Pour aller passer une semaine ou deux en Chine, il faut impérativement demander un visa (sauf du 1er décembre 2023 au 30 novembre 2024 pour les Français, les Italiens, les Espagnols, les Allemands, les Néerlandais et les Malaisiens uniquement).
Mais pour y passer quelques jours (72 heures maximum, et à Shanghai, jusqu’à 144 heures), c’est possible de ne pas passer par la case ambassade (pour les citoyens de 45 pays, dont font partie les Français, les Belges et les Canadiens). Il est en effet possible de bénéficier d’une exemption de visa en cas de séjour très court.
Si en allant en PVT en Australie, en Nouvelle-Zélande ou en Asie, vous avez envie de faire un stop over (escale prolongée) en Chine, ne vous privez pas !
Comment faire une escale en Chine sans demander de visa ?
Il n’y a pas de procédure particulière à suivre, simplement prévoir d’acheter un billet d’avion avec une escale suffisamment longue pour passer l’immigration, vous rendre dans le centre-ville, en profiter et retourner à l’aéroport assez tôt pour prendre votre prochain vol. Votre vol ne doit pas être un aller-retour pour la Chine : votre passage en Chine doit constituer une escale pendant votre trajet vers un pays tiers.
J’ai décidé de passer 2 jours 1/2 à Shanghai et je vous conseille de faire la même chose (voire, de rester plus longtemps). Comme ça, vous savez que vous avez le temps, vous pouvez partir tranquillement à la découverte de la ville, sans penser à votre avion qui part dans quelques heures.
Sachez que dans les aéroports, il y a toujours des consignes (payantes) si vous préférez aller en ville sans vos bagages.
Dans quelles villes peut-on faire escale en Chine ?
Six villes sont concernées par cette exemption de visa : Shanghai, Pékin, Chengdu, Canton, Shenyang et Dalian (vos possibilités d’escale dépendent de votre pays de destination).
Est-ce que c’est plus cher de faire un stop over ?
Pour aller en Australie et en Nouvelle-Zélande, on ne peut pas (encore) échapper à l’escale. Une escale classique dure quelques heures. Un stop over peut durer plusieurs jours, voire plusieurs semaines et en aucun cas, cela n’augmente le prix de votre billet d’avion.
Je suis passée par l’agence Le Cercle des Vacances (qui vous offre l’assurance annulation si vous passez via pvtistes.net) car je souhaitais avoir un billet avec date de retour modifiable sans frais. Et ce qui est bien c’est que si vous n’avez pas de contrainte particulière pour vos dates, vous pouvez voir avec eux pour trouver le billet le moins cher à la période qui vous intéresse (et le stop over peut même contribuer à baisser le prix total de votre billet). Je suis repassée par eux pour faire Paris – Hong Kong avec au retour un stop over de 4 jours à Taiwan 🙂
L’arrivée en Chine
Suivre la file Transfer/Transit
Dans l’avion, on va vous donner une carte d’arrivée (arrival card) jaune. Ne la remplissez pas, ce n’est pas ce document que vous allez devoir donner à l’agent d’immigration.
Après 11 h d’avion, et peu d’heures de sommeil, personne – ou presque – ne lit les panneaux d’indication à l’arrivée à l’immigration. Et la majorité des passagers suit le panneau « Foreigners ». Erreur !
Erreur qui nous a valu de perdre entre 40 minutes et une heure. Je dis « nous » parce que le temps de mon passage, on a été plusieurs dizaines à se tromper de file.
Vous devez suivre le panneau « Transfer/Transit ». À Shanghai, il est précisé sur ce panneau « 24 / 144 hour transit » car ce sont les deux types d’exemption de visa qui existent pour cette ville.
Cette file d’attente est beaucoup moins longue que celle des « foreigners », par contre les agents d’immigration restent bien 5/10 minutes avec chaque personne puisqu’ils doivent vous éditer une autorisation de séjour. Il faut donc prévoir un peu d’attente.
