Discussion: Films canadiens
- 04/03/10, 17:37 #1Bonjour,
Je me disais qu'on pourrait lister sur un même topic les films canadiens anglophones et francophones avec un pitch. Pour ceux qui ne vivent pas encore l'aventure, ça peut-être intéressant de se baigner dans la culture canadienne.
Je commence avec ce film que je trouve interessant. J'ai vu des extrais et je m'aprette à le... voir.
BON COP BAD COP
Le pitch: Un flic ontarien "francophone" et un québécois "anglophone" se dispute l'affaire d'un meurtre. Un homme est trouvé mort pile sur la frontière entre les deux états. L'intérêt du film c'est qu'ils passent d'une langue à l'autre. A cela il faut ajouter le joual qui est inintelligible pour les français. Heureusement il y a les sous-titres.
Grâce aux extrais, je sais ce qu'est la valise d'un char, cool Je crois vraiment que ça peut aider si les films restent encrés dans la réalité du pays, en plus on peut connaitre les figures locales, les blagues, les allusions à tels faits. Par exemple le québécois est assez méchant avec l'ontarien au début alors que ce dernier parle français.... mais pourquoi ?Dernière modification par fonclea ; 04/03/10 à 22:12. Motif: faute d'ortographe
- 04/03/10, 17:51 #2Voilà mon film québécois préféré...
Synopsis
Au chevet de leur mère plongée dans un profond coma, trois frères veillent en échangeant sur les «pour» et les «contre» de l'adultère. Rémi, l'aîné nanti, prévient ses cadets des dangers qui les guettent, mais en vain. Mathieu, qui étouffe dans sa banlieue, est déjà sur le point de tromper sa femme avec une collègue. Christian, le benjamin adepte de cybersexe, s'éprend d'une de ses étudiantes de Tae Kwon Do, sans se douter que sa conjointe policière et frigide le surveille de près. Seul Rémi, chez qui ses frères en déroute conjugale finiront par échouer, semble au-dessus de tout soupçon. Quoique son épouse ne semble pas convaincue de sa vertu.
à voir absolument
- 04/03/10, 18:57 #3
LA GRANDE SEDUCTION!!
L'un de mes films québécois préférés, c'est tellement drole!!
À Sainte-Marie-La-Mauderne, un petit village portuaire, les habitants, autrefois de fiers pêcheurs, sont maintenant contraints à vivre aux crochets des allocations gouvernementales. Pour satisfaire aux exigences d'une usine qui viendrait s'implanter dans leur minuscule village portuaire, les 150 habitants doivent tout faire pour convaincre un jeune médecin de venir s'établir chez eux. C'est le début de la grande séduction...
- 04/03/10, 19:03 #4C.R.A.Z.Y
[IMG]file:///C:/DOCUME%7E1/nico/LOCALS%7E1/Temp/moz-screenshot.png[/IMG]
https://www.lessignets.com/signetsdi...zy_affiche.jpg
Synopsis : Un portrait de famille qui dépeint la vie souvent extraordinaire de gens ordinaires à la poursuite de leur bonheur.
De 1960 à 1980, entouré de ses quatre frères, de Pink Floyd, des Rolling Stones et de David Bowie, entre les promenades en moto pour impressionner les filles, les pétards fumés en cachette, les petites et grandes disputes et, surtout, un père qu'il cherche désespérément à
retrouver, Zac nous raconte son histoire...
25 décembre 1960 : Zachary Beaulieu vient au monde entre une mère aimante et un père un peu bourru mais fier de ses garçons.
C'est le début de C.R.A.Z.Y., le récit de la vie d'un petit garçon puis d'un
jeune homme pas comme les autres, qui va jusqu'à renier sa nature profonde pour attirer l'attention de son père.Dernière modification par Bateman ; 04/03/10 à 19:05.
- 04/03/10, 19:07 #5
Synopsis :
Un portrait de famille qui dépeint la vie souvent extraordinaire de gens ordinaires à la poursuite de leur bonheur.
De 1960 à 1980, entouré de ses quatre frères, de Pink Floyd, des Rolling Stones et de David Bowie, entre les promenades en moto pour impressionner les filles, les pétards fumés en cachette, les petites et grandes disputes et, surtout, un père qu'il cherche désespérément à
retrouver, Zac nous raconte son histoire...
25 décembre 1960 : Zachary Beaulieu vient au monde entre une mère aimante et un père un peu bourru mais fier de ses garçons.
C'est le début de C.R.A.Z.Y., le récit de la vie d'un petit garçon puis d'un
jeune homme pas comme les autres, qui va jusqu'à renier sa nature profonde pour attirer l'attention de son père.
- 05/03/10, 20:45 #6Le Bonheur de Pierre
Réalisé par Robert Ménard
Avec Pierre Richard, Sylvie Testud, Rémy Girard
Pierre, professeur de physique quantique, hérite d'une auberge au Canada. Il quitte Paris avec sa fille Catherine pour un petit village du Québec. Michel, le maire du village, qui aimerait garder l'auberge pour lui, va mener une vie d'enfer à Pierre et sa fille, venus chercher le bonheur à Sainte-Simone-du-Nord.
- 05/03/10, 20:53 #7Et les films de Denys Arcand, bien sûr.
Les Invasions barbares
Réalisé par Denys Arcand
Avec Rémy Girard, Stéphane Rousseau, Dorothée Berryman
Rémy, divorcé, la cinquantaine, est à l'hôpital. Son ex-femme Louise rappelle d'urgence leur fils Sébastien, installé à Londres. Ce dernier hésite - son père et lui n'ont plus rien à se dire depuis longtemps. Finalement, il accepte de revenir à Montréal pour aider sa mère et soutenir son père.
