Bonjour !
J'essaie de trouver un employeur pour passer le programme de la mobilité francophone. J'ai une entrevue demain et je voudrais avoir tous les éléments en main pour pouvoir répondre aux questions de l'employeur si besoin. J'ai déjà lu le guide sur ce site (merci d'ailleurs !).
Or j'ai malgré tout quelques questions :
Il y a t-il une durée maximale pour ce permis (comme les 2 ans en permis jp) ?
Quels sont les délais d'obtention du permis ? > Existe-t-il un tableau des délais réels (moyennes) comme celui que vous proposez pour les permis EIC ? Car sur le site du gouvernement, il est indiqué environ 8 semaines mais on sait que ça va généralement plus vite (d'après ce fameux tableaux : environ 2 semaines pour le pvt/jp).
J'aimerais pouvoir dire à l'employeur 2 semaines et non le refroidir avec 8 semaines d'attente...(et probablement passer à côté de l'emploi...). Surtout que je remarque qu'ils s'y prennent souvent à la dernière minute dans leurs recrutements, du genre début du contrat 2 jours après l'entrevue...
Merci d'avance pour votre aide !! @
Marie
Salut,
Il n’y a pas vraiment de durée maximale pour Mobilité francophone, et celui-ci est renouvelable (mais avec quelques années d’expereicn Au Canada, si tu veux rester, il vaudra mieux pour toi demander la résidence permanente.
Apres un an sous Mobilité francophone par exemple, tu devrais être éligible à Entrée Express.
Les 8 semaines, c’est pour EiC (dont le PVT fait partie). Normalement, pour Mobilité francophone, les autorités canadiennes à Paris parlent généralement de 2-3 semaines de traitement environ si toute l’an demande est complète. Par contre, cela dépend aussi du lieu de dépôt de la demande. Mais il vaut mieux dire un peu plus genre 3-4 semaines pour les rassurer et leur dire qu’eventuellement, tu pourrais arriver plus tôt.
Ensuite, il faut bien leur expliquer qu’un permis de travail ne se fait pas en un claquement de doigt, mais que celui-ci reste facilité par rapport à d’autres permis ou les employeurs devraient par exemple démontrer leurs difficultés à recruter des employés canadiens pour faire le job.