1. #1
    Avatar de Lilou
    Julie

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    Précédemment dans "Lilou'sLife" : Chapitre 1

    Je fais la liste de ce qu’il ne faut pas oublier. En tête de liste, se trouvent « mon passeport, ma lettre d’acceptation au PVT, mon assurance et la copie de l’attestation de fonds de ma banque » suivis de toutes les choses que je souhaite emporter avec moi. Le départ est dans trois jours, tout le monde trouve que ça fait bizarre et me demande si je suis contente.

    A vrai dire, je ne réalise pas vraiment que je vais bientôt quitter ma ville pour vivre toute une année dans un autre pays, avec des gens différents, sans repère, sans famille, sans amis, dans un premier temps du moins. J’ai conscience cela dit que partir à deux est une force, d’autant plus que Mat et moi sommes très soudés.
    Les au revoir sont faits, la valise est bouclée, je pense ne rien avoir oublié. J’entame donc ma dernière nuit à Paris…

    Direction l’aéroport avec mon père et ma mère, où nous avons rendez-vous avec Mat et ses parents. Une heure et quelque d’attente plus tard, Mat et moi tendons nos billets d’avion et nous éloignons de nos géniteurs, qui, de toute évidence, comprennent beaucoup plus que nous la réalité de la situation – nous partons.

    Enfants, c’est le mot que j’utiliserais pour nous décrire à ce moment précis Mat et moi. Nous entrons dans l’avion comme pour partir en vacances, avec une bonne dose d’inconscience et de détachement face à l’aventure qui nous attend. Si nous avions su tout ce qui nous attendait, dans nos vies, nos carrières, notre couple, nous aurions sans doute adopté une attitude moins détendue, mais c’est, je pense, l’un des aspects les plus charmants de cette aventure, ne pas savoir ce que l’avenir nous réserve…

    Dans l’avion, nos oreilles sont déjà mises à l’épreuve… Nous voyageons avec la compagnie aérienne US Airways, tout est donc en anglais, une hôtesse tente de baragouiner quelque chose en français mais son accent est trop fort pour que nous la comprenions… On va donc donner cette impression nous aussi ? Est-ce que les gens vont être tolérants avec nous ? Est-ce que nous allons trouver un travail ? Est-ce que tout va s’arrêter plus tôt de prévu ? J’avoue que depuis le mois de mars, pas un seul instant, j’ai imaginé que nous rentrerions en cours de route, je vivrais ça comme un échec en toute franchise…

    Bon, il faut trouver de quoi s’occuper… Nous réglons nos télévisions sur le même film : Hitch, en VO sous-titrée…
    Le vol passe relativement vite et nous arrivons à Philadelphie où nous avons 2h30 d’escale.

    Nous avons pour la première fois l’occasion de juger par nous-mêmes l’accueil des Américains. Le personnel de la douane américaine est stressé, parle très vite, même s’il est clair que notre anglais est approximatif. On n’est là que pour deux heures et demie et c’est tant mieux, on a entendu dire que les Canadiens étaient bien plus chaleureux…

    L’avion se pose, il nous faut obtenir notre visa.
    Cela ne prend pas beaucoup de temps, un petit quart d’heure tout au plus, une fois les douanes passées. On ne nous demande ni la preuve de notre assurance, ni l’attestation de fonds…
    Je réalise aujourd’hui que j’avais peur de ne pas obtenir mon PVT au moment du dépôt du dossier, qu’en arrivant au Canada, je vérifiais tous mes papiers quinze fois, « attestation de la banque », « assurance » et finalement tout ce qui tourne autour du PVT est assez relax, je ne dis pas qu’il faut partir sans ses attestations, c’est un risque qui n’en vaut pas la peine mais bien du stress aurait pu m’être épargné !

