Discussion: Récession au Canada 2009/2010 - Attention
- 19/03/09, 00:50 #21
- 19/03/09, 01:56 #22l'important pour le canada est de se faire une premiere expérience sur le pays
perso pendant les 2 premiers mois j'avais pas d'offre sauf mon taf qui était pas top et apres j'ai refait les memes demandes avec dans mon cv l'expérience de mon job et ca s'est avéré nettement plus payant
Enfin, je tiens a dire que la situation est mondiale et que c'est le meme cas en Australie... Maintenant je pense qu'il faut partir avec de l'argent de coté pour avoir le temps de se retourner et de profiter du pays...
Et puis bon, voyons le bon coté, un bon nettoyage de ce systeme capitaliste de m.... ne fait pas de mal... si ca fait tomber les tetes des responsables.. ce qui est pas gagné... bref
- 19/03/09, 02:12 #23La crise , la crise....c'est pas si compliqué que ça en fait....
YouTube - Groland - La crise expliquée tout simplement
Et comme dirait l'autre..
"A bon entendeur...salut"
- 19/03/09, 03:46 #24Navré mais ce post n'a pas vraiment d'intérêt. :naze:
Qu'il n'est pas au courant de la crise.
Elle a quand mêmes commencé depuis octobre dernier et personne ici n'est dupe pour penser que le Canada serait passé à travers les mailles du filet!!!
Moi je suis en CB et c'est la mêmes chose, pas de taf voir mêmes dans les tâches les plus ingrates!!!
@+
- 19/03/09, 07:39 #25Je vais pas perdre mon temps avec un gars aussi inutile que toi, et le dernier mot que tu as rajouté à la fin (supprimé gentillement par les modo sans aucune autre sanction, c'est normal...), montre bien combien ton etat d'esprit est négatif ...
De plus, si tu te braques au moindre message et que ton analyse est insuffisante pour comprendre mes propos, il serait bon de réfléchir avant d'ecrire des anneries.
Tes caricatures en bois et ton ironie de seconde zone me font pensé à un gamin de 15 ans ...
Sur ce, j'en resterai à ma devise face à des gens de ton calibre : l'indifférence est le meilleur des mépris.Dernière modification par lolousa12 ; 19/03/09 à 07:52.
- 19/03/09, 08:24 #26
+1
Je suis entierement d'accord avec toi !!!
Tu as été patiente mais n'oublis pas de dire que tu bosses pour boite francaise si j'ai bonne mémoire (je t'ai envoyé mon CV la fois derniere) donc c'est peut etre plus facile la reconnaissance de nos diplomes francais.
D'ailleurs tu sais ce que valent un diplome d'école de commerce la bas?
Phnx, cherches tu bien le boulot sur les sites car excuse du peu mais des offres d'emplois j'en vois pour être commis de bureau, commis à la facturation... et ce sans titre de CMA ou CA. Je suis controleur de gestion et je cherche principalement cela, voir peut etre plus !!!
Je ne sais pas ce que tu cherches exactement, quel diplome tu possedes...apres c'est clair que le canada est touché par la crise du fait que ce soit le 1er partenaire des usa mais il sera aussi le 1er a reprendre et ce d'ici la fin d'année c'est une quasi certitude toutes les mises en chantier commenceront fin d'année l'emploi reprendra.
- 19/03/09, 09:06 #27alors dis moi comment tu fais en france avec un smic a 8,71 de l'heure, des loyers hors de prix, des évolutions impossibles, quand tu gagnes 1000 euros et que tu as un loyer d'un minimum de 400 euros pour un malheureux studio, tu rajoutes les charges, les impôts et les besoins primaires il reste que dal, au moins le taux horaire est de 40 heures au canada et je pense qu'il est plus facile de cumuler plusieurs emplois, ce qui est impossible en france... et même si les personnes qui font ce périple au canada sont dégoûté après leur séjour que ce soit a cause du travail ou de la vie, cela sera un plus sur leur cv en rentrant en France même si ça été des boulots a deux sous!
- 19/03/09, 18:10 #28Bonjour à tous !
Eh voilà qui est bien dit !!!!!!!
je suis actuellement une de ces personnes là en France..par mis des milliers d'autres qui se débrouilles comme ils le peuvent pour avoir une fin de mois correcte,
et faire quelques extras régulièrement..(pas toujours facile..)
