Comment Chapka m'a abandonné au pire moment de mon PVT NZ

[MarinaTh]

Le 26 novembre 2016, à Auckland, heurtée par un chauffeur ivre en pleine nuit, je me suis retrouvée hospitalisée pendant 6 jours avec fractures multiples du visage, arrière du crâne ouvert sur 15cm, perte des ligaments du genou droit et de nombreuses plaies nécessitant des points et agrafes. Le pire étant les problèmes de mémoire immédiate, et la perte de repères. Seule, à 18000km de chez moi, incapable de me souvenir ni de ce qui c'était passé, ni de ce qui était en train de se passer. Ma famille a mis du temps à comprendre ce qu'il se passait réellement, n'étant pas moi même en mesure de leur expliquer, c'est donc lors de m'a sortie de l'hôpital, 6 jours après, que mes parents ont pris conscience des conséquences : incapable de me doucher, de manger en raison des fractures du visage, de me tenir debout, ni même de m'occuper simplement de moi en raison des problèmes de mémoire. Nous avons donc demandé à Chapka de nous aider à prendre un billet d'avion pour un membre de mon entourage afin de venir me seconder, puisque c'est un service qu'ils offrent sur le contrat CAP PVT dès 3 jours d'hospitalisation. Chapka a refusé. La raison ? Je n'étais, au moment de ma demande, plus à l'hôpital, mais de retour en auberge de jeunesse. Ils me proposaient bien un rapatriement, cependant, en raison de mon opération du visage et de l'implant d'une plaque métallique dans ma joue, je n'étais pas autorisée à prendre l'avion dans l'immédiat. Je me retrouvait donc seule en Nouvelle Zélande, livrée à moi même. Mes parents essayaient de se dépatouiller avec Chapka qui demandaient une tonne de documents médicaux, en peinant à les joindre, pour que finalement le couperet tombe, refus. Nous avons du nous débrouiller pour que quelqu'un vienne s'occuper de moi.
D'autres assurances à tarif équivalant proposent des couvertures comparables pour un PVT. Prenez garde à Chapka.
N'hésitez pas à me solliciter si vous souhaitez plus d'informations sur mes péripéties et l'inactivité de Chapka (ici ce n'est que la pointe de l'iceberg), en qui j'avais pourtant mis toute ma confiance par la force des choses.

[Helene]

Oh la la, je n’imagine même pas ta détresse et celle de tes proches...
As-tu pu contester la décision par la suite ?
J espère qu’aujourd’hui tu vas mieux.