    Nous récupérons nos bagages, nous sortons de l’aéroport, nous sommes au Canadaaaaaa ! Nous cherchons un taxi… Un homme nous alpague – on ressemble tant que ça à des petits Français perdus ? – pas l’ombre d’un doute – nous allons dans la direction qu’il nous indique, sans trop savoir pourquoi il reste en arrière, puis nous arrivons à sa voiture, qui ne ressemble en rien à un taxi… Ok, il fait ça pour arrondir ses fins de mois.

    Je lui demande combien cela va nous coûter pour aller dans le centre de Toronto, à Bellevue Avenue plus précisément. Il me répond 40$, je crois me souvenir que Laet, sur pvtistes.net, m’avait parlé de 35$... Il accepte… c’est parti ! Il ne parle pas mieux anglais que nous, ce n’est pas évident pour communiquer...
    A vrai dire, nous sommes assez silencieux. Nous regardons par la fenêtre, il fait nuit, je suis un peu émue, nous y sommes vraiment cette fois, je regarde les buildings à l’horizon, c’est le début de l’aventure, j’espère que tout se passera bien… Je regarde Mat, il prend quelques photos de la ville de nuit, il a l’air content d’être là, je souris et je me dis que ça va aller…

    Une fois sortis de l’autoroute, nous passons par China Town, puis sur une certaine rue College – qui, un an plus tard, sera la rue de Toronto que j’aurais le plus empruntée – et nous voilà devant notre premier chez-nous canadien : notre auberge ! Maintenant, c’est à nous de jouer !

    Knock, knock… L’un des gérants ouvre la porte et nous fait faire le tour du propriétaire. L’auberge est très propre, très cosy (un appartement de ce style nous plairait bien…) et chaleureuse par sa petitesse. Je pense que nous sommes une vingtaine à peine. Il y a une grande télé, que l’on peut regarder dans un canapé en L très confortable. Il y a deux ordinateurs connectés à Internet et la possibilité d’avoir la wifi, assis sur un autre canapé, n'est pas désagréable non plus ! La cuisine est liée au reste du salon, on a l’impression d’être dans une maison avec des amis…
    Pendant que quelqu’un se fait des pâtes, nous sommes sur Internet et un autre regarde les Simpsons – nous sommes d’ailleurs les seuls à ne pas rire, ça va venir…

    Nous montons nos valises dans la chambre que nous partageons avec deux autres personnes. Une petite douche, un petit tour sur Skype pour appeler nos familles et nous sommes de nouveau en forme !
    Nous avons faim :
    - « Excusez-moi, est-ce que vous savez où on peut aller manger quelque chose rapidement ? »
    - « Allez sur College Street ! »
    - « Merci… C’est où College Street ? »

    Nous marchons une minute à peine et nous arrivons au croisement de Bellevue et de College. Ici, on parle beaucoup en « intersection » parce que les rues sont très longues d’Est en Ouest et du Nord au Sud. Vous ne pouvez pas dire « je vis sur Yonge Street » (c’est la rue principale de Toronto et aussi la plus longue du monde : 1886 km)
    Nous regardons autour de nous, les immeubles sont bas, assez gris, ils manquent un peu de charme, pas besoin de parler, nous sommes d'accord ! C'est décevant... nous sommes déçus, nous nous imaginions une ville avec plus de cachet…

    Le lendemain pourrait s’appeler la journée administrative. Nous allons demander notre numéro d’assuré social, le NAS, appelé ici le SIN (Social Insurance Number). Il suffit de remplir un formulaire disposé au mur, d’attendre dans la file et de le donner à l’employé. On va ensuite s’asseoir et attendre que nos noms soient appelés. On reste vigilants car qui sait ce que peuvent donner « Lam » ou « Meunier » en anglais…
    Il y a beaucoup de monde, nous attendons depuis un petit moment déjà quand arrive notre tour. Nous obtenons un papier prouvant que nous avons bien fait notre demande. Nous devrions recevoir nos SIN dans un délai de trois semaines.

