On parle souvent de la faune des pays du PVT aux climats extrêmes, comme l’Australie ou le Canada, mais rarement de celle des pays d’Asie, notamment la Corée du Sud. Avec ses zones climatiques variées, ses fortes précipitations et ses côtes sur trois côtés, le pays offre un cadre idéal à une faune et une flore riches et diversifiées.
Voici un aperçu des animaux que vous pourrez croiser en Corée du Sud./p>
Les animaux de Corée du Sud : panorama général
Tout d’abord, rassurez-vous, la Corée n’est pas un pays dangereux par sa faune. Il existe très peu d’espèces nuisibles envers l’homme et, même si certains petits visiteurs risquent de vous déplaire en été, vous serez très rarement (voire jamais) en danger de mort.
Ce qu’il faut surtout savoir sur la faune coréenne, c’est qu’elle est relativement similaire à la nôtre. Malheureusement, les plus gros mammifères semblent s’être éteints ou sont en voie d’extinction. Néanmoins, la Corée est un véritable Eden pour les oiseaux, puisqu’on en répertorie plus de 396 espèces différentes, dont 266 migrantes souvent originaires de Sibérie.
La DMZ, zone démilitarisée qui sépare les deux Corées, est devenue un véritable sanctuaire pour la biodiversité coréenne. Depuis plusieurs décennies, cette zone est un No Man’s Land, ce qui a permis à la nature de reprendre ses droits.
De plus, la Corée compte de nombreux parcs nationaux et réserves naturelles qui servent de refuges aux espèces menacées.
Les mammifères emblématiques de Corée du Sud
Autres appellations : porte-musc de Sibérie, Siberian musk deer, moschus moschiferus.

Ce cerf musqué à l’apparence étonnante semble tout droit sorti d’un remake animalier de Dracula ! Pourtant, cette espèce est entièrement herbivore et donc totalement inoffensive pour l’homme. Ces longues canines lui servent simplement à impressionner son adversaire.
C’est au sud de la province de Jeolla-do qu’ils sont le plus nombreux.
Malheureusement, cet animal sympathique à tête de kangourou fait face au plus grand des prédateurs : l’humain. Les braconniers le chassent en masse pour sa glande musquée utilisée dans la composition de parfums…
Autres appellations : Korean raccoon dog, tanuki, nyctereutes procyonoides.

Qui d’entre vous ne craquerait pas pour sa bouille ?
Le raton laveur coréen a une apparence mi-chien, sauvage mi-raton laveur. Il se cache dans les vallées boisées et descend parfois jusqu’à la ville. Il n’est pas si rare d’en apercevoir à Séoul, notamment à proximité du palais de Changdeok. Vous savez dans quel coin traîner pour espérer croiser son adorable bouille…
Autres appellations : Ussuri black bear, ours du Tibet, ours à collier, ursus thibetanus.

Voici une autre espèce qui avait presque disparu des contrées sud-coréennes, mais un programme de réintroduction a été mis en place au début des années 2000, dans le parc national de Jirisan, permettant ainsi de maintenir sa présence sur le territoire.
Malheureusement, l’espèce reste menacée par le braconnage, notamment pour sa bile utilisée dans certains remèdes ancestraux en Asie.
Autres appellations : Asian leopard cat, chat léopard du Bengale, chat de Chine, Prionailurus bengalensis euptailurus.

Du même gabarit que nos chats domestiques, le chat-léopard est un grand solitaire qui vit caché parmi la végétation. Il apprécie particulièrement le climat subtropical humide et vit plutôt en altitude. En Corée, on en trouve dans plusieurs zones montagneuses, notamment dans le parc national de Bukhansan, ainsi que dans la DMZ (zone démilitarisée), restée à l’état sauvage.
Autres appellations : tamia de Sibérie, bouroundouk, tamias sibiricus.

Vous connaissez certainement ce petit animal adorable puisqu’il est très apprécié comme animal de compagnie. Mais il n’est pas arrivé chez nous par hasard.
L’écureuil de Corée (en réalité un tamia, Tamias sibiricus) est très apprécié comme animal de compagnie. On le trouve dans toute l’Asie du Nord, y compris en Corée du Sud, d’où il a commencé à être exporté dans les années 1960 vers l’Europe comme animal de compagnie.
À noter, qu’en France, il faut un certificat de capacité pour posséder cet animal considéré comme « sauvage ».
Autres appellations : wild boar, sanglier d’Europe, sanglier d’Eurasie, sus scrofa.
Ce gros gibier, pas très commode et bien présent en Europe, l’est aussi sur le sol coréen.

