Julien, un passionné de PVT, partage son expérience après avoir vécu dans plusieurs pays. Chaque destination lui a apporté une richesse unique, transformant ses voyages en un véritable mode de vie. Le Japon l'a particulièrement marqué par son authenticité et son quotidien. Parmi ses souvenirs, les soirées conviviales avec des amis japonais ressortent, tandis que les odeurs des chats dans sa camionnette pendant son travail de livreur vétérinaire restent un souvenir moins agréable. Malgré les défis linguistiques, Julien a toujours pris le temps d'apprendre les bases des langues locales, enrichissant ainsi son immersion et ses interactions. Découvrez comment ces expériences ont façonné sa vision de la vie et ses projets futurs, notamment son engagement dans un trio musical et l'écriture de son second livre. Curieux de savoir plus sur ses aventures et conseils pour les futurs Pvtistes ? Plongez dans l'article complet !
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Bonjour Julien, en 2018 on publiait ton témoignage “Julien, 5 PVT à son actif !”. Avec le recul, qu’est-ce que t’ont apporté ces voyages ?
Avec le temps c’est devenu un mode de vie. Toutes ces années de voyages m’ont permis de découvrir tellement d’endroits, de rencontrer tant de personnes, vivre un quotidien différent des standards qu’on a pu connaître, l’apprentissage de plusieurs métiers, activités…
En résumé, une construction de vie.
En résumé, une construction de vie.

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Quel pays du PVT, de ceux visités, t’a le plus marqué et pourquoi ?
Le Japon par son authenticité, son quotidien, mon boulot, la nourriture, le dépaysement…
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Quel est ton meilleur souvenir de cette période ?
Des soirées autour de grandes tablées avec mes amies japonaises et leurs familles.

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Le moins bon ?
Les odeurs des chats dans ma camionnette lors de mes déplacements professionnels (livreur vétérinaire).
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Parlais-tu la langue dans chaque pays où tu te rendais ? Si non, comment t’y prenais tu ?
J’ai toujours fait l’effort d’apprendre à minima les rudiments. Pour les langues plus usitées comme l’anglais ou l’espagnol, j’ai pu, au fil des années avec de la pratique et de l’écoute, être à l’aise dans les 2 langues.

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Tu es parti seul pendant tes PVT ? Si oui, comment l’as-tu vécu ?
Oui sauf pour l’Australie. Une situation très facile à vivre car le fait d’être seul facilite les rencontres dans le sens où l’immersion est totale. On va ainsi plus facilement vers les autres et réciproquement.
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Ta manière d’être, de faire, ressentir était-elle différente après ce grand voyage ?
C’est indéniable. Plus de 13 ans à voyager m’ont apporté une autre façon d’aborder la vie tout simplement.
Les voyages apportent son lot d’émerveillements, de questionnements et de changements mais aussi d’adaptation. La durée de la pause déjeuner ne sera pas la même durée en Australie qu’en France par exemple. Le rythme de travail en Nouvelle-Zélande ne sera pas le même qu’en Argentine. Les règles de conduite au Japon, bien définies et relativement strictes, ne permettent pas d’y déroger.
Tout au long des années, ces différentes expériences m’ont permis d’analyser et de relativiser plus facilement face aux situations de vie auxquelles j’ai pu être confronté.
Les voyages apportent son lot d’émerveillements, de questionnements et de changements mais aussi d’adaptation. La durée de la pause déjeuner ne sera pas la même durée en Australie qu’en France par exemple. Le rythme de travail en Nouvelle-Zélande ne sera pas le même qu’en Argentine. Les règles de conduite au Japon, bien définies et relativement strictes, ne permettent pas d’y déroger.
Tout au long des années, ces différentes expériences m’ont permis d’analyser et de relativiser plus facilement face aux situations de vie auxquelles j’ai pu être confronté.

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Qu’as-tu fait depuis ?
Depuis que j’ai dépassé les 35 ans, j’ai tout de même continué à beaucoup voyager.
J’ai, comme tous, été arrêté dans mes voyages par le Covid. J’ai alors bossé puis je suis récemment reparti sur les routes.
J’ai, comme tous, été arrêté dans mes voyages par le Covid. J’ai alors bossé puis je suis récemment reparti sur les routes.
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Partir voyager plusieurs mois à l’étranger est-il pour toi un atout dans la recherche d’emploi en rentrant en France ou au contraire est-ce un frein ?
Il me semble que c’est un atout pour certains profils et métiers. Il y a dans ce choix de partir des caractères d’adaptation, de prises de décisions, d’aventure, de linguistique…

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As-tu des conseils pour les futurs expatriés ou ceux qui hésitent à se lancer ?
Foncez, quoiqu’il arrive vous reviendrez enrichi de quelque façon que ce soit.
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Et pour finir, quels sont aujourd’hui tes projets ?
M’investir dans un trio musical que je viens de rejoindre, écrire mon 2e livre, parcourir un peu l’Europe cet été, bosser, repartir pour un voyage à la fin de l’année !

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