Discussion: Québec: Un marché de l'emploi prometteur
- 08/10/12, 19:23 #1Si comme moi vous compté cherchez du travail dans votre branche (quelle qu'elle soit) cet article de L'EXPRESS devrais vous plaire.
Il y a du boulot là-bas!
Le Québec est un véritable vivier pour l'emploi puisque près de 1,4 million d'emplois seront à pourvoir d'ici à 2020. En raison des départs massifs à la retraite des baby-boomers, le Québec a besoin de main-d'oeuvre dans tous les secteurs d'activités.
QUEBEC - 1,4 million d'emplois seront à pourvoir d'ici à 2020. Des politiques d'accueil sont mises en place dans les régions pour les y attirer.
Reuters/Jonathan Ernst
Au Québec, la pénurie de main-d'oeuvre dûe aux départs en retraite des baby-boomers pourraient bien profier aux immigrants. D'ailleurs des politiques d'acceuil sont mises en place par les régions pour les attirer.
Plus des trois quarts d'entre eux (1 070 000) sont liés au remplacement des départs massifs à la retraite des baby-boomers et 316 000 seront créés pour répondre à la croissance économique. Une baisse généralisée du taux de chômage est attendue d'ici à 2015 et "il devrait se situer à 5,2% -soit le plus bas observé depuis 1967- en 2020", précise Lassad Damak, économiste à Emploi-Québec (l'équivalent de Pôle Emploi).
Les immigrants ont leur carte à jouerPrès de 1,4 million d'emplois seront à pourvoir d'ici à 2020Les immigrants ont, dans ce contexte, leur carte à jouer puisqu'ils devraient fournir 17% de cette main-d'oeuvre. Pour Denis Morin, professeur en gestion des ressources humaines à l'Université du Québec à Montréal (UQAM), cela ne fait aucun doute: "La pénurie qui va se faire sentir dans les cinq prochaines années va amener le Québec à ouvrir davantage le robinet de l'immigration. Les processus d'équivalences entre diplômes québécois et étrangers devraient s'en trouver accélérés."
Les plus qualifiés auront le plus de chances de décrocher un emploi (près de 40% des nouveaux emplois nécessiteront une formation universitaire), mais compte tenu du fort besoin de remplacement de salariés partis en retraite, les besoins se feront sentir dans la grande majorité des métiers, et ce, pour tous les niveaux de compétence, plus particulièrement dans la gestion, la finance, les assurances et l'administration. En tête des créations d'emploi, le secteur des services qui représentera 97% des nouveaux postes.
Un besoin en main-d'oeuvre important
Parmi les métiers les plus recherchés dans l'ensemble de la province: tous ceux liés à la santé et aux services sociaux (médecin, infirmière, ambulancier, pharmacien, ergothérapeute, orthophoniste, technicien de laboratoire, éducateur de la petite enfance...), mais aussi les services professionnels, scientifiques et techniques (ingénieur, avocat, concepteur graphique...) qui incluent la construction (grutier, mécanicien de machinerie lourde...). Le Plan Nord annoncé en grande pompe par le Premier ministre québécois Jean Charest, en mai 2011, se met en place progressivement.
Cet énorme projet d'investissement dans les secteurs de l'énergie, des mines, de la forêt, de l'industrie bioalimentaire, du tourisme et du transport, représentera 80 milliards de dollars durant les 25 prochaines années et devrait se traduire par la création ou le maintien de 20 000 emplois par an durant toute la durée du projet.Dans le secteur des mines, 5600 postes seront à pourvoir d'ici à 2015Dans le secteur des mines -dont le nombre passera de 24 actuellement à 35 en 2020-, 5600 postes seront à pourvoir d'ici à 2015 (avec des salaires annuels alléchants, puisqu'un technicien minier perçoit entre 70 000 et 90 000 $CAN). Sont recherchés: des géologues, des ingénieurs miniers, des opérateurs de machine de traitement minier, des mécaniciens industriels. Mais le Plan fait aussi la part belle aux arpenteurs-géomètres, aux financiers, aux transporteurs et aux monteurs de lignes électriques.
