Les québecoises...

"Ce qui est stupide, c'est ton jugement. Respecte le choix des autres..."

le mot jugement fait référence à son propos agressif. En d'autres termes, je lui signifie simplement de modérer ses propos ! Rien de plus...

Marie,
Ton opinion (bonne ou mauvaise peu importe) intéresse le forum, pas ce genre d'attaque ... Évitons le hors sujet s'il te plait et restons dans la discussion.

Je ne suis pas certaine exactement de savoir comment prendre ce message...Une attaque personnelle ou seulement une opinion générale? Encore une fois, je ne prendrai même pas le temps de m'y offusquer, car tu ne me connais pas. Sache tout de même que ce n'est pas car la société québécoises, et ses habitantes, te déplaisent, que ta seule vision en fait un endroit déplorable. Tu as peut-être, sûrement, rencontré les mauvaises personnes au cours de ton séjour. J'ai toujours été dans des relations très longues, très fidèles, et je peux en dire autant de la plupart des filles que je connais.

De toute façon, MÊME SI ce n'était pas le cas, ça ne ferait pas de nous des salopes, du moins, pas plus qu'un homme qui agit de la sorte. Le problème dans tout ce débat, c'est que j'ai bien peur que toi et d'autres jugiez sévèrement les filles aux moeurs disons plus légères, mais que vous ne relevez pas un comportement semblable chez l'homme, comme si de toute façon c'était immuable à leur caractère mâle. Et ça c'est triste, et ça n'a aucunement à voir avec le féminisme, juste une question d'égalité.

Je ressens dans ton propos beaucoup de colère et de déception face aux Québec (et aux Québécoises) et je suis seulement déçue que tu n'aies pas eu la chance de profiter de toutes les richesses de la province, et de rentrer en contact avec des personnes signifiantes. J'ai moi-même ressenti un tel sentiment face à la France, lorsque j'y ai vécue, ma vision personnelle voilée par des expériences négatives survenues là-bas, mais avec le temps, j'ai appris à séparer mes propres frustrations à la réalité, et j'ai cessé d'en vouloir à la France entière. C'est tellement plus sain de se remémorer une expérience à l'étranger pour les bons côtés, que pour tous les mauvais, peu importe leur raison.

Sur ce, bon retour, que dire de plus?!

Pour tout le reste, je pense qu'on ne refera pas le monde avec un débat sur le féminisme?! Mais tout de même heureuse de voir que les Québécoises déclenchent autant les passions... ;)

Wendy je ne pense pas que la phrase que tu as cité de Serik soit une attaque personnelle mais il pourra mieux te répondre que moi.

Pour le comportement des garçons, il le souligne aussi tu as du zapper cette partie de son message :

Ah oui, désolée, sous la masse de messages dans la dernière journée, j'ai effectivement zappé un bout du message
Désolée pour ça...!!

Pour avoir un peu lu les deux dernieres pages, vraiment je suis completement abasourdi par tant de prejugés et niaiseries !!!
Je vais pas perdre mon temps à faire un roman car le criss d'epais qui ecris m'a completement gonflé !!!

Esti qu'il y a des lourds icitte, et pour le gars qui rentre en france, pour ne pas le citer, fais de l'air ... car tu m'as l'air d'etre un profond abruti ...

