1. #1

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    Salut tout le monde !
    Aujourd'hui j'inaugure une nouvelle conversation pour parler de mon voyage... Vachement original me direz-vous !
    Oui, mais c'est parceque le fait de lire le récit d'autres pvtistes m'a super motivé ! Et puis je fais ce que je veux !!
    On commence : aujourd'hui je pars de chez moi...
    Bye

  2. #2

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    Ça y’est je suis dans le train me menant à Paris première étape de ce long voyage linguistique, ludique, périlleux certaines fois je suppose la vie n’est pas rose !

    A partir de quand ce voyage a-t-il commencé ? C’est la question que je me pose en ce moment même. Je pense à partir du moment où nous avons, Charlène et moi, dévoilé notre projet commun. Et de fait le début de ce long compte à rebours, des fois crispant, mais le plus souvent impatient. S’en suit ces longs adieux, à chaque jours sa séparation, et, plus le temps avance, plus les aurevoirs se multiplient, se succèdent, s’enchaînent. J’ai d’ailleurs pu constater que j’avais deux familles : La grande celles des amis et proches, et les parents (famille traditionnelle). J’en profite pour remercier toute cette grande famille qui m’a facilité le départ en me laissant avec un sourire, une blague, une attention, une lettre, un souvenir.

    Autant de sentiments pour un séjour de « seulement » 1 an, c’est fou, mais bon et terriblement humain. Encore une fois merci à toute la grande famille.

    C’est désormais le cœur lourd et léger que j’envisage le Canada et Toronto cette géante outre-Atlantique. Je découvre un sentiment nouveau, celui de voyager sans se dire dans un mois je reviens. Non je vais devoir apprivoiser cette ville, ce pays, ses habitants ! Quel sentiment ! J’ai du mal à envisager l’immensité des territoires, des avenues. Moi qui sors de ma petite ville, fort jolie et réconfortante au demeurant. Mais bon, hé ! Je vais d’abord à Paris, c’est grand Paris ! Une petite étape d’acclimatation dirons-nous…

    Le TGV file vite, et j’ai le sentiment, qu’à l’image de celui-ci notre séjour filera vite. Il va falloir en profiter, le déguster, ne pas en perdre une miette ! Il va aussi falloir faire la part entre les idées que nous nous faisons et la réalité. Pour l’instant la première étape sera de rejoindre notre auberge de jeunesse puis, de se mettre à la recherche de l’appartement le plus vite possible. Une fois trouvé nous serons un peu « chez nous », enfin je l’espère !

    Le train file, file, fend l’air et me rapproche de Paris, « terminus de ce train » me rappelle-t-on à l’instant, les personnes se mettent en mouvement, scrutent perplexe leur espace de voyage à la recherche d’un objet à ne pas oublier et je vais devoir en faire autant, aller chercher cette valise handicapante de 22 kilos qui contient une partie de ce qu’un jeune de 20 ans à cumulé et estime avoir besoin pour passer un an à l’étranger, quelle drôle d’idée.

  3. #3
    Avatar de Empusa
    Nathalie 39 ans

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    Hello !
    T'as raison c'est sympa de partager ses aventures avec les autres
    Bon courage pour l'arrivée sur Toronto, et au plaisir de te lire !

  4. #4

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    Le réveil est dur, la bouche sèche, le soleil à l’affût. C’est le jour attendu depuis des mois, des semaines, ça y’est on part. Après deux jours très reposant à Paris, j’y vois un peu plus clair, la gueule de bois du départ nancéen est passée. Nous allons de l’avant. Maintenant c’est Toronto et nous avons de la chance de pouvoir y aller.

    Valises bouclées et vérifiées, collation à peine avalée, direction l’aéroport Charles de Gaule où un avion n’attend QUE nous j’en suis sûr… Nous arrivons avec beaucoup d’avance, nous enregistrons les bagages, et allons boire un café avec le père de Charlène. 9h00 Il faut passer la douane et les différents contrôles. Je donne encore quelques nouvelles téléphonique à ma « Grande famille ». L’avion patiente devant nous…ou plutôt nous patientons face à notre première étape du périple. Ma copine à d’ailleurs hâte de passer dans le couloir télescopique qui relie l’avion au hall d’embarquement « comme dans les films ».

