Discussion: Ecologie...20 ans de retard au Canada!!
- 08/01/10, 01:38 #21Tout d'abord bravo aux courageux qui ont lu le précédent (GLUPS) je ferais plus court.
Après faut bien voir qu'ils se font quand même intoxiquer par des lobbies qui leur met dans la tete que le global warming c'est de la merde, la biodiversité c'est un coup de pub et les cyclones le fruit d'une attaque terroriste ... j'exagère mais pas loin quand même (4 lobbyistes pour un congressman aux USA ... ça laisse rêveur).
Comme mentionné dans mon message (oui le très long ) au dessus, les choses commencent à bouger mais un peu tout de même sous la contrainte ... mais quand on y regarde, c'est pire chez nous! Le changement s'opère en France dans la plupart des cas sous la contrainte par la loi, mais toujours au dernier moment ^^
Pour moi, il ne reste qu'une solution dans leur cas ... que les scientifiques améliorent leur communication et rendent leurs discours accessible au public afin de faire comprendre tous ces petits truc au sujet de l'écologie.
Disposant des meilleurs scientifiques dans différents domaines et les gens n'étant pas plus bêtes que les autres cela devrait marcher
(Enfin si ça marche pas, moi je rentre en Europe XD)Dernière modification par FlorianD ; 08/01/10 à 01:40.
- 08/01/10, 01:43 #22ok on peut parler des gouvernements, lois etc ce qui inclut les industries. là on peut parler des + : bixi, gestion de bacs de recyclages et de compostages (exemples pour Montréal)
et des - : les sables bitumineux, l'agriculture intensive etc
on peut aussi parler des particuliers (toi, moi, le voisin de table au resto ou le collègue) : qui ne va pas éteindre la lumière en sortant d'une pièce, ou laisser couler l'eau pour rien.
il y a donc 2 niveau de discours à avoir.
et quand tu dis qu'au Canada, il y a de la place pour que la terre régénère et assimule nos déchets ... ok c'est valable pour l'instant.
mais qui sait ce que ces déchets régénérés et assimulés peuvent quand même donner ? et faut-il attendre qu'il soit trop tard pour réagir ?
... non nous sommes en 2010 (bonne année !) et il faut réagir maintenant, puisque pas assez de choses n'ont été faites jusqu'à présent ...
- 08/01/10, 01:46 #23les lois c'est bien mais il faut une prise de conscience de la population, les éduquer la-dessus ce qui n'est absolument pas le cas à l'heure actuelle...
- 08/01/10, 02:45 #24C'est sûr, il y a certaines avancées Viviane comme tu le dit, et beaucoup reste a faire au Canada mais généralement un peu partout dans le monde.
Le problème des deux niveau de discours et lui aussi intéressant. Le changement de politique de la part de l'Etat ne va pas sans un changement de la conscience populaire et il existe quand même une relation très forte entre les deux, une synergie qui fait se transformer/influe sur l'autre.
Je rejoins ce que dit Sophie, une fois l'éducation des gens faite, c'est dans la poche. Cependant le travail me semble déja très énorme. On doit faire prendre conscience de quelque chose qui n'existe pas dans la tête des gens et qui de surcroit se trouve assez souvent remis en question publiquement sous le coup de je ne sais quelle pressions (lobbies). Les preuves sont discréditées etc ... on peut nier autant qu'on veut, il arrive bien un moment où cela devient impossible (cf. Global warming depuis trois ans).
Mais faut rester optimiste, je crois profondément en la capacité de mobilisation dans la culture Nord Américaine. Comme dit auparavant, ils partent de loin mais les choses vont plus rapidement qu'en Europe!
- 08/01/10, 03:07 #25Sur le sujet environnement ... très courte vidéo sur le thème du réchauffement climatique tirée d'un film de ...1958!
YouTube - 1958 - Global Warming - It's NOT newly known
ça fait déja un bout de temps que le débat existe dans les milieux scientifiques Américains ...
