Juliette et Abigaël sont deux pvtistes de 22 ans, arrivées en Nouvelle-Zélande il y a 1 mois 1/2. Nous leur avons demandé de nous parler de leur expérience de volontariat (Workaway) mais aussi d’autres aspects de leur PVT.
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Comment était organisée votre journée ?
A – Il y avait des jours où on bossait toute la journée : le matin, on faisait du picking et l’après-midi, du packing.
J – Et du désherbage ! On en faisait plutôt le matin…
A – Oui, et dans ce cas, on ne bossait pas l’après-midi.
J – Le midi, on mangeait avec le père et un des fils. On avait un petit sandwich et ensuite on s’y remettait. C’est quelque chose qui m’a étonnée, ils ne prennent vraiment pas le temps de manger.
A – À midi, on met tout sur la table et chacun se sert.
J – C’était une famille très catholique, donc ils faisaient la prière avant chaque repas et Jésus était dans toutes les pièces.
Vous travailliez 4/5 h par jour, c’est ça ?
A – Ça dépendait. Ils faisaient en fonction de la météo et ils comptabilisaient toutes nos heures. Quand on faisait une journée entière, on avait un jour off le lendemain. On faisait environ 25 heures par semaine.
Vous avez pensé quoi du blueberry picking ?
J – C’est super chouette, parce que tu es dans la nature, t’entends tous les oiseaux autour de toi. Tu le fais souvent tôt, comme ça, il fait frais. Ça permet que les guêpes restent dans leur nid et ne bougent pas.
A – Oui, au début c’était impressionnant, ils nous ont dit « faites attention, il y a des gros nids de guêpes ». Avant 10 h, ça va, elles sont endormies. Habituellement, j’ai hyper peur des guêpes, donc quand elles étaient bien endormies, parfois, j’osais ramasser la blueberry qui était juste à côté du nid, mais après 10 h, quand le soleil arrive, elles s’affolaient.
J – C’était une entreprise familiale, on était en petit comité, et je pense que ça a joué dans le fait qu’on aime notre expérience, c’était tranquille.
A – Oui, on n’avait pas la pression.
J – Et du coup, on pouvait pas mal discuter. La première journée, j’étais avec le papa et Abi était avec le jeune donc on pouvait bien échanger. C’était chouette et c’était bien pour l’anglais.
C’était fatigant ?
A – Ça va ! Ce qui nous a vraiment fatiguées, c’était le désherbage.
J – Ça muscle les cuisses.
A – Oui, t’as mal partout. T’as mal aux jambes. T’es toute la journée baissée. En picking, on pouvait rester au même endroit pendant un moment et on pouvait s’asseoir.
J – Et puis en picking, parfois t’es debout, selon les variétés de blueberries. Le désherbage, c’était costaud, mais souvent ils nous faisaient faire ça après la pluie, comme ça c’était plus facile.
Et le packing, ça s’est bien passé ?
A – Oui, on mettait les fruits dans des petites boîtes, c’était moins fatigant que le packing de kiwis qu’on fait aujourd’hui.
J – En fait, ça dépend, il y avait deux tâches différentes. Il y a celui qui regarde les myrtilles, et là, il faut être hyper réactif car tu as toutes les myrtilles qui arrivent. Il faut les trier par variété et enlever les myrtilles pourries, etc. Quand tu as 100 ou 200 myrtilles qui arrivent en même temps, c’est speed. Ça, c’était vraiment fatigant.
A – Et l’autre tâche, c’était la mise en barquette. Ça allait, c’était cool. Tu pèses les boîtes et tu mets les autocollants dessus.
Aujourd’hui, vous faites du packing de kiwis, comment ça se passe ?
J – Là, c’est plus en mode robot.
A – C’est du travail à la chaîne.
J – Oui, on respecte moins ton rythme.
A – Ah oui, on ne respecte pas du tout ton rythme.
J – Ils arrivent à trouver la vitesse à laquelle tu deviens vraiment un robot et tu déconnectes de tout.
A – Tu ne penses plus à rien d’autre qu’aux kiwis.
