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Bonjour, peux-tu te présenter ?
Bonjour, je suis une entrepreneure passionnée originaire de France, et je vis au Canada depuis plusieurs années maintenant, à Montréal plus précisément.

J’ai fondé BocoBoco il y a maintenant 4 ans, une épicerie en ligne réinventée – en axant notre offre sur l’économie circulaire (zéro déchet par les contenants consignés) et la durabilité. Mon expérience en tant qu ‘entrepreneure étrangère au Canada a été enrichissante et stimulante.
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Tu es partie en PVT au Canada et tu es maintenant résidente permanente. Pourquoi cette destination ?
J’ai choisi le Canada comme destination pour plusieurs raisons.

Tout d’abord, j’ai eu l’opportunité de partir en échange universitaire d’une durée d’un an au Québec, ce qui m’a permis de découvrir le pays et de m’y familiariser. À l’origine, je souhaitais simplement voyager et sortir de ma zone de confort en explorant une destination en dehors de l’Europe. Montréal m’a tout de suite séduite. L’effervescence culturelle, l’atmosphère cosmopolite de la ville, le sentiment de sécurité et les espaces verts ont su me charmer. Je ne viens pas d’une grande ville et je n’aurais jamais imaginé me plaire dans une ville de 2 millions d’habitants ! J’aime beaucoup le fait d’être dans une grande ville tout en ayant des quartiers avec beaucoup d’identités, les maisons basses (en moyenne 3 étages) qui donnent le sentiment de changer de ville à chaque quartier.

Toutefois, ça n’a pas forcément été un long fleuve tranquille. Il y a eu une période d’adaptation où j’ai ressenti le mal du pays et les petites choses qui me manquaient de la France. Heureusement, ma famille est venue me rendre visite, ce qui m’a permis de voyager au Québec et de prendre petit à petit mes repères. Après 1 an, j’ai pris la décision de prolonger mon séjour d’une année supplémentaire, puis encore une année, et finalement, cela fait maintenant 16 ans que je suis ici. entrepreunariat bocoboco
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Tu as monté ton entreprise au Québec, peux-tu nous en dire plus ?
Depuis maintenant 4 ans, j’ai lancé mon entreprise : BocoBoco.ca. Laissez-moi vous dire, l’entrepreneuriat, c’est tout un voyage !

Depuis bientôt 3 ans, j’ai lancé mon entreprise : je suis la propriétaire de BocoBoco.ca, une épicerie gourmande et zéro déchet en ligne, livrée à domicile en transport écologique, à Montréal. L’idée est de simplifier le zéro déchet : au lieu de commander et de recevoir des produits et beaucoup de déchets, tout vient dans des contenants consignés. On achète ainsi local et sans déchet, tout est récupéré : BocoBoco récupère les bocaux pleins contre des bocaux vides.

C’est aussi un projet de gourmands : en venant de France, ce qui me manquait le plus, c’était ma famille/amis et la gastronomie. Alors qu’en fouillant un peu, on découvre des petits trésors au Québec. Pourquoi est-ce qu’on ne les trouve pas en épicerie ? L’idée est aussi de proposer des aliments délicieux, gourmands et… sans plastique.

En 4 ans, on a permis d’éviter plus de 10 tonnes de déchets et on travaille avec plus de 100 fournisseurs. On est fiers du travail accompli et enthousiasmés par les prochains défis.
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Comment t’est venue l’idée de ce commerce ?
À vrai dire, l’idée m’est venue lors d’une réflexion sur notre mode de vie quotidien.

Réduire ses déchets, ce n’est pas évident : ça prend du temps, c’est lourd et pas tout le monde va le faire. En regardant ma poubelle, mon bac de recyclage, mon compost et ma pile de bouteilles de bière à rapporter à l’épicerie, je me suis posée une question : et si tout était consigné, est-ce qu’il n’y aurait plus de déchets ?

C’est là que j’ai eu l’idée de simplifier la vie des gens et de faciliter l’accès au mode de vie zéro déchet. J’ai réalisé qu’en adoptant un système de consigne généralisé, il serait possible de réduire considérablement notre impact environnemental en éliminant pratiquement tous les déchets… Cette idée m’a passionnée et m’a poussée à créer BocoBoco, avec pour objectif de concrétiser cette vision.

