je suis, j’ai le goût du travail bien fait et portée sur les challenges. Je souhaiterais, donc pouvoir offrir des services de consultance aux institutions à travers une entreprise que j’ambitionne mettre en place de concert avec mon époux qui lui également est un communicateur dans le domaine de la santé en Côte d’Ivoire (voir attestation de travail), notre pays de résidence et de citoyenneté.
Enfin, comme vous pourriez l’apprécier à la lecture de mon CV, j’ai toujours été une étudiante assidue comme en témoigne les notes que j’ai obtenues durant mon cursus scolaire et professionnel. Je suis ainsi convaincue que la principale et unique raison de ma visite au Canada qui se résume en la poursuite de mes études de Baccalauréat 1er cycle en Communication interculturelle et médiatique sera accomplie avec succès.

La raison principale de ma volonté de poursuivre ce programme à l’extérieur de mon pays de résidence actuelle et de citoyenneté repose sur une seule raison principale et majeure : mon pays de résidence actuelle ainsi que mon pays de citoyenneté n’offre pas de programme de spécialisation en Communication interculturelle et médiatique.

Ce sont, expliquées ci-dessous, les raisons de ma volonté de poursuivre ce programme à l’extérieur de mon pays de résidence actuelle. Mon pays de résidence n’offre pas de programme de spécialisation en Communication interculturelle et médiatique. Pour répondre à mes aspirations et objectifs susmentionnés, il faut un programme qui regroupe les techniques de communication, l’apprentissage des cultures des peuples de diverses contrées et les métiers de l’audiovisuel. Ce qui ne se trouve pas être le cas dans mon pays de citoyenneté.

Avant de porter mon choix sur le Canada, j’ai recherché les possibilités d’études dans mon pays de citoyenneté et de résidence actuelle. Toutefois comme mentionné dans le paragraphe ci-dessus, il n’existe pas de spécialités dans ces domaines. De plus, j’ai également recherché auprès de mon établissement de formation CSP le Conquérant de Niamey, si le programme de mon choix était déjà ouvert mais sans succès car ce programme que m’offre l’Université de Chicoutimi n’est pas encore disponible pour cette spécialisation au Niger.

Comme vous pourriez l’apprécier dans un document d’offre d’emplois en pièce jointe, les demandes d’emplois dans le domaine de la communication et des médias sont légions. La demande est forte. Cette formation me permettra d’apporter une touche nouvelle et aider mon pays à redorer le blason de l’espace médiatique. Mieux encore, mon pays se dotera d’un cadre et d’un expert en matière de promotion de ses valeurs culturelles et la préservation des us et coutumes.
J’ai, avec mon pays, des liens assez solides qui ne me permettent pas de m’installer au Canada après ma formation.
• Mon époux, communicateur et salarié dans un établissement de référence à Abidjan, avec un contrat à durée indéterminée (CDI), jouissant donc d’une situation stable (voir attestation de travail et certificat de mariage).
• Ma fille naturelle âgée de moins de deux (02) ans que je souhaiterais voir grandir et lui inculquer une bonne éducation (voir acte de naissance).
• Mon père ainsi que ma mère, tous deux vivants et citoyens de la Côte d’Ivoire, résident à Dakar (Sénégal) pour raisons professionnelles (voir décision de nomination travail du père).
En plus des liens avec mon pays de citoyenneté ci-dessus énumérés, il est important de préciser que je suis une citoyenne respectueuse des lois et règlements de mon pays et je ne saurais m’engager dans des activités qui pourraient non seulement déshonorer le Canada, mon pays d’accueil et mon pays de citoyenneté, la Côte d’Ivoire (voir casier judiciaire).