    Allez on commence bien…Mais comment bien commencer un voyage ? Eh bien pour vous mettre à l’aise rien de mieux que de faire tomber un appareil photo sur le crâne d’un canadiens innocent en rangeant celui-ci dans les casiers ! Je suis content ça commence bien…Et qui est-il cet homme ? Notre voisin pour 8h de vol. Je suis super à l’aise. Après avoir mis de la glace sur la tête et pris une aspirine, celui-ci décide de trouver une autre place, je crois que le cadeau de bienvenu ne l’a pas satisfait. C’est méchant, mais c’est d’autant mieux maintenant nous sommes que tous les deux !

    La ceinture à peine attachée l’oiseau d’acier se met à trembler, sursauter, et d’une poussée impressionnante s’envole pour le Canada. Nous sommes dans les airs c’est fait, maintenant 8h d’attente et de repos dans la carlingue du 747. Nous mangeons tranquillement notre menu Amérique de nord au dessus de l’océan Atlantique c’est quand même super classe comme cantine, nous regardons les nuages, l’océan et le ciel, la digestion aidant nous sombrons dans les limbes de nos esprits. Encore quelques heures de vol, une petite collation made in Air France (qui nous gave de nourriture) et nous allons bientôt arriver. Découvrir la géante.

    Après un atterrissage des plus confortable, nous nous rendons au service immigration, attention ici ça ne rigole pas, avec notre petit anglais il faut se faire comprendre…Surtout que leurs questions sont des fois très précises. Nous prenons le bus et déjà ce n’est vraiment plus la France. Nous nous engageons sur une autoroute enorme5 voies voir plus par moment de part et d’autre. Les voitures énormes, les limousines, les school bus tout jaune et la CN tower au loin qui nous indique une arrivée prochaine. C’est très étonnant nous sommes petit, la ville est grande les rue à la taille de nos avenues. Ici règne le fast-food PARTOUT ça frappe, les hot-dogs etc…j’ai la tête qui tourne, c’est un changement de culture, et je le sens.

    Nous commençons une nouvelle journée dans Toronto après en avoir vécue une dans l’avion, vive le décalage horaire ! C’est génial la journée n’en fini plus, le soleil est présent sur Toronto, la chaleur aussi ! Nous venons du pays froid au pays chaud « pour l’instant », il me semble que dès novembre la situation s’inverse ! Nous marchons sans but précis entre les buildings, c’est déroutant. Nous rentrons après avoir mangé, pour ma part des sushis, il est 9pm, pour nous bien plus, les bras s'entremêlent, les muscles se relâchent, nous tombons de fatigue.

  5. #5
    Avatar de Royksopp
    Georges 50 ans

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    L'Île-Perrot, QC, Canada
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    pas mal la camera sur le crane, vu la réaction il le méritait
    welcome to toronto & take care

  6. #6

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    oh le pauvre!!!!Continu a nous faire partager ton aventure c super!!!!
    prenez soin de vous!

  7. #7
    Avatar de Lydie
    Lydie 41 ans

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    C'est très bien raconté !
    J'attends la suite de vos aventures avec impatience !

  8. #8

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    Merci pour vos commentaires ça fait vraiment plaisir !
    Depuis, nous avons encore avancé !
    Bienôt je prend le temps de raconter nos dernières nouvelles.
    Bye et merci
    Dernière modification par flashball007 ; 01/10/07 à 18:50.

  9. #9

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    Et oui, nous ne sommes pas ici pour faire les touristes pour le moment. Les journées sont longues et chaque jour est un nouveau départ une nouvelle quête, de nouvelles épreuves. Pour l’instant nous nous en sortons bien, mais il faut dire que nous ne sommes pas partis les mains dans les poches. Non ! Dans l’avion nous avons établis un plan, oui, effectivement avant on avait des idées mais pas de plans. Quoi qu’il en soit nos objectifs sont simples. Première mission trouver un chez soi le plus vite possible. Ensuite meubler, si ce n’est déjà fait. Enfin trouver un travail. Facile à l’écrit, encore plus dans nos esprits.

