Localisation
Dublin, Irlande
Profession
Chercheur en bonheur et expert en aventure

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Ville de provenance

J’ai passé mon enfance à Perpignan, mais j’ai fait mes études à Montpellier et vécu 4 ans à Paris avant de m’envoler pour un voyage de 18 mois en Asie, Australie et Nouvelle-Zélande.

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Pays et villes de destination

Australie : Melbourne les 2 premiers mois, puis j’ai vadrouillé dans tout le pays. De la Tasmanie à Darwin en passant par l’Outback du Western Australia, Darwin et ses parcs naturels, Cairns et la forêt tropicale, le centre rouge et la côte est, pour finir à Sydney. Nouvelle-Zélande : J’ai parcouru les deux îles pendant près de 4 mois. Je me suis posée quelques semaines à Christchurch à la fin de mon voyage.

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Sur place pendant combien de temps

Australie : 12 mois de décembre 2011 à décembre 2012
Nouvelle-Zélande : 5 mois de décembre 2012 à avril 2013.

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Baroudeuse ou pas ?

Aujourd’hui, à 100 % ! Mais quand je suis partie je ne pensais pas que mon voyage se déroulerait ainsi. Je savais uniquement que j’allais me poser à Melbourne en arrivant et que je verrai une fois sur place pour la suite. J’avais dans l’esprit d’aller uniquement dans les grandes villes d’Australie mais mon voyage s’est façonné au fil des rencontres et des envies.
Même si j’avais déjà parcouru la Norvège du sud au nord en sac-à-dos, mon expérience de baroudeuse était vraiment limitée. J’ai réellement découvert cet état d’esprit et mes facultés d’adaptation au fur et à mesure des mois et des aventures vécues. J’ai voyagé principalement en van, train, bus, en avion et en stop. Je n’ai pratiquement pas dormi dans les auberges de jeunesse. J’ai privilégié le camping en tente ou van et fait un peu de Couchsurfing. Même si je suis partie seule, je n’ai néanmoins pas passé plus de 2 jours sans un compagnon de voyage.

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Que faisais-tu en France ?

Avant de partir, je vivais à Paris et étais Chargée de communication interne. D’une formation initiale en Communication visuelle, j’avais entrepris une licence puis un master en alternance. Je ne l’ai d’ailleurs pas terminé puisque j’ai encore 1 crédit à valider, et ce, depuis 2 ans déjà.

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Pourquoi as-tu décidé de tout plaquer ?

J’adorais mon travail et mes colocataires, mais la vie parisienne a eu raison de moi. Après 4 ans de galères financières ou amoureuses et des heures passées dans le métro et le RER B, j’ai décidé qu’il était temps que je fasse quelque chose de nouveau. Dans mon travail, il m’arrivait régulièrement de traiter avec des équipes basées à Londres et Dublin. J’étais frustrée de ne pas pouvoir communiquer comme je le souhaitais alors que je voyais que mes amis, ayant vécus à l’étranger grâce à Erasmus, assuraient grave ! N’ayant pas d’attaches et voyant le nombre de bougies augmenter sur mes gâteaux d’anniversaire, j’ai pensé que c’était maintenant ou jamais. Il fallait que je parte.

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Pourquoi avoir choisi l’Australie et la Nouvelle-Zélande ?

Initialement, je voulais partir en Irlande mais j’avais peur qu’à la moindre difficulté je ne rentre illico presto. Le Canada est venu en second. J’en ai alors parlé avec ma famille et notamment mon père qui avait déjà visité l’Australie et la Nouvelle-Zelande. Il m’a conseillé l’Australie qui est un pays lointain, chaud, anglophone et où l’ambiance allait probablement correspondre à ce dont j’avais besoin.
Découvrir la Nouvelle-Zélande est un projet qui s’est façonné 8 mois après mon départ. Je trouvais dommage de ne pas y faire un saut alors que je n’étais pas très loin. J’ai choisi de prendre un PVT au cas où je me retrouve sans un sous pour rentrer en France. J’ai bien fait puisque j’y suis restée 5 mois et j’ai pu travailler un peu pour me permettre de me payer un retour vers la France via l’Indonésie.

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Pourquoi avoir choisi Melbourne puis Christchurch ?