Bonsoir à tous,
Bon j'ai pas tout lu car c'est fatiguant quand même il y à tellement de discutions sur ce délicieux site (que c'est bon d'être lèche cul)!
Mais sans juger qui que ce soit (menteur!) je pense que chacun est libre de faire ce qu'il entend de son corps, c'est bien la seule chose qu'on peut pas nous prendre (notre esprit avant tout, mais c'est lié) Je pense que nous avons tous reçu une éducation différente, il y a la société, les bons meurs en vigueurs, notre époque, etc mais au final ce qui importe le plus c'est "est ce que je nuis à quelqu'un en fessant ceci ou cela" par exemple personnellement seule la parole a un sens morale, et je n'ai jamais jugé en mal quelqu'un; fille ou garçon qui "consommait du plaisir" je ne vois pas du tout en quoi ce pourrait être "choquant" , et une fille ou un garçon qui prend son temps ne me dérange pas d'avantage car au final ils dérangent personnes! Je suis bien plus "outrait" par un mensonge, un manquement à une promesse etc, vous voyez je trouve tout ceci "normal" pourtant d'autre ne trouverons pas, et TOUT EST LA! TOUT nos petits différents les amis viennent de là! nous sommes conditionné à voir le bien et le mal, mais chacun à sa façon, à partir de la, nous ne pouvons pas spécialement être d'accord sur tout, oooOh que je suis si tolérant!
Je plaisante j'ai toujours détesté les gens qui à cause de leur petites (ou grandes) frustrations sexuelles jugeaient les autres gens libérés de toutes contraintes puritaines, en les traitants de "salope" "pompe a essence" (j'ai cru lire) et pour les mecs "coureur de jupon, collectionneur" blablabla les mecs qui trompent leur nana et n'acceptent pas l'idée d'une réciprocité etc
Sur ce les amies! (oui que les filles) je vous dit peut être à bientôt au détour d'un bar de Montréal! Ce sera avec joie, je suis meilleur à l'oral...
Robin

C'est juste devenu du grand n'importe quoi ce post!! é-pui-sant ! et puis ouais voilà,comme Riad, ça donne juste envie d'avoir aucun avis

En effet, aujourd'hui, c'est free fight et peut être que demain sera free hugs...

bref, tout ça pour des clichés exagérés et vulgaires, des exemples les plus extrêmes, et surtout les plus négatifs, tout ça au final pour comprendre que la personne déteste la société québecoise après 2 ans et demi ici...

dans le genre "j'ai detesté les québecois, les québecoises sont des filles de joie et on m'a mis le couteau sous la gorge pour me forcer à rester 2 ans et demi"

un mélange des genres assez grotesque pour parler de féminisme

on vit dans une société où personne ne juge personne, n'en déplaisent à certains français qui ne savent pas s'adapter et qui se lancent dans des jugements faciles comme quoi les femmes sont affamées

je m'etonne qu'un gaijin de ce genre puisse s'intégrer à la société japonaise... aucune attaque personnelle, mais une grosse interrogation...

bon, pour relancer le débat de façon plus constructive sur les québecoises

ce que j'aime:

- leur façon de s'assumer: les filles rondes s'habillent comme elles veulent sans se soucier de quiconque / corollaire: dans cette société, personne ne juge aucune personne tatouée de la tête aux pieds
on voit des centaines de vendeurs comme ça, ça passe

- ce que j'aime moins:
leur ultra indépendance qui complique parfois les relations amoureuses

Ne devrait-on pas fermer ce topic ? Il ne nous apporte pas grand chose (et ne lancez pas un sujet sur la liberté d'expression... snif... ).

ca sent la censure lOl

Mais bon je suis tanné d'entendre autant de généralités et de demagogie dans les posts du fameux incriminés ...

Conseils aux françaises en 1960 (Manuel scolaire d'économie domestique)



Comme quoi...

Ah ! Vive les vraies valeurs de la France vraie !!

Aller Ginette, au fourneau !!

Ginette et Germaine !!

Le point Godwin n'a pas encore été atteint !!!

Ca me semble si naturel, pourquoi conseiller ? (!)

Nous sommes partis d'un débat sur les québécoises pour en arriver jusqu'à un débat sur le féminisme en lui-même. Hors que reprochons-nous réellement au féminisme ?

Cela ne date ni d'hier et n'est sûrement pas intrinsèque au Québec. Il s'agit d'un mouvement social (et pas seulement composé de femmes) dont les idées ont commencé à être véhiculées justement en France vers le milieu du 18ème siècle. Mais, concrètement, c'est surtout à la fin du 19ème que des mouvements d'ampleur sont réellement apparus au grand jour. Auparavant, c'était la bourgeoisie (car les femmes avaient un accès plus facile à l'éducation) et les intellectuels. Aujourd'hui, c'est sur l'ensemble et toutes les couches de la société.