    Pour trouver un appartement il faut deux choses : du courage et…du courage. Mais pourquoi deux sortes de courage ? Le premier c’est de marcher de longues heures, oui il y a les « streetcars » et le « subway », mais non, nous marchons, sous le soleil, et longtemps. En fait pour être honnête, nous voulons profiter du soleil, et marcher sa relax, les 30 premières minutes… Et quel est bien cet autre courage ? Je ne le connaissais pas avant. Celui-ci est finalement simple, il consiste à rentrer et à affronter les appartements que nous visitons. Allez détendons-nous ! Il y a des appartements MAGNIFIQUES et comme tout son opposé. Je pense que cela nécessite une petite explication. Nous visitons 3 à 4 « main floor », « basement », « 2nd floor » par jour, bien sûr à l’opposé l’un de l’autre sinon on ne rigole pas… Donc il y à cette belle maison, ici le « main floor » nous intéresse. Un jeune homme vient à notre rencontre : « suivez-moi ». Il fait chaud dehors, dedans il fait chaud et humide, les fenêtres sont fermées, il y règne une ambiance…de sauna. Toute la famille est dans une seule pièce avec une énorme TV et le père sur l’ordi. C’est beau mais sombre et étouffant. « Voici la chambre » Ouch ! Ah oui… Effectivement il y a un lit, pour le reste, les commodités ne sont pas d’usages. « La cuisine » Ah ! Grand moment, je me souviens d’un aquarium pour poisson, je précise car en y repensant nous étions dans un aquarium humain, et d’un chat sur la table avec le reste du précèdent repas dans des gamelles. Et un point important le robinet qui goutte dans un amoncellement de fourchettes, assiettes, casseroles… Je cherche du regard David Lynch et sa camera, l’ambiance y est, la salle de bain est là pour définitivement me faire flipper, je pense qu’on va arrêter là.

    Il y a aussi nos premiers hamburgers, hot dog pris sur le pouce, assis sur un banc face aux écureuils qui se préparent à affronter l’hiver et terminent leur derniers préparatifs. Le raisin….sans pépins. Il est bon et terriblement sucré, mais…sans pépins, il y a un pépin…Moi j’aime bien les pépins, surtout lorsqu’il s’agit de les faires glisser entre ses doigts pour l’envoyer directement dans les cheveux d’une personne innocente. Tant pis pour un an je m’en passerai. Nous avons perdu du poids mine de rien à force de marcher, courir, déambuler. Voici qu’une maison se présente face à nous. Dans une heure nous avons rendez-vous. Ca tombe bien il y un petit parc à 10 m. On se repose, on s’amuse, je lance des balles de baseball à un gamin. Le basement est très joli, petit mais douillet, il nous réconforte d’emblé ! Nous le prenons voici maintenant 3 jours que nous sommes ici et nous avons notre « Hobbit Home », oui un basement c’est bas !

    Heureux nous retournons à l’auberge, il fait chaud, il est tard, le soleil se dérobe petit à petit et laisse place à cette grande lune pâle. Les écureuils sont rentrés, les rues se gorgent d’odeurs douces qui selon le quartier changent. Un voyage olfactif s’engage alors, de l’Italie au Portugal en passant par la Chine, les estomacs crient famine, les jambes nous alertent, pour aujourd’hui c’est fini, du raisin sans pépins et au lit.

  10. #10
    Avatar de Bellek
    Tanguy 41 ans

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    Tu as vraiment un beau style d'écriture, c'est drole, captivant et intéressant. Tu pourrais presque concurencer Lilou
    Continue comme ca

  11. #11
    Avatar de Brightalex
    Alexandra

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    La suite! La suite!

  12. #12

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    Dernier levé à l’auberge, la chambre est encore plongée dans l’obscurité, la quête du jour est simple, nous allons meubler notre nouveau « chez nous » ou « Hobbit Home » pour les intimes. Les corps se réveillent, se mettent en mouvements, nos ventres nous conduisent directement à la cuisine un étage plus haut. L’auberge est calme, les matins sont très agréables, l’eau bout, le pain dore, les âmes ensommeillées apparaissent, et s’assoient dans le silence. S’engagent alors quelques discutions ça et là, l’anglais du matin est plus qu’approximatif. Nous rendons les clés, contents et nostalgiques, de l’endroit qui restera notre première étape sur Toronto. On avance donc dans notre périple, néo-pionniers que nous sommes.