Ainsi, BocoBoco est un service en ligne qui permet de commander des aliments et des produits ménagers qui sont livrés directement à domicile dans des bocaux de verre consignables. J’ai pensé que cela serait une solution pratique pour éviter que les placards débordent de bocaux vides ou les sacs réutilisables perdus au fond d’un placard. J’ai donc mis en place un système de consigne, où des frais sont ajoutés à la première commande mais remboursés lors de la commande suivante, incitant ainsi les clients à rendre leurs bocaux vides lors de la livraison ou à les déposer dans nos locaux.

Pour moi, il était important de mettre l’accent sur la réutilisation. J’ai choisi des fournisseurs locaux en priorité, tout en favorisant les produits biologiques. J’ai encouragé ces fournisseurs à n’utiliser que des contenants réutilisables, notamment pour des produits qui nécessitent un embouteillage personnalisé, comme l’huile par exemple.

Actuellement, BocoBoco propose plus de 750 aliments, dont 200 viennent de moins de 2 kilomètres.

Je dois avouer que voir mon projet prendre vie et rencontrer de nouveaux clients intéressés par le zéro déchet est une expérience extraordinaire. Après avoir rêvé de ce projet pendant un an, je suis vraiment heureuse de voir mes idées se concrétiser et prendre vie.
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Quelles ont été les démarches que tu as entreprises ? As-tu été accompagnée ?
Avoir une idée, c’est bien, mais la réaliser, c’est mieux !

Au Québec, on a la chance de profiter d’une grande variété d’encadrements et de soutiens disponibles. Profitez-en !

Dans mon cas, l’entrepreneuriat, c’était un nouveau monde pour moi, et j’avais (j’ai toujours) beaucoup de choses à apprendre. J’ai cherché à avoir un parcours structuré pour démarrer mon projet.

En étant basée à Montréal, j’ai commencé par regarder les événements proposés par la Jeune chambre de commerce. J’ai commencé par la cohorte Jeunes Entrepreneurs. Le format me convenait car il n’était pas trop exigeant : une soirée toutes les deux semaines d’atelier de 3 heures sur divers thèmes tels que la stratégie, la comptabilité, le marketing, etc., animés par des experts du domaine.

Par la suite, j’ai bénéficié des formations offertes par le SAJE (Service d’aide aux jeunes entrepreneurs) et l’École des entrepreneurs du Québec. Ces cohortes sont plus longues, s’étalant sur trois mois pour la rédaction du plan d’affaires (un soir par semaine), et 8 mois pour le lancement de l’entreprise (une journée par mois).

Depuis, j’ai poursuivi mon chemin en participant à des programmes d’accompagnement proposés par d’autres organismes. Il existe divers incubateurs et accélérateurs, chacun adapté à une région et selon le type d’entreprise spécifique. Les incubateurs sont très bien adaptés au lancement d’entreprise, avec des programmes intensifs et un accompagnement solide. Souvent, ces initiatives se concluent par un concours de pitch, mais surtout, elles favorisent la coopération au sein du groupe et la création de nouveaux réseaux.

J’ai eu l’occasion de prendre part à plusieurs programmes d’accélération, tels qu’Espace Inc et celui de l’Esplanade – la super cohorte en action climatique. J’ai également participé au programme RECHARGE de Montréal Startup. Récemment, j’ai fait partie de la cohorte Women 4 Climate.

Chaque programme possède ses particularités, mais ils offrent généralement un accompagnement de grande qualité. Si vous hésitez, contactez-les et allez les rencontrer – il y a aussi souvent des séances de présentation. entrepreunariat bocoboco
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Est-ce que ces programmes sont vraiment pertinents ?
Personnellement, ces programmes m’ont beaucoup aidée. J’ai appris beaucoup, que ce soit sur BocoBoco ou sur moi, en tant qu ‘entrepreneure.