Dès son apparition, on en débattait. Pour certains, le pouvoir exercé par les hommes sur les femmes est un fait, un constat, une certitude, ou à défaut, un aspect naturel dont il est vain de remettre en question (sous-entendu : le combat est déjà perdu d'avance). À l'époque, la religion ou la science était utilisée comme argumentation. Pour les autres, ce pouvoir est avant tout un besoin de domination et d'esclavage sur les autres, dont ici, les femmes. En clair, ce n'est guère différent du combat contre la traite des noirs ou la servitude féodale.

Ce qu'il faut bien comprendre, c'est que le féminisme regroupe de nombreux courants... Je pense que beaucoup font l'amalgame entre le féminisme "libéral" et le féminisme dit social.

Historiquement, il s'agissait pour les femmes de se donner des droits leur permettant de se défendre, surtout sur un niveau individuel (liberté propre). Rappelez-vous qu'il y a encore moins de 100 ans, les femmes ne choisissaient pas leur époux (système de dot par exemple) et passaient de la tutelle du père à celui du mari. La seule solution ? Devenir nonne (et passer sous la tutelle de l'Église...).

Le droit de vote, de droit d'avorter, le droit de travailler, toutes ces réformes découlent de ce besoin initial : la liberté et "l'émancipation". Aujourd'hui, sincèrement, je ne vois pas comment on peut regretter une telle avancée sociale avec tout ce que cela nous a apporté à un niveau culturel, social et philosophique. Littérature, Art, Musique, débats et essais... La culture ne se restreint pas qu'aux hommes.

Aujourd'hui, comme tous ces droits sont considérés comme des acquis (du moins par l'écrasante majorité), les personnes qui se réclament du féminisme moderne sont principalement celles qui se font le plus entendre dans les médias : égalité au travail, dans les postes à responsabilité, sur les salaires, etc. On notera aussi que cela a aussi permis aux hommes de gagner certains droits (pensez au congé paternité par exemple).

Évidemment, il y a parfois des incohérences : lorsque des mouvements féministes demandent à ce que les listes électorales soient à moitié composées de femmes, cela part d'une idée sympathique (représentation et égalité). Mais dans les faits, c'est abscons. Les représentants ou élus ne doivent pas être choisis pour leur sexe mais pour leurs compétences.

Aujourd'hui, l'image du féminisme paraît dégradé voir nuisible parce qu'on trouve leurs demandes trop exigeantes ou déraisonnables.

Hommes (et femmes) se rebiffent donc car maintenant que l'égalité est (relativement) proche, certains ont peur d'une société dominée par les femmes. Au passage, il existe dans de nombreuses cultures, des sociétés matriarcales (et donc dominées par les femmes). Et je ne parle pas de la Grèce proto-antique qui avait élevé la femmes aux rangs de divinités parce qu'elles étaient la source de la vie (jusqu'à ce que les hommes se rendent compte qu'il fallait un homme pour cela aussi...).

Le Québec, comme tous les pays occidentaux (et bénéficiant d'un accès fort à la culture et l'éducation), est influencé par ces mouvements. Le mouvement paraît parfois plus "puissant", mais c'est parce que leur "émancipation" a été plus tardive qu'en Europe. Par conséquent, nous européens, le ressentons plus violemment (ce qui n'est pas forcément le cas des québécois). De plus, les excès du féminisme finissent par être contre-productif pour le mouvement lui-même. C'est d'ailleurs le cas de tout mouvement social.

Au final, ce qui est important est que le féminisme est avant tout une lutte pour des droits civiques et personnels. Derrière la femme au foyer, épanouie par la maternité, les activités ménagères et l'image qu'elle laissera à son mari, il y a le manque de liberté qu'elle pourrait avoir en dehors : échange sociale, culturelle, intellectuelle.