Le passage à l’immigration
Votre tour arrive ! Vous allez présenter à l’agent d’immigration votre passeport et la carte d’arrivée bleue que vous avez trouvée et remplie dans la file.
Sur cette carte bleue, vous devrez indiquer : votre nom, votre prénom, votre genre, votre date de naissance, votre pays de nationalité, votre lieu de naissance, votre numéro de passeport, le but de votre séjour, le numéro du vol par lequel vous êtes arrivé, votre numéro de téléphone, votre adresse e-mail, l’adresse de votre hébergement en Chine, votre date de départ de Chine, la ville de laquelle vous repartirez et le numéro de votre vol de départ.
Vous devrez également indiquer si vous avez déjà perdu votre passeport (j’ai répondu « oui » – je l’ai perdu il y a 11 ans – mais on ne m’a rien demandé une fois au guichet) et si vous êtes déjà allé en Chine par le passé.
La carte se décompose en 2 parties, vous devrez garder jusqu’a votre départ de Chine la partie basse, que vous devrez rendre à l’immigration en quittant le pays. Attention à ne pas la perdre !
Un premier agent va vous prendre en photo et scanner votre passeport, puis il va le donner à son collègue en charge de la vérification des autres visas et tampons présents dans votre passeport. Avec sa loupe, il vérifie que tout est valide. La personne qui était devant moi avait un tampon de Madagascar, il ne devait pas être très lisible donc il lui a demandé des précisions sur ce séjour.
Une fois que cet agent donne son aval, c’est bon, vous pouvez y aller !
La sortie de l’aéroport
Une fois que vous avez récupéré vos bagages, vous passez à la douane. La majorité des passagers passent dans la file « nothing to declare » (rien à déclarer) donc ça va globalement assez vite.
Rejoindre le centre-ville
Pour rejoindre la ville de Shanghai, vous avez plusieurs choix : prendre un taxi (l’aéroport est assez éloigné du centre, donc ça peut vite coûter cher !) ou prendre les transports en commun.
Vous pouvez prendre le Maglev, un train super rapide qui rejoint la ville en 8 minutes, avec un pic à 300 km/h. Une fois à la station de métro Longyang Road, vous pouvez prendre le métro. Un ticket pour le Maglev coûte 50 RMB et dans le métro, vous allez payer votre ticket 3, 4 ou 5 RMB selon l’éloignement de votre station de destination.
J’ai testé le Maglev le dernier jour, pour retourner à l’aéroport (ça va effectivement très vite !), mais à mon arrivée à Shanghai, j’ai choisi l’option la moins chère : l’Express Bus. J’ai pris l’Express Bus #2, qui emmène près du métro Jinhan Temple, ce qui m’arrangeait puisque c’était à 10 minutes à pied de mon hôtel. Le ticket coûte 22 RMB et est à régler en liquide directement dans le bus. Le trajet a duré 1 h 05, sans bouchons.
S’enregistrer auprès des autorités chinoises
Dans les 24 heures qui suivent votre arrivée en Chine, vous devez vous enregistrer auprès de la police. Si vous restez à l’hôtel, c’est votre établissement qui s’occupera de la démarche pour vous. Si vous allez chez des amis, informez-vous pour bien faire cette démarche dans les temps.
Les distributeurs de billets
Avant de partir, je n’avais pas échangé de yuans, je pensais en retirer sur place (après tout, c’était juste une escale pour aller en Nouvelle-Zélande). Mais à l’aéroport, ma carte n’est pas passée. Ouf, j’avais emporté 50 $US que j’avais retrouvés chez moi et j’ai pu les échanger dans un bureau de change à l’aéroport.
En fait, en Chine, dans certains commerces ou certains ATM (distributeurs automatiques), les cartes Visa et Mastercard ne sont pas acceptées. Si vous voyez le logo de ces deux types de carte, c’est bon, mais si vous ne voyez que le logo « Union Pay », votre carte ne passera pas !