Depuis 2012, on observe une recrudescence de ces bêtes sauvages dans les villes, notamment aux abords du parc national de Bukhansan, mais pas seulement, puisque certains spécimens se sont même aventurés jusqu’à Hongdae ! Les signalements de sangliers en milieu urbain, notamment à Séoul, ont continué d’augmenter au cours des dernières années.
Pour limiter les dégâts et prévenir les risques sanitaires, les autorités ont renforcé les mesures de gestion : campagnes de chasse, piégeages, clôtures dans certaines zones sensibles. Ces actions ont permis de réduire localement la densité des populations, mais la présence de sangliers reste une réalité en Corée, en particulier dans les zones périurbaines proches des montagnes.
Voici les instructions données par le service des urgences de Séoul aux habitants :
- Regardez l’animal droit dans les yeux, en position debout, en restant calme et immobile (courir ou crier pourrait l’exciter davantage).
- Ne montrez pas que vous avez peur et ne lui tournez surtout pas le dos (cela pourrait passer pour de la provocation).
- Ne faites rien pour nuire à l’animal, ne faites aucun geste agressif (ça pourrait l’effrayer et le faire charger).
- Évitez un mouvement soudain pour vous abriter (les sangliers sont justement excités par les choses qui bougent rapidement – proie).
- Soyez d’autant plus prudent durant la période de novembre à décembre car c’est la saison des amours (les verrats peuvent se montrer encore plus agressifs).
- Appelez rapidement les urgences coréennes au 119 (ou 1339 pour les étrangers).
Autres appellations : Siberian tiger, Panthera tigris tigris, tigre de l’Amour.

Le tigre est l’animal totem de la Corée du Sud. Ce félin aurait été observé pour la dernière fois dans le pays dans les années 1920. Dans les années 1980, la Corée du Sud en a importé mais uniquement en captivité.
Le tigre de Sibérie est une espèce en voie d’extinction, à l’heure actuelle, aucun tigre sauvage n’est recensé en Corée du Sud. Cependant, il est suspecté que la Corée du Nord en abrite quelques spécimens.
Les grands mammifères qui peuplaient autrefois le pays semblent avoir presque tous disparu. Cette situation serait due en partie à la guerre de Corée, à la chasse et à l’industrialisation du pays.
Certains félins, comme le léopard de l’Amour (아무르 표범) et le chat-léopard du Bengale (벵갈 고양이), ont longtemps existé en nombre dans la péninsule coréenne, tandis que d’autres n’y étaient que de passage. C’est notamment le cas du tigre de Sibérie (시베리아 호랑이), connu pour ses grands déplacements, ou encore du lynx d’Eurasie (스라소니).
Le gouvernement sud-coréen a classé tous les félidés du pays comme « espèces en danger » et a mis en place des programmes de réinsertion. La plupart de ces félins en voie d’extinction peuvent aujourd’hui être observés au zoo de Séoul…
Les oiseaux à observer en Corée du Sud
La pie coréenne (까치 – kkachi)
Autres appellations : Korean magpie, Asian magpie, pie orientale, pica sericea.

Cette charmante petite pie aux reflets bleutés est l’un des symboles représentant l’identité coréenne à travers de nombreuses villes et provinces. On en trouve un peu partout à travers le pays.
Un vêtement traditionnel est d’ailleurs inspiré de son nom : le kkachi durumagi (까치두루마기). Ce mot signifie littéralement « pardessus de pie”. Il s’agit d’une sorte de manteau que portent les enfants au-dessus du hanbok durant Seollal (nouvel an coréen).
La grue du Japon (두루미 – durumi)
Autres appellations : red-crowned crane, grue de Mandchourie, grue des immortels, grus japonensis.

