Discussion: Relations amoureuses avec des Québécois(es)
- 04/10/10, 18:55 #41
- 04/10/10, 23:53 #42Cela veut dire que tu as demandé à être résident permanent alors ou qu'elle pense venir avec toi en france. Mais dans mon cas, si j'ai marqué pas d'avenir, c'est par ce que j'ai l'intention de revenir à Lyon. Pas de m'installer à vie au Canada. Du moins a priori. Car il ne faut jamais dire jamais. Je vois ce pvt comme un petit intermède dans ma vie et une aventure d'expatriation et humaine. C'est tout. Pas comme un moyen de rencontrer quelqu'un. Pour ça, ça serait plus simple de rester dans ma ville où j'ai toujours vécu et où je connais beaucoup de monde de ce faites.
Maintenant je ne dis plus rien car je rencontre quelqu'un (sérieusement) là-bas je vais passer pour un idiot mdr et personne ne sait ce que l'avenir réserve.Dernière modification par dams69 ; 05/10/10 à 00:03.
- 15/10/10, 23:54 #43Je pense qu'on ne peut pas faire de généralités sur les relations amoureuses. En ce qui me concerne, aucune des filles avec qui je suis sortie ne fonctionnenaient de la même manière...Dommage, ça m'aurait peut-être aidé car pour un mec comprendre les filles restera un grand mystère mdr...Et je pense que c'est le cas pour beaucoup d'entre vous concernant vos exs...Alors faire des généralités sur tout un pays...
- 08/12/10, 02:33 #44Wow! Une chose, je regrette de pas avoir lu ce texte avant...
C'est plus ou moins ce qui s'est passé dans ma "relation" avec un québécois ici. D'ailleurs il y a mis un terme. Je crois que j'ai fait presque tout ce qu'il fallait pas. Faut dire aussi, on n'a pas le mode d'emploi en arrivant... Je pensais aussi être tombée sur un cas spécial. Mais d'après ce que je viens de lire, il n'était pas si spécial que ça! Le seul problème, je l'aime encore et j'ai envie de le récupérer... Il y a un post là dessus? lol
Mais merci, en tout cas ça m'éclaire bien sur des choses!
- 08/12/10, 03:13 #45Intéressant la conversation, même si chacun est différent et on peut pas forcément généraliser, il ya toujours une part de vérité ou des "constantes" qu'on retrouve en plus ou moins chez les gens.
J'ai du être québécoise dans une vie antérieure, parce que je pense et j'agis un peu comme ça... Mélange de pudeur, et pas envie de se foutre la pression ou d'annoncer quelque chose qui n'est pas encore sûr.. enfin je sais pas vraiment pourquoi, mais ça me semble naturel..
- 08/12/10, 18:16 #46Tu as raison, c'est naturel.
- Plus généralement pour réagir au sujet très intéressant :
Dans tous types de relation, beaucoup de constantes ont leur importance, et ce peu importe les mœurs, la culture, la personnalité. Que ce soit le rythme de construction de la relation, la part de mystère à cultiver pour entretenir l'intérêt mutuel, et d'autres éléments dit constants qui font d'une relation une rencontre « saine » (dans le sens de produire quelque chose d’enrichissant et durable pour les deux parties).
À ces constantes s'ajoute ce dont Lapoire a parlé, les paramètres propres à chaque peuple, individu, personnalité, culture, etc. Ces paramètres modifient de façon superficielle la relation que tu peux avoir avec un futur partenaire. Rien ne peut se substituer aux constantes susmentionnées (c.f. 1er §) qui forment la base de toute relation saine de Tokyo à Los Angeles en passant par Paris.
Par exemples, les points suivants énumérés par Lapoire sont des « choses à ne pas faire » (aka huge turn off) communes à n'importe quelle relation :
- Faire des plans d’avenir
- Exiger de voir l’autre
- Demander des comptes (qu’est-ce tu a fais hier soir? Avec qui?). On s’attend plutôt à une question comme « quoi de neuf », qui permet de parler de ce qui nous tente.
