Voilà, je rejoins le groupe des refusés.
Au lieu de se contenter de directement le dire, ils ont préféré procéder de la manière la plus odieuse, la plus honteuse.
Ils ont mis de côté tout ceux qu'ils allaient ainsi refuser. Ils nous ont tous refusé d'une traite. Pourquoi attendre le surlendemain de la fermeture des quotas ? A votre avis ? Comme ça, ils sont probablement sûrs que nous ne pourrons pas postuler à nouveau. Moins de paperasse à traiter. Et puis à quoi bon d'ailleurs. Ils nous feront encore patienter quelques semaines, un mois, deux, avant de nous refuser à nouveau.
Je suis désolée pour toi Vertex. Je serais moi aussi très en colère à ta place, et dégoutée. Mais par contre, je pense que tu fais un peu de "paranoia" sur la façon dont ils ont traité les dossiers refusés. Ils ne vous ont pas mis dans un coin un petit moment pour que vous ne puissiez pas repostuler. (Quel intérêt pour eux d'ailleurs? Ils n'ont pas une dent contre vous que je sache). Ce qui se passe est décrit dans le Bulletin opérationnel du 11 octobre:
"Dans le cas des demandes qui présentent d’importantes préoccupations liées à l’admissibilité, le CDR référera la demande au titre d’EIC au bureau des visas responsable du pays de citoyenneté du demandeur. Pour soumettre les demandes au bureau des visas, le CDR utilisera le transfert électronique, qui établira automatiquement le bureau des visas comme bureau principal."
Si les refus tombent assez tard, c'est certainement parce que lorsqu'il y a un doute sur l'admissibilité du dossier, il est transmis par les "agents de l'EIC" à un autre service (bureau des visas). Le temps que le dossier soit transféré là-bas, analysé, et qu'il soit retourné (pour AC ou refus d'AC), le délai est allongé. En tous cas c'est la lecture que je fais de ce paragraphe. Je rejoins donc un peu ce que disait Marie.
Courage, avec ta détermination, je suis sûre que tu trouveras un plan B, ou le moyen de revenir au Canada, s'il le faut, plus tard.