J’ai commencé mon voyage à Melbourne car une amie me l’avait conseillé pour sa dynamique et son multiculturalisme. Quant à Christchurch où j’ai débuté et fini mon voyage en Nouvelle-Zélande, je l’ai choisi pour sa taille humaine et car j’avais été choquée par les 2 tremblements de terre de 2010 et 2011. Christchurch est une ville détruite qui se reconstruit à force de travail, de créativité et de bonnes initiatives. Je voulais le voir et le vivre. Finalement, sur les 18 mois de mon voyage, je n’ai résidé que 4 mois dans les grandes villes. Le reste du temps, je les ai fuies. A ce moment-là, mon mot d’ordre était « si tu vois un feu rouge, c’est que la ville est trop grande ». J’ai donc passé le plus clair de mon temps en road trip, m’arrêtant en ville uniquement pour faire les courses, charger mon ordi et mon appareil photo et me connecter à internet pour donner des nouvelles et mettre à jour mon blog. En général, à chaque fin de road trip, je passais tout de même 2/3 jours en ville pour me reposer dans un vrai lit et trouver de nouveaux compagnons de route.

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Est-ce que c’est la première fois que tu vivais à l’étranger ou que tu partais aussi longtemps ?

Oui. Même si j’avais pas mal de voyages à mon actif, je n’avais jamais vécu dans un autre pays ou voyagé aussi longtemps. D’autre part, c’était la première fois que je partais « seule ». Ce n’est pas tant la longueur qui m’impressionnait, c’était surtout d’être seule, sans personne, livrée à moi-même à l’autre bout du monde avec un anglais plus qu’approximatif.

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Quel a été ton sentiment dominant au cours des 2 premières semaines ?

J’ai passé la première semaine de mon voyage en Asie avec mon père, ce qui m’a un peu aidé à faire la transition. Néanmoins, une fois les contrôles de douanes passés (avec quelques galères…), j’ai foulé le grand tapis « Welcome to Melbourne ». Je me suis accrochée à mon sac, un grand sourire aux lèvres et je me suis dit « Mais qu’est-ce que je fous là ? ».
Cette question ne m’a pas lâchée pendant plusieurs jours. Mais la vie a continué son court avec son lot de surprises. J’ai rapidement trouvé un job qui m’envoyait avec une quinzaine de jeunes, à Sydney pour Noël et le Jour de l’an… tous frais payés. Le questionnement du début s’est rapidement fait remplacer par des fous rires et des souvenirs incroyables. J’ai craqué au bout de ma 4e semaine tellement j’étais frustrée que personne ne comprenne ce que je racontais en anglais !

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Quelles ont été tes plus grosses difficultés ?

Comme abordé précédemment, ma plus grosse difficulté fut la communication, notamment les 2 premiers mois. Mon manque d’assiduité en cours d’anglais avait enfin raison de moi ! Mais je me suis accrochée. J’étais alors recruteuse de fonds pour une ONG. Je n’avais pas le choix, il me fallait parler et comprendre l’anglais si je voulais manger. Puis le déclic s’est fait, j’ai arrêté de me prendre la tête et fait des progrès. S’immerger intégralement sans aucun rapport à la langue française est la clé du succès.

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Est-ce que ta situation professionnelle t’a paru satisfaisante ?

Je ne suis pas partie dans l’optique de travailler dans mon secteur d’activité. Pour moi c’était avant tout travailler un minimum pour économiser un maximum et voyager le plus longtemps possible.
J’ai donc pris ce que je trouvais au moment où j’en avais le plus besoin. J’ai trouvé que chercher du travail dans les villes comme Melbourne, Perth et Sydney était assez compliqué. Un boulanger m’a demandé 5 ans d’expérience dans la confection de sandwich et une expérience significative en tant que « barista »… Les Australiens et Néo-Zélandais n’ont pas la même conception du café que nous, et ils prennent ça très au sérieux ! Cependant, en m’éloignant des grandes villes, j’ai trouvé du travail très facilement. J’ai quand même réussi à me perdre 8 semaines à Derby, WA… C’est une ville à majorité aborigène, entourée de crocodiles et dont les deux rues principales donnent accès à un supermarché, un hôpital, deux bars, un circuit hippique, une prison et un ponton pour pêcher. Être dans l’arrière-pays m’a permis de gagner beaucoup d’argent, très vite et sans avoir de quoi les dépenser. Par ailleurs, j’ai apprécié la proximité avec les locaux. Travailler dans l’un des deux bar-restaurants que compte la ville, ça aide. J’ai trouvé cette expérience beaucoup plus enrichissante d’un point de vue relationnel. En ce qui concerne la Nouvelle-Zélande, j’ai fait 2 boulots. J’ai trouvé le premier à Hastings alors que je me balançais dans mon hamac à mon auberge de jeunesse et le second à Christchurch en l’espace d’une semaine. Ce n’étaient pas des boulots de rêve mais tant que ça paye, c’est primordial.