    Il nous faut maintenant ouvrir un compte en banque. Nous allons dans la première banque que nous voyons, il s’agit de la Scotia Bank et voilà ce à quoi nous avons droit :
    - « Pour ouvrir un compte en banque, il vous faut une adresse. Depuis quand êtes-vous arrivés à Toronto ? »
    - « Hier »
    - « Mais vous avez le temps, trouvez-vous un appartement et revenez me voir, voici ma carte ! »

    Nous avons bien conscience que se lancer à la recherche d’un appartement sans compte en banque canadien est une perte de temps. Nous voulons aussi mettre notre argent liquide en sécurité et procéder au plus vite au transfert de notre argent resté en France. En dix minutes à peine, la RBC nous ouvre un compte, nous fournit trois chèques et nous promet de nous envoyer au plus vite notre carte de débit. Nous ne pouvons pas encore prétendre à avoir une carte de crédit, nous ne comptions pas dessus de toute façon.
    Avec notre carte, nous pourrons retirer de l’argent et payer dans les magasins, c’est amplement suffisant pour le moment.
    Je demande également les informations nécessaires au transfert de notre argent, les codes SWIFT et IBAN, ainsi que notre numéro de compte et l’adresse de l’agence dans laquelle nous sommes.

    Cette recherche de banque nous a donné l’occasion de parcourir une grande partie du centre ville à pied puisque nous sommes passés devant la mairie, sur Bay Street, sur Queen et King Street, qui sont les rues principales.
    Nous tournons à droite, au hasard, en se disant qu’on finira bien par retomber sur une rue connue… Erreur… Mat et Lilou, plus perdus que Stitch, sont secourus par un Canadien qui les observe se battre avec leur carte. « Nous cherchons College Street, c’est par là, très bien, merci ! » On nous avait dit qu’ils étaient gentils mais ça fait plaisir d'en faire l'expérience soi-même…

    Nous remontons une petite rue, je regarde Mat, je me dis que tout nous est inconnu, qu’on se sent un peu perdus. C’est notre premier voyage, nous sommes émerveillés d’être là, d’entendre parler anglais, de voir tant de lieux inconnus mais je sais que bientôt, nous connaîtrons tout ça par cœur, il faut donc profiter de ce charme des premiers jours où rien ne renvoie à un coin de notre mémoire…

    En remontant cette petite rue, nous regardons s’il y a des annonces pour des appartements disponibles. Nous devinons, aux traits des passants, que nous venons d’arriver dans China Town.
    Malgré cette jolie balade, Mat et moi ne nous voyons pas rester ici plus d’une année, c’est pas mal mais ce n’est pas non plus extraordinaire… Avant notre départ, nous avons envisagé de rester si les choses se passaient bien pour nous, mais la ville ne nous donne pas envie de pousser l’aventure plus loin que le PVT.

    En repensant à ce genre d’épisodes, je réalise à quel point on peut être sûr des choses parfois alors qu’en réalité on ne sait rien.
    Dans notre cas, une journée dans une nouvelle ville que nous n’avons pas encore appréhendée, dans laquelle nous n’avons encore ni vie sociale ni vie professionnelle, nous suffit à faire le bilan suivant : dans un an, nous rentrons en France !
    Je crois que c’est en cela notamment que cette année canadienne représentera ce qu’on appelle de l’expérience…

    Le soir, Laetitia et Laurent, pvtistes à Toronto depuis quatre mois nous rendent visite à notre auberge. Ça fait plaisir de connaître enfin Laetitia, que nous « connaissons » via Internet et Laurent, son copain, qui a l’air super sympa. On a le sentiment de ne pas être seuls, ça fait du bien…
    Dés le lendemain, nous commençons à passer des coups de fil pour des appartements. La mission n’est pas si évidente que ça, d’une part parce qu’il faut pouvoir s’exprimer en anglais et comprendre son interlocuteur et d’autre part parce qu’à Toronto, les gens ont souvent un niveau d’anglais aussi limité que le vôtre.

