Si Córdoba est votre destination de PVT, vous trouverez dans cet article, beaucoup d’informations sur la ville, comment vous y rendre, les transports en commun, les logements, les sorties…

I – Découvrir et comprendre Córdoba

Córdoba, capitale de la province du même nom, est la 2° plus grande ville du pays et compte 1,5 millions d’habitants (en 2023). Elle se trouve à la limite de la région de la Pampa et de la région du Cuyo et entretient une rivalité économique et culturelle avec Buenos Aires. 

Fondée en 1573 par Jerónimo Luis de Cabrera, elle est au départ conçue comme une bourgade espagnole dans laquelle les populations autochtones pouvaient se réfugier et faire du commerce. Au cours du temps, elle a été un siège jésuite important et son rayonnement était considérable. Son emplacement est idéal puisqu’elle se trouve entre Lima, au Pérou, et l’Océan Atlantique.  Elle est appelée la Docta (la savante) puisqu’elle abrite la 1ère université du pays (la 2° d’Amérique du sud et la 4° du nouveau continent) à partir de 1612, le Colegio Máximo de Córdoba. Les jésuites qui voulaient travailler dans une mission avaient l’obligation d’étudier dans une université. L’Université de Córdoba a donc reçu des étudiants du continent, du nord, et également d’Europe.

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Aujourd’hui, la ville s’impose en tant que centre industriel, commercial et touristique, mais c’est aussi un pôle culturel et étudiant : 160 000 personnes réparties dans 8 universités, ce qui fait d’elle l’une des villes avec le plus d’étudiant·e·s au monde puisque cela représente 12% de sa population.

Le centre ville colonial est classé au patrimoine mondial de l’Unesco :  on peut y trouver de nombreux musées, des centres culturels mais aussi d’autres lieux d’intérêts. Plusieurs ordres religieux se côtoient à Córdoba, ce qui apporte une grande richesse architecturale et historique à la ville. À cela s’ajoutent les grands espaces verts, les bords du canal aménagés, les passages commerciaux, les ferias et les nombreux restaurants pour profiter d’une nourriture locale, qui rendent la ville particulièrement attractive.

L’office du tourisme organise des visites guidées toute la semaine pour découvrir ces différents aspects de la ville.

Bien que Córdoba soit une immense ville, elle respecte le rythme de vie argentin. Les magasins sont fermés tous les jours entre 13h et 17h, et le dimanche après-midi les rues du centre ville sont quasiment vides.

II – Comment arriver à Córdoba ?

Pour vous rendre à Córdoba, vous devez nécessairement passer par Buenos Aires en arrivant de France.

BUS

Pour se renseigner sur les trajets, les horaires et les compagnies de bus, le meilleur site internet est Plataforma 10.

Le Terminal de bus de Córdoba se trouve à cette adresse : Perón, 380.

Le terminal est assez grand, sur deux étages. Les billetteries se trouvent aussi bien au rez-de- chaussée qu’au 2° étage. Le premier étage est destiné aux plateformes de départ.

Depuis Buenos Aires : de nombreuses compagnies font le trajet tous les jours depuis la gare de Retiro. Il y a une quinzaine d’horaires différents dans la journée et dans la nuit. Le trajet dure environ 9-10 heures.

Depuis Mendoza : de nombreuses compagnies font le trajet depuis la gare routière. Il y a une quinzaine de départs par jour à des horaires différents. Le trajet dure entre 9 et 12 heures.

Depuis Salta : il y a environ 5 départs par jour, avec les compagnies ViaTac, Andesmar, Balut et FonoBus. Le trajet dure entre 13 et 15 heures, il est donc recommandé de prendre un bus en fin de journée pour faire un voyage de nuit.

AVION

L’Aéroport Ingeniero Ambrosio de Córdoba se trouve à cette adresse :  Av. La Voz del Interior 8500, Córdoba. 

