1. #1

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    Bonjour tout le monde,

    Je suis actuellement en PVT sur Toronto et ce jusqu'en Septembre prochain. Je me pose la question de bouger sur Vancouver, à court ou à moyen terme. Simplement je suis aussi venu au Canada pour avoir une expérience à vendre sur mon CV par là suite donc je souhaiterai éviter le petit boulot classique sachant que je suis totalement opérationnel en anglais.

    A Toronto, le fait de parler français et est un atout important pour tout ce qui est travail en entreprise (RH, administratif, marketing). En passant par les boites d'intérims, on trouve relativement rapidement.

    Est-ce que vous savez ce qu'il en est à Vancouver ? Est-ce que je prends un gros risque sur ce plan en venant ?

    Merci à tous !

  2. #2

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    Je dirais qu'à priori ça doit être plus ou moins comme à toronto...
    Perso mon boulot je l'ai eu justement parce que je parlais français et que ma boite ne recrute plus que des bilingues. Mais ça ne doit pas être non plus la politique de toutes les entreprises... Cela dit pour certaines c'est le cas et ici les francophones ça court moyen les rues donc c'est sûr que ça ne peut-être qu'un atout... surtout si tu maintrises vraiment l'anglais.

  3. #3

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    Ok merci de ta réponse.

    Et tu fais quoi au juste à Vancouver ?

  4. #4

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    Moi je suis graphiste, bilingue donc, parce qu'on s'est développés sur montréal. Mon boulot c'est le gros bouquin jaune avec le bélouga dessus appelé Canpages qui a du arriver ds un peu tous les immeubles ces derniers jours... (bien plus fun qu'il n'y parait de bosser là bas)

  5. #5

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    Tu le verra sur certaines annonces que "French is an asset" mais personnellement je pense qu'il y a moins d'annonces de ce types à Vancouver qu'à Toronto parce que même si beaucoup de boites ont des affaires avec le Québec la plupart sont "BC founded" et sont uniquement locales. Il est à mon avis plus pratique de parler "Cantonais" ou "Mandarin" à Vancouver que "Français". Mais si tu es opérationnel en Anglais tu ne devrais pas avoir de mal à trouver un boulo (autre que petit boulo).

  6. #6

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    Merci pour vos infos

  7. #7

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    ouais limite a vancouver, si tu parles que chinois (dialecte mandarin et/ou cantonais) tu pourras t'en sortir

  8. #8

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    C'est pas vraiment mon cas

  9. #9
    Avatar de Phala
    Phalakone

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    vous voulez dire que le français est moins valorisé à vancouver qu'à toronto??*
    c'est çà???
    car vu que je suis en pleine hésitation sur ces 2 là et que mon anglais est juste suffisant... va falloir que je m'oriente vers toronto non?
    qu'en pensez vous?

  10. #10

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    Hello,

    question presque identique pour moi, à la différence que mon anglais n'est pas fonctionnel. Pour causer avec des étrangers en AJ, il est suffisant. Mais pour causer avec des native-speakers qui ne savent pas que mon anglais oral est limité, ca frise l'impossibilité.
    Un de mes objectifs lors de ce PVT est d'améliorer mon anglais. Etre en zone francophone ne correspond pas du tout à cet objectif-là. Mais vais-je survivre (=trouver du taf, meme des petits boulots) a Vancouver ?


    Merci d'avance de votre avis sur la question.
    --
    Gilles

    (En France, je travaillais dans l'informatique ; lire/ecrire l'anglais technique ne me pose pas trop de pb, donc)

  11. #11

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    Je vais dire un truc con mais.. quand tu n'as pas le choix de parler anglais, tu fonces et tu te débrouilles Ensuite, à force, ça viendra naturellement. Être immergé dans la langue (tv, potes, boulot), ça n'est que bénéfique. Mais je comprends la trouille (quand nous sommes allés en vacances deux semaines à vancouver, il m'en a fallu la moitié pour oser parler aux gens lol)

    A Vancouver, je n'ai pas eu l'impression que le Français était un plus... seule 1% de la populasse vancouverite se déclare bilingue anglais/français.... et comme qqn l'a dit plus haut, les sociétés sont souvent du coin, donc pas basée sur montréal à la base où là oui, etre bilingue est un plus.

    Mais faut pas se décourager

  12. #12

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    merci Nolwenn.

    en fait , plus que de trouille, je me pose la question de la possibilité d'avoir un boulot quand on maitrise mal/très mal l'anglais. Ce n'est pas le tout de foncer : si aucun employeur ne veut de toi parce que ton anglais est insuffisant, tu as un souci..
    Tu peux toujours apprendre/ te perfectionner (cours ou autre..), mais en combien de temps ?
    Pour résumer : a-t-on une chance de trouver un job avec un anglais médiocre ?

    Ma question du moment est celle-ci :
    Soit je reste a Québec, où je trouve un boulot dans ma branche, mais adieu l'amélioration de mon niveau d'anglais,
    soit je tente Vancouver pour améliorer mon anglais (peut importe le boulot), mais sans boulot je ne vais tenir très longtemps (d'autant qu'a priori le cout de la vie est comparativement a Québec plus élevé)..

    Merci d'avance de vos avis.
    --
    Gilles

  13. #13
    Avatar de Myam
    Myriam 42 ans

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    Juste une question comme ça, pourquoi ne tentes-tu pas Toronto ... ? Il me semble que là-bas, les postes "bilingual" sont mieux reconnus car bcp plus proches du Québec...

    M'enfin.

    Pour mon cas, mon anglais n'est pas fabuleux, mais, globalement, je comprends et je sais me faire comprendre. Voilà bientôt 3 semaines que je suis là, et je sens que ça s'améliore, même si j'ai passé les 2 premières semaines avec une amie française. JE ne cherche du boulot que depuis 2 jours. Mais, j'ai préféré prendre quelques cours d'anglais (via educacentre) : stage intensif pendant un mois, 2 matinée par semaine. Plus pour me rassurer.