J – Et à un moment, tu te reconnectes et tu te dis « ah oui c’est vrai je suis en train de faire des boîtes de kiwis ».
Donc ça heureusement que vous êtes payées. Vous ne l’auriez pas fait en volontariat ?
J et A – Ah non !
Vous avez trouvé facilement votre volontariat ?
J – À Kerikeri, on a envoyé 5 demandes car on a l’habitude sur Workaway qu’on ne nous réponde pas.
A – En fait, juste avant, on avait déjà fait un Workaway et on avait galéré à avoir des réponses. Au début on voulait s’en trouver un pour notre arrivée en Nouvelle-Zélande. On a envoyé plein de demandes et on n’a eu aucune réponse. Bon, au final, il y en a un qui nous a répondu, mais la communication n’était pas simple.
J – C’était pas des gens très connectés. Là pour Kerikeri, on a eu une réponse le lendemain de notre demande. Et ils nous ont dit « si vous voulez, vous pouvez venir demain ».
Combien vous avez payé pour vous inscrire au réseau Workaway ?
J – Pour un an, on a payé 42 euros pour deux.
Finalement, pourquoi vous n’êtes restées que deux semaines dans la ferme de myrtilles ?
J – Au bout des deux semaines, c’était Pâques et ils voulaient aller en ville pour aller à la messe.
A – Et puis il y avait aussi moins de boulot. On arrivait à la fin de la saison des blueberries donc ils nous ont dit qu’ils allaient pouvoir le faire eux-mêmes.
J – C’est quelque chose que j’ai trouvé un peu « négatif », c’était un peu la limite du truc. Il n’y a plus travail, donc on ne peut pas rester, alors qu’on s’entendait bien.
A – Oui c’est un peu frustrant.
J – On ne s’en résume qu’au travail. On aurait pu désherber, faire à manger, on aurait pu faire plein de trucs. Donc ouais je trouve ça dommage que ça s’arrête juste parce qu’il n’y a plus de myrtilles. Pour moi, le travail, c’est surtout un prétexte pour rencontrer des gens.
Vous aviez quel niveau d’anglais en arrivant ?
A – Moi je comprenais peut-être un peu plus que Juliette.
J – Oui. Je dirais que j’avais un niveau fin de collège, début de lycée. Toi, plutôt seconde, du moins pour l’oral. Au début, du coup, on est passées à côté de plein de choses.
A – Oui et au fur et à mesure, à force de les entendre, qu’ils nous expliquent encore et encore les choses… ça allait mieux.
J – Au début, tu communiques beaucoup avec les gestes et le regard quand tu ne comprends pas. Et à la fin, on pouvait communiquer à l’oral. On arrivait à se créer une complicité. Ils étaient très patients, ils nous expliquaient beaucoup de choses.
A – Oui par exemple, notre rendez-vous pour ouvrir un compte en banque, c’était une pure catastrophe ! 🙂 Ça ne faisait pas longtemps qu’on était arrivées dans la famille, notre niveau était pas top et la banquière parlait hyper vite, elle ne faisait aucun effort pour qu’on comprenne, elle ne reformulait pas, c’était l’enfer.
J – Oui, alors qu’eux, ils n’hésitaient pas à changer un mot pour qu’on comprenne ou à nous l’expliquer. Ils trouvaient toujours un moyen pour nous expliquer les choses. Et puis, au quotidien, on apprend plein de choses, par exemple, on sait dire mante religieuse, ça nous sert à rien mais bon… 🙂
A – Notre hôte était prof d’anglais donc on lui a demandé si elle pouvait nous corriger. On est aussi allées deux fois avec eux à une quizz night dans un bar et là aussi, la mère nous reformulait tout ce qu’on ne comprenait pas.
J – D’ailleurs, la première fois qu’ils nous ont dit qu’on allait faire une quizz night, on a compris qu’on allait à une « cousinade » (rires). On s’est dit « ça va être compliqué d’aller à une cousinade, on ne parle pas bien anglais » et là on arrive dans un bar, et on réalise qu’on s’est complètement trompées.
Vous recommandez le volontariat à un nouveau PVTiste qui ne parle pas très bien anglais ?
A – Carrément !