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Quel est ton meilleur souvenir ?


Question piège ! Il y en a trop ! Allez, en voici quelques-uns :
  •  La neige en plein été en Tasmanie.
  • La traversée de la Gibb river Road avec plusieurs vans.
  • Pêcher le barramundi au milieu des crocodiles sur la Yellow River en mangeant des graines de lotus. 
  • Nager dans les piscines naturelles du parc national du Kakadu avec vue sur la vallée.
  • Nager avec des tortues aux Whitsunday islands et des dauphins Hectors, les plus petits et rares au monde, à Porpoise bay.
  • Voir le soleil se coucher sur Uluru et se lever sur les Olgas.
  • Marcher au dessus des nuages lors du Kepler track. 
  • Voir les Emerald lakes lors du Tongariro Crossing track.
  • La vue depuis le sommet du Mont Taranaki.
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Est-ce que certaines choses françaises t’ont manqué ?

Pour être originale : la nourriture ! J’étais en manque total de jambon serrano, fromage et autres spécialités de chez moi. Un jour, j’étais à deux doigts de pleurer quand j’ai vu un camembert « le Rustique » en Nouvelle-Zélande. Le prix a fini par m’assommer (20 € pour le tout petit).
Deux mois auparavant, à Sydney, un ami m’a emmenée dans un restaurant qui proposait des « planches » de charcuterie. Ça faisait 10 mois que j’étais partie, je gloussais de plaisir en goutant les rillettes et le jambon sec. Nos voisins de table m’ont pris pour une déséquilibrée…

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Qu’est-ce qui te manque depuis que tu es rentrée en France ?

L’inconnu. Presque tous les jours je me levais sans savoir où j’allais dormir le soir même et quelles aventures incroyables j’allais vivre. J’avoue que c’est un sentiment étrange que de rentrer en France et savoir que chaque jour sera pratiquement identique au précédent.
Enfin, les rencontres avec les autres voyageurs et les locaux. Les Néo-Zélandais sont des personnes d’une simplicité et d’une gentillesse incroyable. Le respect, que ce soit en Australie ou au pays des Kiwis, est la chose qui m’a le plus marqué. Ça me manque ici.

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Qu’est-ce que cette expérience t’a apporté, du point de vue personnel ou professionnel ?

D’un point de vue professionnel, rien, puisque je n’ai pas travaillé dans ma branche. Néanmoins, avec le recul que j’ai aujourd’hui, je sais qu’il me serait difficile de retourner à mon job initial. L’avantage d’avoir découvert de nouveaux horizons me permet d’appréhender mon futur professionnel avec plus de sérénité et des envies différentes. Par ailleurs, je me suis trouvée une réelle passion pour la photographie et l’écriture. Pourquoi ne pas les allier à mes compétences professionnelles ? L’avenir me le dira !
D’un point de vue personnel, ce voyage m’a beaucoup apporté… Les rencontres faites et les expériences exceptionnelles vécues m’ont permis de voir le monde différemment. Aujourd’hui, peu importe ma carrière, la cotisation pour la retraite ou mon pouvoir d’achat… ce n’est pas ça qui me rend heureuse. Je suis beaucoup moins matérialiste et me contente de ce que j’ai. Pour l’heure, tant que je n’ai pas d’obligations (familiales en autre), je veux profiter et ne pas faire de plans.

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Quels conseils donnerais-tu aux futurs pvtistes ?

Je conseille les futurs pvtistes de vivre leur expérience à fond et de faire preuve de curiosité. Laissez-vous porter par votre voyage. Ne partez pas avec un plan prédéfini. Bien sûr que ça rassure mais essayez cependant de ne pas trop vous y tenir ! Laissez-vous surprendre par vos envies, vos intuitions et les rencontres ! N’hésitez pas à sortir des sentiers touristiques traditionnels. Organisez vous-même vos excursions et franchement… éclatez-vous.
Comme disait John Lennon dans sa chanson Beautiful boy « Life’s what happens to you while you are busy making other plan”.

