Bonjour tous,
Un papier chargé de nouvelles après un dernier mois sous le signe de la remise en question ; au cote d’une femme, peut être la femme comme je la dessinais a la craie quand j’étais tout petit.
Aujourd’hui, dimanche 7 octobre avec l’énergie de Caedes dans les oreilles, le bon hard-core de Marseille qui fait du bien a la tête.
Septembre : Pression, inondation, pluie, cafés, cigarettes, fatigue… pastis de Marseille aussi, et aventures de backpackers à travers le nulle-part de la Colombie Britannique.
Justement, cette nature, des week-ends à partir sac sur le dos pour des endroits perdus dans la nuit et sous la pluie. C’est du bonheur. Squat de looser dans des motels américains à profiter et abuser des baignoires sans être perturbé par les souris.
Comme je le disais, mois de pression, discutions, disputes aussi, mais pourtant ! Nous avons décidé de quitter Vancouver, de tout plier très vite, d’embarquer dans un bus et de (re)partir pour un long road trip (4 500 Km).
On va prévoir quelques gros pulls et plus encore, car nous allons fièrement planter notre drapeau du Canada dans la neige épaisse de Toronto, En Ontario. Et un petit crochet, quelques jours, par Calgary histoire de tâter la neige de l’Alberta.
Voila, l’heure est (enfin) arrivée de repartir, partir vers ailleurs et voir ce que le voyage nous réserve. Assurément, il nous réserve des paysages des plus magnifiques et, peut être, de longues étendues de neige où seuls les ours sont maitres des lieux, bien loin du libéralisme américain.
Toronto sera donc le chapitre suivant de mon aventure aux pays des caribous, chapitre marqué par la présence de Sophie qui vient apporter un sourire à ce voyage.
Cela veut dire que nous avons quelques affaires à vendre. Alors si certains sont intéressés par une télévision humidifiée, un lecteur de DVD rouillé, un grille pain américain, une bouilloire pourrie, une couette qui pue ou un radiateur, faites le moi savoir, je serais bon sur le prix. Mais je n’assure pas la livraison (trop de logistique).
Bon, j’ai une lessive à faire, je vous laisse.