Comme mentionné précédemment, mon père et ma mère sont de nationalité ivoirienne, résidant à Dakar. Mon géniteur est actuellement le Chef de service Energie et Balisage au siège de l’Agence pour la sécurité de la navigation aérienne en Afrique et à Madagascar (ASECNA), ce qui lui confère un statut de fonctionnaire international (voir décision de nomination). Il a, à son actif, plusieurs voyages (visites et affaires) en Amérique et en Europe (voir visas), diverses sources de revenus mensuels (salaire, immobilier) et des biens immobiliers (voir documents de soutien familial). Il s’est engagé solennellement à mettre à ma disposition les fonds nécessaire pour mon séjour au Canada, car c’est lui mon soutien financier (voir lettre d’engagement).

Dans l’attente de votre réponse, et tout en vous remerciant de l’intérêt que vous porterez à ma requête, je vous prie d’agréer, Madame / Monsieur, l’expression de ma considération la meilleure.

@MsyM

Bonjour MsyM

J'ai pris part avec attention la lettre d'explications que ton épouse a soumise pour appuyer sa demande de permis d'étude.

A la lecture de celle ci ; j'ai vu que vous avez ensemble faire le nécessaire pour bien rédiger (en détail) cette lettre tout en justifiant les intentions motivées d'aller poursuivre les études dans un tel programme.

A mon expérience et d'après mon analyse si vous étiez dans un pays ayant une conjoncture économique similaire à celle du Canada (France , Belgique, Luxembourg , Suisse , Angleterre, Chine, Japon, Etats-Unis ect...) la demande de permis d'étude de ton épouse devrait passer.
En effet comme je te l'avais soulevé un peu dans mon message précédent les agents des visa ont plus de doute sur le dossier des demandeurs de permis d'étude résident en Afrique, en rupture d'étude, qui sont en exercice d'une fonction dans leur pays de citoyenneté ,quand bien même qu'ils ont obtenu une admission dans un programme d'étude au canada pour y l'entreprendre en ayant bien sûr tous les moyens matériels et financiers possible qu'ils peuvent justifier.

Le fait que ton épouse soit diplômé d'un baccalauréat littéraire (Diplôme de fin d'étude secondaire, série A) et qu'elle est actuellement en exercice d'une fonction puis possédant une admission dans un programme de 1er cycle, a fait douter en général l'agent des visas et surtout si ce dernier ne voit pas concrètement en quoi le programme d'études proposé est raisonnable par rapport aux études antérieures et au parcours professionnel de ton épouse ainsi que par rapport à d'autres opportunités d'éducation du pays d'origine, cela peut amener l'agent des visa à prendre une décision de refus.

J'ai remarqué également que ton épouse n'a pas pu évoquer dans sa lettre qu'elle a eu l'opportunité de voyager par avion dans le passé, à moins qu'elle ne l'a jamais fait . Le motif de "voyage antérieur" vient souvent si vous êtes un demandeur adulte responsable qui gagne déjà sa vie avec son emploi ou travaille à son propre compte, ayant le potentiel de faire des voyages dans le passé et que vous ne l'avez peut être pas fait pour des raisons personnelles et donc vous présenter un passeport "vide" au moment de la demande.

Si elle a effectué dans le passé au moins un ou quelques voyages par "avion" vous devez l'évoquer au passage dans la lettre d 'explications en indiquant bien sûr les justificatifs de ces voyages antérieurs.

Pour la prochaine demande je voudrais bien que vous recadrer la lettre d'explications en adoptant une structure plus classique en réponse aux préoccupations soulevées par l'agent des visas, en évitant aussi quelques traces de plagiat (l'agent lisant des centaines de milliers de lettres d'explications voit revenir à plusieurs reprises certains passages répétitifs dans les lettres, ce qui ne fait pas bon effet.

Pour cela je vais vous "inboxer" pour vous proposer une structure de lettre d'explications et une lettre d'engagement sur honneur de quitter le canada aux termes des études afin que vous puissiez les adapter à cette lettre d'explications que vous avez écrite pour écrire :

-une nouvelle lettre d'explications
-une lettre d'engagement sur honneur de retour au pays d'origine.