- 08/01/10, 03:15 #26Hors les grande villes, beaucoup de personnes on leur systeme de puit d'eau forer dans une veine de rivière souterraine.... Combien de fois ai je entendu parler de polution de puit . C est pas grave on fore plus loin ...... c est une solution certe! Et eviter la polution de cette veine ??
Je suis pas specialiste mais bon me semble qu'effectivement la terre peu assimilé un paquet de cochonerie mais jusqu a quel point ?
- 08/01/10, 13:32 #27Hors les grande villes, beaucoup de personnes on leur systeme de puit d'eau forer dans une veine de rivière souterraine.... Combien de fois ai je entendu parler de polution de puit . C est pas grave on fore plus loin ...... c est une solution certe! Et eviter la polution de cette veine ??
Pour reprendre l'exemple des tomates espagnoles, mais qui s'applique à l'ensemble du système agricole dit moderne, c'est bien nos habitudes alimentaires (celles de nous consommateurs) qui au fil des années ont incité des producteurs espagnols à intensifier leurs productions. Le tout à grand coup de serre chauffé au fioul, et de camions vers la France (mais pas forcément des pesticides, la production en serre étant quand même extrêmement raisonnée aujourd'hui).
L'évolution du système agricole français à partir des années 60 vient lui aussi répondre à une demande de la société, celle de manger, et pour pas cher ! Aujourd'hui on connait tous les conséquences de cette évolution, mais tout le monde préfère rejeter la faute au monde agricole tout en continuant à payer son steak, ses pâtes, ses fruits, pour quasiment rien. (quitte à abandonner les productions locales pour celles de l'autre bout du globe)
Sur le sujet H1N1 quelqu'un disait je crois très justement que les Français attendaient bien trop de l'Etat et n'étaient pas capable de se prendre en main. Sur les questions environnementales je trouve la remarque encore plus justifié !
Face aux entreprises c'est bien le consommateur qui à le pouvoir ! Libre à chacun d'aller vers des modes de vie (et des produits) plus simples, moins dispendieux en énergie. A chaque situation ses solutions, mais ce ne sont ni les politiques, ni les publicitaires, qui nous les apporteront.
Le jour où les Français, ainsi que les Européens, auront réglé ce problème, alors je suis certains que les nord américains eux aussi s'ouvriront à d'autres façons de vivre.
- 04/02/10, 11:31 #28Pour répondre à ta question : la Terre est capable d'assimiler bien plus de cochonerie qu'on ne le croit. J'ai même envie de pousser le vice encore plus loin en te répondant que la Terre est capable de tout endurer. La question qu'il faut se poser c'est plutôt qu'est ce que l'Homme est capable d'endurer ?
La Terre à vécu sans l'espèce humaine et vivra bien après notre extinction.
Pour revenir au sujet de départ :
Il est vrai que les canadiens (ou plutôt les québécois puisque je n'ai pas pu constater pour le reste du pays) ne sont pas sensibilisés à la protection de l'environnement.
J'ai un petit exemple : j'avais des voisins qui avaient marre de cette maudite mârde blanche (oui, vous voyez bien de quoi je veux parler). Arrivés au mois d'avril, le premier reflex c'est donc de prendre le tuyau d'arrosage pour asperger la neige d'eau et la faire fondre ! Incroyable ? Pas vraiment... Tout cela leur semble assez naturel.
D'un autre coté, il faut admettre que les nord-américains sont assez exceptionnels pour leur capacité à avancer rapidement lorsqu'ils prennent conscience qu'un changement est nécessaire, et c'est ce qui me fait espérer pour les années à venir.