    Qui a dit que le meilleur endroit pour apprendre une langue est le pays dans lequel elle est parlée ? Il/elle a raison ! Rien qu’en cherchant un appartement, nous apprenons pas mal de vocabulaire qui nous sera toujours utile, contrairement à ce que nous apprenons parfois en cours, en France. One, two bedrooms, utilities included, furnished, backyard, laundry, stove, oven etc., des mots assez simples en soi mais que l’on n’acquiert pas forcément lorsqu’on les apprend dans des listes interminables de vocabulaire…

    Aujourd’hui, nous avons un rendez-vous pour un appartement, ou plutôt un basement devrais-je dire puisque l’appartement se trouve en sous-sol. Beaucoup de gens vivent dans ces appartements, assez sombres en général mais il y a quand même des fenêtres, je vous rassure !
    Les loyers y sont un peu moins élevés et puis ce n’est pas si mal que ça. L’appartement nous plaît mais à vrai dire, je crois que l’on prendrait un peu n’importe lequel, nous voulons juste un appartement !

    Juste après nous, un homme seul visite l’appartement (une personne consomme moins que deux… c’est perdu d’avance…). En effet nous recevons un e-mail qui nous mine un peu le moral – c’est dans ces moments-là que je réalise que nous étions plein d’illusions… comme si nous allions avoir le premier appartement visité, comme si nous allions obtenir le premier emploi désiré, comme si le premier passant allait devenir notre ami…

    Le propriétaire de Laetitia et Laurent a un basement de libre, nous nous jetons sur l’occasion : 900$ charges comprises pour un appartement d’environ 60m², ça nous va très bien, même s’il est sombre, bas de plafond dans le salon et assez humide. Il y a donc des bêtes auxquelles je vais, de toute évidence, devoir m’habituer. Nous sommes pressés d’avoir notre chez nous, nous le prenons donc immédiatement. Premier appartement, première expérience à deux, ce basement, loin d’être comparable au Hilton, aura été un bon compagnon de route malgré ses défauts typiquement basementiens…

    Nous faisons un tour chez Ikea, car l’appartement est vide. Nous n’avons pas encore reçu l’argent de France, donc nous sommes assez limités, c’est pourquoi nous n’achetons qu’un lit et un canapé. Plus tard, nous achèterons une table, des chaises etc. Avec le recul, tout ceci nous a coûté pas mal d’argent mais il faut savoir que les appartements meublés ne sont pas nombreux à Toronto et qu'ils sont souvent mal meublés ou sales.

    Ceci dit, il est possible d’acheter des meubles à plus bas prix notamment sur LE site qui répond à toutes vos attentes : Craigslist > Cities. Que vous cherchiez des meubles, un appartement, une voiture, un job, un petit ami, quelqu’un avec qui faire des échanges anglais/français, vous pouvez vous rendre sur ce site !
    Les ventes de grenier sont aussi un bon moyen de trouver des choses pas trop cher, c’est ainsi que nous avons acheté notre télévision, 40$ et le monsieur nous a raccompagnés en voiture car elle était trop lourde pour nous. Cela nous paraît très gentil, tout comme le fait qu’après avoir demandé à notre propriétaire où se trouvait Ikea, celui-ci ait demandé à son fils de nous y accompagner en voiture, comme ça, sans arrière pensée, juste par gentillesse…

    Enfin, avec Laetitia, Laurent et leurs voisins pvtistes, nous allons nous balader le jeudi soir dans notre quartier de Ltittle Italy car c’est la veille du jour où passent les encombrants et où les gens jettent tous leurs gros meubles. Nous trouvons un petit canapé bleu, pas super en forme mais qui fera très bien l’affaire et qui remplira notre grand salon qui résonne.

    Quelques jours plus tard, Laetitia voit dans la rue un grand canapé, elle nous appelle pour nous le dire, on court le voir, il est bien, mais très lourd. On appelle Laetitia et Laurent qui viennent gentiment nous aider à le porter, c’est vraiment difficile mais ça nous fait un total de trois canapés, ce qui nous permettra d’accueillir du monde pendant cette année !