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Et pour rebondir sur un autre point soulevé ici (le fait que certaines femmes fassent ce qu'elles veulent de leur corps), la question soulevée n'était pas directement le féminisme mais la représentation de la femme dans la société.

N'oubliez pas que la grande majorité des médias (et même l'éducation) véhicule toujours la femme comme un "objet" (de désir). Le porno en est un bon exemple, avec l'idée que le plaisir est quelque chose de facile, rapide et peu exigeant pour les personnes.

C'est souvent involontaire parce que eux-mêmes ne s'en rendent pas compte, mais c'est bien là. Alors oui, cela influence beaucoup de monde, hommes comme femmes, et comme tout groupe, on retrouvera de tout.

Pour l'anecdote, à la Renaissance, les hommes préféraient les femmes "larges et petites" parce que c'était un signe de bonne santé (et d'une bonne porteuse d'enfants...). Autres époques, autres moeurs. ;-)

2011, incroyable que la condition féminine fasse autant jaser et dérange encore autant. Nos bonnes ames critiques et moralisatrices occidentales oublient pourtant qu'il éxiste des pays ou les femmes ne sont meme pas considérées comme des etres humains, n'ont pas accès à l'éducation, la santé, le travail etc...
Certaines se battent bec et ongles pour leur survie... A tous ces bien pensants, par pitié, laissez les femmes tranquilles, libres de leur corps et de leur vie. J'ai envie de rappeler une chanson qui résume bien la situation "Ne la laisse pas tomber, ce n'est pas si facile d'etre une femme libérée..."

oulaaaa... Bon désolée de répondre un mois après, mais quand même c'est chaud de dire des trucs comme ça..
Le nombre de partenaires et les expériences de chacun n'a franchement rien à voir avec la nationalité, faut arrêter le délire, peut être qu'au Quebec les femmes ont tendance à être, en comparaison avec les françaises, généralement plus entreprenantes et n'ont pas peur d'aller draguer quand un mec leur plaît, un peu comme ce que j'ai pu voir au Danemark, en Suède, etc...
C'est un "luxe" qu'elles ont, elles peuvent "choisir", parce que les gens ont autre chose à foutre que de juger "ouh la salope, t'as vu comme elle drague", les mecs sont différents aussi, ne pas se faire siffler comme un chien dans la rue, ou se faire "draguer" de façon hyper agressive, etc.. forcément ça change tout, les femmes peuvent être plus épanouies, les mentalités sont plus ouvertes,.. mais ça s'arrête là, c'est la seule différence concrète que j'ai remarqué... ça ne fait pas de "la québécoise" une salope..
Les clichés sur les filles de tel ou tel pays ça me soule, j'en ai entendu des bonnes quand jsuis partie vivre en Thaïlande (non, toutes mes amies et collègues n'étaient pas des putes), quand on parle des françaises ou des "blanches" dans certains pays, c'est pas très glorieux non plus.. et quand on me dit que les arabes sont ci ou ça j'ai bien envie de rigoler (jaune)..
Les filles qui ont eu 25 mecs à 19 ans (pour reprendre les stats de LA QUÉBÉCOISE, ... genre espèce protégée par WWF) j'en connais plein, de n'importe quelle nationalité, n'importe quel milieu.. ya de tout partout, si on parle seulement de "nombre de conquête" c'est partout pareil, il n'y a pas de règle, ça dépend de chacun, au sein d'une même famille une fille peut avoir un nombre important de conquêtes, et sa frangine nada...
La seule "tendance" qu'on peut observer, la seule chose qui peut changer en général en fonction du pays ou de la culture c'est le "jugement" des autres et l’hypocrisie générale, donc certaines se cachent plus ou moins, d'autres pas du tout..
Quant aux IST/MST, c'est vraiment du n'importe quoi, je trouve que c'est tout l'inverse, au Québec les jeunes sont généralement bien informés et ouverts sur le sujet, contrairement à d'autres pays où c'est presque un tabou et donc la prévention est quasi inexistante,...