Loin de la paperasse et des lourdeurs administratives franco-françaises, nos amis québécois ne vont pas par quatre chemins pour changer des habitudes pourtant bien ancrées dans leurs quotidiens. Prenons l'exemple du salage des routes : Aujourd'hui vous ne trouverez (normalement) plus de sels sur les routes et les trottoirs québécois. Le sel a été remplacé par du sable. Alors pourquoi donc avoir remplacé l'invisible sel par cette saleté de sable qui jauni/rougi/noirci (?) la neige pendant le printemps ? Tout simplement parce que ça ne pollue pas les nappes phréatiques et le Saint-Laurent dans lequel se jettent tous les affluents. Et il ne leur a pas fallu quinze décrets, douze lois et trois constitutions pour arriver à ce résultat ! En France, je ne vous parle même pas du casse-tête administratif qu'il faudrait pour arriver à coordonner cela.
Bref, de mon expérience personnelle (un an au Québec et un master en Géographie appliquée à l'environnement et les risques naturels et anthropiques), il est certain que les québécois n'ont de leçons à donner à personne en matière d'environnement. Ils ont de l'espace, des ressources pas chers et le savent. Le problème vient effectivement de la conscience collective mais celle-ci ne doit-elle pas être guidée par nos élus ?
Pour tous ceux qui se demandent pourquoi l'Homme n'est pas capable de respecter l'environnement, demandez-vous déjà pourquoi n'est-il pas capable de respecter l'espèce humaine tout simplement.
Lorsque l'on sait que l'Homme est capable de massacrer plusieurs millions d'êtres humains, comment imaginer qu'il n'y ai pas une personne sur Terre capable de gaspiller l'eau potable ? ...
- 04/02/10, 12:26 #29@Bobleouf, dans la plupart des départements, on sable depuis longtemps et le sel est de moins en moins courant.
Même dans les pays de l'est où le casse-tête administratif est inimaginable, c'est du sable.
En réalité, nos amis nord-américains ont surtout l'impression que l'environnement va bien. On respire bien, la faune est carrément envahissante, 80% du territoire n'est pas colonisé par l'homme, la densité de population est faible, etc.
Tant qu'on a pas vu les plaines de Seine et Marne sans un seul arbre avec des champs à perte de vue et des vents qui assèchent tout, les décharges, les usines désaffectées, etc. c'est difficile de se dire que l'on participe au problème.
De plus, eux, quand ils découvrent du pétrole, la région devient automatiquement richissime. On a rarement eu le cas en Europe donc taxer le pétrole ne nous pose pas trop de soucis.
- 19/02/10, 13:04 #30Anonymebizarrement j'aurai pense qu'un pays si verdoyant serait plus soucieux de la nature
mais entre les diverses exploitations (notamment minieres) et le bilan ecologique des JO, j'ai l'impression que tristement l'interet financier prevaut sur le respect de la nature...
- 19/02/10, 13:11 #31Jerry,
C'est exactement le même réflexion que je m'étais faite !! Mais quand on apprend que le Canada est l'un des plus mauvaises élèves en matière d'écologie, on comprend que cette réflexion ne s'appuie sur absolument rien en fin de compte.
- 19/02/10, 14:23 #32
- 19/02/10, 14:31 #33Anonymelol, non ca se calcule pas comme ca..
mais bon, c'est vrai que le continent nord americain dans son ensemble n'est pas tres regardant cote ecologie...
qd on voit les ressources mises en oeuvre pour amener de la neige à Van ou encore le ciment neige utilisé pour faire tenir le peu de neige qu'ils ont pendant 2 semaines (ultra polluant)
- 19/02/10, 15:43 #34Mais il ne faut pas oublier que tous les bâtiments construits pour les JO sont éco énergétiques. Que 70% du chauffage provient de la chaleur dégagé par les égouts de Vancouver... Donc en prenant tout les paramètres on arrive sans doute à un bilan neutre... il y aurait eu de la neige, il n'y aurait pas eu les problèmes que tu cites..
- 19/02/10, 16:42 #35Anonymec'est ca quand on attribue les JO 8 ans à l'avance sans prendre en compte les changements de climat...
- 19/02/10, 18:04 #36Ben en fait ça se tient : dans un pays ou l'espace est abondant et les ressources naturelles abondantes, les gens se rendent moins compte de la nécessité de les préserver.