Il est possible de rejoindre le centre ville avec le bus n°25 ou de prendre un taxi ou un VTC.

Depuis Buenos Aires : il y a une quinzaine de vols par jour qui se font avec JetSmart, Flybondi et Aerolineas Argentinas. Le trajet direct dure 1h30.

Il y a également des vols depuis Mendoza, Salta et les autres grandes villes argentines mais les vols directs sont assez rares. Il y a souvent un grand détour par Buenos Aires, ou Santiago au Chili.

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III – Les questions de sécurité à Córdoba

L’Argentine est l’un des pays les plus sûrs d’Amérique latine. Córdoba est une très grande ville, donc il faut adopter la même prudence que dans n’importe quelle autre ville.  En ayant une vigilance particulière sur son téléphone quand on le sort dans la rue, sur son portefeuille qu’on ne met pas dans sa poche de pantalon et sur son sac que l’on ne laisse pas ouvert à la vue de tout le monde.

Les balades nocturnes appellent à la même prudence. Il n’est pas nécessaire de devenir paranoïaque, mais il faut être raisonnablement prudent·e.

IV – Se déplacer à Córdoba

Córdoba est une grande ville et tout ne peut pas se faire à pied. Il existe plusieurs solutions pour se déplacer.

Transports en commun

Le réseau de bus et de busway (comme les trams, mais sur la route) est très élaboré à Mendoza et toute la ville est correctement desservie. La ville a développé une application permettant de préparer son itinéraire, de connaître les horaires et les arrêts : Tu Bondi. Elle peut être téléchargée sur tous les téléphones.

Taxi et VTC

Comme dans toutes les villes, les services de taxis et de VTC fonctionnent très bien et sont bon marché.

En vélo

Il existe de nombreuses pistes cyclables dans la ville permettant aux deux roues de se déplacer en sécurité. Le centre-ville et le quartier de Nueva Córdoba sont très adaptés puisque de nombreux étudiant•e•s y vivent.

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V – Les quartiers de Córdoba

La ville de Cordoba est immense et le centre se divise en plusieurs quartiers. Le centre ville historique et tous les quartiers autour de Nueva Córdoba sont très agréables pour se balader et pour y vivre.

Pour vivre, cinq quartiers très proches du centre sortent du lot, avec des prix qui varient en fonction du lieu et du logement. Ils se trouvent à l’intérieur de l’anneau qui démarque le centre-ville.

  • Le quartier Alberdi : c’est un quartier très animé, avec beaucoup de passage, mais il a malgré tout un esprit de quartier résidentiel qui le rend agréable à vivre. C’était le quartier italien lors des grands mouvements des migrations européennes et il a gardé son aspect familial.
  • Le quartier Cofico : c’est un quartier hybride parce qu’il se trouve très proche du centre, mais il est résidentiel, avec une faible activité commerciale et beaucoup de maisons. Il se trouve à côté du Mercado Norte, zone commerciale très connue à Córdoba. Pas très loin se trouve également le Parque las Heras, dans lequel il y a des ferias (marchés artisanaux). Pour sortir le soir, le Captain Blue est un lieu qui accueille divers évènements comme des concerts.
  • Le quartier General Paz : il s’agit d’un quartier ancien puisqu’il a plus de 150 ans. L’architecture est cependant très moderne et influencée par l’esthétique européenne. Il n’y a pas beaucoup d’endroits pour sortir dans ce quartier mais il est proche du centre et bien connecté à toutes les parties de la ville avec les transports.
  • Le quartier Alta Córdoba : c’est un quartier très spécial qui mélange la tradition, la culture et l’histoire, notamment au niveau de l’architecture. C’est l’un des plus peuplés et des plus grands de la ville. La vie de quartier est marquée par la présence d’un club de foot qui fait partie de son histoire. Cela le rend particulièrement vivant notamment lorsqu’il y a des matchs en fin de semaine. Il y a toujours beaucoup de passage puisqu’il y a aussi de nombreux endroits pour sortir : restaurants, bars, clubs.
  • Le quartier de Güemes : c’est un quartier d’étudiant•e•s et d’artistes. Il y a une tradition esthétique particulière puisque les bâtiments ne sont pas hauts, les murs sont souvent colorés et décorés avec du street art. Il y a des galeries d’art, une feria artisanale le week-end au Paseo del Arte. L’ambiance très cool fait un peu hippie. Le quartier est très petit mais compte un nombre de bars très important. La nuit, les rues sont un peu moins sécures que le jour.

