Trouver du travail à Montréal, pas si facile ! Astuces et conseils.

Salut ! Alors moi je suis la depuis un peu plus de 4 mois et je n'ai rien trouvé non plus dans la com'.
Je bossais en agence avant de partir donc je suis un peu déçue de ne pas avoir trouvé.
J'ai discuté avec pas mal de pvtistes qui cherchent en com'-marketing et beaucoup n'ont pas encore trouvé non plus.
A savoir que le bilinguisme est très souvent demandé. En attendant j'ai trouvé un taf alimentaire avec des horaires cools qui me permettent de chercher en même temps ! Honnêtement je n'avais pas d’expérience non plus pour le taf que je fais aujourd’hui,hui mais ici il suffit de faire ses preuves.... Et au niveau de la promotion qui arrive vite, okay, mais ici tu peux monter aussi vite que tu redescends ! Bon courage dans tes recherches !!

Bon c'est rassurant !
Mais dis, tu as trouvé dans quel domaine? (et comment?)

Salut Guillaume,
Je viens de tomber par hasard sur ta discussion et cela me rassure de ne pas être seule à ne pas trouver de travail!
Je suis à Montréal depuis aussi longtemps que toi et même pour trouver un travail alimentaire, j'ai eu des difficultés.
J'ai appliqué pour les offres d'emploi de pvtistes.net comme plongeuse ou serveuse, et je n'ai jamais eu de réponse. Je suis passée aussi par kijiji et par emploi québec et là non plus rien!
Pour ce qui est de la recherche d'emploi dans mon domaine, qui est le travail social, là non plus, je n'ai jamais de réponse, mais pour le coup, je me doutais que ce serait long. Alors je ne désespère et je continue de postuler!!
J'espère que pour toi aussi, ça ira!
Ne perds pas espoir et bon courage !
Tacha

Camille a raison, même avec tous les efforts du monde, 2 mois ca peut être très court pour trouver du boulot ! Certains secteurs recrutent beaucoup (informatique par exemple) mais pour d'autres c'est beaucoup plus dur et il peut y avoir aussi beaucoup de concurrence.
Donc il faut s'armer de patience et persévérer
Ca peut mettre très longtemps avant de décrocher le boulot de ses rêves, et comme dit Camille il ne faut pas hésiter à trouver des petits boulots de livreur, serveur dans un café (second cup, starbuck ...), etc.
Il existe également des entreprises d'aide à la personne (ménage, devoirs, ...).

Tu peux te rédiger un petit CV type "petits boulots" où tu mets en avant des compétences un peu choisies suivant le type de petit boulot, et avec un peu de volonté et quelques jours de démarchage tu devrais trouver quelque chose

Bon courage à toi et bonne chance !

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C'est évidemment possible de décrocher quelque chose via les annonces sur pvtistes, kijiji, emploi-quebec etc... mais le lus efficace pour les boulots alimentaires c'est quand même d'aller frapper à la porte
Bon courage à tous !

Merci pour vos messages !

J'imaginais bien que ça allait être difficile, surtout dans la communication, mais c'est vrai que je suis un peu surpris par le temps que ça peut prendre. Quand je suis arrivé au Québec, j'avais en tête l'image de l'Eldorado de l'emploi que les médias nous ont si bien vendue, et même s'il est vrai que l'emploi est moins problématique qu'en France, la tâche reste assez ardue !
Pour les boulots alimentaires, je pense aussi que la meilleure façon est d'aller porter son CV directement. Mais il faut aussi savoir choisir le quartier, pas la peine d'espérer trouver facilement du boulot sur le plateau par exemple (un gérant d'un petit magasin m'a dit avoir reçu plus de 250 CVs rien que sur le mois de mai!)

Ce qui est dommage, c'est que la recherche d'emploi prend tellement de temps qu'en 2 mois je n'ai quasiment pas profité du fait d'être ici :/ Vivement que je trouve un boulot, histoire de souffler un peu e de profiter des quelques mois qu'il reste !

Oui on tombe souvent dans le piège de croire à ce faux eldorado...
L'avantage du marché du travail canadien c'est qu'il est très ouvert et flexible. C'est à dire qu'on peut aspirer à différents domaines sans forcément avoir les bons diplomes (tant que l'on a les compétences), et on peut changer de travail très facilement (tant que l'on reste correct avec un préavis raisonnable vis à vis de l'employeur).
Une fois dans la machine ca devient plus facile. Avec de l'expérience québécoise/canadienne, les employeurs sont plus à même de considérer les candidatures et on peut évoluer d'un boulot à l'autre jusqu'à dénicher son petit trou de bonheur.