- Appeler trop souvent (à tour de rôle est plus habituel)
- Appeler pour discuter (il faut plutôt prévoir un RDV)
- Les premières fois : rester trop longtemps le lendemain.
- Voir seul les ami(e)s du partenaire, les appeler, les ajouter sur Facebook. Il faut attendre que la relation soit plus concrète et il est considéré comme poli de prendre la peine de demander si ça lui dérange (ne soyez pas surpris, ça risque de déranger). Les Québécois(es) n’aiment souvent pas que leur partenaire s’incruste dans son groupe d’ami(e)s.
Que ce soit conscient ou inconscient, la majorité (voir la totalité) des femmes équilibrées de ce monde vous le diront, quelqu'un qui semble trop demandeur (needy) ou qui presse trop les choses sera très rapidement ignoré. Simplement parce que ce qui rend une aventure trépidante, passionnante, et/ou enrichissante est une aventure qui demande un certain investissement, un certain « travail » pour arriver à une « récompense », à un aboutissement. Clairement, une personne allant trop vite en besogne communique de façon inhérente le contraire, en somme il n'y a aucun mystère, aucune progression, aucun challenge puisque littéralement « l'homme/la femme est à tes pieds » avant même que l'aventure ne commence réellement.
- Conclusion :
Chill, have fun and enjoy the ride !
Merci à Lapoire pour son sujet et aux autres pour leur intervention .
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- 13/12/10, 16:28 #47Salut le monde,
je souahite aborder un autre aspect des relations franco-québecoises pour savoir si certaines personnes ont vécu la même chose et comment ont-ils réagi. Ben voila, cela fait deux ans que je suis avec une québecoise et après une procédure de RP me voici à Montréal depuis trois mois. Pour information, je connaissais déja le Canada pour y avoir fait un échange universitaire et le PVT à Toronto il y a quelques années, mais mon arrivée fut un peu une claque dans le sens que j'ai vraiment pris conscience que je pourrai faire ma vie ici et cette vision m'a un peu effrayé. Une recherche dans mon domaine de travail assez difficile, je cherche dans le transport maritime et malgré quelques entretiens rien de concret, je me demande si je dois pas pour le moment chercher ailleurs pour avoir ma première expéreince et trouver plus facilement par la suite. J'ai quitté bcq de choses pour elle (appart, situation professionnelle, famille, amis....), en clair une intégration assez difficil et avec ma copine je remarque qu'on ne vit pas la même chose, elle est dans sa ville alors que moi j'essai de m'integrer le plus rapidement et p-e un peu trop vite. Ce que je veux dire, c'est que beaucoup de choses sont allés vite et je pense qu'on a mal préparé mon intégration et à l'arrivée pas mal de prise de tête et un aller retour en france.
On est 24/24 ensemble et cela cree pas mal de tension et prise de tête, tous les deux à la recherche d'un emploi, on vit pas notre environnement de la même chose, elle native montréalaise moi nouveau résident permanent alors je sais pas si cette relation ou le fait de passer trop de temps ensemble mais c'est assez délicat en ce moment.
Est ce que des personnes ont déja vécu cette expérience et que l'un des deux ai tout quiité pour s'installler avec l'autre et que le début est un peu difficile.
A vous lire
- 13/12/10, 17:55 #48En fait je trouve le récit amusant cependant je me demande dans quelle mesure ce n'est pas plus ou moins la même chose en France (et ailleurs... mais ailleurs je ne connais pas alors). Quand on commence une relation au début, on est toujours prudent, on ne se voit que peu, on veut montrer qu'on est indépendant, qu'on a une vie riche et intéressante et ça sous-entend qu'on ne saute pas sur l'autre comme un assoiffé sur une pinte de bière. Puis y'a toute la phase de découverte etc... enfin ça ne me semble pas si québécois d'attendre plusieurs semaines voir plusieurs mois pour se déclarer "en couple". De la même façon, il existe en France des gens qui couchent ensemble sans être ensemble (entre ex ou entre amis) et que l'on appelle les "fucking friends" ou pote de baise... là encore il y a des règles tacites, et ça ne débouche que rarement sur un vrai couple mais c'est assez fréquent chez les jeunes de moins de 35 ans non ?