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Conseillerais-tu plutôt la Nouvelle-Zélande ou l’Australie, pour un PVTiste qui hésite ? Quels sont les avantages et inconvénients de chaque pays, à ton avis ?

Chaque voyage est différent et correspond de manière individuelle à une personnalité et des envies propres. J’ai rencontré de nombreux backpackers de divers pays et tous avaient un projet qui leur correspondait. Un PVTiste qui hésite entre l’Australie, la Nouvelle-Zélande ou n’importe quel pays doit d’abord se demander quel pays correspond à ses désirs. « Qu’est-ce que je recherche ? » Je ne dis pas que vous partirez avec les réponses, mais vous rentrerez probablement avec ! L’Australie offre une multitude de possibilités : entre soirées sur la plage et recherche de la vague parfaite, travail agricole, découverte du bush et de sa faune, road trip au milieu de nulle part, vie active des grandes métropoles et leur culture anglaise, etc. Il y a le choix. Pour ceux qui partiront en Australie, regardez ce qu’il se passe sur la côte ouest, en Tasmanie et au nord ! Oui, la côte est c’est bien… mais vous n’avez pas vu le reste. Soyez curieux et faites des petites recherches sur ce que le pays a à vous offrir. 😀 La Nouvelle-Zélande, quant à elle, offre une géographie parfaite pour les amoureux de la nature en quête de randonnées exceptionnelles. Entre mer et montagne, les passionnés de glisse n’auront que l’embarras du choix. Quant à ceux qui aiment les villes, l’art ou faire la fête, le pays des All Blacks n’est pas en reste avec Wellington et Queenstown ! Pour finir, deux choses. Premièrement, l’Australie a l’avantage de proposer des salaires très intéressants et beaucoup plus élevés qu’en Nouvelle-Zélande avec la possibilité de récupérer ses taxes. Mais la vie y est quand même un peu plus chère. Deuxièmement, il est facile de suivre l’été en Australie mais pas en Nouvelle-Zélande où l’hiver est bien présent mais rassurez-vous, il n’est pas très rude.

Consulter d’autres interviews de pvtistes…
Consulter des récits de pvtistes (emplois, voyages, etc.)…

isa

Amoureuse des Etats-Unis, de l'Utah et du voyage en train, j'ai passé 7 mois à Montréal en 2010, et j'en ai profité pour découvrir la Nouvelle-Angleterre en long, en large et en travers !
Mon coup de cœur avec Montréal date de 2008, et d'un mois estival là-bas... Depuis, je ne fais qu'y retourner !

J'ai réalisé deux tours des Etats-Unis (& Canada) en 2012 puis en 2014. Plusieurs mois sur les routes, c'est formateur... De retour à Montréal en 2019-2020 pour un PVT, avant de raccrocher !
Sur PVTistes.net, j'aime partager mon expérience sur le forum, dans des dossiers thématiques ou même en personne ! Vous me croiserez sûrement à Lyon, ma ville de cœur.

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(35) Commentaires

Julie I |

c tjrs agréable et enrichissant de lire les expériences des autres. Chaque voyage est tellement différent en fonction des personnalités…

Laurie I |

Waww !!! Ca m’impressionne tout ce que tu as fais, c’est exactement ce dont je rêve …. 😀 Je suis hésitante entre les 2 en plus, mais je pense partir en Australie en 1er !! J’ai encore 6 mois à attendre à peu près.. et vamos 🙂

Pascal I |

Salut Jeny, quelle belle expérience tu nous racontes ! En ce qui me concerne cela me mets l’eau à la bouche. Mon aventure pour moi commence dans un mois je m’envole pour Sydney pour commencer ! Je ne fais pas trop de projet et vie l’instant présent en France je verrai comment va s’organiser mon séjour sur place cela fait partie de l’aventure à mon goût. J’espère partir une année et demi. Tout d’abord un an en Australie puis 4 ou 5 mois en nouvelle Zélande et 1 mois et demi en Asie mais bon se n’est que les grandes lignes de mon voyage après je verrai comment cela va se passer et du portefeuille biensur. En tout cas merci pour ton récit c’est très rassurant ! Je ne sais pas pourquoi les gens ont tellement peur de partir seul c’est tellement cool et tu es jamais seul bien longtemps !