Mais pour démarrer, se faire des contacts, démarcher, réseauter... Personne n'a dit que c'était facile (enfin si, les médias le disent ^^). Le Canada a beaucoup à offrir à ceux qui savent être patient et persévérant, mais au final ca paye vraiment

Et Guillaume prends quand même un peu le temps de profiter du coin, prends toi certains créneaux pour les cvs et le démarchage, et force toi à quelques jours de congés c'est important sinon tu vas finir sur les rotules que t'auras pas encore commencé à travailler

Il semble qu'il soit aussi conseillé de passer par du bénévolat pour se faire un réseau et pour pratiquer l'anglais.
Ça peut marcher aussi pour accéder à un premier emploi, car cela est considéré comme une première expérience québécoise.
Alors à voir!
Et puis, comme dit Magali, profite aussi de la ville, la saison des festivals commence et ça va être super !
A plus
Tacha

Je plussoie ce que dit Tacha : le bénévolat peut être une excellente façon d'obtenir une expérience professionnelle au Canada (et même peut-être obtenir une recommandation)
Par exemple, toi qui cherche dans la com. Essaye d'être bénévole pour un évènement ou un truc du genre (festoche, semaines du cinéma ou un truc comme ça) au niveau de la com. Donnes toi à fond, mais implique-toi sérieusement dans le truc. Ceci pour 4 raisons (non exhaustives, mais je n'en ai pas d'autres en tête):
- La recherche d'emploi et les non réponses : ça te pourrie complètement le moral. En Nouvelle-Zélande, je ne sortais limite pas de chez moi en attendant qu'on me réponde peut-être à un mail ou autre. Enfin, je ne sortais pas, si je sortais, mais c'était pour aller poser des CV. Ca me pourrissait complètement et j'étais juste en chien. T'impliquer dans une équipe, sur un projet, ça te donnera plus envie de te lever le matin, même si tu râtes une opportunité parce que tu es occupé à faire des choses cools sur ce projet bénévole. Tu auras peut-être après ça d'autres opportunités et elles seront peut-être plus intéressantes
- Tu te seras imprégné du fonctionnement de travail canadien. Tu verras un peu comment les choses fonctionnent, comment les gens agissent en bossant en groupe. Ca sera un plus pour une candidature. Tu acquéreras un savoir-faire qui peut t'être utile par la suite et que tu pourras mettre dans un CV. Car c'est jolie d'avoir un diplôme, mais pour un Canadien, un diplômé d'un pays à 5000 km, ça ne vaut pas forcément tripette. En quelques sorte, tu seras véritablement confronté au mode de travail canadien et ce manque d'expérience peut rebuter des employeurs.
- Tu peux commencer à te construire un réseau via ça, en rencontrant des gens qui eux ont peut-être des offres d'emplois un peu plus informelles ou autre. Tu vois, genre les discussions "et alors, tu viens d'où, tu fais quoi ?".... "ah ouai, bah si ça t'intéresse et que t'es motivé, j'ai tel ou telle ami(e) qui chercher quelqu'un pour bosser"...Toutes les annonces d'emplois ne passent pas toujours via les réseaux internet ou autre. La personne sera peut-être d'autant plus motivée à t'aider si tu t'es véritablement impliqué dans le projet (et pas si tu étais là juste en mode opportuniste).
- La responsable qui gère les bénévoles ou le projet peut, si tu t'entends bien avec lui/elle, être une recommandation que tu ajouteras en numéro de téléphone sur un CV par exemple (une référence canadienne, c'est toujours pas mal).