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Il y a bien sûr de nombreux autres quartiers dans la ville, mais ceux-là sont les plus populaires et pourront intéresser des pvtistes curieux·euses.

VI – Trouver un logement temporaire puis permanent à Córdoba

Pour trouver un logement, le plus simple est de faire des recherches sur internet et sur les réseaux sociaux ou d’avoir des contacts. Le budget varie en fonction du logement recherché et de la zone géographique. Le centre sera plus cher que les quartiers alentours.

Concernant les logements temporaires, vous pouvez trouver des auberges de jeunesse sur HostelWorld ou sur Booking. Vous pouvez également louer un logement entier sur Airbnb.

Pour les logements longue durée, ou permanents, vous trouverez de nombreuses annonces sur les groupes Facebook et sur Instagram. Il existe également des agences immobilières locales qui peuvent vous accompagner dans votre recherche mais qui impliquent un coût supplémentaire.

Vous pouvez commencer à repérer des offres à distance, mais nous vous conseillons d’attendre d’être sur place pour visiter le logement et vous engager.

Pour plus d’informations sur comment trouver un logement en Argentine, vous pouvez consulter notre dossier sur le sujet.

VII – Trouver du travail à Córdoba

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A Córdoba, comme dans les autres villes d’Argentine, le plus efficace pour trouver du travail est d’avoir des contacts.

Ce qui peut être intéressant avant de choisir Córdoba est de faire des recherches en fonction du domaine dans lequel vous voulez travailler, de chercher des noms d’entreprises et de les contacter.

Après avoir obtenu le numéro CUIL (Codigo Unico de Identificación Laboral) obligatoire pour travailler en Argentine, dans un bureau de l’ANSES (l’équivalent de la sécurité sociale argentine), vous pourrez trouver un travail.

Le contexte politique et économique actuel en Argentine n’est pas stable et rend la recherche d’un emploi difficile. Ce n’est pas impossible de trouver du travail, il faut cependant être patient·e et accepter de devoir modifier son projet en fonction des opportunités qui se présentent.

La ville de Córdoba est très grande et offre de multiples opportunités dans divers domaines professionnels. Que ce soit l’éducation, la vente, la publicité, la restauration, l’informatique, les nouvelles technologies, la sécurité… Vous aurez un large choix de possibilités.

Si vous souhaitez obtenir plus de renseignements sur le travail en Argentine, vous pouvez consulter notre dossier sur le sujet.

VIII – Faire ses achats : aménagement, nourriture, vêtements

Comme toute grande ville, Córdoba regorge de magasins en tout genre.

Dans le centre historique se trouvent des allées piétonnes encadrées de boutiques qui vendent des vêtements, des livres, des chaussures, des accessoires de cuisine, des accessoires de sport, de la décoration pour la maison, des pharmacies, du tissu, de la laine, du matériel électronique… Si vous avez besoin de quelque chose, vous pourrez donc le trouver dans ces rues, autour de la place San Martín. Sachez seulement que les magasins sont fermés tous les jours entre 14h et 17h environ et que le dimanche toute la journée, le quartier est quasiment endormi puisque tout est fermé.

Vous pourrez alors vous rendre à Nueva Córdoba et dans les quartiers environnants pour trouver des boutiques et un peu de vie.