Des politiques d'acceuil pour les immigrants
Si Montréal et sa région restent le point de chute privilégié des nouveaux arrivants, la métropole enregistre cependant un taux de chômage de 9,1%. S'installer en région peut donc être une option à considérer très sérieusement.
De plus, les régions ont souvent des politiques d'accueil et d'insertion sur le marché du travail particulièrement dynamiques pour séduire les immigrants. Voir page suivante la carte de l'emploi dans les différentes régions du Québec.
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- 08/10/12, 23:45 #2
- 16/10/12, 10:04 #3Salut les gars,
Des fois que vous ne connaitriez pas, vous pouvez aussi vous faire une idée intéressante du marché du travail dans votre branche ici !
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- 11/02/13, 00:57 #4Bonjour, je suis content de votre information, j'ai une petite questions,
le Québec est ou sera à la recherche à cause donc des départ à la retraite, ce qui m'inquiète c'est que d'autre personne ayant déjà immigrer disent qu'il est très difficile de trouver un emploie à distance, pour ma part je suis Belge et en Belgique mon domaine d'activité est la restauration, je suis cuisinier. Est-ce que en tant que cuisinier il est facile de trouver malgré un emploie depuis la Belgique si oui quel est la manière la plus efficace, le secteur de la restauration entant un domaine dans lequel la main d’œuvre est très facile à trouver au Québec même, d'autant plus que les secteurs en pénurie mentionné sont des domaines plutôt techniques et/ou scientifique.
Merci de m'apporter des réponses, à très bientôt ! ! ! .....
- 11/02/13, 01:07 #5
- 25/02/13, 20:43 #6
- 25/02/13, 20:54 #710 mois ? Ça devient inquiétant là... Tu ne parles pas anglais c'est ça ? Tu as des diplômes et tu cherches dans un métier précis ? Perso moi je me suis donné 1 mois pour trouver un truc "qui me plaît", mais après ça je prends n'importe quoi histoire de faire rentrer de l'argent
- 25/02/13, 21:13 #8
- 25/02/13, 21:23 #9Mon conseil serait plutôt le contraire Yohan, prends n'importe quoi pour pas bouffer tes économies, et cherche en parallele un truc qui te plaît, le fait que tu sois en poste te donnera plus de crédit en plus.
Concernant le taf, ca peut valloir la peine de chercher en dehors du centre ville de Montréal pour ce qui le veulent.
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- 25/02/13, 21:27 #10Si j'étais malhonnête je ferais de mon cas un exemple, mais je travaille dans un secteur en demande.
La pensée qui me vient à l'esprit, c'est : pourquoi se plaindre que les entreprises ne recrutent que du personnel bilingue ? Les gens, vous partez au Canada, le Québec a beau être majoritairement francophone, il y a plusieurs clientèles. Je connais plusieurs entreprises qui recrutent exclusivement des personnes trilingues (la troisième langue étant l'espagnol).
Le Canada possède deux langues officielles. Venir lui reprocher de ne s'intéresser qu'à des profils bilingues, c'est un peu malvenu. Vous n'êtes pas dans le moule, c'est vexant, mais ce n'est pas de la faute de ces entreprises. C'est à vous de vous former pour satisfaire aux besoins d'un éventuel employeur (sachant que je me fais l'avocat du diable, dans ce cas précis). Ou d'apporter les arguments qui feront pencher la balance en votre faveur.
Je tiens à rassurer ceux qui ont peur de ne pas trouver d'emploi à Montréal : avec de la persévérance, on en trouve. Et beaucoup d'adaptation aussi. Si vous envoyez 20 CV par jour avec la même lettre type, sans faire de suivi téléphonique (alors que le contact oral est bien plus important ici qu'en France où il est perçu comme une intrusion), oui, les résultats risquent d'être médiocres.