    Nous faisons également la connaissance de Mary, PVTiste sur le forum, qui est venue seule ici. Elle a l’air de bien se débrouiller pour le moment. Elle a déjà un appartement et, à force de déposer des CV, elle a décroché un job de caissière au salon du livre francophone qui aura bientôt lieu à Toronto.

    Est-ce que je serais partie seule ? Le Canada me semblait si flou avant le départ, je m’imaginais une vie vraiment différente, une absence totale de repère, un choc culturel de taille, je pense donc que je n’aurais pas eu le courage de partir aussi loin sans Mat, ou sans Haby, puisque c’est avec elle que je projetais ce voyage initialement. Par contre je serais sans doute aller en Angleterre ou en Irlande…

    Au cours des semaines suivantes, nous découvrons les transports en commun, le système de tokens, de transferts, de day, weekly ou monthly pass. Il faut maintenant se mettre en quête d’un job. Qu’est-ce que j’aimerais faire ? Professeur de français ? C’est ce que je voulais faire en arrivant ici ou bien traductrice... bref, un job où mon français serait une valeur évidente.

    Je décide tout d’abord de déposer mon CV dans les écoles de langues de Toronto. Ce n’est pas très fructueux, alors je me tourne vers les agences de placement, telles que Quantum, Bilingual Recruiters, Randstad ou encore Bluesky. Bilingual Recruiters, comme Bilingual One, fait partie de ces agences qui proposent principalement des postes permanents et qui nous remercient gentiment d’être venus passer leurs tests mais qui ne nous promettent « rien ». Il est clair cependant que notre statut de Français a une valeur pour ces agences dont les clients cherchent souvent des employés bilingues. L’avantage du Canada sur les autres pays anglophones réside dans le fait que le Français est une langue officielle. Il est possible d’être en immersion tout en ayant un plus face aux autres demandeurs d’emploi, chose qui n’est pas le cas en Australie par exemple, où nous, petits Français, ne pouvons pas mettre en avant notre compétence indéniable : notre connaissance du Français.

    Les démarches se révèlent tout de même pénibles. Avec Mat, nous décidons de chercher dans nos domaines respectifs, c’est-à-dire l’informatique pour lui et pour moi…hum… je n’ai pas de domaine… j’ai étudié les langues, voilà tout ! Nous déposons et envoyons des CV un peu partout, nous les mettons en ligne sur www.monster.ca et sur www.workopolis.ca, nous verrons bien…

    En parallèle, on rencontre aussi Zitoun, un stagiaire qui deviendra notre ami

    Qu’en est-il de notre anglais ?
    Il s’améliore petit à petit. Je suis contente de voir que ma compréhension orale s’améliore, la recherche d’appartement m’aura bien aidée sur ce point. Quant à Mat, il part pratiquement de 0. Je suis sa professeur, j’essaie de ne pas trop l’embêter mais je lui demande « et si tu voulais dire ça en anglais, tu dirais quoi ? ». C’est ainsi que petit à petit sa grammaire s’améliore même si le fait de parler anglais avec les Torontois représente encore pour lui quelque chose de laborieux…

    PS: si tu es arrivé jusque là, je te dis et je m'excuse d'avoir été si bavarde mais tu comprends, c'est le premier mois du PVT, il y a beaucoup de choses à raconter
    Dernière modification par Lilou ; 17/02/08 à 18:50.


  2. #2

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    Lilou j'adore te lire !! tu devrais te lancer dans l'écriture vraiment, ecrire des nouvelles ou meme des romans... tu as une telle facilité à gongler avec les mots.
    Franchement je me leve et te dit bravo

    Surtout ne t'arrete pas

  3. #3
    Avatar de amenetta
    audrey 41 ans

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    j'ai pas bien suivi l'histoire de zitoun?

    mais de lire ça, ça motive à terminer vite ce qu'on a entrepris en france pour vite prendre l'avion! il me tarde mais alors il me tarde!!!!!!!!!!!!