Ce superbe oiseau appartenant à la famille des échassiers est l’un des plus grands au monde puisqu’il peut mesurer jusqu’à 1 m 58. Son apparence extrêmement gracieuse évoque une danseuse de ballet. Dans la nature, il vit en moyenne 30 ans, mais peut atteindre 70 ans en captivité.
En Corée du Sud, la grue symbolise la pureté, la paix et la longévité. Elle est aussi un animal central des mythes et légendes chinoises et japonaises.
C’est une espèce très rare qui est malheureusement en voie d’extinction. On en trouve principalement en automne et en hiver dans la rivière Imjin qui traverse la DMZ (zone démilitarisée) et qui rejoint le fleuve Han.
Les animaux marins
Le poisson-ballon (복어 – boge)
Autres appellations : fugu, takifugu, poisson-globe, poisson-boule, pufferfish.

Plutôt mignon ce petit poisson tout rond, non ? Si vous vous intéressez à l’Asie, peut-être en avez-vous déjà entendu parler. Il s’agit du poisson-globe, l’un des vertébrés les plus toxiques au monde. Même si on le connaît sous cette forme de ballon, il ne se gonfle que lorsqu’il se sent menacé. On en trouve plus particulièrement au Nord-Ouest Pacifique et dans la région Indo-Pacifique.

On peut déguster du fugu dans des restaurants spécialisés en Corée. Mais attention : mal préparé, il peut être mortel. Ses organes contiennent une toxine très puissante, la tétrodotoxine, pour laquelle il n’existe aucun antidote. Ses effets ? Paralysie et arrêt respiratoire, pouvant entraîner une mort lente en 4 à 6 heures.
La baleine de Minke (밍크고래 – ming-keugolae)
Autres appellations : petit rorqual, minke whale, balaenoptera acutorostrata.
La baleine de Minke est une espèce que l’on peut apercevoir aux abords de la ville côtière d’Ulsan, dans la mer du Japon. Elle est menacée par la chasse, notamment du côté du Japon. Le Japon est un des derniers pays du monde à autoriser la pêche à la baleine.

La Corée du Sud ne pratique plus officiellement la chasse commerciale à la baleine depuis 1986. Pourtant, la viande de baleine reste aujourd’hui encore une spécialité locale… Comment l’expliquer ? En réalité, la Corée autorise la vente de viande issue de « prises accidentelles », c’est-à-dire de baleines capturées involontairement dans les filets de pêche. Ce système reste néanmoins controversé, certaines ONG soupçonnant qu’il serve parfois de couverture à la chasse illégale.
Pour en apprendre plus sur les baleines et les pêcheurs de l’époque, vous pouvez visiter le musée de la baleine de Jangsaengpo et le village des pêcheurs.
Le marsouin aptère (상괭이 – sang-gwaeng-i)
Autres appellations : marsouin de l’Inde, marsouin de Cuvier, marsouin noir, finless porpoise, neophocaena phocaenides.

La plus grande population de cet adorable cétacé se trouve tout autour de la péninsule coréenne, dans la mer Jaune et la mer de Chine orientale. Comme ailleurs dans le monde, des croisières d’observation sont organisées au port d’Ulsan. Ces baleines peuvent être aperçues à quelques dizaines de kilomètres de la côte, en particulier d’avril à mi-juin.
Les serpents en Corée du Sud (뱀 – baem)

Comme dans beaucoup de pays, le serpent a plutôt mauvaise réputation. Le terme « serpent venimeux » se dit dok-sa (독사). En coréen, le « sa » (사), qui se prononce comme le chiffre 4 (associé à la malchance et à la mort, un peu comme notre chiffre 13), renforce cette image négative. Pourtant, le serpent est encore utilisé dans de nombreux remèdes traditionnels coréens.
Même si la majorité des espèces présentes en Corée sont non venimeuses, certaines peuvent être dangereuses. C’est notamment le cas de la vipère mamushi (Gloydius blomhoffii, famille des Viperidae) et de quelques serpents de mer (famille des Elapidae) comme Hydrophis cyanocinctus, Hydrophis platurus ou Hydrophis melanocephalus. Bien que très venimeux, les serpents de mer sont réputés calmes et mordent rarement. Mieux vaut toutefois rester vigilant et garder ses distances.
- Identifier le serpent pour être capable de le décrire aux urgences.
- Appeler les urgences (119 en Corée, 1339 pour les étrangers) et/ou vous rendre en pharmacie.
- S’allonger et immobiliser le membre atteint pour limiter la diffusion du venin.
- Retirer tout ce qui pourrait gêner la circulation (bague, bracelet…).
- Nettoyer la plaie (eau, savon). Surtout PAS d’alcool car il accélère la diffusion du venin.
- Réaliser un bandage très léger. Ne pas serrer.
- Ne pas couper, sucer ou aspirer la plaie.
- Pour calmer la douleur, vous pouvez prendre du paracétamol et poser un linge sec sur la blessure. Évitez l’aspirine et les anti-inflammatoires.
Les insectes et petites bêtes
Avec son été étouffant et son climat subtropical humide, la Corée du Sud est un environnement idéal pour les gros insectes grouillants. Même si ça n’enchante pas la majorité d’entre vous, autant être prévenus : en été, en Corée, vous aurez de la compagnie !
Ah, les moustiques ! Un vrai plaisir chaque été… Vous n’y échapperez pas non plus en Corée, surtout avec le climat chaud et humide de la saison estivale.