Allez, du nerf, on ne part pas battu d'avance !
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- 25/02/13, 21:30 #11Je vais répondre aussi un peu sur le marché de l'emploi car depuis 2 semaines, je cherche.
Beaucoup ont l'air de croire qu'en arrivant, un gars va vous proposer le travail de votre vie en 10 secondes, sans chercher, je vous rassure, ce n'est pas le cas.
Du travail il y en a, mais beaucoup sont des petits jobs, suivant les domaines c'est plus ou moins facile de trouver rapidement (restauration, informatique, commercial banque)... dans d'autres c'est plus compliqué (audiovisuel, ingénieur, truc dépendant des ordres).
Mais surtout dans tous les cas, le problème numéro 1 sera de n'avoir aucune référence québécoise (les Françaises ils s'en moquent un peu ^^) si en plus de ça s'ajoute un niveau faible en anglais, ne vous attendez pas avec votre CV Français à dépasser facilement un CV québécois !
Depuis que je suis ici, j'ai rencontré pas mal de pvtistes, avec beaucoup de récits de recherche d'un premier taf de plusieurs mois (garderie, employé en banque, cadreur, informaticien, comptable), et la plupart sont passés par ces petits jobs, mal payé et souvent à temps partiel !
Pour la recherche à distance je pense que c'est aussi chaud dans ce sens, que dans l'autre sens, il est dur de miser sur quelqu’un sans pouvoir le rencontrer surtout quand d'autres sont devant la porte et prêt pour un entretien ! En plus beaucoup de ces jobs demandent de commencer très rapidement !
Perso, je me donne encore la fin de la semaine avant de m'engager activement comme collecteur de fond pour une ONG !
Prenez rendez-vous avec l'OFII avant d'arriver car c'est galère le délai d'attente (14 jours pour moi, 21 pour un autre pvtiste, et 28 pour un troisième...).
Sinon les agences de placements pour repérer et chopper des contacts. D'après un recruteur québécois avec 0 expérience on peut postuler à des annonces qui demandent moins de 3 ans (2 ans d'expérience à une avec 5 ans...), ici on vous donnera plus facilement votre chance, mais il faut le montrer et surtout être patient !Dernière modification par Nemesis72 ; 25/02/13 à 21:37.
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- 26/02/13, 07:28 #12Ce ne sont pas des paroles que je balance en l'air comme ça pour le simple plaisir, c'est juste un constat que je fais. Je ne parle pas des petits jobs, ça tu en trouves partout et très facilement. Je parle d'un "vrai" travail. Comme je le disais plus haut, ça fait un moment que je cherche, et malgré les retours positifs, soit je suis recalé par manque d'expérience professionnelle (étant jeune diplômé, normal) soit parce que l'employeur cherche quelqu'un de parfaitement bilingue (et je n'ai rien contre l'anglais contrairement à ce que sous-entend Myrti, ça m'intéresse même davantage d'évoluer dans un environnement anglophone).
Bon après, si ça vous gène d'entendre de temps à autre des petits commentaires négatifs, passez mon message et faites comme si tout était merveilleux aux pays des caribous.
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- 26/02/13, 09:52 #13Je rejoins Myrti, les recruteurs ont des critères et si tu les remplis pas, et bien ça ne passe pas et c'est d'une logique imparable et on ne peut pas leur en vouloir.
Arriver là-bas, en croyant que c'est l'eldorado et que quand le recruteur va lire le CV il va se dire, "Yeah man, you've got the french Touch, I like that" avec un grand sourire en te tendant un contrat avec un salaire à 20 k$.an" C'est juste le meilleur moyen de connaitre une grosse désillusion très rapidement.
Après cela fait 10 mois que tu cherches dans ta branche mais as tu trouvé des "petits tafs" pendant ces 10mois ? histoire de te mettre le pied à l'étriller dans le monde du travail canadien ? La première expérience même dans un petit taf est primordiale.