Exactement aussi(surligné en gras),je suis bien d'accord avec ça ..bon,il est vrai qu'il faut être polyvalent du mieux possibles quand on cumule deux jobs ,mais y a possibilité là bas ,c'est quand même important de le savoir,même si ceux seront deux petits boulots (au début)
,ben c'est toujours ça de pris ..faut pas cracher dans la soupe..quand on arrive dans un pays inconnus pour la plupart ,je pense .
Y a toujours moyen de trouver du travail,faut faire preuve de patience et d'acharnement intensive !!!!!!!(es ce une nouvelle devise pour le PVT ?ou c'est déjà exploité ? )
- 19/03/09, 20:05 #29
je suis d'accord avec toi, moi je souhaite vivre au Québec tout simplement parce que j'ai connu l'amour avec une Québécoise que je fréquente depuis 6 ans...et a chaque retour en France ça fait mal.. de plus j ai des amis dont je me suis attaché, le reste je ne me prononce pas car j ai jamais eu de difficulté a trouver un job.. et pourtant je ne sors pas de St-Cyr... j'ai juste un Bac, et niveau anglais je suis pourri
voila a plus , je suis enfin auprés de ma douce depuis hier après midi j ai échappé belle aux grèves en FranceDernière modification par lepoisseux ; 19/03/09 à 20:17.
- 19/03/09, 20:09 #30
- 19/03/09, 21:10 #31Les modérateurs ont tendance à estimer que donner des avertissements avant de sanctionner est une bonne chose.
Lolousa je comprends parfaitement que tu te sois senti agressé. Cependant merci de ne pas envenimer la situation.
Phnx, merci également de modérer tes propos.
lvlatthieu l'a demandé, je le fais à nouveau, la prochaine fois on ferme le post. Merci de respecter les opinions les uns des autres et de vous parler correctement.
- 21/03/09, 14:09 #32Et j’appuierais ceci par :
Je pense que beaucoup de pévétistes (me sire si je me trompe) vont au Canada, ou ailleurs, surtout pour expérience de vie ou le travail est nécessaire et je dirais même un devoir quand on part un an sur un autre territoire. Principalement le but de ce voyage est de s’enrichir humainement par l’échange social et culturel d’y voir de nouveaux lieux et un autre mode de vie.
Je pense que les gens qui partent au Canada cette année et les suivantes, savent et en sont bien conscients, que la recherche et l’exécution d’un emploi sera moins gratifiante que l’expérience d’autres pévétistes ont pu réaliser d’autres année passée ; mais ne part ont pas pour le plaisir des yeux, et des oreilles (et bien sur des papilles) plus que pour celui du CV…
Je confirmerais ce post en septembre !
- 21/03/09, 19:34 #33Rapide ajout:
- j'ai eu un entretien hier, pour un boulot pas trop dur mais dont les horaires sont un peu plus difficiles (23:00 - 7:00) et qui ne paye pas énormément ($11.25/h). La GM qui m'a accueillie m'a dit avoir reçu plus de 30 demandes pour ce poste (fait que j'ai pu vérifié en regardant la pile de CVs), alors qu'il y a encore 12 mois, elle aurait eu du mal à trouver qqn pour ce poste.
- elle m'a également confirmé que certains postulants sont d'anciens "middle managers" (des cadres) qui ajourd'hui déposent leurs CVs pour travailler en housekeeping (donc pour nettoyer des chambres), tellement la pression est forte et leurs besoins d'argent pressant (crédit, loyer, etc.).
- 21/03/09, 20:03 #34En ce qui me concerne, je suis rentrée en Europe (Angleterre) et je postule aussi bien en Grande-Bretagne qu'en France : les jobs auxquels je postule c'est du 200 candidats par poste...
- 22/03/09, 02:14 #35Deux articles à lire...
Premier article
Economic crisis bears down on vulnerable immigrants
Foreign-born workers act as shock absorbers when economy crashes
Mar 09, 2009
Harald Bauder
In the fall, we read a lot about the plight of managers and professionals in the financial sector caused by the financial crisis. Recently, media coverage focused on the threat of losing thousands of middle-class jobs in the automobile industry. In the months to come, it will be immigrants and foreign workers who will be hit hardest by the looming economic downturn.
After supplying the labour that supported a decade of economic prosperity for Canada, foreign workers and immigrants are becoming the latest victims of a declining Canadian economy.
Throughout Canadian history, immigrants have been the shock absorbers of cyclical swings of the economy. Until the early 1990s, Canada's immigration levels were synchronized with the business cycle, increasing during boom periods and scaling back during recessions. Although immigration levels are no longer co-ordinated with the business cycle, immigrants continue to be the last to be hired and the first to be fired.