Sans devenir parano, sachez tout de même que certains moustiques peuvent transmettre l’encéphalite japonaise. Bien que moins de 1 % des personnes piquées développent des symptômes graves, cette maladie reste sérieuse avec un taux de mortalité de 20 à 30 % dans ses formes sévères.
Il est possible (et recommandé pour les séjours longs ou en zone rurale) de se faire vacciner avant votre départ.
Autres appellations : Asian giant hornet, yak-killer hornet, vespa mandarinia.

Le nom coréen de cette espèce signifie littéralement « officier général des guêpes ». Et pour cause : il est le plus grand et l’un des plus redoutables frelons au monde. Il peut mesurer jusqu’à 4,5 cm de long pour 7,5 cm d’envergure. Son bourdonnement est impressionnant et il peut attaquer en groupe pour défendre son nid.
Très agressif, il représente un danger pour les personnes allergiques aux piqûres et peut être mortel en cas de multiples piqûres. Il faut donc être extrêmement prudent.
- Identifier le spécimen pour être capable de le décrire aux urgences.
- Appeler les urgences (119 en Corée, 1339 pour les étrangers) ou consulter une pharmacie.
- Si un dard est visible (abeille), l’enlever très délicatement sans percer la glande à venin.
- Retirer bagues et bracelets pour éviter la compression en cas de gonflement.
- Nettoyer la plaie à l’eau et au savon, puis désinfecter.
- Pour calmer la douleur, prendre du paracétamol et appliquer une compresse froide ou un linge propre avec de la glace (jamais directement sur la peau).
- En cas de piqûre dans la bouche, sucer un glaçon et appeler les urgences immédiatement.
- Surveiller tout signe d’allergie (gonflement généralisé, difficultés respiratoires, malaise) et appeler les urgences sans attendre.

Gros, moche, sale et mal-aimé de tous, le cafard risque fort bien de devenir votre nouveau compagnon de chambre cet été, surtout si vous vivez dans un vieux bâtiment. C’est un véritable fléau en Corée et vous verrez qu’il existe des tonnes de produits insecticides mis en avant dans les magasins lorsque la saison approche. Pas de panique néanmoins, cette petite bête est inoffensive. Et avec les bons gestes vous arriverez peut-être à éviter cette fâcheuse rencontre…
- Aérez régulièrement votre logement, en particulier la salle de bain et la cuisine.
- Nettoyez fréquemment les surfaces et ne laissez pas traîner de nourriture.
- Bouchez les fissures et petits trous (plinthes, tuyauterie) qui leur servent d’accès.
- Utilisez des pièges ou gels anti-cafards, très faciles à trouver en Corée dans les magasins.
- Gardez vos poubelles fermées et sortez-les souvent.

Si vous venez du Sud, vous ne serez pas dépaysé en arrivant en Corée : impossible d’ignorer ces créatures tant elles sont bruyantes. Certaines espèces (uniquement les mâles) peuvent chanter jusqu’à 120 décibels pour attirer leur moitié. En ville, elles doivent parfois redoubler d’efforts pour se faire entendre, et leur chant strident semble venir de partout à la fois. Leur couleur se fondant avec celle des arbres, elles sont difficiles à repérer. Malgré leur taille impressionnante, ces insectes sont totalement inoffensifs.
Autres appellations : mille-pattes de maison, house centipede, scutigera coleoptrata.