Après des solutions existes :
- Trouver un taf certes peu valorisant (genre plonge, manutentionnaire,...) pourrais te permettre de te payer des cours d'anglais et ainsi de progresser
- Pourquoi s'acharner 10 mois sur Montréal ? Va faire un tour à l'ouest pour parfaire ton anglais et reviens après 1 mois ou deux la bas ?
- Adopte un démarchage limite agressive (comparé à la France j'entends) lache pas l'affaire, contact téléphonique, etc...etc...
Le marché du travail au Canada, il faut l'aborder, je pense comme en France, et je dirais il faut d'autant plus l'aborder comme une recherche de travail en France si vous souhaitez travailler dans "votre domaine de compétence"
[Mode 3615 mylife : ON]
Je me permets de racontez ça car, une de tes remarques m'a fait tiqué :
Ce ne sont pas des paroles que je balance en l'air comme ça pour le simple plaisir, c'est juste un constat que je fais. Je ne parle pas des petits jobs, ça tu en trouves partout et très facilement. Je parle d'un "vrai" travail
Je décide de me lancer sur le monde du travail. J'avais un CV convenable de jeune Bac +3. En 2 semaines j'ai compris que j'allais galléré et bien oui idiot que j'étais je cherchais dans ma branche...
Je décide donc de tenter l'intérim avec la motivation : faut que ça paye car loyer à payer etc...etc...et oui indépendance quand tu nous tiens.
Résultat, je me souviens encore de mon inscription en agence d'intérim :
A la question : "dans quel domaine rendez-vous travailer ?",
j'ai répondu : "Tout ce que les autres ne veulent pas faire, je le fais !",
Le mec en face a compris et j'ai vu se dessiner sur son visage le sourrire qui sous entendait : "Toi mon gars, tu sors de la fac, tu connais rien à la vie...tu vas en chier"
Résultat ? : Pendant ces 8 mois, j'ai récuré des chiottes, gratter à la brosse à dents des machines calcinées chez Valeo de 22h à 6h du mat, homme à tout faire dans une boite de location de matériel de BTP, soulevez bien des milliers de cartons de carrelage, j'ai monté des milliers de palettes, j'ai été monsieur légumes à Monoprix, Vendeur de parquet, et j'en passe !
Le constat de tout ça ? Pendant 2 mois j'ai miséré dans des tafs qui ne sont pour certains "pas de vrais tafs" je tafé de nuit, de jour, 7j/7j, à des heures pas possibles, mais au fil du temps le gars de l'agence de l'intérim à vu que je tenais, à vu qu'il avait de bon retour et il m'a filé des missions de plus en plus longues et de mieux en mieux payées, les 3 derniers mois je gagnais plus de 2000€/mois et on m'a fait des propositions de tafs en CDI à la clé de certaines missions...
[Mode 3615 mylife : OFF]
La morale de l'histoire ? :
• Mes potes restaient à glander à la fac, se foutaient de ma gue***, quand je leur racontais que je récurais des chiottes et que je pouvais plus faire la teuf car le lendemain j'embauchais à 4h du mat'...heure où d'habitude j'allais aux Halles avec eux pour casser la croute à la sortie des bars...
• il y a pas de sous métier, faut avoir la niaque et rien lacher !Dernière modification par Vincent48 ; 26/02/13 à 09:57.
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- 26/02/13, 10:32 #14Oui j'ai lu beaucoup d'avis qui rejoignent ce que tu as pressentis: Il est difficile de trouver du travail au Québec (ou au Canada à mon avis) tout en restant en Europe. Pas d'entretien d'embauche en face à face, on ne sais pas quand tu arrives, on ne connaît pas ton niveau d'anglais, quand va tu obtenir un permis de travail... C'est pour ça que le PVT est pratique! En début d'année je suis allé à un salon sur l'expatriation au Canada présenté par l'ambassade du Canada en France et différents intervenants. Et si ça peut te rassurer, la réputation des cuisiniers français est très bonne et ils en recherchent! Je ne sais pas comment se fait le recrutement d'un cuisinier mais ce que je peux t'assurer c'est que le métier de cuisinier n'est pas celui qui te fermeras le plus de portes. Si tu veux trouver un poste tout en restant en Belgique, va voir la partie emplois de pvtistes.net, tu trouveras peut être quelque chose. Je pars à Toronto dans 1 mois, si j'entend quelqu'un qui recherche un cuisinier je t'envoie un message?