- 15/12/10, 03:22 #49Salut et déjà, bon courage à tous les 2. J'espère que les choses vont s'arranger pour vous.
Je n'ai pas vécu la même situation mais nos situations se rejoignent sur certains points. J'ai aussi tout quitté comme on dit, pour rejoindre mon copain au Canada. Comme toi, j'avais déjà fait un échange universitaire au Canada, qui s'était super bien passé, mais dans une autre ville que celle que nous avons choisi aujourd'hui et comme toi, j'ai ressenti une grosse claque en arrivant. Quelque chose de très différent de ce que j'avais pu ressentir lors de mes précédents voyages à l'étranger (y compris l'année d'études au Canada) et les débuts ont été très très durs.
En revanche, dans mon cas, nous avons choisi de nous installer à Montréal (car plus facile pour moi vu les similitudes France-Québec) alors que mon copain vient de Colombie Britannique. Et justement, aux gens qui trouvaient ça bizarre que je le rejoigne dans son pays mais pas jusque dans sa province je répondais que quelque part, ça me rassurait car on serait tous les 2 un peu dans la même situation, confrontés au même déracinement et aux mêmes difficultés et surtout, que ça nous faisait faire des sacrifices à tous les 2, donc que ça nous demandait un "engagement" ou un "investissement" à tous les 2. Et effectivement, on est un peu tous les 2 "needy". Ça a un mauvais côté dans la mesure où on a tendance à se renfermer sur notre couple et que c'est pas très sain de reposer autant l'un sur l'autre mais ça évite une situation où l'un a plein d'amis et l'autre est un peu 'needy' parce qu'il débarque et qu'il ne connait personne.
Bref, ça ne t'aide pas trop parce que ça n'est justement pas la même situation; peut-être que d'autres viendront témoigner. En tout cas, sache que dans mon cas, les choses se sont améliorées petit à petit et se mettent tout doucement en place. Il faut se laisser du temps, et une chance de réussir, même si ça peut être très dur au début. Ne baisse pas les bras. Dans mon cas, ce sont les 1ers mois qui ont été les plus durs. Si tu veux qu'on se voit sur Montréal pour en parler, pas de souci. Je suis en vacances dès vendredi.
- 27/11/11, 16:37 #50Je comprends mieux l'attitude du Québécois que j'ai rencontré il y a 1mois... du coup je me rends compte que j'ai fait pas mal d'erreur! tant pis je verrais sije le revois un jour d'ailleurs! d'ailleurs je serais interessée de connaitre la difference entre cruise et flirt. car j'ai pris le "mais si c'est audrey, ils flirtaient avec Alex à Toulouse ya 2jours" me reste un peu dans l'esprit...merci de m'eclairer!
- 26/12/11, 21:49 #51
- 26/12/11, 23:45 #52ça rassure pas tous sa es que c'est la même en Colombie britannique car je veux bien que le PVT n'est pas fais pour sa mais rester seul en mode prêtre n'aide pas pour l’immersion total en plus pendant un an
- 28/01/12, 03:51 #53je viens apporter ma pierre à l'édifice, parler de mon ressenti et de mon expérience du "dating" à montréal. Je n'ai jamais été adepte du "Dating" en france, du coup c'est vrai que je fonce tête baissée dans le mur . Mais le ridicule n'a jamais tué personne donc .... me lance !
Je veux surtout donner le point de vue d'une femme française (bretonne) de 33 ans. Je n'ai pas grandi dans une grande ville et je n'ai jamais eu à prendre mon temps et faire croire à quelqu'un que j'avais une vie passionnante ou je ne sais quoi d'autre. Dans mon esprit, ça a toujours été très simple et clair "ça clique ou ça ne clique pas" !
Alors ........ tout ce qu'il ne fallait pas faire, je l'ai fait !! oui, oui.