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Il y a des supérettes partout dans le centre ville, des épiceries, des boulangeries, des vendeurs de fruits et légumes et quelques supermarchés. Les grands centres commerciaux se trouvent en périphérie du centre-ville : Dinosaur Mall Alto Verde, Patio Olmo Shopping et Córdoba Shopping.

Pour acheter de la nourriture, vous pourrez également adopter un mode de vie local et vous rendre au Mercado Norte. Ce sont des halles dans lesquelles on peut acheter toute sorte de nourriture. Le quartier tout autour est très dynamique et regorgent également de magasins.

Enfin, n’hésitez pas à entrer dans les galerias et les pasajes, qui sont parfois très charmants et qui peuvent cacher ce que vous recherchez.

IX – Sortir à Córdoba : culture, sports, restaurants, bars

La ville de Córdoba est très agréable à vivre. Les quartiers semblent avoir une âme, les rues sont arborées et l’architecture apporte un charme historique. De nombreux musées, expositions, bâtiments historiques et événements complètent l’agenda culturel pour qu’il y ait toujours quelque chose à faire.

Dans le centre historique de la ville, on retrouve la Manzana de las luces (le quartier des lumières), ou la Manzana Jesuitica : le quartier jésuite, classé au patrimoine mondial de l’Unesco. Il est possible de visiter :

  • la Universidad nacional y Colegio Monserrat : la plus ancienne université argentine, avec le cloître, les salles de cours et la bibliothèque.
  • la Iglesia de la Compania de Jesus : l’une des plus belles et des plus anciennes églises d’Argentine.
  • et les différents musées et demeures restées en l’état qui témoignent d’une époque culturellement très riche.

Dans ce quartier se trouve également la Plaza San Martín qui est l’ancienne place d’armes de la ville. Elle est centrale et autrefois, on pouvait s’y rendre pour voir les corridas et les exécutions. C’est aujourd’hui une très jolie place, aménagée et arborée. Au centre se trouve une statue de San Martín, le sauveur, sur son cheval. Sur l’un des côtés, la Iglesia Catedrale, église d’influence espagnole, qui est jaune et blanche, contraste avec le ciel bleu.

Dans les rues adjacentes, il y a le musée de la mémoire qui apporte un témoignage poignant des atrocités perpétrées pendant la dictature (1976-1983). Il abrite l’ancien centre de torture de la police qui est resté en l’état et qui a vu passer près de 20 000 victimes de la dictature. Les lieux sont chargés d’émotions et on peut voir les photos de famille et lire l’histoire de certain·e·s prisonnier•ère•s, encore disparu·e·s à ce jour.

En remontant vers le jeune quartier de Nueva Córdoba, on passe devant la Iglesia del Sagrado Corazon : magnifique église multicolore, qui pourrait ressembler à Notre Dame si on la regarde de loin en fermant un œil.

Si on continue jusqu’à la Plaza España, il est possible de visiter le Museo de Bellas Artes Evita installé dans le Palacio Ferreyra. Il s’agit de l’un des plus beaux musées du pays, et le bâtiment en lui-même vaut le coup d’œil.

Sur la Plaza España, tous les samedis après-midi et soirs des évènements musicaux sont organisés et de nombreux étudiants s’installent en groupe sur la pelouse pour partager un maté.

On peut ensuite continuer la balade en se rendant dans le quartier très animé de Güemes, en fin de journée le week-end pour faire un tour à la feria du Paseo de las Artes et voir les stands des producteurs artisanaux. Puis, s’arrêter boire un verre et manger un morceau dans l’un des  très nombreux bars et restaurants du coin.

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Pour profiter d’un peu de verdure, il y a le Parque Sarmiento, l’Avenida Marcelo T. de Alvear le long du Rio Cañada et la balade sur les bords aménagés du Rio Primero.