Ensuite, par rapport à ton boulot dans la communication ou le marketing : alors oui, comme quelqu'un le disait plus haut, parler couramment anglais est définitivement un avantage (pourquoi d'ailleurs ne pas te tourner vers du bénévolat anglophone par exemple). Ca ne sera pas un avantage face aux Québecois qui parlent pour la plupart largement et couramment anglais (surtout à Montréal en fait), mais face à d'autres candidatures où les personnes galèrent en anglais. Avec un peu de chance, ça te mettra sur un pied d'égalité avec les Québecois dans la recherche d'emploi.
Aussi, il faut savoir que les pvtistes en communication et dans le marketing qui partent au Québec (et encore plus à Montréal) : vous êtes nombreux, voir très très très nombreux. En novembre dernier au salon Destination Canada, je disais aux gens qui voulaient travailler dans cette branche d'essayer peut-être d'autres provinces. On a vu plein plein de jeunes gens diplômés dans l'un de ces 2 domaines qui prenaient la direction de Montréal. Bah au bout d'un moment, ça se bouche un peu les opportunités dans le secteur quand même. Vous êtes même à la fin en compétition entre Français. Je ne sais pas, mais je me dis qu'à certains entretiens genre les uns après les autres, il doit y avoir plein plein de Français qui défilent à la recherche du même boulot (un peu comme en France en fait). Bref, le secteur commence peut-être à se boucher dans cette ville.

Pour les petits boulots, comme le disait Magali je crois, il faut évidemment faire du porte-à-porte et être pro-actif en fait. Genre en effet, faut éviter des quartiers saturés déjà par plein d'autres gens (le Plateau, bah t'as tous les nouveaux pvtistes qui viennent y poser leurs CV) qui sont aussi en recherche de petit boulot. Et déposer un CV ne suffit pas à prouver une motivation quelconque. Tu déposes certes le CV, tu te souviens où et quand tu as posé tel CV et tu reviens un ou 2 jours après si tu n'as pas de nouvelles.
Le CV ensuite, tu ne le donnes pas à la première personne qui bosse pour le lieu : tu demandes gentiment à voir le/la manager, et si elle/il est pas là, tu demandes quand il/elle sera là. Et puis tu annonces tout simplement que tu repasseras. Repasser déposer un CV, c'est déjà pas mal, ça prouve un peu de motivation. Ensuite, une fois le CV déposé et sans trop de réponses après quelques jours (si la personne te dit non, ça ne sert à rien), tu retournes là où tu es allée et tu demandes s'ils ont lu ton dossier (de cette manière, même si elle est négative, tu as une réponse). Surtout, outre l'avantage de savoir ce qu'il en est, le/la responsable peut un peu évalué ta motivation pour vouloir bosser, et ça compte quand même pas mal ça aussi.
Si tu vois une annonce sur un site Internet ou autre pour une entreprise qui cherche des gens (pour les petits boulots), au lieu d'envoyer le CV via le formulaire, tu te rends directement sur place. Là aussi, tu apparaît plus motivé par exemple.

Voilà voilà, je ne sais pas si ça t'aideras, mais ça te donnera peut-être quelques pistes.

PS : ah oui, je ne sais pas si tu l'as déjà fait, mais demande peut-être un peu d'aide sur ton CV qui ne correspond peut-être pas aux standards établis ici. Met l'accent sur tes expériences (même les petits boulots t'ont donné certaines expériences, à toi de mettre plus en avant un savoir-faire acquis), ne te range pas derrière un diplôme qui n'a que peu de valeur ici (mais tu peux expliquer dans ce diplôme ce que tu as appris à faire grâce à ça => C'est ça ce qui intéresse les employeurs).

EDIT : désolée pour le pavé, j'étais inspirée...

Que de bons conseils Marie

J'en profite aussi pour vous donner le lien d'une entreprise de services à la personne dont j'ai de bons echos et qui embauche des pvtistes : Les Services des Génies | Accueil : aide, ménage, cours privés, etc.
N'hésitez pas à les contacter !

Que de bons conseils.

Salut!
J'ai aussi eu du mal à trouver du travail. Je suis restée 2 mois avant de trouver car je voulais absolument trouver un job dans mon domaine (com et marketing), puis je me suis résolue à chercher un job alimentaire. J'ai trouvé par Adecco. J'ai déposé mon CV et ils m'ont très vite appelé pour passer un entretien et les tests de base (Word et orthographe). Quelques semaines plus tard, j'avais mon premier job comme préposée au secrétariat (j'avais une petite expérience de secrétaire de quelques mois en France), pas trop mal payé.

Par contre, plus d'un an plus tard, j'en suis toujours à un job alimentaire d'agente administrative :'( trouvé grâce à Adecco mais maintenant je suis embauchée de manière permanente.

Après dans le domaine de la com, comme dit Camille, il faut souvent être bilingue.

