mariaar
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18/02/11, 05:58
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Salut à tous..!
Alors voilà, aprés avoir épluché le forum, trouvé beaucoup d'infos (merci à tous..!) je poste ce message car tout se mélange un peu pour moi maintenant et je voudrais éclaircir quelques points.
Voilà la situation : un ami à moi dont le PVT se termine fin mars vient de voir sa demande de JP refusée car l'emploi qu'il a ne correspond pas exactement à sa formation (il est mécano avec une toute petite expérience d'ébeniste mais pas de diplôme là dedans et son job actuel est "ébeniste"). C'est vrai que c'était le risque mais il a tenté le coup quand même. De plus on vient de voir que le quotat pour les MJT 2011 était atteint donc il ne lui reste que deux possibilités, le permis de travail fermé ou alors la clandestinité (qui n'est pas non plus l'option idéale..!)
Son employeur serait pret à faire les démarches pour un permis de travail fermé, j'ai vu qu'il pouvait profiter du statut implicite entre la fin de son pvt et la réponse du permis ce qui serait bien, vu le peu de temps dont il dispose.
Mais j'ai vu aussi que la demande de permis devait se faire au moins 30 jours avant la fin de son 1er visa ? Est-ce exact où est ce que c'est moi qui ai tout mélangé..? Et du coup quel est le délai en moyenne pour que l'employeur obtienne le fameux RHDC..?
Autre question, pour le permis de travail est-ce que le poste offert doit correspondre à la formation de la personne ?
Enfin y a t'il des gens ici qui se sont vu refuser le visa JP mais qui ont ensuite réussi à obtenir un permis de travail...?
Merci d'avance à tous ceux prendront le temps de lire ce post et de nous donner quelques infos parceque là il est assez désepéré et ne sait plus trop quoi faire...
Alors voilà, aprés avoir épluché le forum, trouvé beaucoup d'infos (merci à tous..!) je poste ce message car tout se mélange un peu pour moi maintenant et je voudrais éclaircir quelques points.
Voilà la situation : un ami à moi dont le PVT se termine fin mars vient de voir sa demande de JP refusée car l'emploi qu'il a ne correspond pas exactement à sa formation (il est mécano avec une toute petite expérience d'ébeniste mais pas de diplôme là dedans et son job actuel est "ébeniste"). C'est vrai que c'était le risque mais il a tenté le coup quand même. De plus on vient de voir que le quotat pour les MJT 2011 était atteint donc il ne lui reste que deux possibilités, le permis de travail fermé ou alors la clandestinité (qui n'est pas non plus l'option idéale..!)
Son employeur serait pret à faire les démarches pour un permis de travail fermé, j'ai vu qu'il pouvait profiter du statut implicite entre la fin de son pvt et la réponse du permis ce qui serait bien, vu le peu de temps dont il dispose.
Mais j'ai vu aussi que la demande de permis devait se faire au moins 30 jours avant la fin de son 1er visa ? Est-ce exact où est ce que c'est moi qui ai tout mélangé..? Et du coup quel est le délai en moyenne pour que l'employeur obtienne le fameux RHDC..?
Autre question, pour le permis de travail est-ce que le poste offert doit correspondre à la formation de la personne ?
Enfin y a t'il des gens ici qui se sont vu refuser le visa JP mais qui ont ensuite réussi à obtenir un permis de travail...?
Merci d'avance à tous ceux prendront le temps de lire ce post et de nous donner quelques infos parceque là il est assez désepéré et ne sait plus trop quoi faire...
Réponses
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viviane
18/02/11, 22:41
est-ce que son employeur a réellement eu du mal à trouver un bon employé comme lui ?
si il est prêt à le soutenir, il pourra avoir un permis de travail fermé...
si il envoie tout de suite sa demande AMT et CAQ, il aura peut-être un numéro d'AR au moins.
et il enverra sa demande à Vegreville quelques jours avant la fin de son PVT.
nous avions envoyé, avec notre demande de permis fermé à Vegreville, les copies de nos dossiers CAQ et RHDCC + les AR de la poste : nous n'avions rien d'autre en attendant ... mais au moins, nous avons montré les preuves de notre bonne foi, avec le plus de justificatifs possibles.
et nos employeurs avaient fait des lettres super motivées pour montrer qu'ils avaient besoin de nous