Immigration creates the illusion that Canadian-born and educated workers are more secure in their jobs. For example, when the economic downturn forces a firm to cut its workforce, it may first lay off a foreign-educated, recent immigrant before dismissing a long-term employee with a lifetime of Canadian experience. Even lower on the pecking order are temporary foreign workers and non-status immigrants. These groups are among the most vulnerable workers in Canada.
However, the reasoning that Canadian-born workers benefit from the vulnerability of migrants is deeply flawed. My own research shows that a vulnerable workforce of immigrants at the bottom of the labour market will pull down wages and labour standards for all, including non-immigrants. In a period of economic slowdown, when workers compete for a declining number of jobs, this drag on wages and labour standards becomes a downward spiralling vortex.
In the current period of economic uncertainty, it is therefore particularly important to protect the rights of the most vulnerable workers, and to ensure that immigrants and foreigners are not forced to offer their labour to employers at cut-rate prices and for substandard working conditions.
If we look south of the border, U.S. President Barack Obama apparently understands the urgency of the matter. His picks of Hilda Solis, the daughter of Mexican-Nicaraguan immigrants, as labour secretary and Janet Napolitano as the head of the Department of Homeland Security indicate a policy shift toward strengthening the rights of immigrant workers.
The track records of Obama's selected cabinet offer a glimpse of the politics workers in America may soon enjoy. As governor of Arizona, Napolitano vetoed several bills designed to cut benefits and target "illegal" immigration. Solis believes that union membership can help new immigrants "become a part of the American fabric."
Here in Canada, on the other hand, the federal government seems to be more interested in maintaining a vulnerable and exploitable foreign and immigrant labour force than in lifting labour standards for all.
One of the most vulnerable segments of the labour force, temporary foreign workers, has been favoured by recent immigration practices. Over the last decade, the federal government allowed the temporary foreign workforce to more than double, providing more than 302,000 workers to Canadian employers in 2007. This increase has been applauded by Canadian businesses, which appreciate the highly "flexible" nature of these workers. Without citizenship, they do not enjoy the same economic rights and social benefits as Canadian workers and can be pressured into accepting wages and working conditions unacceptable to Canadians.
In Europe, policy-makers experimented with guest worker programs in the postwar boom years and experienced the failures of these programs. A famous saying goes: "We asked for workers but people came," indicating that exploitation comes at human cost, and that workers will claim the rights to which they are entitled. At a recent conference in Bonn, Germany, organized by the Canadian Metropolis Project, the former president of the German parliament, Rita Suessmuth, expressed to me her bewilderment that Canada – long a role model to Europeans for its liberal immigration policies – may repeat some of the mistakes made in Europe decades ago.
Although it was not the Harper government's intention, the new Canadian Experience Class could be a step in the right direction. This program invites foreigners with Canadian degrees and Canadian work experience to apply for permanent resident status, with the prospect of citizenship after three years. However, the target of 10,000-12,000 newcomers under this new class represents only about 2 per cent of all foreign students and temporary workers in Canada.
To improve conditions for vulnerable workers, this program should be extended to all temporary foreign workers. However, recent reports suggest that even the government's meagre target will not be met because of delays in launching the program and eligibility criteria that many workers cannot meet.
Another initiative by the Harper government aims at fast-tracking skilled immigrants if they practise one of 38 high-demand occupations. The fact that financial managers top this list, in a period of financial crisis, indicates how difficult it is for government policies to respond to fluctuations in labour demand.
Rather than using immigration as a shock absorber to cope with a crashing economy, policy initiatives should ensure the equal and fair treatment of all workers, including foreigners, non-status residents and immigrants.
At the core of such policy initiatives should be the strengthening of the representation of immigrants and foreign workers in labour unions and protecting foreign workers and non-status immigrants under provincial employment legislation. Recent programs assisting immigrants in getting their foreign credentials recognized are another excellent example of efforts enabling immigrants to obtain the jobs and wages that correspond to their skills.
We cannot allow the most vulnerable workers in our society to assume the burden of an economic downturn. Protecting these workers is in the interest of all Canadians.
Harald Bauder is an associate professor of geography at Ryerson University.
Deuxième article
Bad English barrier to job: Survey
Language gulf separates employers, immigrants
Mar 09, 2009
Lesley Ciarula Taylor - IMMIGRATION REPORTER
The vast majority of employers turn down foreign-trained professionals for jobs because their English isn't good enough, but the vast majority of immigrants say their English is fine, a survey has found.