Pour des petits boulots tu peux déposer ton CV dans les agences de placement (Adecco, Randstat, Quantum...) ou bien aller dans des magasins comme Costco qui cherchent très souvent du monde.

Bon courage pour ta recherche!

salut guillaume,
je vais partagé mon expérience qui rejoint pas mal les propos de Marie.
Lorsque je suis arrivé j'ai pendant 2 semaines profité de la ville biensûr mais également assisté pendant des heures à des réunions, ateliers pour immigrés. (différences culturelles, techniques recherche emploi, CV, ...)
J'avais à l'époque un BTS en com avec un an d'expérience environ dans le domaine. (j'avais aussi bossé en compta, vente, commerce et com en autre) J'avoue trouver dans la com aurait été cool mais je voulais travailler avant tout. J'ai vite compris que ca serait compliqué :s
Durant deux journées j'ai parcouru tout ste catherine et st denis avec mes CV en demandant les responsables. Tu verras qu'en marchant on voit pas mal d'affiches comme quoi on embauche
1er jour : un coup de fil le soir meme pour une entrevue le lendemain dans un fastfood qui commence par un Q....
2eme jour : je fini au culot par posé un cv dans un café a 2 pas de chez moi entrevue directement avec le responsable il me dit ok tu commence tel jour tel heure
dans la semaine je jonglais avec ces 2 boulots (fast food et café donc rien à voir avec ce que je faisais avant :s) Avantage du contact clientèle : la pratique de l'anglais et des histoires droles avec mon anglais du début
le plus fort 1 mois et demi avant de repartir pour la france javais quitté mes jobs pour profité un peu et un coup de fil d'un magasin Fo.. Lock.. où j'avais postulé me propose une job ... ca ne l'a pas fait évidemment mais comme quoi tout est possible.

Salut Guillaume,

Oui finalement ce n'est pas facile de trouver un emploi. On rêve de l'Eldorado et puis finalement, bah on galère un peu.
Qu'on se dise, ou qu'on nous dise, "c'est normal, il faut prendre le temps de connaître le monde du travail. Que l'on vient d'arriver...tout ça tout ça", et bien ça ne rassure pas pour autant!
Je suis aussi dans ton cas, après deux mois de recherches, toujours rien même pas un seul appel. Dur. Rude, on se sent plus qu'inutile.
Pourtant, je fais tout pour. Faire réviser son CV par sa voisine, qui par chance est une pro la dessus, faire passer son Cv à toutes les personnes (enfin peu car on vient d'arriver) qui vont le transmettre de leur côté, faire une bonne lettre de présentation, personnaliser son CV à chaque offre, faire du porte à porte pour des petits boulots alimentaires, chercher dans des domaines autres que le tien, car tu as des petites expériences ailleurs, faire de bénévolat... bref tu mets toutes les chances de ton côté, et rien. Frustrant hein!
Deux mois, et toujours rien. Très honnêtement, après 2 mois, on commence à se poser beaucoup de questions. Oui deux mois c'est court. Mais c'est aussi très long. Tu commences à tourner en rond, à revoir ton CV (mais qu'est-ce qui va pas dans mon CV!!) à revoir ta lettre de présentation... etc. Bref, la looze.
Je crois que le plus dur, c'est qu'on ne te laisse même pas une chance en ne te donnant pas l'opportunité de parler lors d'un entretien, parce que tu n'as pas de rendez-vous.
Alors oui, ici c'est dur comme ailleurs. Et c'est pas facile. Surement qu'en France, ça serait encore plus compliqué!!
Je comprends votre frustration, vous les PVtistes sans job encore. Finalement, il y en a beaucoup dans ce cas.
On nous dit de ne pas lâcher, et c'est vrai, il ne faut pas lâcher, mais franchement c'est pas simple. On se décourage aussi. Et c'est normal, c'est humain.
Mais oui il ne faut pas lâcher, je pense qu'il y a une bonne part de "être au bon endroit au bon moment" pour avoir un emploi. Avoir du bol quoi! Et parfois c'est pas donné à tout le monde.
Aller reprends courage! Phrase banale qui aide pas vraiment hein!
Mais tu n'es pas plus bête qu'un autre, alors pourquoi pas toi après tout! Tu as de l'expérience, un bon CV alors ça va le faire. Il faut de la patience, et beaucoup de courage.
Non Guillaume tu n'es pas seul dans ce cas! ça fait du bien de le savoir n'est-ce pas! Mais en même temps, c'est un peu dommage!
Et si en ce moment tu es découragé, alors fais autre chose, change toi les idées, et surtout sors. Si tu restes chez toi à ruminer, tu ne te sentiras pas mieux. Ne culpabilise pas de ne pas chercher un job 24/24h, change toi les idées, ça te rechargera les batteries, et tu verras cette situation plus clairement.
ça reste dur, mais tu verras, dans quelques mois, tu riras de cette période! j'en suis certaine! Et j'espère que moi aussi!

