1. #1
    Avatar de Ben49
    Benoit 30 ans

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    Bonjour à tous !

    Le sujet a surement déja été abordé mais je ne trouve pas beaucoup de réponses/témoignages.

    Alors voila, je suis actuellement en licence 3 économie/gestion et j'envisage de partir en PVT direction la Nouvelle-Zélande à partir du mois d'aout. Cependant je me pose quelques questions. En effet j'envisage de poursuivre mes études sur un master mais j'ai peur que cette expérience me pénalise pour rentrer dans les masters de mon choix. Avoir un "trou" d'un an dans son CV n'est jamais vraiment bon surtout que je veux postuler dans des masters assez séléctifs..

    Est ce que certains d'entre vous ont déja vécu la meme situation ? Si cela vous a pénalisé pour la suite de vos études ?

    Merci d'avance pour vos réponses

  2. #2
    Avatar de Marie
    Marie 38 ans

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    Message de Ben49
    Bonjour à tous !

    Le sujet a surement déja été abordé mais je ne trouve pas beaucoup de réponses/témoignages.

    Alors voila, je suis actuellement en licence 3 économie/gestion et j'envisage de partir en PVT direction la Nouvelle-Zélande à partir du mois d'aout. Cependant je me pose quelques questions. En effet j'envisage de poursuivre mes études sur un master mais j'ai peur que cette expérience me pénalise pour rentrer dans les masters de mon choix. Avoir un "trou" d'un an dans son CV n'est jamais vraiment bon surtout que je veux postuler dans des masters assez séléctifs..

    Est ce que certains d'entre vous ont déja vécu la meme situation ? Si cela vous a pénalisé pour la suite de vos études ?

    Merci d'avance pour vos réponses
    Salut Benoit

    J'ai été quasiment dans ta situation lorsque je suis partie pour mon premier PVT au Canada.
    J'avais obtenu un deug d'histoire (bac+2) et je comptais intégrer une licence de science politique en rentrant (même si c'était à l'université, l'intégrer se faisait de manière sélective).

    Je suis partie en octobre, et revenue en juin de l'année suivante pour pouvoir justement gérer les inscriptions, tout ça tout ça. Les candidatures pour la L3 se faisaient surtout avant cette période donc j'ai dû postuler depuis le Canada (une copine a gentiment déposé mon dossier de candidature).
    Sur mon CV et ma lettre d'introduction pour intégrer la licence, j'ai beaucoup mis l'accent sur le fait que j'étais partie au Canada pour une année de césure en insistant sur ce que cette expérience pouvait m'apporter (maîtrise d'une langue étrangère, découverte du monde du travail à l'étranger, expérience de l'autonomie totale à plusieurs milliers de kilomètres de chez moi).

    Et ma foi, ça a plutôt bien marché puisque j'ai été prise. Pourtant, les notes de mon DEUG n'étaient pas faramineuse (obtenu aux rattrapages) et ça n'était pas folie.
    J'ai eu l'occasion de recroiser une ancienne camarade de DEUG qui avait postuler en même temps que moi pour la L3 de sciences politique. Pendant que j'étais partie au Canada, elle avait obtenue sa licence d'histoire et ses notes étaient meilleurs. Pourtant, elle n'a pas été choisie et moi si.

    Je pense sincèrement que mon profil les a intéressés parce que justement, j'avais eu une expérience à l'international, j'avais en quelque sorte pris le risque de partir pour essayer de construire quelque chose aillleurs, prendre des risques, m'ouvrir un peu au monde.
    Ce sont des éléments qui étaient notamment recherchées dans cette licence (ça ne sera peut-être un peu moins le cas dans ta licence, mais si tu appuis sur la maîtrise de l'anglais par exemple ou sur la découverte de nouveaux modèles économiques, bah ça pourra peut-être le faire.
    Bien entendu, c'est un risque à prendre, mais je ne suis vraiment pas sûre que ton année de césure sera mal vue.

  3. #3
    Avatar de Ben49
    Benoit 30 ans

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    Message de Marie
    Salut Benoit

    J'ai été quasiment dans ta situation lorsque je suis partie pour mon premier PVT au Canada.
    J'avais obtenu un deug d'histoire (bac+2) et je comptais intégrer une licence de science politique en rentrant (même si c'était à l'université, l'intégrer se faisait de manière sélective).

    Je suis partie en octobre, et revenue en juin de l'année suivante pour pouvoir justement gérer les inscriptions, tout ça tout ça. Les candidatures pour la L3 se faisaient surtout avant cette période donc j'ai dû postuler depuis le Canada (une copine a gentiment déposé mon dossier de candidature).
    Sur mon CV et ma lettre d'introduction pour intégrer la licence, j'ai beaucoup mis l'accent sur le fait que j'étais partie au Canada pour une année de césure en insistant sur ce que cette expérience pouvait m'apporter (maîtrise d'une langue étrangère, découverte du monde du travail à l'étranger, expérience de l'autonomie totale à plusieurs milliers de kilomètres de chez moi).

    Et ma foi, ça a plutôt bien marché puisque j'ai été prise. Pourtant, les notes de mon DEUG n'étaient pas faramineuse (obtenu aux rattrapages) et ça n'était pas folie.
    J'ai eu l'occasion de recroiser une ancienne camarade de DEUG qui avait postuler en même temps que moi pour la L3 de sciences politique. Pendant que j'étais partie au Canada, elle avait obtenue sa licence d'histoire et ses notes étaient meilleurs. Pourtant, elle n'a pas été choisie et moi si.

    Je pense sincèrement que mon profil les a intéressés parce que justement, j'avais eu une expérience à l'international, j'avais en quelque sorte pris le risque de partir pour essayer de construire quelque chose aillleurs, prendre des risques, m'ouvrir un peu au monde.
    Ce sont des éléments qui étaient notamment recherchées dans cette licence (ça ne sera peut-être un peu moins le cas dans ta licence, mais si tu appuis sur la maîtrise de l'anglais par exemple ou sur la découverte de nouveaux modèles économiques, bah ça pourra peut-être le faire.
    Bien entendu, c'est un risque à prendre, mais je ne suis vraiment pas sûre que ton année de césure sera mal vue.
    Tout d'abord merci de ta réponse.

    C'est sur qu'avoir un CV moins "lisse" peut attirer l'oeil et cela a surement joué en ta faveur.
    Si je pars je compte aussi rentrer fin mai/début juin pour les entretiens pour les masters.

    Je m'oriente plus vers un master en comptabilité donc la maitrise de l'angais ou une expérience à l'étranger n'est pas forcément nécessaire. C'est aussi pour cela que je doute mais j'ai aussi vraiement envie de partir, voir autre chose.

    J'ai déja essayé de contacter des responsables de master pour savoir ce qu'ils en pensaient , mais peu ou pas de retours pour l'instant