Transfert aéroport Santiago

[Annana]

Pour rejoindre le centre ville de Santiago depuis l’aéroport (ou vice-versa) vous avez trois options.

Transport public

La solution la plus économique. Les bus de la compagnie “Centropuerto” partent de l’aéroport toutes les 10 minutes entre 06h00 et 23h30 du lundi au vendredi, toutes les 15 minutes le weekend.
Le bus se prend au premier niveau de l’aéroport, en face de la porte n°5. Le terminus est au niveau de la station de métro “Los Heroes”, avenue Bernardo O’Higgings à l’angle de la rue Manuel Rodriguez.
Dans le sens centre ville > aéroport, ils circulent à la même fréquence de 05h55 à 22h30.

Le trajet dure environ 45 minutes, et un ticket vous coûtera $1.600 CLP (environ 2 euros). Prévoyez de l’argent liquide pour pouvoir acheter votre ticket auprès du chauffeur.

La compagnie “Turbus” propose le même service, au même tarif, mais a également des bus qui circulent la nuit, avec un départ toutes les heures. Leur terminus est à la station de métro “Pajaritos”.

Les navettes

Un peu plus cher mais on vous dépose à votre destination.
La compagnie “Transvip” propose des navettes partagées. Leur comptoir se trouve près de là où on récupère les bagages dans l'aéroport. Demandez un “Transfer Compartido”, cela vous coûtera $ 7.600 CLP (environ 10 euros).

Taxi

Les taxis sont noirs avec le toit jaune.
Avant de monter dans un taxi, demandez le prix. Cela devrait vous coûter environ $ 20.000 CLP (environ 26 euros).


Lien utiles:
Centropuerto
Turbus
Transvip
TaxiOficial

[Floxinelle]

Ces infos sont toujours d'actualité, mais nous y apportons quelques précisions: sachez que vous pouvez commander une navette TRANSVIP pour vous rendre à l'aéroport en passant directement par leur site Internet. Vous pourrez ainsi choisir l'heure à laquelle la navette vous récupère à votre domicile (ou hôtel) et si vous souhaitez une navette partagée ou privée (le prix varie en fonction).

Concernant les taxis, tous nos amis Chiliens nous les ont déconseillés... Détours, mauvais rendus de monnaie, les critiques sont nombreuses. Ainsi, à Santiago du moins, on nous a plutôt dit de nous tourner vers les Uber.