    Comment meubler notre premier appartement, oui nous avons tout juste 20 ans, la période des premières fois. Nous décidons de concert de nous rendre à Ikea. Il faut prendre le métro jusque « Kipling », c'est-à-dire jusqu’au terminus. De là une navette nous emmènes directement à Ikea. Mais nous avons des jambes et surtout nous ne comprenons pas comment accéder au parking (en fait c’était redoutablement simple), alors nous y allons à pieds. Ainsi nous découvrons les zones industrielles d’Amérique du Nord, gigantesques, il y a des camions à foisons, des parkings sans fin, et…des oies en dessous des arbres le long de la route. Ikea c’est bien mais c’est loin, au retour on se le jure, ce sera navette.

    Nous y voilà, Ikea c’est génial, car de la France au Canada c’est pareil, les magasins sont les mêmes. Nous partons à l’abordage des rayons, la journée s’annonce longue, mais heureusement chez « Hobbit home » c’est sympa mais pas énorme. De la vaisselle par là, une table par ci, un matelas et c’est parti, le reste on compte sur craiglists (un site d’annonces). Direction la caisse pour payer et se faire livrer. Enfin une petite galère ! Ikea nous livre pas de problème, mais pas tout ! Ce qui est trop fragile ou trop petit c’est à emporter. Ah oui…mais nous on n’avait pas prévu ça ! De toute façon pas le choix. 5/6 sacs chacun nous prenons la navette puis le métro, la correspondance, et nous marchons jusque chez nous. Les distances prennent alors d’autres mesures. La rue que nous parcourions en quelques minutes, nous prends des dizaines de minutes de marche. Les vitrines devant lesquelles nous passons s’éternisent, les personnes s’interrogent sur la folie qui nous touche pour se trainer à une heure aussi tardive avec tant de sacs. Nous transpirons, nos mains sont éreintées, tranchées par le plastique qui au fil des minutes se transforme en une lame aiguisée. La vue de la maison annonce la fin de notre fardeau, notre moral remonte, nous déposons nos bourreaux et nous mettons à la tâche. Enjoués nous enfilons les vis, nettoyons les couverts, oublions de manger.

    Les paupières commencent à être lourdes, et nous allons devoir passer la nuit à même le sol, car le matelas c’est pour demain. Heureusement nous avons acheté une belle et grande couette ainsi que des oreillers. Pour une première nuit c’est sympa, heureusement ici la moquette est épaisse. Pour s’endormir pas de problème, il suffit de penser que nous sommes au Canada dans un appartement bien à nous et que demain les meubles arrivent.
    Dernière modification par flashball007 ; 03/10/07 à 03:17.

  13. #13

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    Que d'aventures ! Tout a l'air de bien commencer, et ça, c'est important !
    Alors, continuez comme ça, et vivement la suite !

  14. #14

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    Trop fort ! tout simplement! vite vite le prochain épisode!!

  15. #15

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    Le matin venu mes pieds et le reste de mon corps n’étaient pas d’accord quand à l’épaisseur de la moquette. Mon dos trouvait mes pieds peu regardant quand au confort qu’ils me communiquaient. Et c’est en me levant que je compris le pourquoi de cette fameuse querelle. La moquette n’était pas si épaisse ! Vivement la livraison du matelas, car une nuit c’est déjà pas mal…douloureux. Et je ne suis pas le seul dans cette situation, ma copine a aussi particulièrement mal dormi. Canada nous voilà, ce n’est pas une moquette qui va nous arrêter !

    Un appartement ce n’est finalement, au départ, que des murs un toit une porte et quelques fenêtres. La journée s’annonce longue. Ikea nous livre entre 10h et…17h, nous allons faire des courses pour nous alimenter, car notre estomac est toujours vierge de quelques aliments que ce soit ! Et acheter le nécessaire pour faire vivre ces murs et ce toit. Je suis toujours surpris par le calme qui règne dans cette ville. Le super marché est moyennement animé, il n’y a pas la frénésie des grandes villes française, et pourtant au sortir de ce temple de la consommation, la vue est là pour nous rappeler que nous sommes bien à Toronto. Quel contraste, il faut s’y faire et je m’y suis déjà fait, ce paradoxe m’impressionne bien plus que tout autre chose.