- 26/02/13, 11:23 #15C'est bien gentil e ton aide, pour si tu entend qu'il ya un job à Toronto le problème c'est que je suis obligé de décliner cette offre, car j'ai un projet précis , je ne vais pas hélas du côté de Toronto mais dans le Québec en Montérégie à St Hyacinthe ou les environs ...
- 26/02/13, 14:42 #16Ca n'a rien à voir avec le fait de vouloir entendre que du positif sur le Canada. C'est juste qu'on ne balance pas une chose sans en développer le contenu.
Je ne connais pas ton domaine de travail. Mais, cela aurait pu être intéressant pr ceux qui ont le même de connaître la réalité du marché ... D'expliquer comme tu l'as fait ensuite que tu ne trouves pas c'est parce que tu n'as pas le niveau d'anglais requis et que tu manques d'expérience...
Je ne crois pas que ts les pvtistes ont envie d'entendre que le Canada est génial...
Ce que je t'ai reproché c'est ton manque de développement ... Parce qu'en expliquant ton expérience, ben, ouais, ça peut aider d'autres personnes ...
- 26/02/13, 15:07 #17Jamais sous-entendu cela ^^. Je dis que le constat froid, c'est qu'ils estiment que tes compétences de ce côté-là ne sont pas assez bonnes pour convenir au profil. C'est dur à avaler mais ils raisonnent toujours froidement, pas avec en tête le but de te blesser ou je ne sais quoi.
Comme on ne peut pas changer les autres, autant se changer soi. C'est ça que je sous-entendais.
Et personne n'est parfaitement bilingue, sois-en sûr. Quand on voit le nombre réel de personnes en mesure de maîtriser leur propre langue...Dernière modification par Myrti ; 26/02/13 à 15:10.
- 26/02/13, 17:51 #18Entierement d'accord, passé par un "faux" métier peut ouvrir des portes.
Même expérience pour moi, je suis arrivé avec un BAC+3 technique, et je me suis vite rendu compte que sans experience et centre ville de Montréal ca le ferait pas.
Donc idem pendant plus de 6 mois, j'ai tafé en interim a porté des caisses de jean de 25 kg plus de 40h/sem, mis des boites de cereale en palette en sortie de chaine de production, raclé les trottoirs en fin d'hiver avec mon balai brosse et ma pelle. Et ca pour le smic et sans pourboire (petit pic pour les chialeux du pourboire au passage ^^)
Avec de la perseverence et la confiance engrengée j'ai réussi a posé mes fesses pour une mission au calme en saisie de données.
Ensuite en attendant ma RP je suis rentré en France sur Paris pour bosser dans mon domaine.
Aujourd'hui j'ai acheté une voiture, et avec mes références Qc et mon expérience, j'ai trouvé un boulot en tant que technicien dans une usine sur la rive sud.
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- 10/07/13, 23:09 #19Bonjour à tous,
je viens de perdre mon Emploi en JP à Toronto, donc je souhaiterai savoir est ce que vous me conseille de venir au quebec ou ailleur pour trouver du taf dans mon domaine (construction).on met cb de temps en générale avt de trouver un vrai emploi au quebéc. j'ai déjà perdu 3 mois à Toronto. vaut mieux que je reste encore ou vous me conseille de rentrer pr le moment et de tenter un RP depuis France?? sinon je parle hindi, punjabi et mon niveau d'anglais est moyen.
Ps: avec mon JP, je ne pourrais travailler que ds mon domaine à cause de ma licence donc pas possible de faire des petits jobs comme baby-sitter ou autres...
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