Voici une autre petite créature “sympathique” que vous pourriez croiser en Corée cet été. Le scutigère apprécie particulièrement les recoins sombres et humides de votre logement, tout comme les cafards. Pouvant mesurer jusqu’à 5 cm de long, ce prédateur très rapide et doté de sens développés est capable de bondir sur ses proies (araignées, guêpes, fourmis, blattes…).
Pas d’inquiétude : il est inoffensif pour l’homme… et se charge même de chasser les moustiques. Alors, on lui dit merci ?
Autres appellations : jumping spider, salticide, saltique, salticidae.

Cette araignée à la vue aiguisée et qui ne fait pas de toile apparaît elle aussi en été. L’araignée sauteuse est toute petite et inoffensive, mais elle sait se faire remarquer.
Ne soyez pas étonné de vous retrouver un jour face à une petite armée vous attendant sur les marches menant à votre appartement. Il faudra alors les enjamber ou les contourner, mais attention, ça saute.
Restez donc calme et ne faites pas de mouvements brusques. Armez-vous d’un peu de sang-froid, elles ne vous feront aucun mal. Et puis, en y regardant de plus près, elle est plutôt mignonne cette petite araignée, non ?
Autres appellations : araignée-banane, golden orb weaver, banana-spider, Jorō spider, nephila clavata.

Son surnom “araignée-banane” vient de la forme et de la couleur de son abdomen. En coréen, mudang signifie “chamane” ou “diseuse de bonne aventure”. Cette araignée est associée à une légende japonaise de yōkai, la Jorōgumo, qui raconte qu’elle peut se transformer en une belle jeune femme commandant une armée d’araignées cracheuses de feu.
Attention danger ! Contrairement à l’araignée sauteuse, totalement inoffensive, la mudang geomi possède un venin pouvant causer de vives réactions (douleurs, nausées, vertiges). Non mortelle, sa morsure nécessite tout de même une consultation médicale rapide.
(8) Commentaires
Bonjour !
J’aimerais savoir si vous me conseillerez vraiment de faire le vaccin contre l’encéphalite japonaise en sachant que je resterai principalement sur Séoul…J’hésite à le faire mais je n’arrive pas à prendre une décisions… en sachant que je suis déjà sur place…Merci d’avance !
Hello,
Ce n’est pas un vaccin obligatoire pour se rendre là-bas et il est surtout conseillé pour les séjours dans les zones rurales. Après en PVT, on reste un an dans le pays, donc on n’est pas de simples voyageurs et on reste assez longtemps pour que ce soit plus à risque. Mais, si tu restes principalement à Séoul et que tu prends toutes les précautions recommandées contre les moustiques tu peux t’en passer.
C’est vraiment à toi de voir je dirais.
Hello,
Justement, je reste surtout sur Séoul mais je ne pense pas forcément aux précautions à prendre contre les moustiques…Je ne le faisais pas en France déjà donc ce n’est pas automatique :/ Je pense dans ce cas que c’est préférable de faire le vaccin, comme ça au moins c’est fait… Merci beaucoup pour ta réponse ! 🙂
Hello ^^,
C’est encore moi haha… J’ai contacté l’Hôpital universitaire national de Séoul pour savoir comment faire pour prendre un rendez-vous pour le vaccin et ils m’ont demandé de leur envoyer, en plus d’autres informations, une copie de ma carte d’assurance internationale… J’ai pris l’assurance Globe PVT pour partir et la carte d’assurance de Globe PVT est en français… Est-ce que cela va poser problème ou je n’ai pas à m’en faire ? :/ Merci d’avance !
Hello,
Tu peux fournir la version anglaise du contrat d’assurance en plus de la carte, on y retrouve toutes les informations de la carte. 🙂
Hello,
J’y avais pensé mais je n’étais pas sûre…Ca me rassure alors ! Merci beaucoup pour ta réponse et bonne journée ! 🙂
La sois disant dangereuse araignée mudang n’est rien de plus qu’une nephile (triconephila).
Araignée inoffensive pour l’homme.
A part une petite réaction locale rien à craindre.
Des recherches bâclées qui desservent bien nos amies à 8 pattes.
Soit*
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