J’ai aussi eu ce souci chez un opérateur téléphonique chez qui j’ai voulu acheter une carte SIM. Il a fallu que j’aille tirer de l’argent donc n’hésitez pas à emporter des yuans avec vous, comme ça vous serez tranquille.
Petit aparté : pas bien réveillée après mon vol et surtout, après une discussion laborieuse en « chinglish » avec l’employée de l’opérateur téléphonique local, je suis allée tirer de l’argent dans un distributeur, mais en Chine, le distributeur de billets te donne ton argent avant de te rendre ta carte. Pire, si tu ne cliques pas sur « Exit », il ne te rend pas ta carte.
Dans mon esprit, c’était comme en France : si j’ai mon argent, c’est qu’on m’a rendu ma carte.
Eh bien non ! Heureusement, j’ai réalisé cet oubli le lendemain. Je vous en parle par ici sur le forum.
Peut-être qu’entre temps, ils ont changé la procédure et rendent les cartes avant de donner les billets, mais dans le doute, soyez vigilant.
Une fois sur place
À votre arrivée à l’hôtel ou dans le cadre d’autres démarches sur place, vos interlocuteurs vont toujours chercher votre visa dans votre passeport. Vous n’en avez pas, donc il faudra leur montrer la page où l’autorisation de séjour a été collée par l’agent d’immigration.
Internet et les réseaux sociaux
Sachez que vous risquez d’avoir du mal à donner des nouvelles à vos proches : google, gmail, facebook, whatsapp et instagram fonctionnent au ralenti, voire carrément pas !
En plus des hôtels, pas mal de restaurants et de cafés proposent le Wifi gratuit en Chine. Mais pour pouvoir s’y connecter, il faut fournir un numéro de téléphone chinois, sur lequel on nous envoie un code à saisir.
Si vous demandez à la personne de l’accueil de l’hôtel ou au serveur du restaurant comment ça fonctionne, généralement il saisit son numéro de téléphone puis le code qu’il reçoit par SMS, ce qui est vraiment sympa, mais j’ai préféré acheter une carte SIM chinoise, pour avoir un peu de 4g, notamment pour pouvoir utiliser une app GPS (autre que Google Maps, car ça ne marche pas, vous l’aurez compris).
Je suis entrée chez le premier opérateur que j’ai vu, Honor. Pour 100 yuans, j’ai eu une carte SIM et 100 yuans à utiliser (ce n’est pas hyper pratique pour savoir ce que ça représente en consommation mais ils ont un numéro de service clientèle, le 10010, qui permet de parler avec un opérateur en anglais, qui nous dit combien de yuans de crédit il nous reste).
Pour obtenir ma SIM, j’ai dû donner mon passeport et ils m’ont dit que je devais revenir le dernier jour pour suspendre ma ligne (démarche qui m’a pris 5 minutes au maximum).
Si vous voulez regarder des séries sur Netflix, sachez que le site ne fonctionne pas en Chine, par contre vous pouvez, sur Netflix, télécharger des épisodes sur votre téléphone portable (avant d’arriver en Chine) pour pouvoir les voir hors connexion. Si ça ne fonctionne pas une fois en Chine, tentez de vous mettre en mode avion, moi ça a marché !
Le métro
Il est très clair et très pratique. Je vous recommande de prendre une photo du réseau de métro pour pouvoir le consulter à tout moment.
Je n’ai pas pu acheter de carte à la journée (je ne sais même pas si ça existe), ni même de carte sur laquelle je puisse mettre de l’argent pour ne pas avoir à acheter un ticket à chaque fois. J’ai cru comprendre (mais je n’en suis pas sûre) qu’il faut payer avec Union Pay pour pouvoir avoir ce type de carte.
Du coup, je suis allée sur les machines qui vendent les tickets à usage unique. On saisit notre station de métro de destination et ça nous dit le prix à payer (attention, il est précisé combien de tickets seront nécessaires, c’est souvent un seul, mais pas toujours !). On paie (en liquide) et on obtient une carte rigide.
On passe par les contrôles des sacs (un tapis roulant comme à l’aéroport) et on bippe sa carte.