Il y a plusieurs avantages à participer à ces programmers, Dans mon cas, je participe à ces programmes pour plusieurs raisons :
  • Prendre du recul : en tant qu’entrepreneur, on est très facilement absorbé par les différents aspects de la gestion quotidienne : finances, ressources humaines, opérations, communication, développement commercial, service après-vente, etc. Malheureusement, cela veut souvent dire qu’on relègue la stratégie au second plan.
    Participer à ces programmes offre l’opportunité de prendre du recul, d’obtenir des points de vue externes et de gagner en perspective. Ça fait un bien fou que des personnes extérieures posent un regard neuf sur nos activités et puissent fournir des conseils éclairés.
  • Planifier stratégiquement : à travers les différentes rencontres, c’est l’occasion de présenter à nouveau son entreprise, à des personnes qui ne sont ni nos fournisseurs, ni nos clients, ni des consultants. C’est l’occasion de reformuler à des personnes complètement extérieures, à notre modèle d’affaires, ce que l’on fait et ce que l’on a accompli jusqu’à présent. Ça permet d’identifier et de réidentifier nos forces, nos faiblesses et, surtout, les opportunités d’amélioration. En gros, de prendre le temps de bien planifier, de mettre en place des plans d’actions, sans être tout seul chez soi.
  • Accès à des coachs et des experts : pour moi, le gros plus de ces programmes, c’est l’accès à des coachs et des experts chevronnés. Les ateliers en groupe offrent des occasions d’apprentissage riches, mais, vraiment, les séances individuelles de coaching sont particulièrement précieuses. Avoir la chance de travailler avec des experts qui se penchent spécifiquement sur les problématiques de son entreprise, qui challengent nos idées et qui fournissent des orientations personnalisées est une opportunité extraordinaire. J’ai eu la chance de rencontrer des coachs exceptionnels tout au long de mon parcours, et pour certains, ils continuent de nous suivre en dehors des programmes.


C’est aussi un moment pour faire le point : on est deux à gérer BocoBoco et d’avoir ces séances en dehors de notre équipe, de prendre un moment pour des réflexions stratégiques, ça nous permet d’être toujours bien aligné.
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Avais-tu un réseau au Canada avant de te lancer ?
Oui, avant de me lancer dans l’aventure de BocoBoco, j’avais la chance d’avoir un bon réseau au Canada. Je travaillais auparavant en développement d’affaires notamment, ce qui m’avait permis de rencontrer de nombreuses personnes et de me constituer un bon réseau professionnel.

Cependant, je dois admettre que je n’ai pas toujours pris le temps de cultiver ce réseau aussi assidûment que je l’aurais souhaité.

Toutefois, ce n’est pas la quantité qui compte, mais la qualité. J’ai eu la chance d’être entourée de personnes généreuses et ouvertes à partager leurs connaissances et leurs contacts. Cette attitude de partage et d’entraide est une caractéristique marquante au Canada et elle est particulièrement courante au sein des programmes d’entrepreneuriat.

J’ai pu voir toute l’importance du réseau lors de la campagne de sociofinancement. Par exemple, une de mes anciennes collègues où je travaillais précédemment a été d’un grand soutien en faisant la promotion du sociofinancement en interne, ce qui a été d’une grande importance. Des amis/connaissances ont partagé notre campagne et, par la magie des liens de réseau, nous avons eu un article dans le journal Les affaires.

Je suis reconnaissante d’avoir pu compter sur un réseau préexistant, et je suis consciente que cette aide et cette générosité sont des éléments clés dans le développement de BocoBoco. Je crois fermement à l’importance des relations et du partage dans le monde des affaires, et des réseaux, dont des accélérateurs et des incubateurs sont, à mon sens, définitivement à intégrer dans son parcours. entrepreunariat bocoboco
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As-tu rencontré des difficultés à entreprendre en étant étrangère ?
Des difficultés en tant qu’entrepreneure ? Haha oui, c’est certain. Par contre, en tant qu’entrepreneure étrangère, pas particulièrement.

Je travaillais ici depuis quelques années avant de me lancer et j’ai pris le temps de bien connaître les programmes, aides ou tout autre réseau. Après, l’alimentaire est un domaine que je ne connaissais pas, ni le commerce en ligne d’ailleurs.