J – Oui, d’autant que nous, on était tout le temps avec nos hôtes. Du coup tu répètes des choses tous les jours et tu les assimiles. T’entends parler anglais tout le temps, notamment quand ils parlent entre eux. Pour moi, c’est la solution pour apprendre l’anglais !
A – Oui, et c’est pour ça qu’on va en refaire plus tard pendant notre PVT. Là on n’est pas encore bilingues.
J – On a pris tous les repas avec eux, du coup on a pu se rendre compte de ce que contient leurs repas. Pour eux c’est le repas du soir qui est important.
A – C’est un repas qui doit se prendre en famille. Enfin, ça on ne l’a pas vraiment vu ! Un des fils n’était pas souvent là. Mais on mangeait toujours ensemble le soir et au final, c’est là qu’on rigolait le plus. Au début, on ne comprenait pas toutes les blagues (le père en faisait beaucoup) et petit à petit, ça s’est amélioré. À la fin, on était plus à l’aise, donc on pouvait les charrier nous aussi, on arrivait bien à rigoler avec eux, c’était super.
En terme de logement et de nourriture, vous trouvez que c’était correct chez vos hôtes ?
J – Oui, même si pour la nourriture, c’était pas dingue.
A – Oui, au début on restait un peu sur notre faim.
J – Ils ne mangent rien, j’ai l’impression.
A – La première journée, on a eu un sandwich le midi (on pensait que c’était juste une entrée, mais en fait non). Mais on a compris que le repas important, c’était celui du soir pour eux.
J – Au final c’était assez simple, on mangeait des gratins, par exemple. Souvent il y avait plusieurs choses sur la table et on se servait, des pommes de terre, des œufs, des haricots, des kumaras. C’était très simple, mais c’était chouette.
A – Niveau quantité, ils se moquaient pas mal de nous parce qu’on se resservait systématiquement. Et pour le logement, on dormait chez eux, on avait une chambre avec salle de bain.
J – C’est aussi pour ça qu’on est restées 2 semaines, c’était vraiment bien.
A – Dans notre premier volontariat, on était logées dans une caravane, il n’y avait pas de bâtiment sur la propriété. La caravane était humide de chez humide et la porte ne fermait pas.
Et en terme de nourriture, ça donnait quoi chez cet hôte ?
A – Ils nous la fournissaient aussi et nous on cuisinait. Pour les heures de travail, ils s’en fichaient en fait.
J – Oui, c’était à l’arrache.
A – Ils construisaient des « tiny houses » (des sortes de caravanes améliorées) et ils n’avaient pas le temps de faire à manger donc nous, on était là pour gérer les repas ! Et parfois, on les a aidés, on a fait de la peinture, etc.
J – En terme de logement, ça allait, c’était juste un peu roots, donc faut être prêt à vivre vraiment proche de la nature.
Vous avez pu aller à Kerikeri pendant votre deuxième Workaway ?
J – Oui, on était a 10 minutes de Kerikeri, donc on y allait souvent. C’est mignon et puis il y a des magasins de vêtements (ce qui est assez rare finalement en Nouvelle-Zélande), c’est sympa. D’ailleurs, à Kerikeri, il y a un magasin d’articles d’occasion (Op Shop) où on a pu trouver plein de fringues pour le picking et tout était à 1 ou 2 dollars. Le samedi, on est allées au marché, il est super chouette.
A : Oui on a apprécié la musique, les gens tranquilles. Le samedi, il y a aussi un marché à Tauranga, qui est vraiment sympa. La aussi, il y a des petits concerts, les gens sont dans l’herbe, c’est hyper appréciable.
Pour vos 2 volontariats, c’était indispensable que vous ayez un véhicule ou ce n’était pas précisé dans l’annonce ?
A – Pour le premier, on n’avait pas encore le van donc on y est allées en bus et ils sont venus nous chercher à l’arrêt de bus, parce que c’était un peu perdu. Et le deuxième, c’était précisé qu’il fallait avoir une voiture.
J – C’est souvent précisé qu’il faut avoir un véhicule du coup si tu n’en as pas, ça peut te bloquer pour plein de Workaway. Ça a été un peu frustrant au début.