En sortant à la station de destination, il ne faut pas bipper la carte mais la mettre dans la fente prévue à cet effet (on ne la récupère pas).
Dans le métro, les stations sont bien indiquées, les précédentes, les suivantes, c’est vraiment facile !
Le coût de la vie
Je préfère ne pas vous donner de taux de change entre l’euro et le yuan (RMB) car il est amené à changer souvent, je vous laisse regarder sur le site xe.com mais voici quelques prix :
- Métro : généralement 3, 4 ou 5 RMB le trajet.
- Un repas : entre 20 et 50 RMB le plus souvent (sauf dans les restaurants ou les quartiers un peu plus haut de gamme). Par exemple, sur le Bund (le bord de fleuve), un lieu très touristique, j’ai payé 20 RMB pour 8 dumplings (raviolis vapeur). Ca dépend aussi de votre faim 🙂
- Un café : entre 12 (le petit café chez Mccafé) et 20 RMB.
- Une petite bouteille d’eau : 2 RMB.
Dans les magasins (de vêtements notamment) des marques internationales, les prix sont identiques aux nôtres.
Communiquer
Parler anglais s’avère souvent inutile car les Chinois, pour la plupart, ne parlent pas du tout anglais. Mais si on ne parle pas anglais, je pense que tout peut devenir très compliqué ici car lorsque des informations sont inscrites de façon à être comprises par les étrangers, elles le sont toujours en anglais.
Quelques mots utiles (français, chinois (avec précision de la prononciation), anglais)
- Bonjour – 你好 (Ni hao) – Hello
- Au revoir – 再见 (Tzaïdjiènn) – Bye
- Merci – 谢谢 (Ssiéssié) – Thank you
- Oui – 是的 (Chi da) – Yes
- Non – 不 (Pou) – No
- Excusez-moi – 请问 (Tssingwènn) – Excuse me
- Toilettes – 厕所 (Tséssoua) – Bathroom
- Metro – 地铁 (titié) – Subway
- Epicé – 辣 (la) – Spicy
- Combien – 多少 (touo chao) – How much / How many
Savoir compter
Ça peut être utile pour comprendre les prix, notamment :
- 1 – 一 (Yi) – One
- 2 – 两 (Liang) – Two
- 3 – 三 (San) – Three
- 4 – 四 (Seu) – Four
- 5 – 五 (Wou) – Five
- 6 – 六 (Lio) – Six
- 7 – 七 (Tssi) – Seven
- 8 – 八 (Pa) – Eight
- 9 – 新 (Tchinn) – Nine
- 10 – 十 (Ché) – Ten
- 100 – 百 (Paille) – A hundred
- 500 – 五百 (Woupaille) – Five hundred
Savoir prononcer
Sous le nom des rues, sur les panneaux ou encore sur les plans de métro, tout est écrit en pinyin, c’est-à-dire en phonétique. C’est très pratique pour pouvoir demander son chemin, par exemple, mais encore faut-il savoir prononcer ces lettres à la chinoise.
En soi, ce n’est pas bien compliqué. La vraie difficulté, ce sont les tons (des accentuations). Il en existe 4 en mandarin et du coup, un mot écrit « de la même façon » mais avec des tons différents veut dire 4 choses totalement différentes. Je ne vais pas m’attarder sur les tons, mais plutôt me focaliser sur la prononciation des consonnes.
- Les lettres p et b : le « p » se prononce comme le « p » anglais, c’est-à-dire en expirant, comme dans « Paris » ou « Peter ». Le « b » se prononce comme notre « p ».
- Les lettres k et g : le « k » se prononce comme le « c » anglais (expiré), comme dans « College » ou « Coffee ». Le « g » se prononce comme notre « k ».
- Les lettres t et d : le « t » se prononce comme le « t » anglais, lui aussi expiré, comme dans « Toilets » ou « Tower ». Le « d », quant à lui, se prononce comme notre « t ».