J'explique ...... Selon mon éducation, un homme qui ne répond pas à mes textes après 4 jours, je le lui signifie.
De mon côté, je le comprends comme = soit, il n'est pas intéressé (c'est correct , y a pas de troubles), soit il me manque de respect (là je commence sérieusement à m'énerver) ou bien même qu'il est lâche (là je parts en courant). Je suppose toujours que l'autre est suffisamment mûre pour assumer ses choix et donc capable de donner une réponse.
Et c'est là que les différences culturelles sont fantastiques !! car effectivement, on ne parle pas la même langue à ce moment là !
Pour un Québécois, je vais passer pour quelqu'un de collant et d'hystérique voire une dépendante affective sauf que c'est tout l'inverse. Et quand je les déconnecte de mon facebook, il me texte pour me demander pourquoi. .... restons zen !
Autre exemple, un gentil jeune homme échange avec moi plusieurs courriels. C'est pas mal bien intéressant. Pas eu de nouvelles pendant 3 semaines et demies. Je m'en suis rendue compte quand il m'a écrit un courriel me demandant si j'avais rencontré quelqu'un. Sauf que moi .... je l'avais complètement oublié !! ça m'a fait beaucoup rire car il ne m'aurait pas réécris, et bien je ne l'aurais pas fait non plus.
Selon mon point de vue, une personne qui ne cherche pas à me connaitre et bien moi, je passe à autre chose !!!
Donc c'est vrai, que la notion temporelle n'est pas la même. J'ai par mon tempérament, fait fuir un galant homme mais comme on dit c'est de nos erreurs et des différences que l'on apprend.
La suite à la prochaine "Date" .................
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Je rajouterais aussi que par mon expérience "en europe" (pour parler au sens large), nous avons plutôt l'habitude de consommer d'abord et de discuter et prendre son temps après.
Au québec, suite à de nombreux échanges avec mes amis québécois et français installés depuis plus de 5 ans, les québécois prennent leur temps au début, et fonce après, autrement dit bébés, maison etc ....
Pour ma part, ce n'est pas parce que je vais me dire "en couple" que le reste est évident. La question de l'engagement, de la construction et de l'amour demande du temps, de l'échange et de la réflexion.
Sans parler de ce que demande le dépassement des différences culturelles.
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- 11/07/12, 20:26 #54Je rajouterais aussi que par mon expérience "en europe" (pour parler au sens large), nous avons plutôt l'habitude de consommer d'abord et de discuter et prendre son temps après.
Au québec, suite à de nombreux échanges avec mes amis québécois et français installés depuis plus de 5 ans, les québécois prennent leur temps au début, et fonce après, autrement dit bébés, maison etc ....
Même si les gars on est comme ça aussi quand on a un coup de coeur mais je pense qu'on s'adapte mieux à ce type de relation. Je me revois en train d'envoyer sms sur sms, à changer mes numéros illimités pour faire limite du harcèlement avec une fille rencontré la vieille... Et malheur si je ne le fais pas !
Je crois que pour les françaises y a une peur de passer pour des filles faciles, ou d'être prise pour des connes. Donc coucher ou même passer du temps avec quelqu'un pour que ça mène pas à quelque chose de solide c'est très mal vu. Dommage parce qu'au final les français on a tendance à mentir, à raconter un paquet d'histoires pour obtenir ce qu'on veut. Quand t'es franc et que tu dis "désolé je te connais pas, je sais pas si ça durera", ben euuuuh, t'as de la place dans ton lit...
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- 14/07/12, 17:30 #55J ai envie de te répondre que ca dépend des francaises !! Perso, j'ai 27 ans (et demi ) et malgré que mon corps vieillisse, rien à fout' j'ai pas du tout envie de me caser mari, bébé, maison et chien, j 'ai plus le gout de continuer les voyages !! Je fréquente un québécois depuis 3 mois et on partage beaucoup plus que du sexe mais on n'est pas un couple et ça me convient très bien Pour ma part, j'aime bien la façon de faire à la québécoise ^^
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- 20/07/12, 16:33 #56Je pense que le faite de faire quelque chose de constructif plus ou moin important , mariage , enfant , fait que l'autre se sent en confiance . C'est pour chasser les incertitudes tout au moins temporairement, consolider la relation.