A – On voyait plein d’offres inteeressantes mais on n’envoyait pas de demande parce qu’ils exigeaient qu’on ait une voiture.
J – C’était souvent des endroits éloignés, avec des animaux, etc., donc c’était vraiment dommage. Je pense qu’à travers le véhicule, ils cherchent l’autonomie. Il faut pouvoir les laisser un peu tranquilles et arriver à s’occuper. Il y en a plein aussi qui ne veulent que des personnes qui ont plus de 25 ans.
A – Oui, ça on en a vu plein.
Pourquoi, selon vous ?
J – Aucune idée. Est-ce que c’est une question de maturité ? Une question d’autonomie ? Est-ce qu’ils estiment qu’à partir de 25 ans tu deviens ordonné, tu fais la vaisselle, etc. ? On a trouvé ça hyper dommage. Moi j’ai moins de 25 ans et je ne me sens pas… immature. Je suis apte à faire plein de choses. Sinon, dans les annonces, j’ai l’impression que les hôtes vendent leur truc. Ils font la liste de tout ce à quoi on aura accès, de toutes les activités qu’on pourra faire ensemble, etc. Ils sont vendeurs, comme s’il y avait des millions d’offres et qu’il fallait qu’on choisisse la leur. Et pourtant, souvent, ils ne répondent pas.
Vous disiez que vous aimez bien les bateaux, vous aimeriez bien trouver un Workaway qui vous permette de faire du bateau ?
J – Dans notre famille, il y en avait un mais ils l’ont vendu quand on était là. Mais on pense que c’est faisable de trouver un Workaway chez des gens qui ont un bateau, pour pouvoir en faire avec eux. En Nouvelle-Zélande, il n’y a pas besoin de permis pour faire du bateau et c’est pas très cher. Sinon, on adorerait faire une grande traversée en bateau. À voir… évidemment, ça va dépendre du budget.
A – Et des opportunités.
Vous travailliez dans quoi en France ?
J – Le social. Je suis animatrice socio-culturelle.
A – Je suis dans l’économie sociale et solidaire.
Vous êtes venues ici dans le but de vivre autre chose ou au fond, ça ne vous déplairait pas de trouver quelque chose dans votre domaine ?
A – À la base, ça faisait un moment que je voulais partir, je voulais voyager un peu à la fin de mes études, je ne voulais pas commencer à travailler tout de suite. Et un des objectifs aussi, c’était de revenir en parlant anglais. Pour le choix du pays, j’ai sorti tous les pays anglophones. L’Angleterre, ça ne me bottait pas plus de ça. Et puis, je suis tombée sur la Nouvelle-Zélande. Il y a les 4 saisons (j’aime bien l’hiver !), il y a plein de choses à faire, il y a des super paysages. Je me suis dit « allez je vais là ! ».
J – Je me suis dit « j’ai un créneau d’un an et je ne sais pas trop quoi faire. Je peux venir ? ».
A – Moi, j’ai fait un an en alternance en aide à domicile, ça m’a plu, j’ai monté des projets, c’était hyper intéressant mais juste après, je ne me voyais pas travailler.
J – Oui, rentrer dans le circuit.
A – Je ne voulais pas forcément continuer dans l’aide à domicile, je ne savais pas vraiment quoi faire, je me suis dit « mais t’as même pas 23 ans… T’as déjà des copines qui acceptent des CDI ». Non, moi je ne voulais pas ça !
Certains partent en ayant fait des études et en se disant « je ne veux pas faire des petits boulots », vous comprenez ça ?
A – Je comprends, oui. Même si, moi, c’était un peu l’inverse. Avant de partir, j’ai travaillé et après mon alternance, je me suis inscrite à Pôle Emploi. Je vais au rendez-vous, le conseiller me demande ce que je veux faire comme travail. Je lui réponds « n’importe quoi, c’est juste pour me faire de l’argent ». Il était étonné et il m’a dit « mais vous avez un diplôme, je ne comprends pas ». Je lui ai expliqué que j’allais partir à l’étranger et que je ne cherchais pas un boulot en particulier. Et ça certains ont du mal à le comprendre, ils se disent que ça ne fait « pas bien » sur le CV.