Dès son arrivée, Sébastien remue ciel et terre, joue de ses relations, bouscule le système de toutes les manières possibles pour adoucir les épreuves qui attendent Rémy. Il ramène aussi au chevet de Rémy la joyeuse bande qui a marqué son passé : parents, amis et anciennes maîtresses.
Que sont-ils devenus à l'heure des "invasions barbares" ? L'irrévérence, l'amitié et la truculence sont-elles toujours au rendez-vous ? L'humour, l'épicurisme, le désir peuplent-ils toujours leurs rêves ? A l'heure des invasions barbares, le déclin de l'empire américain continue...
- 05/03/10, 21:09 #8
La vie amoureuse et sexuelle de cinq jeunes couples...
- 11/03/10, 20:39 #9Un été sans point ni coup sur
Pièce jointe 1147
Au baseball, un match sans point ni coup sûr (appelé no hitter en anglais) est un exploit réalisé par un (ou plus rarement, plusieurs) lanceurs n'accordant aucun coup sûr à l'adversaire durant un match.
Un jeune rêvant de jouer pour la nouvelle équipe du baseball majeur, les Expos de Montréal, est retranché de la formation de baseball de son quartier. Son père décide alors de mettre sur pied une équipe de réserve regroupant les jeunes laissés de côté. - wikipédia -
Synopsis
Montréal, 1969. D'un côté, Martin (Pier Luck Funk), 12 ans. Un enfant de son époque, qui n'aime rien tant que de s'amuser avec ses copains et tâter du bâton de baseball. Après tout, les Expos jouent depuis peu dans les ligues majeures. De l'autre, son paternel (Patrice Robitaille). Un homme que les révolutions de l'époque ne tranquillisent guère, et que les lancers laissent indifférent.
L'été de ses 12 ans, en pleine fièvre des Expos, Martin voit ses rêves s'effondrer. Il se rêvait en haut de l'affiche, mais ne passe pas les sélections pour entrer dans l'équipe A, où officie un coach sévère (Roy Dupuis).- lecinéma.ca-
Mon avis: C'est vrai qu'on pas la culture du baseball mais c'est tout l'interêt du film. Et puis ça se passe dans le canada des années 70'. Le père bourru me rapelle celui du film C.R.A.Z.Y à croire que tout les hommes québécois de cette époques étaient des ours
- 18/03/10, 20:28 #10Pièce jointe 1204
Synopsis
L'année 1968 marque un tournant dans la vie du petit Léon Doré, dix ans. Sa fausse tentative de suicide, par pendaison, passe à un doigt de réussir. Peu après, sa mère neurasthénique, qui étouffe auprès de son mari, part s'établir en Grèce, laissant leurs deux fils à ses soins. Tandis que son frère aîné cultive sa rancoeur, Léon pille et met sens dessus dessous la maison des voisins partis en vacances, feint un handicap visuel pour justifier ses mauvaises notes en classe, manigance, manipule, tourne son père et tous les autres en bourrique. À l'exception de Léa, la jeune voisine qui voit clair dans son jeu et qui, ayant elle-même des comptes à régler avec le destin, va aider Léon à voler de l'argent afin qu'il puisse s'acheter un billet d'avion pour la Grèce.
- 18/03/10, 20:49 #11https://pvtistes.net/forum/culture-a...canadiens.html
Si des gens sont motiv pour aller récupérer les synopsis des films cités dans cette discussion
- 29/11/10, 22:38 #12Petit up,
Je vous recommande The Trosky que j'ai eu l'occasion de voir hier au forum des images dans le cadre d'une programmation spéciale Québec. C'est un film québecois qui se passe à Montréal, mais il a la "particularité" d'être un film essentiellement anglophone tourné par un montréalais anglophone.
Vu que ça a été l'objet de pas mal de discussions (le réalisateur était présent et donnait des réponses à divers questions), faire un film québecois anglophone semble assez rare apparemment...
Mais bon, c'est une comédie assez marrante
Le synopsis :
Léon Bronstein, un lycéen de l'ouest de Montréal, fils d'un directeur d'usine, est persuadé qu'il est la réincarnation de Léon Trotski. Il s'inspire de la biographie de son idole pour mener une lutte prolétaire et syndicale dans son établissement scolaire, et fait la rencontre d'Alexandra, une avocate qu'il est convrain d'épouser car il voit en elle Alexandra Lvovna, épouse de Trotski.
Alors ça n'est pas non plus le film du siècle (d'ailleurs, ça serait quoi LE film du siècle ), mais c'est quand même un bon film assez marrant que je vous recommande bien sûr de voir en VO (donc en anglais) ST même si une version québecoise existe...Dernière modification par Marie ; 29/11/10 à 22:46.
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- 29/11/10, 23:17 #13Les amours imaginaires, mon coup de coeur de 2010 ! (Je sais, l'année n'est pas finie, mais presque...)
Fuyez si vous n'aimez pas les films très travaillés sur le plan esthétique, mais moi j'adore...
Synopsis (Danke schön Wikipédia) :
L'histoire se déroule dans le milieu artistico-estudiantin aisé de Montréal. Francis, 20 ans environ, et Marie, un peu plus âgée, sont deux amis très proches. Lors d'un petit dîner chez Francis, ils éprouvent un coup de cœur simultané pour le même garçon, Nicolas. Chacun des deux amis manifeste à l'égard de Nicolas son intérêt et tente de le séduire. Nicolas, jouant la séduction ambiguë vis-à-vis des deux, ne manifeste pas de réelle préférence. Un étrange trio amoureux se forme.
La bande annonce
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