- 01/09/15, 12:48 #21Salut,
Pour avoir discuté pas mal avec un de mes amis partis en Australie à 28 ans, voici ce qu'il m'en a dit (car moi j'ai connu l'OZ à 22 ans ) : les premiers mois, oui il a eu cette impression de rencontrer beaucoup de jeunes fêtards, je sentais qu'il était pas vraiment dans son élément mais - magie de l'Australie ? - il a continué son voyage et a vécu une année géniale, il a fait des rencontres super et même si je ne lui ai pas posé la question, je me dis qu'il a dû changer ses habitudes et se détendre (c'est pas du tout quelqu'un de tendu !!) en vivant sur place et il a dû parvenir à prendre l'Australie telle qu'elle venait et de profiter de tous les instants qui lui a été donné de vivre
Tiens ton récit m'a fait relire un ancien à moi : https://pvtistes.net/forum/vos-impre...ai-grande.html
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- 15/10/15, 14:56 #22l'année dernière où je suis parti en road trip pratiquement un mois sur la coté ouest américaine
Tu n'a pas de loyer en France ?
Tu es issue d'une famille aisé ?
Comment peut on avoir la chance de partir a l'autre bout du monde durant un mois sans aucun revenue avec tous les frais qui vont s'accumuler en France...
Tu avait prévu combien pour 1 mois de roadtrip ? 5000€ ? (dont loyer FR+EDF+Assurances++++ factures)
J'aimerai bien faire ce genre d'aventure
- 15/10/15, 15:02 #23Je suppose que pour ce genre aventure, a moins d'avoir du fric de base, ce qui n'est pas le cas de la majorité des gens, il vaut mieux ne pas avoir d'attache en France (pas de loyer EDF et compagnie). Ensuite il suffit de travailler un peu sur place si on manque d'économies, de se contenter du minimum, mais vraiment du minimum et au besoin de faire du Woofing/ HelpX, et le road trip est là !
- 15/10/15, 17:35 #24Personellement, j'ai fait ce type de voyage plusieurs fois. Travaillant habituellement en association (donc salaire pas beaucoup plus élevé que le SMIC), pour moi la contrepartie c'est d'avoir un logement peu cher et précaire en France. Précaire dans le sens où je trouve des logements pas cher, mais qui sont souvent temporaire (donc déménagements très réguliers).
Et c'est toujours une bonne idée de faire un point sur son budget en France pour voir si toutes les dépenses sont nécessaires.
Maintenant si tu as un salaire plus correct, il suffit peut-être de limiter les frais du voyage en faisant du wwoofing, helpx, couchsurfing... pour limiter les frais d'hébergement (attention à la légalité du wwoofing, etc dans certains pays), de privilégier les solutions peu chères pour la nourriture et chaque aspect du voyage.
Une petite recherche sur pvtistes ou google te donneront sûrement des idées.
- 21/10/15, 19:38 #25Vraiment contente de voir que je ne suis pas la seule a stresser a mort avant un PVT.
Certain jour je veux le faire dautre je me dis que jen suis incapable.
Je dors et je reve a la NZ, je ''daydream'' de la NZ au bureau, je passe des heures ( littéralement DES HEURES ) a lire tous les sujets possibles sur ce forum. Je ne vie que pour ca
Je vais le faire, mais ca stresse comme jamais auparavant.
Tout laisser derrière soi pour un an (ou 2, étant Quebecoise ) CA FAIT PEUUUUR!
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- 22/10/15, 10:01 #26Et oui, ça fait peur!!! Et ce mélange de sentiments: excitation, trouille, envie, "faites demi tour dès que possible" "je voudrais déjà y être", c'est terrible pour les nerfs!!
Peu importe l'âge, et même si on l'a déjà fait une fois, ça reste quelque chose de partir, tout quitter même si on sait que c'est pas forcément définitif...
Mais ça va être géniiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiial!!
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- 26/10/15, 18:54 #27Vraiment intéressant tout ces témoignages !
Je suis également au club de ceux qui se réveillent à l'aube des 31 ans. Et oui comme Nadaxan, la moitié des potes se marient ou font des gamins mais je me sens pas encore sur cette longueur d'onde. J'ai été tiraillé cette été entre changer de job ou partir en NZ en PVT un an. Et j'ai tranché pour le PVT
Evidemment, je suis pas mort de trouille à l'idée de partir mais il y a pas un jour ou je fais pas la girouette entre excitation et légère peur de quitter tout ça
De mon coté, je pars l'été prochain donc j'ai pu négocier une année sabbatique avec ma boite vu que je les préviens super à l'avance. Ça enlève déjà le stress de retrouver du taff au retour. ça laisse le temps d'économiser et de revendre des trucs. Apres pour limiter les inquiétudes, je me suis fixé une échéance à Janvier pour décider des billets et donc du trajet (petit passage en asie ou australie ?) comme ça je fais rien dans la précipitation.