Laurie I |

Peut etre qu’on se retrouvera là-bas Pascal qui sais 😉

Pascal I |

Oui j’espère Laurie qui sait mais on reste en contact comme ça je pourrai te donner quelques tuyaux qui pourrai te servir !
C’est toujours bien d’échanger sur notre expérience !
Si tu veux sur le profil de Jeny il y a un lien vers son blog pour voir des photos et des commentaires de son voyage et c’est super car elle décrit la Nouvelle Zélande et l’Australie !

Laurie I |

Okay no problem!!! On garde contact , Facebook déjà 🙂 Jirais jeter un coup d’oeuil à son blog !

leo I |

Whouaaa !!! Tu as résumé tous ce que je veux vivre, et j’espère le réalisé d’ici peut.
Mais ma question est : tu as voyagé en van,train, bus… ce qui doit être le moyen le plus facile j’imagine. Mais comment faisais tu pour tes bagages ? Cela est il pratique de voyager avec une valise ?
Autrement tous tes conseils et expériences me donne envie de visiter la Nouvelle Zélande, Mais mon projet reste comme même de partir en Australie pour y voyager et ensuite d’aller en Asie pour voire les magnifiques paysage que réserve le Laos, Thaïlande, Cambodge; Vietnam et pourquoi pas finir ma route à Singapour et y voir ce qui est possible d’y faire.

Jeny I |

Pas de valise ! J’avais 2 sac à dos. Un gros avec mes affaires : a maison sur le dos. Et un petit que je n’ai jamais lâché avec mes biens les plus important (ordi, DSLR, Passeport) C’est certes un peu relou de vivre dans un sac, de devoir « packer » tout les jours et de le transporter… Mais difficile de faire autrement. On s’habitue, on s’organise bien pour éviter de chercher quelque chose pendant 3 heures et devenir hystérique.
En treck, je laissais mes affaires chez des connaissances, dans la voiture, dans les auberges ou aux offices de tourismes. Il y a toujours un moyen de se débarrasser de son sac !

Hélène I |

Super récit, super photos et super blog avec des super vidéos qui donnent super envie de partir sur tes traces!
Notamment, j’ai la Tasmanie qui me démange depuis peu et là tu confirmes que ça serait une étape de rêve entre l’OZ et la NZ, même si je dois bien l’avouer, ça sera vachement moins sportif comme programme!
En tout cas, bravo!!
Et j’espère que ça va motiver toutes les « solos » qui viendront lire ces lignes: Oui on peut voyager seul(e) et vivre une expérience géniale!!!! 🙂
Merci pour ce rappel Jeny!!! 😉

Vanessa I |

quelle beau récit…. c’est fou de voir comment on change après une telle experience. les priorités ne sont plus les meme.

Mathieu I |

Belle expérience, merci Jeny !

Charlène I |

Un grand merci à toi pour ce témoignage enrichissant ! Avec mon compagnon, nous désirons partir en PVT en 2015 mais hésitons encore énormément entre le Canada et la Nouvelle-Zélande… Ton voyage nous a donné énormément envie en tout cas ! 🙂

Jeny I |

Avec plaisir 🙂
Rien ne vous empêche de faire les 2 !

Charlène I |

Justement, on en parlé encore hier et le « problème », c’est que nous aimons les deux destinations mais pour des raisons bien différentes ! Le Canada a toujours été un peu un rêve pour mon ami, et il y voit plus de possibilités professionnels (notamment au Québec) alors que la NZ serait plus une réelle découverte de culture et d’environnement totalement inconnus. On la présente tellement comme un paradis sur Terre… On a pensé à faire les deux, mais combien de temps chacun ? De quelle manière ? Tellement de questions qui ne font que nous stresser chaque jour, plus on se rapproche de 2015 ! 😀

Matty I |

Charlène, soyez fous, faites les 2 ! 🙂 ça dépend de quel âge vous avez tous les 2, mais vu que le PVT Canada est tellement dur à obtenir, je serais toi j’essayerais d’abord le Canada, comme ça si vous l’avez tant mieux, et si vous ne l’avez pas, vous pouvez toujours demander la NZ, puisque c’est plus facile à obtenir ! après, si vous approchez de l’âge des 30 ans, c’est sûr qu’il vaut d’abord mieux demander la NZ, vu que le Canada est permis jusqu’à 35 ans 😉 Dur de choisir, c’est vrai !

François I |

Super témoignage! je pars en mars 2014, seul aussi 🙂 can’t wait!

Caroline I |

Merci Jeny!!!!!!!!