J – Et puis aussi, on nous demande toujours d’avoir de l’expérience dans tout. Ici, tu arrives, tu postules dans une entreprise de kiwis et on te dit « tu sais pas faire ? Bah viens, tu vas apprendre ». Maintenant, j’ai de l’expérience.
A – C’est toujours enrichissant. Et on en a vu ici des pvtistes qui partent avec l’idée de trouver dans leur branche. Pour certains, c’est la galère.
J – Du coup, ils prennent tout leur temps pour trouver un boulot bien précis. Mais ce que je me dis, c’est que c’est bien d’essayer d’autres choses, c’est une grande ouverture. Ton métier, tu vas peut-être le faire toute ta vie donc bon ! Moi, si je peux me passer d’animation pendant un an, ça me va.
A – Ahah ! toutes les semaines, elle me dit « ça me manque les enfants » 🙂
J – Oui, c’est sûr que si je pouvais trouver une petite mission, je serais contente, mais bon, il faut que je puisse les comprendre aussi. Je travaille dans le social et j’estime que j’ai besoin de parler très très bien anglais pour pouvoir comprendre ce que les gens veulent me dire, comprendre tous les sous-entendus de leur discours, parce que sinon je ne peux pas être au top de ce que je fais. Et je risque de passer à côté de plein de choses.
Et si on faisait un premier bilan après 1 mois 1/2 en PVT ? Ça vous plait ?
A – Ouais !
J – Oui, même si c’est vrai que j’aime bien aller dans des pays qui ne sont pas occidentalisés (je suis allée en Indonésie et j’ai adoré), avec un choc culturel plus fort parce que là du coup, on parle anglais, OK, mais c’est le même style de vie, le même « confort », il y a des frigos, etc.
A – Euh, des frigos, on vit en van quand même ! 🙂
J – Oui, c’est vrai, mais on est quand même dans un certain confort et c’est cool bien sûr. Dans notre culture, on a nos idées, nos façons de faire, nos façons de voir les choses. Au début, quand on arrive ici, ça y ressemble, mais en fait, quand on creuse un peu, on voit que c’est assez différent. Du coup, tu dois te réadapter et tu es surpris par plein de choses. Eux, ils sont surpris qu’on se fasse la bise, par exemple, mais nous, quand ils nous font un câlin, ça nous étonne aussi.
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Merci beaucoup les filles pour cet entretien !
Et pour ceux qui souhaiteraient suivre Abi et Juliette dans leurs aventures néo-zélandaises, direction Facebook !
(9) Commentaires
est ce qu’il y’a PVT entre NOUVELLE ZELANDE LE MALI
Salut,
Malheureusement, il n’existe pas d’accord entre la Nouvelle-Zélande et le Mali en ce qui concerne le PVT. Tu peux retrouver les différents visas sur le site de l’immigration néo-zélandaise.
Belle journée,
Pamela
Bonjour Pamela.
Je suis en République de Guinée et j’aimerais tenter un Pvt pour la nouvelle zelande. Est ce possible ?
Salut,
Malheureusement, le PVT Nouvelle-Zélande n’est pas disponible pour les citoyens de République de Guinée. Tu peux retrouver les visas disponibles sur le site de l’immigration.
Belle journée,
Pamela
Suis en République démocratique du Congo comment je peux faire pour travailler comme pvt en Australie
Bonjour,
Malheureusement, l’Australie n’a pas d’accord avec le Congo pour le PVT. Mais tu peux regarder du côté des autres types de visas possibles https://pvtistes.net/dossiers/visas-tourisme-etudes-travailler-en-australie/
Bonjour, il y aurait-il une ville la plus optimal pour trouver du travaille comme Perth en Australie, dans le secteur des fermes ( picking, packing, etc..).
Salut Giuseppe,
Tu peux trouver ces types de jobs un peu partout en Nouvelle-Zélande. Les régions de Tauranga, Hawke’s Bay, et Nelson sont des régions plutôt abondantes (parmi tant d’autres).
Belle journée 🙂
bonjour je souhaite m’installer en nouvelle Zélande
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