Sinon, il ne faut pas mettre toutes les exploitations minières dans le même panier non plus, il y a le cas des sables bitumineux et le reste...
- 19/02/10, 18:06 #37Anonyme
- 25/08/10, 06:24 #38Pour commencer, je suis d'accord avec la majorité des faits évoqués plus haut
Mon but est de contredire un peu, d'apporter un avis québécois et aussi parce que je pense que les raisons qu'ont les français de s'autoproclamer champions de l'écologie face aux Québécois ne sont pas si méritoires.
L'eau et l'énergie sont de loin les pires tares québécoises au niveau de l'environnement. Les Français sont très sensibles depuis longtemps à l'économie d'énergie et d'eau : avant même que l'environnement soit un sujet de mode, l'aspect financier a incité votre pays et ses citoyens à utiliser pleins de méthodes très efficaces pour ménager ces deux importantes ressources. L'éveil des mentalités à ce sujet est très lent au Québec et ce n'est pas demain la veille qu'on verra les citoyens québécois adopter vos excellentes méthodes pour économiser l'eau et l'énergie.
Au niveau des déchets dangereux et des rebuts de construction la situation s'améliore, mais très lentement. Les grands espaces ont effectivement engendrés un manque d'intérêt à trouver des solutions plus efficaces pour se débarrasser ou pour réutiliser ces matériaux.
Par contre, je trouve qu'il est exagéré de dire que les Québécois n'ont aucune conscience écologique. Elle est surtout différente de celle du Français moyen et le Québécois sera tout aussi choqué de la situation en France!
Les Québécois se préoccupent énormément de la pollution de l'eau. D'énormes efforts ont été fait pour dépolluer le fleuve par exemple : traitement des boues pollués au fond de l'eau, contrôle féroce des déversements illégaux par les bateaux, améliorations des centres de traitement des eaux usés et surtout, une interdiction de déverser les égouts dans le fleuve. Il y a 20 ans, il aurait été imaginable de se baigner dans le Fleuve. C'est maintenant chose possible dans certains endroits privilégiés.
Le recyclage des déchets domestiques est maintenant bien ancré et dans très peu de temps, les citoyens de Montréal disposeront d'un bac réservé au compostage. Le recyclage des contenants de verre est aussi très bien implanté depuis longtemps grâce à la consigne.
Je suis aussi assez heureux de l'utilisation du vélo au Québec! Le pourcentage de cycliste est particulière élevé comparé à plusieurs grandes villes françaises.
Les cultures bios et biodynamiques sont de plus en plus courantes au Québec et l'alimentation bio est définitivement plus accessible au Québec.
Je suis personnellement choqué en France sur ces points : recyclage très variable selon les régions, compostage inexistant, effaré par la quantité de déchets jetés directement dans la rue, les déjections canines et surtout, surtout, l'état des fleuves et des rivières!
La Garonne, la Loire, la Seine pour les fleuves que je connais bien, pour moi ce sont des égouts à ciel ouvert. Et que ce soit dans les rares parcs des villes ou dans un coin perdu des Pyrénées, je vois tout le temps des mégots sur le sol.
Pour conclure, je trouve que la majorité des habitudes écologiques françaises ont à l'origine été développés pour économiser de l'argent et que sur tous les habitudes écologiques qui en font dépenser au gouvernement ou aux particuliers, la France à du retard sur le Québec. Je ne suis donc pas particulièrement impressionné par l'esprit écolo de la France, beaucoup plus par les méthodes qui sont aux final très écologiques. Le Japon par exemple est encore plus avancé au niveau de la préservation de l'eau, de l'énergie et des ressources, mais les raisons sont les mêmes.