Par exemple, en alimentaire, il y a plusieurs normes et des certifications à avoir. Il faut prendre le temps de bien comprendre et se renseigner. Pour la partie comptable, on fait affaire avec une agence comptable, même si on en fait une partie à l’interne. Il y a toujours une solution… et si on ne la connaît pas, d’autres ont dû y faire face aussi !

Cependant, en m’appuyant sur mon réseau, j’ai pu trouver des experts et des conseillers qui m’ont guidée à travers ces démarches.

En fin de compte, entreprendre comporte toujours son lot de défis, qu’on soit étranger ou non. Ce qui importe, c’est de s’entourer des bonnes personnes, de rester ouvert aux conseils et… de persévérer.
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Quels sont pour toi les avantages et les inconvénients d’être auto-entrepreneur pendant son expérience au Canada ?
Pour moi, être auto-entrepreneur pendant mon expérience au Canada présente plusieurs avantages.

Tout d’abord, cela me permet de concrétiser mon rêve d’entreprendre et de développer ma propre entreprise. Le Canada offre un environnement propice à l’innovation, avec de nombreuses ressources et un soutien dynamique aux start-ups.

Un autre avantage est le sentiment de liberté et d’indépendance que cela engendre. En étant auto-entrepreneur, j’ai la latitude de prendre mes propres décisions, de façonner la vision de mon entreprise et de travailler selon mes propres valeurs. Cela me permet de donner vie à mes idées et de me réaliser professionnellement.

Être loin de ma famille et de mes amis en France peut être un avantage dans ce contexte. Étant moins influencée par leurs craintes ou leurs peurs, on se sent plus libre de prendre des initiatives et d’oser davantage.

Ici, on dit : tu prends ta chance ; alors qu’en France, on dit que tu prends un risque.

Cette mentalité encourageante et positive pousse à sortir de sa zone de confort et à explorer de nouvelles possibilités.

Cependant, il y a aussi des inconvénients à être auto-entrepreneur pendant son expérience au Canada. L’un des principaux est la charge de responsabilité qui repose entièrement à l’entrepreneur. En tant qu’auto-entrepreneur, je suis responsable de tous les aspects de mon entreprise, allant de la gestion financière aux opérations quotidiennes. Cette ampleur de responsabilité peut parfois être accablante et demande beaucoup de polyvalence.
L’an dernier, nous avons déménagé et… c’est beaucoup de travail. Nos amis sont venus nous aider, mais j’ai eu aussi la chance d’avoir ma famille qui est venue passer quelque temps à Montréal l’an dernier lors de notre déménagement.

Être entrepreneur, cela demande beaucoup de travail et d’engagement et apporte son lot de stress.

Un autre défi réside dans la conciliation entre vie professionnelle et vie personnelle. Les horaires peuvent être exigeants et les responsabilités incessantes, ce qui peut rendre difficile la séparation entre le travail et les moments de repos et de détente – surtout quand on est en couple dans la vie personnelle et professionnelle.

Malgré ces inconvénients, je considère que les avantages de l’auto-entrepreneuriat l’emportent largement. J’éprouve un réel enthousiasme à réaliser mon projet entrepreneurial dans un environnement qui favorise l’innovation et l’initiative. La chance de m’épanouir professionnellement dans un tel contexte est une opportunité que j’apprécie énormément et que je suis reconnaissante d’avoir saisie. entrepreunariat bocoboco
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Aurais-tu des conseils pour ceux qui souhaiteraient se lancer ?
Bien sûr !

Tout d’abord, lorsque vous vous lancez, suivez votre passion. Identifiez ce qui vous passionne et ce qui vous motive profondément. Posez-vous la question : est-ce que ce projet me motivera à me lever le matin ? Il n’y a pas de boss, c’est vous qui décidez … mais pas de salaire fixe non plus. Il faut travailler fort, et certaines périodes sont plus exigeantes que d’autres – avec une charge de travail plus élevée que celle en tant qu’employé. Il vous faut une raison qui vous pousse à vous motiver, à vous lever tous les matins. Si vous voulez faire de l’argent, soyez investisseurs, et non entrepreneurs. Si vous voulez vivre avec passion, l’entrepreneuriat est une bonne solution.