Georgia Wilder, director of the Toronto MELAB Centre for language testing, isn't surprised. She ascribed quiet racism, wounded egos and slightly dishonest Canadian politeness for the huge gap.
"Some foreign-trained professionals have better grammar than native speakers but it can be rote learning. They lack the social markers of language. When I say, `How did you find the test?' they might answer literally and describe going to a website and downloading it."
A survey released at a conference of 1,600 internationally trained professionals in Toronto this month tagged English fluency as the biggest gulf between employers and high-skilled immigrants looking for a job. The Compas Research survey found 87 per cent of senior executives said inadequate language skills stopped them from hiring foreign-trained professionals, but very few of those newcomers saw their language as inadequate.
Executives polled at 150 companies also said they would be too embarrassed to tell the immigrant why he or she didn't get the job.
"Employers may perceive an accent as a language barrier. But we all have accents. I find Glaswegian English very hard to understand," Wilder said in an interview.
Foreign-trained professionals also need to recognize their shortcomings, she said. A person may be fluent in the English of pharmacology or nursing but not in small talk. When MELAB at the University of Toronto tested immigration consultants, many of them working in Canada for years, they were furious if they failed and blamed the test.
While Torontonians, living in a city where you can hear dozens of languages riding the subway from Kennedy to Kipling, have "friendly ears," employers may unconsciously decide someone who uses the present progressive ("This book is costing me money") or the wrong preposition ("I work in Willcocks St.") can't speak English well enough, she said.
"There is something euphemistically sinister about calling it a language barrier," said Wilder. "There is some discrimination, although it may not be overt. They're not being honest."
Lionel LaRoche, who was raised in France, told employers at the conference lunch about his own adjustment to Canadian English:
A Canadian boss will tell an employee, "This report is really well-done but the third chapter needs a little work," he said. A French boss will say, "The third chapter is terrible, do it over."
"No one wanted to work for me," said LaRoche, president of MCB Solutions. "I had to learn soft skills."
Wilder sees English morphing and believes employers need to realize that. International English is becoming more accepted, with McDonald's "I'm lovin' it" slogan a good example.
"The idea of standard English is going out the window. If employers insist on the Queen's English, they will lose out in a volatile, global economy."
- 22/03/09, 03:08 #36Bon, je vois que l'ambiance est pas ouf avec cette crise, si ça peut en rassurer certains je vais résumer ma situation actuelle sur Toronto :
- arrivé le 14 janvier 2009 après 3 mois de road trip et sans le sous, j'ai reçu mon pvt une semaine après (tour du poteaux powered...).
- avant de trouver mon job, j'ai envoyé précisément 47 candidatures à des offres d'emplois de différents sites (craigslist majoritairement, monster, workopolis, simplyhired... et diverses sources), passé 7 entretiens d'embauche (dont le premier fut pas top, mais c'est la meilleure école pour apprendre...), et me suis inscrit auprès d'une agence de placement (robert half pour ne pas les nommer). Et tout ça sur une période de 6 semaines grosso-merdo.
- Au final, depuis fin février j'ai décroché un job dans mon secteur (web developer), pas vraiment en downtown mais pas trop loin non plus, et cerise sur le gateau : plutot bien payé.
Voilà globalement, alors pourquoi ce message ? Certainement pas pour me la péter c'est pas le genre de la maison, mais juste pour prouver que crise ou pas, si vous avez la chance de trouver une entreprise qui à besoin de vos compétences (et pas seulement en Français), vous trouverez votre job, mais ça prendra du temps et ça demandera des efforts (plus qu'en France certainement).
Donc avis à ceux qui vont pointer leur jolis minois en Ontario durant cette année 2009 : vous aller en chier pour trouver, mais vous finirez par trouver... Et si vous bossez dans l'informatique il est vrai que vous aller en chier un peu moins que les autres , le monde est injuste je sais...
- 22/03/09, 10:24 #37Un peu d'optimisme:
Les gagnants de la crise
Alors que l’économie mondiale souffre d’anémie, certaines multinationales ont un teint radieux.
par François Guérard
publié dans L'actualité du 15 mars 2009
McDonald's
Le Big Mac, mets officiel de la récession ? Les profits de la chaîne ont bondi de 80 % en 2008 — les gens voulant manger au plus bas prix possible. McDo vole même des clients à Starbucks en offrant, dans la moitié de ses restaurants américains, expressos, cappuccinos et mokas glacés... 25 % moins chers, bien sûr.