Quand je vois une personne faire un enfant tôt ou se marier tôt , je pense aussi que la pression familiale et environnementale joue un role , il y'à une programmation génétique mais aussi environnementale.
Ce n'est pas pour autant que je cautionne , le faite de ne pas vouloir construire quelque chose , je pense que c'est important et que ça permet de développer de faire évoluer ça façon de penser , la construction sur une relation courte ou sans lendemain c'est plutôt compliqué.
Certaines personnes on besoin d'essayer beaucoup de relation avant de se sentir prêt à construire , ou assez carré dans leur tête . c'est la vie.
En france on est peut etre plus dans l'insécurité vis à vis de ça , au canada les gens sont peu etre plus en confiance pour ne pas avouer leur relation aussi tôt ( tout ça reste théorique).Dernière modification par calli ; 20/07/12 à 19:08.
- 20/07/12, 16:43 #57Pour Avoir étudier en cours de psychologie, le comportement des gens vis à vis de leurs environnement, et vis à vis d'expérience personnel, je peut te confirmer que tes propos sont tous à fait juste et cohérent !
L’environnement joue un rôle majeur dans la relation et dans le développement de cette dernière !
En France les gens raconte beaucoup et font peut au final, au Canada les choses sont surement différente, ils racontent peut et font beaucoup
Pour ce qui est de la situation franco-Canadienne, je viendrai ajouter mes pierres à l'édifice quand j'aurai vécu cela !
- 20/07/12, 18:18 #58Je rajouterais aussi que par mon expérience "en europe" (pour parler au sens large), nous avons plutôt l'habitude de consommer d'abord et de discuter et prendre son temps après.
Au québec, suite à de nombreux échanges avec mes amis québécois et français installés depuis plus de 5 ans, les québécois prennent leur temps au début, et fonce après, autrement dit bébés, maison etc ....
- 20/07/12, 20:03 #59[QUOTE=Jeremy971;626844]C'est marrant cette vision différente des choses, ça éclaire certaines choses. Pour les québecois les françaises ont tendance a se faire des films des que tu sors avec elles. C'est vrai que je commence à les comprendre. Elles me stressent a me dire : "J'ai 26ans, mon corps de femme vieillit, je veux un mari, une famille, des enfants
Passer un certain âge , on ce dis qu'il es peut être temps d'y penser une famille , on va dire que chez une femme après 42 ans c'est mort . Un homme c'est un peu différent même à 90 ballet ils peuvent avoir des enfants. Je trouve normale qu'une femme pense à fonder une famille même à 26 ans et ce sentir vieille . Si j'etait en couple j'aurais bien voulu concevoir à 28 ans , mais c'est pas le cas pas bol pour moi! Je pense que la mentalité homme femme concernant la vie de famille n'est pas la même . 30 ans trop vieille pour une femme pour un homme trop jeune .
- 20/07/12, 20:54 #60Je pense qu'il faut voir au Cas par cas, Personnellement j'ai 23 ans, j'en aurai 24 fin d'année, je pense qu'a partir du moment ou je considère que j'ai une vie stable ( travail, maison, etc...) Je serais près à assumer la venu d'un enfant !
Faut bien ce dire que dans une vie l'enfant est le seul choix sur lequel on ne pourra jamais revenir, dans une relation de couple il faut que se choix soit murement réfléchie ! L'âge au final importe peut, sauf pour les femmes après la quarantaine, mais je pense que c'est plus une question de Maturité, plutôt que de mentalité ! chose bien différente !
Je pense que c'est cela qui différencie les couples Français des couples Canadien ! ils ne mette pas la charrue avant les boeufs si j'puis dire ! ce qui n'est pas plus mal entre nous !
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