- La lettre h : elle est à mi-chemin entre le « h » expiré anglais et le « r » français. Elle se prononce comme un « r » doux. Exemples : Shanghai : Changraï ; Ni hao : Ni rao
- La lettre x : elle se prononce comme notre « s ».
- Les lettres q, j et z : elles se prononcent quasiment de la même façon, entre « tz » et « ts » (ceux qui parmi vous parlent mandarin se disent sans doute que ces trois lettres ne se prononcent pas de la même façon mais j’essaie de simplifier les choses pour les plus débutants ;-)).
- Les lettres zh : elles se prononcent « tch ».
Exemples de prononciation :
- La station de métro Qibao se prononce Tsipao.
- Pékin (Beijing) se prononce Péïtzing.
- France (Faguo) se prononce Fakouo
Place aux photos !
Je termine par quelques photos de la ville et à ceux qui prévoient de faire un « stop over » en Chine, j’espère que ces quelques infos vous auront été utiles ! J’ai adoré Shanghai, qui n’est pas qu’une ville moderne, on peut y découvrir des quartiers plus anciens et plus typiques. Il y a un bon équilibre entre les deux 🙂
(20)Commentaires
Je pars en NZ depuis Paris et je fais une escale de 18 heures à Canton. J'ai lu sur certains sites internet dont le votre ainsi que celui de l'ambassade qu'on pouvait sortir de l'aéroport en faisant une demande de visa temporaire à l'aéroport. Cela m'intéresse car je pourrais peut-être aller me reposer dans un hôtel et visiter vite fait les environs.
Le problème est que j'ai une connaissance qui a fait la même chose et elle m'a dit que si je reste moins de 24h à l'aéroport je ne pourrais pas obtenir de visa. Quelqu'un pourrait-il m'éclaircir svp ?
Bonne journée !
Yes, tu peux sortir de l'aéroport sans visa Français : plus besoin de visa pour la Chine en 2024 (15 jours max)!
Après à voir si tu as le temps de faire une petite visite ou non. Je ne connais pas Guangzhou mais ça ne peut qu'être intéressant si tu as le temps.
Si tu prévois de ne pas sortir de l'aéroport, tu n'as pas besoin de visa.
Si tu veux sortir de l'aéroport, dans ton cas pour Pékin car pour Canton, tu n'auras pas vraiment le temps, tu peux sortir de l'aéroport sans visa le temps de ton escale oui. Les informations de l'article sont toujours à jour. Chine - Ministère de l’Europe et des Affaires étrangères
J'ai tendance à penser que ça va passer (à Pékin, car à Canton tu n'auras pas le temps) car ce sont deux escales, mais comme je n'ai pas testé ce cas de figure, je ne veux pas te dire de bêtise...
Salut Boris,
J'ai tendance à penser qu'il faut vraiment un aller qui te mène dans un autre pays, pour que la notion de transit soit respectée, mais logiquement si tu as un billet qui te fait quitter la Chine, ça pourrait marcher. Tu as peut-être eu ta réponse depuis, n'hésite pas à nous en dire plus, ça pourrait intéresser du monde
J'ai déplacé ton message ici, tu peux consulter l'article traitant de ce sujet.
Le mieux serait sans doute de demander confirmation à ta compagnie aérienne pour savoir si tu es exemptée de visa ? Tu voyages avec la même compagnie ?
Merci d'avance pour votre aide.
Amélie
D'ici peu, je pars rejoindre un amis en Nouvelle-Zélande pour 4 semaine et j'aimerais bien, à l'aller ou au retour, faire une longue escale pour visiter Shanghai. J'ai déjà fait un road trip en Chine mais je n'ai pas eu l'occasion d'aller jusqu'à Shanghai. Chose que je souhaite réparer.
Je voulais savoir si c'était possible de réaliser le stop over si je prenais simplement 2 billets d'avions avec aller simple pour faire mon escale ? Ou si il faut obligatoirement avoir une longue escale pour pouvoir le faire ?
Merci d'avance.
{{like.username}}
Chargement...
Voir plus