    Place au marteau, aux vis, et autres outils, nous nous transformons en professionnels du bricolage, les meubles sont arrivés, ils trônent dans notre entrée. Mais celui que mon œil remarque d’entrée, c’est ce superbe, magnifique, majestueux, matelas. Il nous regarde de toute sa hauteur, nous assurant d’un regard bienveillant de bonnes nuits en perspective.

    Nous avons finalement su donner un peu de vie à ce basement, nous nous le sommes approprié. Les meubles et différentes décorations reflètent notre façon de penser et de vivre « Dis moi comment tu vis et je te dirais qui tu es ». Après toute cette agitation c’est sans demander notre reste que nous allons étendre nos corps engourdis sur notre désormais célèbre matelas.

    Le lendemain journée de rêve pour ma copine, voilà maintenant tout juste une semaine que nous avons mis nos pieds sur le territoire canadien. Nos « landlords » (les propriétaires) indiquent à ma copine que la banque à appelée, qu’il faut qu’elle aille régler une histoire. La banque étant au bout de notre rue, c’est en 2 minutes qu’elle s’y rend. Rien de grave, juste avertir que les traveler’s sont bien encaissés. Mais là n’est pas le but de ma narration. En face de la banque une boutique attire son attention on peut y lire « Patachou », « Help wanted ». Dans la suite logique de notre aventure, c’est avec un poste à plein temps qu’elle ressort. Le salon de thé, pâtisserie française à embauchée la franchie. Eh bien moi je tire mon chapeau.

    Le Canada est en avance sur pas mal de chose, c’est avec le travail de Charlène que je m’en suis rendu compte. En fin de journée il ne jette pas les croissants à 2,5$, les baguettes, sandwiches, quiches j’en passe et des meilleures. Non pourquoi les jeter ? Il y a des employés des voisins alors ils donnent, distribuent. C’est qu’ici on recycle partout, car je pense que c’est une sorte de recyclage de redistribuer. Lorsque nous marchons dans les rues de Toronto il n’est pas rare de tomber devant des maisons sur des affiches « free » avec en dessous des ballons, tables, Tv etc… Pourquoi jeter quand d’autres peuvent réutiliser ? La mentalité me séduit, dommage que nous descendions en ville sinon ce ballon de foot était pour moi.

  16. #16
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    Olivier 42 ans

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    Tout à l'air de bien se passer pour tous les deux, un toit, un taf... l'essentiel est assuré
    En tout cas c'est toujours agréable de lire votre aventure, par contre est-ce qu'il y a de très mauvais côté qui vous font presque regretter la france, parce que sinon je vais être obligé de boycotter cette discussion, voire ce site, pour que les 3 mois qui reste avant de retourner à Toronto ne soient pas trop long.

    Encore bravo les jeunes , vivement la suite...
    (...et bonnes nuits )

  17. #17
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    haha! patachou , le repère des Français a Toronto, moi aussi j'y travaille, mais à celui de Yonge

  18. #18
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    Moi aussi ca me plait cette idée de recycler, donner, partager, et de faire profiter aux autres ce dont on ne se sert plus...
    Je sens que le Canada va vraiment me plaire

  19. #19

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    Merci pour vos petits mots cela fait vraiment plaisir de partager nos petites moments !
    J'en profite pour te répondre Olivier. Pour l'instant en y réflechissant je ne trouve pas de très mauvais côté. Cependant je pense que tout ce qui est médecins etc...ça doit pas être top et très cher. Sinon il y a bien UN mauvais côté ! Le fromage !! C'est hors de prix et pas bon. Pour ça la France me manque, oui pour l'instant ce serai ma réponse la nourriture. Mais si ici t'as plein d'argent ou que tu bosses dans un truc français, héhé ! Ca passe mieux !
    Ciao à la prochaine !

  20. #20

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    super!!!
    vite la suite!

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