  4. #4
    Avatar de lilti972
    Xxx 43 ans

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    splendide ce petit récit, comme toujours d'ailleurs. c'est un véritable plaisir de te lire, ta façon d'écrire est si fraiche, si agréable. Tu as le don de savoir décrire, et raconter les choses, on s'y croirait, on ressent même notre dose d'adrénaline qui monte au fur et à mesure.
    Je n'ai que 2 choses à dire: "BRAVO" et "A QUAND LA SUITE" ?

  5. #5
    Avatar de Lilou
    Julie

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    Oh merci c'est gentil
    Oups pour Zitoun, c'est tout de ma faute, il s'appelle Olivier, et s'est inscrit sur pvtistes.net en tant que Zitoun, alala parfois j'oublie que les gens ne sont pas dans ma tête... (jvais modifier ça)

  6. #6
    Anonyme
    La suite, la suite, la suite

    merci !!

  7. #7

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    Excellent ma ptite Lilou. Si tu veux sortir un bouquin sur ... ma vie !! lool

    Hésites pas

  8. #8
    Avatar de Gally
    Gally

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    Bisous Lilou, ça fait plaisir de te lire

  9. #9

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    j'ai adoré te lire. J'espère que l'on pourra lire la suite très prochainement. En tout cas, j'attend ça avec impatience!

  10. #10

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    salut !

    En toute franchise, j'ai trop reconnu notre histoire (celle de "Roman et Perrine") en te lisant Lilou... I.N.C.R.O.Y.A.B.L.E !
    Mais je pense que tous ceux qui partent en couple et qui vivent pour la première fois à deux, dans une ville étrangère non francophone à l'autre bout du monde doivent sûrement ressentir la même chose...

    Il n'y a qu'une différence : nous sommes sur Vancouver et il y a juste à changer le nom des rues, des personnes rencontrées !

    Alors au plaisir de lire d'autres de tes histoires !

  11. #11
    Avatar de maryn
    Agnès 44 ans

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    Super récit, très bien écrit comme d'habitude, en te lisant on revit des sentiments du début de l'aventure et ça fait plaisir, merci Lilou.

  12. #12
    Avatar de Lilou
    Julie

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    Pour ceux qui ont lu le chapitre 1 que je viens d'upper, voici le chapitre 2, qui montre que si parfois c'est super, parfois, c'est pas facile le PVT

  13. #13

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    Merci d'avoir remonté ces posts! C'est très bien écrit, très plaisant. Un vrai régal! J'adore.

  14. #14
    Avatar de Lilou
    Julie

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    Merci

  15. #15

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    Un pur régal !

  16. #16

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    Super Lilou! Je compte partie en début d'année prochaine à Toronto et je découvre avec grand intérêt ton histoire! Juste une petite question : pourquoi le titre "(Retraite silencieuse en Thailande)"? J'ai loupé quelque chose? Y-a-t-il un chapitre 3? J'ai hâte de lire la suite!! Bravo pour ces récits réalistes!

  17. #17
    Avatar de Marie
    Marie 38 ans

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    Pareil que pour trouver le chapitre 2, il suffit de taper "chapitre 3" dans la fonction recherche pour tomber sur cette discussion:
    https://pvtistes.net/forum/pvtistes-...re-2005-a.html


  18. #18

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    ok, merci! je vais davantage utiliser la fonction recherche pour la suite!

  19. #19
    Avatar de Lilou
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    Y a eu un ptit bug dans l'intitulé de mes "articles", bizarre

  20. #20
    Avatar de Lemzo
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    Lilou merci regarte aujourd'hui PVTiste.net est votre enfant et il a bien grandit depuis et au contraire c'est un plaisir de te lire


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