Je crois que les deux pays ont un long chemin à faire pour améliorer leur empreinte écologique! (mais pas le même)
Répliques à des commentaires :
Vivianne : les petits bac verts ont été privilégiés aux grands bacs qui permettent un tri par sorte de déchets pour une simple raison : déneigement. Lors des premiers projets pilotes dans les début du recyclage à Montréal, le taux de bris de ces grands bac engendrait des coûts et une pollution jugée excessive. Pour ce qui est de la contamination du recyclage, j'ai travaillé en Éco-Quartier et dans un centre de tri et je peux t'assurer qu'aucun lot n'est jeté. Pour l'hydro-électricité, je suis d'accord que c'est loin d'être aussi écologique qu'on le dit mais je trouve que ça vaut le nucléaire. Disons que c'est une des rares méthodes massives de production qui ait un impact faible (mais présent) sur l'environnement.
Pmithrandir: Sur les centrales thermiques au Québec : la production électrique en 2008 au Québec était à 92,2% en électrique. Hydro-Québec investit aussi massivement dans l'éolien depuis quelques années. Il y a une centrale nucléaire, petite, qui a servit de test à Hydro-Québec pour exporter la technologie nucléaire dans d'autres pays (comme le fait EDF). Il y a des centrales thermiques pour 3,5% de l'énergie électrique. Ce sont celles qui sont visées à être remplacé par l'éolien car elles desservent des centres éloignés (Iles-de-la-Madeleine, Grand grand Nord). Il y a aussi une centrale thermique au gaz naturel, qui a servi à l'époque pour le développement de technologies de productions moins polluantes pour exporter dans des pays qui ont accès au gaz naturel.
PS : le gouvernement fédéral canadien n'a presque aucun pouvoirs pour légiférer sur l'écologie. Chaque province gère donc cet aspect à sa manière et surprise, les positions varient entre elles. Par exemple, malgré que depuis 20 ans des ressources pétrolières sont connues au Québec, l'exploitation n'a jamais été autorisée (j'espère que ça continuera). D'ailleurs, lorsqu'il y a des sondages sur les sables bitumineux, les Québécois sont majoritairement contre. Des provinces comme les BC, le Québec, la Nouvelle-Écosse et le Nouveau-Brunswick se préoccupent beaucoup plus de l'environnement que l'Alberta ou l'Ontario par exemple.
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- 25/08/10, 10:00 #39
- 25/08/10, 13:05 #40les hotels n'ont aucune charte, ni meme un commencement d'idee du genre "si vous deposez votre serviette a tel endroit, c'est que vous souhaitez pas qu'on vous la change" des choses qui existent en France depuis 20 ans..
Deux expériences différentes et deux constats différents, pourquoi ne pas tempérer tes propos ?
La comparaison est biaisée/dénuée d'intérêt, cela dit je suis d'accord sur le fait que les deux pays ont du travail sur différents points.
Ce n'est pas mieux ou moins bien, c'est juste différent. Les deux pays ont des histoires, des influences et des démographies différentes. Il y a tellement de facteurs en jeu, qu'il est mal venu de dire que l'un ou l'autre est à la bourre. Globalement, tout le monde est à la bourre, simplement parce que ça prend énormément de temps de gérer un progrès industriel/technologique afin de le maitriser et de l'affiner.
Il ne s'agit pas uniquement de mettre en place des poubelles ou des sacs biodégradables, ou ne plus utiliser tels matériaux. Cela concerne aussi (et surtout ?) la gestion à grande échelle, la manière dont nos industries se développent via tout un tas de législations inconnues du grand public, mais qui sont sans arrêt mises en place afin de limiter certains abus. Ajoutez à ça divers paramètres tels que les intérêts économiques, les relations officieuses entre gouvernements et industriels, on se rend compte très vite que ça devient très compliqué à gérer et que toute avancée en matière d'écologie doit satisfaire la majorité voir l'intégralité de ces paramètres.
Ceci expliquant cela, ça dépend
PS: Je ne fais pas l'apologie de la passivité face à ce sujet, uniquement attention à ne pas tomber dans la facilité à réduire un problème à une phrase simple.
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