Pour les fêtard•e•s qui souhaitent sortir le soir et faire la fête, le quartier Cerro de las Rosas, ancien quartier d’entrepôts, propose de nombreux bars et boliche (clubs), et la rue Rondeau dans le quartier de Nueva Córdoba, est également largement plébiscitée par les étudiant·e·s pour ses différents lieux de sortie.

Des visites gratuites (au chapeau) de la ville sont organisées tous les jours. Il y en a une le matin, à 11h au départ de la Plaza San Martín, et une autre à 17h au départ du Palacio Ferreyra).

X – Faire du tourisme à Córdoba et un peu plus loin

Pour celles et ceux qui souhaitent sortir de la ville et visiter les alentours, voici quelques lieux d’intérêts.

Autour de la ville, dans la campagne, se trouvent les estancias jesuiticas, des fermes jésuites, qui sont aujourd’hui en très bon état. Elles sont classées au patrimoine mondial de l’UNESCO.

Vous pourrez notamment visiter celle qui se trouve dans la bourgade très huppée d’Alta Gracia, à environ 30 minutes de route de Córdoba. On peut également y visiter la maison d’enfance d’Ernesto Che Guevara.

À environ 50 kilomètres au nord de la ville, il y a aussi les estancias de Jesús María et Santa Catalina qui valent le détour et qui sont très bien conservées.

Pour les pvtistes qui veulent prendre un bol d’air et faire des activités sportives en pleine nature, il y a le Parque nacional Quebrada del Condorito. À environ 2h de route de la ville, c’est un parc naturel montagneux dans lequel toute sorte d’activités sont possibles.

XI – Adresses utiles et sites

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Voici quelques adresses à Córdoba qui peuvent vous être utiles, que vous soyez seulement de passage ou que vous comptiez vous y installer.

Santé

  • Hospital Nacional de Clínicas (public) : Sta Rosa 1564, X5000ETF Córdoba ;
  • Hospital Transito Cáceres de Allende (public) : Buchardo 1250, Córdoba ;
  • Hospital Privado CBA (privé) : Naciones Unidas 346, X5016 Córdoba ;
  • Sanatorio Privado de la Cañada (privé) : Av. J. M. de Pueyrredón 652, X5000 BSQ, Córdoba.

Administratif

ANSES (Administration nationale de la Sécurité sociale) :

  • Rivadavia, 6 : ouverture de 8h à 14h tous les jours (sauf le dimanche) ;
  • Nicolas Avellaneda 490 : mêmes horaires (fermé samedi et dimanche) ;
  • Av. de Mayo 1258 : mêmes horaires (sauf samedi et dimanche).

AFIP (Impôts argentins) :

  • Boulevard San Juan, 325 : de 8h30 à 14h30 (sauf le week end).

Agences Western Union

Il y a des points de vente Western Union partout à Córdoba. On a l’impression qu’un kiosque sur deux a un panneau Western Union. La réalité, c’est que ces kiosques ne reçoivent pas de fonds et ne peuvent donc pas transmettre d’espèces. Il faut trouver les agences officielles de Western Union.

  • Galeria Cinerama : Av. Colon 335 (n’apparaît pas sur google maps, mais c’est une agence officielle qui a toujours de l’argent) ;
  • Lima 17 ;
  • 27 de Abril 305 ;
  • Av. Colon 1133 ;
  • Libertad 1100.

Tourisme

  • Site officiel de Córdoba ;
  • Office du tourisme : Independencia 1-48, sur la place San Martin
  • Consul honoraire de France : Ayacucho, 46 ;
  • Alliance française : Ayacucho 46 ;
  • Dirección nacional de migraciones : Caseros 676.

Immobilier :

Eloise

En PVT en Argentine pour 1 an, mon amour pour les empanadas grandit de jour en jour et je travaille dur pour apprendre le porteño.
Doing a Working Holiday in Argentina for 1 year, my love for empanadas doesn't stop growing and I am working to learn porteńo.

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