Beaucoup de courage et bien cordialement

lolo

bonjour @lolo2020
Merci pour tes explications je voulais te contacter en inbox si possible

Bonjour Lolo,
Je te suis entièrement reconnaissant pour ton précieux temps que tu m'accorde. J'ai essayé de te "inboxer", mais le système me fait savoir que je n'ai pas le droit d'envoyer un msg privé. Je ne sais pas bien pourquoi. J'essaierai donc de répondre à ton msg

1. Mon épouse est effectivement diplômée d'un baccalauréat (enseignement général) comme tu l'as dit depuis 2016. J'ai voulu donc que ce soit une continuité de niveau avec le programme baccalauréat 1er cycle en Communication au Canada, sans faire mention de son parcours professionnel dans la demande. Quelqu'un nous a indiqué l'intervalle entre l'année de son diplôme d'enseignement général (Bac littéraire) et l'année de la demande de permis d'études est grande (2016 à 2020). Donc l'agent d'immigration va sûrement se demander ce qu'elle faisait pendant tout ce temps. Ce qui pourrait être un motif de refus de visa. Il nous a donc demandé de combler ce vide en mettant le boulot temporaire qu'elle a effectué. NB: elle n'est pas en poste actuellement. Et c'est ce conseil que nous avons suivi.
Alors ma question, dis moi Lolo, tu crois qu'on pourrais juste indiquer qu'elle a eu son Baccalauréat en 2016 sans essayer de justifier la rupture par une expérience professionnelle ? Est-ce que ça pourrait amoindrir le risque ? Aurions nous donc à éviter d'expliquer le rapport entre son programme au Canada et son expérience professionnelle dans son pays d'origine ?

2. Mon épouse a effectué juste quelques voyages en avion. Mais c'était avec son passeport de service, dont elle est ayant droit grâce à son père qui est un fonctionnaire international. Et à chaque expiration, le passeport est renouvelé et l'ancien est archivé au Ministère des Affaires étrangères de notre pays de citoyenneté. Du coup, nous ne les avons pas et ne pouvons donc pas scanner les pages des voyages. Elle vient juste de renouveler son passeport de service. Du coup le nouveau il est vierge. Pour la demande de permis d'etude pour le Canada, nous avons fait un passeport ordinaire, vu que le passeport de service ne peut pas servir à faire une demande de visa étudiant. Elle a utilisé ce passeport ordinaire pour se rendre récemment au Sénégal, par avion, pour rendre visite à sa famille (père affecté à Dakar) et profiter faire sa demande de permis d'études au bureau d'immigration du Canada au Sénégal (Dakar). Et elle y est encore mais n'a pas pu faire de dépôt physique des documents, l'ambasse étant fermée. Pourrions nous donc utiliser la page du passeport de ce voyage ? Je précise qu'elle s'y trouve toujours. C'est ce seul voyage que nous pouvons prouver avec son passeport. Puisque les anciens passeports de service ne sont plus en notre possession.

3. Une dame, résidente au Canada m'a récemment conseillé de ne plus appliquer une nouvelle demande parce que pour elle toutes les demandes de permis d'études sont systématiquement refusées du fait de la maladie à Coronavirus. Et aussi parce que la majorité des universités sont fermées. Qu'en penses tu Lolo ?

Je précise que nous avons eu l'admission à l'université du Québec à Chicoutimi. Et l'école n'a pas fermé. Aussi, tous les cours de notre programme se font en présentiel.

Je reste en attente de la structure et la lettre d'engagement. Aussi des conseils concernant les points soulevés.

Bien à toi.

Doit-elle obligatoirement faire un plan d'auto confinement ?
J'ai vu quelque part que toute personne qui désire se rendre au Canada doit soumettre dans sa demande un plan d'auto confinement, au risque de voir sa demande refuser.
Les étudiants sont-ils concernés ?