L’entourage est très important : vous aurez des hauts et des bas, en plus des aléas de la vie sur place. Prenez le temps de vous entourez, d’avoir quelques amis autour, pour vous aider à sortir de votre travail. En plus de vos amis, je vous suggère fortement d’aller chercher des rencontres auprès de coachs, de réseaux de mentorat, ou de personnes partageant vos intérêts (et vos défis) lors des cohortes.

Enfin, pensez à vous : ce qu’il y a de plus important dans votre entreprise, ce n’est pas le financement, ce n’est pas les revenus, ce n’est pas le nombre de contrats gagnés : c’est vous. Si vous n’êtes plus là demain matin, il n’y aura personne pour faire cela.

La première année, j’ai vraiment mis mon bien-être de côté : je zappais mes séances de sport et je m’endormais le soir épuisée. Après 1 an, j’ai commencé à le regretter : le bien-être mental est très important et il faut vraiment vous mettre des barrières pour le conserver.

L’entrepreneuriat, c’est des montagnes russes, et beaucoup d’adrénaline. Organisez votre temps libre et ne perdez pas votre routine.Personnellement, j’ai besoin de pouvoir me recentrer et dépenser mon énergie autrement, ou de rêver dans un livre. Par exemple, j’aime beaucoup prendre le temps de marcher pour réfléchir et évacuer un peu le stress. Je sais que pour me sentir bien, j’ai aussi besoin de faire une bonne séance de sport par semaine au minimum et de lire un peu chaque jour.

Se lancer en entrepreneuriat, c’est un voyage en soi. C’est certains que vous allez apprendre énormément, que vous en ressortirez avec beaucoup d’expériences, professionnellement mais aussi sur vous-même !

Prenez le temps de bien planifier, de bien y réfléchir, de poser des questions à des personnes qui ont été dans votre situation. Croyez en vous même, personne ne le fera à la manière dont vous l’avez pensé.
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Et pour finir, quels sont aujourd’hui tes projets ?
Nous venons tout juste de dresser le bilan de nos quatre années d’activité, et c’est passionnant de faire des projections. Imaginez, si seulement 1% des ménages de Montréal choisissent de commander chez BocoBoco une fois par mois, cela permettrait d’éviter plus de 21 tonnes de déchets chaque année, tout en soutenant les producteurs locaux et les artisans avec un reversement de plus de 3,5 millions !

Actuellement, mon attention est focalisée sur le passage à la prochaine étape du développement de BocoBoco. Et pour cela, je suis en plein processus de recherche active d’investissements pour accompagner la croissance de notre entreprise. Ces investissements seront judicieusement utilisés pour élargir notre gamme de produits, renforcer nos opérations logistiques et étendre notre présence vers de nouveaux horizons.

En parallèle, je m’efforce de continuer à améliorer notre service en ligne, en écoutant attentivement les retours de nos clients et en explorant sans cesse de nouvelles façons d’optimiser leur expérience. Bien sûr, je reste aux aguets des dernières évolutions dans le domaine du zéro déchet et de l’épicerie en ligne, pour toujours rester à la pointe de l’innovation.

Et pour ne rien vous cacher, je reste tout à fait ouvert aux opportunités de partenariats stratégiques et de collaborations qui pourraient nous propulser vers l’atteinte de nos objectifs de croissance. Car je crois fermement que l’union fait la force, et que ces synergies peuvent créer un impact positif et durable.

En résumé, mes projets en ce moment sont tous orientés vers la recherche d’investissements, l’amélioration constante de notre service et l’exploration de nouveaux horizons. J’ai une profonde passion pour l’avenir de BocoBoco et je suis fermement résolu à faire de notre entreprise un modèle en matière d’épicerie zéro déchet en ligne. Si vous partagez cette passion et cette vision, je vous invite chaleureusement à rejoindre la grande famille BocoBoco !
Marie

En PVT au Canada de novembre 2021 à 2023, je répondrai à vos questions avec plaisir. Après un road trip en Amérique latine (Colombie, Bolivie, Pérou, Guatemala), je suis rentrée en France en juin 2024.

On a Working Holiday Visa in Canada from November 2021 to 2023, I will gladly answer your questions. After a road trip in Latin America (Colombia, Bolivia, Peru, Guatemala), I returned to France in June 2024.

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