Wal-Mart
Le détaillant a fait de bonnes affaires pendant une période des Fêtes difficile. Ses clients ont dépensé en moyenne 15 % de plus que l’année précédente. Ils délaissent les autres grandes surfaces, réputées plus chères. Demandez à La Baie et Zellers, dont la maison mère vient de supprimer 1 000 emplois au Canada.
Apple
Le iPod — près de 23 millions d’exemplaires vendus depuis octobre — est devenu un objet courant, et le iPhone — plus de quatre millions de vendus — reste un objet de désir. Une bonne chose pour la société Apple, car les ventes de PC stagnent. Microsoft, qui vend moins d’unités de son système d’exploitation Vista, supprimera 5 000 postes dans les prochains mois.
Amazon.com
Son dernier bébé, le livre électronique Kindle, est plus populaire que jamais. On peut y télécharger des titres pour une fraction du prix en librairie — argument solide pour les lecteurs économes. Amazon.com se transforme peu à peu en un magasin Costco virtuel : des téléviseurs, des outils, même des céréales sont en vente dans le site.
Google
Chaque fois que l’on clique sur un lien publicitaire dans une page de résultats de recherche, Google fait de l’argent. Elle en a fait 18 % de plus au dernier trimestre de 2008 qu’au cours de la même période de l’année précédente. C’est exceptionnel : dans les « vieux » médias, comme les journaux et la télévision, les revenus publicitaires sont en baisse de 20 %.
Nintendo
Sa poule aux œufs d’or : la console Wii. L’entreprise japonaise en vend autant dans le monde que les Xbox 360 et PlayStation réunies. Le marché des jeux vidéo résiste à la crise. Ce n’est pas le cas des DVD, que l’on peut pirater plus facilemen
- 22/03/09, 12:47 #38décidement cette discussion fais beaucoup parler..et c'est normal vu que l'on est tous concerner par la crise..certaines personnes disent que len France c'est plus facile niveau boulot comparer au Canada et inversement.Perso je ne connais pas les tendances officiels.Je suis en France et je part dans deux mois au Canada.
ENCORE une fois je me dit vaut mieux écouter ces envies que de se fier a tel ou tel avis individuel.sinon nos projets n'avancerons JAMAIS ..
il va falloir ne pas avoir peur de mouiller sa chemise.
de plus bizzarement crise ou pas ils y'en a toujours qui obtiennent des résultats positives (entreprises,ou des gens comme vous et moi..)
il va falloir s'adapter pour vivre au mieux notre experience canadienne (et bien préparer son voyage)
- 22/03/09, 16:48 #39
bonjour à tous !
Voilà qui est dit ,je partage ton opinon aussi ,si on commence a se mettre des barrières pour ce qui est de ce mouvement actuelle ,nous n'avoncerons pas vraiment ..ou alors à reculons;je ne pense pas que ici ce soit le but rechercher ?!
Il faut parfois des situations comme celle ci pour en faire une expèrience riche et
ou l'on peut s'en sortir malgré tout ..
Alors positivons face a ce mouvement !!!!
- 22/03/09, 17:43 #40Pour moi, il y a un point qui manque à ce sujet, celui du long terme. Je m'explique...
Pour constituer mes économies, après 2 mois de recherches et envoi de candidatures, j'ai fini par trouver un boulot payé au SMIC en France, en CDD pour 1mois et demi... Sachant que je dispose d'un bac+4 en commerce. => Pas la joie donc mais ça fait un peu de sous.
Si j'arrive à Montréal et que c'est pareil, travailler au début en call center ou vendeuse, pas de soucis même si pas mon domaine et pas très bien payé...
Mais voila, si leur situation est aussi catastrophique que la notre, sachant que le PVT n'est pas un visa d'immigration, les pvtistes ont-ils quand même une chance que de décrocher un petit boulot?
Et ensuite, une fois cette première expérience canadienne de trouvée, y aura-t-il comme par le passé des possibilités d'évoluer et de rester en developpement pro puis RP?
Ca fait un moment que je cogite dans mon coin sur le sujet à me demander si je les prends mes billets ou pas, sachant que si je pars, ce n'est pas pour revenir...
Si quelqu'un qui est sur Montréal se sentait de me donner un point de vue objectif sur le coté long terme, ce serait le bienvenue....
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