Bonjour @LEDIBI

Tu peux m'inboxer,

A bientôt

lolo

Bonjour @MsyM

"J'ai essayé de te "inboxer", mais le système me fait savoir que je n'ai pas le droit d'envoyer un msg privé. Je ne sais pas bien pourquoi."/ Il faut contacter Pliz (la modératrice) pour qu'elle t'accorde l'accès...

Indiquer juste qu'elle a eu son Baccalauréat en 2016 sans essayer de justifier la rupture par une expérience professionnelle, serait compromettant. la différence d'années entre l'obtention de son Diplôme du BAC (2016) et la demande de permis d'étude (2020) est très considérable selon son profil. Vous devez impérativement justifier d'une manière fiable et convaincante ce qu'ont servi ces 4 ans d'écarts

Vous devez également démontrer avec des preuves, le rapport entre son programme au Canada et son expérience professionnelle dans son pays d'origine en mettant beaucoup l'accent sur ses travaux effectués aux cours de ces 4 dernières années en lien avec le programme d'étude au Canada dans lequel elle est admise.

2. Pour ce qui concerne le point 2/Voyage dans le passé par avion, Faite tout pour récupérer son ancien passeport archivé; vous devez joindre pertinemment à son nouveau passeport, les copies des pages de l'ancien passeport archivé où il y a les cachets d'entrées et sorties de la douane de l'aéroport et visa s'il y a lieu. Son ancien passeport archivé est important dans sa demande car cela va retracer (ou non) d'une manière crédible l'historique de son voyage. Comme son père est un fonctionnaire international joignez aussi les copies des pages du Passeport de son du père là où il, y a les cachets de l'aéroport et les visa.

*Pour ce qui concerne la nouvelle demande je vous conseille de la soumettre en ligne afin de bien suivre le processus sans se précipiter.

3. Tu as écrit je cite : "

"Une dame, résidente au Canada m'a récemment conseillé de ne plus appliquer une nouvelle demande parce que pour elle toutes les demandes de permis d'études sont systématiquement refusées du fait de la maladie à Coronavirus. Et aussi parce que la majorité des universités sont fermées. "
Je ne suis pas d'accord avec l'avis de la dame: ce n'est pas à cause de la maladie du Covid-19 et que c'est parce que les universités sont fermées que toutes les demandes de permis d'études sont systématiquement refusées. L'éclosion de la maladie liée au Covid-19 a plutôt retardé , prolongé significativement les délais de traitement de permis d'études compte tenu des nouvelles mesures prises par l'IRCC et dont leur personnel a été réduit en nombre dans leur service à l'intérieur autant qu'a l'extérieur du Canada, une répercussion qui amené même le gouvernement fédéral du Canada à traiter les demandes de permis d'étude en 2 étapes pour les demandes reçues au plus tard le 15 Septembre 2020. D'après certaines statistiques publiées par le Ministère de l'immigration du gouvernement fédéral, 56000 lettres de préapprobation de permis d'études (en tout) ont été déjà délivrées au niveau de la 1ère étape du processus; une lettre qui rassure aussi le demandeur de permis d'étude à pouvoir débuter son programme d'étude en ligne (à distance) si c'est le cas. Donc les universités ne sont pas fermées, certaines ont plutôt commencé cet automne 2020 à offrir les cours de certains programmes d'étude à distance en entendant la suite pour les autres sessions.
Je rejette donc les propos de cette dame.

Concernant la structure de la lettre d'explications et la lettre d'engagement de retour au pays d'origine , je te les ai déjà envoyées hier en t'inboxant.

Beaucoup de courage et si vous voulez faire une nouvelle demande, faite la avec encore plus de rigueur en répondant avec vigueur aux préoccupations de l'agent des visas, sans se presser

Bien cordialement et à bientôt.

Lolo

@MsyM

Le plan de quarantaine (Plan d'autoconfinement) n'accompagne pas la demande de permis d'étude. Ce plan est à présenter à un agent d'immigration à l'aéroport au canada une fois arrivé. Donc ne pensez pas encore à cela.