Ce qui t'arrive est un peu normal je dirai. 2 mois ce n'est pas beaucoup dans la recherche d'emploi, surtout si tu cherches dans ton domaine. Il ne faut pas oublier que Montréal est la destination numéro 1 de tous les Francophones venant au Canada, pas seulement les pvtistes Français. La concurrence est très rude, et le marché de l'emploi est plus ou moins saturé. As-tu pensé à essayer une autre ville au Québec, quitte à revenir sur Montréal plus tard?

Ah non, selon moi, il ne faut pas trop lâcher la recherche d'emploi et s'accrocher, mais il faut aussi se dire "et si je bougeais pour partir ailleurs qu'à Montréal"... voir hors du Québec ou dans certaines provinces qui ont déspérément besoin de gens

J'ai trouvé sur Kijiji ! C'est tres fourre-tout mais je postulais un peu à tout et du coup je travaille dans un cabinet de recherches de titres immobilières.
Je ne sais plus qui l'a écrit plus haut mais je voyais vraiment le Canada comme un eldorado effectivement et du coup il faut revoir un peu ses critères. Moi je n'ai pas trouvé alors que mon copain qui bosse dans la com' a trouvé en un mois ici ! Il faut perséverer

Bonsoir,
On en a déjà parlé ici sur les emplois en communication sur Montréal, et divers sites Internet.
Quand je suis arrivée en 2012, j'ai trouvé tout de suite un poste en communication / levées de fonds à Rimouski, après six mois, j'ai répondu une offre sur Emploi Québec (en tapant comme mot clé "french") pour un poste en innovation et communication dans le Nord-Ouest de l'Ontario pour l'association des francophones, et j'ai eu une semaine pour déménager ! Oui, il faut bouger ! Il n'y a pas que le Québec, et beaucoup d'emplois sont possible dans les autres province, notre langue française y est un atout, et cela peut permettre d'améliorer son anglais dans la vie quotidienne.
Bon courage pour tes recherches

Attendez de voir la compétition qui s'en vient entre Français: Chômage en France: cohue pour s'expatrier au Québec | Maxime Bergeron | Europe

Mon conseil est aussi de bouger, vous êtes trop nombreux à choisir Montréal voir le Québec!!Le PVT est un PVT CANADA. Il y a de la job en masse dans les autres provinces. à la limite allez au moins en region plus éloignée, tourisme, fermes et restauration ça recrute constamment.

Mon autre conseil: cherchez d'abord des boulots non qualifiés...votre permis est temporaire, et le nombre d'immigrants qualifiés avec RP explose au Québec . Vous n'êtes pas la clientèle cible des employeurs. Et adaptez votre CV, ne mettez pas l'accent sur les diplomes souvent les diplomes francais ca ne veut rien dire pour nous...écrivez ce que vous savez faire (ou êtes prêts à faire).

Bonne chance!

La comm' c'est un domaine convoité mais sans grands débouchés. Un ami m'a dit avoir regretté de ne pas avoir plutôt fait un apprentissage en plomberie, ça lui aurait davantage apporté. soyons sérieux deux minutes: tout le monde veut "communiquer" mais personnellement, je trouve le domaine si large qu'on peut difficilement le qualifier. Rien que ça, c'est difficile.

Ensuite la solution de facilité: Montréal > Plateau > Mont royale ^^ C'est un peu comme Paris > barbes > boulevard Rochechouart.
J'avais presque fait ce choix à l'époque (disons que je n'ai jamais vécu à Montréal centre, bon si 3 mois à Concordia) mais en contre partie, j'ai pris ce qu'il y avait (au bout de deux semaines, j'étais vendeuse et ça m'allait) puis j'ai eu les jobs de bureaux tant convoités.

Patience, humilité, risque.... bonne chance !