En effet vous devez préparer ce plan de quarantaine une fois que vous aurez reçu la lettre d'approbation de permis d'étude sachant que votre Etablissement d'Enseignement Désignée (UQAC ) dispose d'un plan d'intervention en réponse à la covid-19 approuvé par son Gouvernement provincial (gouvernement du Québec pour votre cas): [Nouvelle mesure publiée par l'IRCC ce début Octobre 2020 et sera en vigueur à partir du 20 octobre 2020], et que vous êtes en mesure de pouvoir voyager sur Canada[...]

A bientôt
lolo

Ma question est celle ci après un refus de permis d'études peut on changer de programme d'admission qui répond au besoin de mon pays d'origine et refaire la demande cela ne vas pas poser un problème pour la nouvelle demande si on change d'admission ???

Bonjour à tous et merci encore pour tous ses conseils concernant les refus de PE. J'ai moi aussi besoins de votre aide si vous le permettez.
Permettez moi de vous exposer ma situation.

En effet j'ai fais une demande de permis d'études le 1er Avril 2021. J'ai passé la biométrie le 06 Avril et le 14 Mai 2021 j'ai reçu un refus avec les raisons suivantes:

Madame, Monsieur,Nous vous remercions de l’intérêt que vous manifestez à étudier au Canada. Après avoir examiné attentivement votre demande de permis d’études et les pièces justificatives, je conclus que votre demande ne satisfait pas aux exigences de la Loi sur l’immigration et la protection des réfugiés (LIPR) et de son Règlement. Je rejette votre demande pour les raisons suivantes :
• Je ne suis pas convaincu que vous quitterez le Canada à la fin de votre période de séjour en vertu du paragraphe 216(1) du Règlement sur l'immigration et la protection des réfugiés, compte tenu de vos biens mobiliers et votre situation financière.
• Je ne suis pas convaincu que vous quitterez le Canada à la fin de votre période de séjour en vertu du paragraphe 216(1) du Règlement sur l'immigration et la protection des réfugiés, compte tenu de votre situation actuelle en matière d'emploi.
• Je ne suis pas convaincu que vous quitterez le Canada à la fin de votre période de séjour en vertu du paragraphe 216(1) du Règlement sur l'immigration et la protection des réfugiés, compte tenu des perspectives d'emploi limitées dans votre pays de résidence.
• Je ne suis pas convaincu que vous quitterez le Canada à la fin de votre période de séjour en vertu du paragraphe 216(1) du Règlement sur l'immigration et la protection des réfugiés, compte tenu de la raison de votre visite.
• Je ne suis pas convaincu que vous quitterez le Canada à la fin de votre période de séjour en vertu du paragraphe 216(1) du Règlement sur l'immigration et la protection des réfugiés, compte tenu de vos liens familiaux au Canada et dans votre pays de résidence.

Je rappelle que j'ai reçu une bourse d'excellence et d'exemption des droits de scolarité.

Je veux refaire une nouvelle demande et je voulais avoir de l'aide sur comment prouver à l'agent d'immigration que je quitterai le Canada après mes études.
M. @lolo2020 parlais d'un exemplaire de lettre d'explication et d'engagement.. si jeux aussi l'avoir..

Ceux qui étaient dans le même cas et ont pu résoudre le problème veuillez m'aidez svp.. Je suis assez perdu

Je peux ajouter aussi que mon pays de résidence est le Togo.

Nationalité Togolaise. je n'ai pas de famille au Canada et je n'ai jamais voyagé.

Je suis titulaire d'une Licence pro en informatique, option maintenance et réseaux. J'ai été accepté en DEP de soutien informatique au CFP Chandler au Québec.
Pour mon dossier, J'ai mis
- lettre d'admission
-CAQ
-preuve de la bourse
- relevé de compte de mon garant(mon oncle) et lettre expliquant son implication
-relevé de note de mes études en informatique
-lettre d'explication
-passeport

J'ai fais une demande en ligne.