En tout cas, tout ça pour dire qu'il faut pas te soucier de ton âge, ce sera certainement pas une année de perdue ! Et après, pour pas stresser, il faut prendre la chose étape par étape (billet, économies, permis internationale) et ça va se préparer tout seul
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- 27/10/15, 13:50 #28je m'ajoute aux trouillards lol moi je pars à Montréal en mai et je stresse déjà! j'ai peur de ne pas m'y faire (climat, éloignement des proches, pas trouver de boulot, galérer pour le logement..) mais je pense que même si ça marche pas ce sera une belle expérience (enfin j'espère lol)
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- 28/10/15, 11:14 #29Je me demande, d'être sûr d'avoir un travail en revenant enlève un stress je l'admet, mais n'as tu pas "peur" de chopper le virus du voyage et de ne pas avoir le choix de continuer à barouder autant que tu le souhaites de par cet engagement en France ?
Je suis en plein dans ces problématiques, car en train de refuser un contrat (chez EDF...) pour avoir cette liberté justement, et tout le monde me dit "tu es folle de refuser ça". Néanmoins j'ai envie de partir voyager en toute liberté...mais ce choix tourne dans ma tête
- 29/10/15, 00:33 #30Pour répondre à cette question, il faut être ou avoir été dans le cas.
Ce que j'ai fait ; j'ai démissionné de mon boulot en Belgique trois mois avant la fin de mon PVT alors que j'étais toujours au Canada, ils n'ont pas vraiment eu d'autre choix que d'accepter ma démission. Mon crédit temps le permettait.
Vérifie les clauses de fin de contrat lors d'un congé sabbatique mais ça doit en faire partie. J'étais donc en préavis non presté pendant mes trois derniers mois.
- 13/11/15, 13:26 #31Salut à tous !
A mon tour d'exprimer mes doutes/peurs/appréhensions... Je sens que ça va être un pavé aussi....
J'ai 34 ans donc pour moi ce sera le Canada, de toute manière c'est le pays auquel je pense depuis que j'ai entendu parler du PVT, ça tombe bien ! J'y suis allée il y a quelques années en vacances (Québec ville et Montréal).
Je suis inscrite sur le site pvtistes depuis septembre 2013, c'est dire si j'ai ce projet en tête depuis un moment, j'avais même commencé à le consulter avant ça ! Avant ça en couple, puis finalement je me suis retrouvée célibataire, mais je n'ai jamais franchi le cap, par peur de l'inconnu évidemment, parce que je n'étais pas bien dans mes baskets aussi.
Mais là c'est décidé je vais tenter ma chance sur le quota 2016 !
Je vais bientôt me retrouver au chômage suite à un licenciement économique. D'un côté ça ne me réjouis pas vraiment évidemment mais de l'autre je me dis que je n'aurai pas le soucis de devoir démissionner d'un poste et que je pourrai m'arranger pour trouver soit un cdd ou de l'intérim en attendant de partir, si j'arrive à décrocher le sésame. Et aussi je m'assure déjà la somme demandée par l'ambassade ou presque avec les indemnités, plutôt positif.
Les quelques amis à qui j'en ai parlé ont eu une réaction assez positive, trouvent que c'est une bonne idée.
J'ai besoin de sortir de ma zone de confort (et de me sortir les doigts.... aussi, en quelque sorte). Je l'ai fait un peu en partant en vacances toute seule comme une grande, l'année dernière en Islande et cette année à Copenhague et Stockholm mais c'était des vacances...
Je n'ai jamais vécu à l'étranger, ce serait une belle expérience je pense, plus l'anglais que je pourrais améliorer sur place. Je suis pâtissière donc je ne m'inquiète pas trop niveau boulot, même si je dois passer par d'autres petits jobs.
Je suppose que la plupart des pvtistes refont un petit tour par la case papa-maman avant de partir... Pour ma part, ce ne sera pas possible (ah la famille !!) c'est ce qui me tracasse le plus là tout de suite, une fois mon appart rendu... C'est peut-être bête comme questionnement car il y a surement des solutions mais voilà..
Aussi la réaction de mes proches, notamment ma mère qui est assez angoissée quand il s'agit de ses enfants. Bien sûr ce n'est pas elle qui vit ma vie heureusement, mais ça risque d'être compliqué de ce côté là...
Et beaucoup d'autres soucis viendront se poser si j'obtiens une place. La peur de l'inconnu sera toujours là, mais comme l'indique le titre de ce post, c'est comme ça qu'on sait qu'on est vivant !
Bref comme pas mal de monde ici, l'envie se partage avec le stress... Merci en tout cas de m'avoir lue (c'était un peu long non ?!)
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- 05/04/16, 11:08 #32je reviens sur ce sujet..je suis à un mois du départ et je suis tendue du string!! à deux doigts de tout arrêter! et pourtant je n'ai pas de super boulot comme certains, j'ai un bac +4 mais depuis trois ans je fais du ménage. ce qui me retient c'est mes peurs comme tout le monde. peur de changer ms habitudes, peur de l'inconnu, peur de pas m'en sortir au Canada car je ne pars qu'avec mes économies sans boulot là bas qui m'attend etc mais surtout peur de laisser ma famille en particulier mes parents. on est tellement (peut être trop?) fusionnels! en plus je vais perdre tous mes droits au chômage car je démissionne, bref, c'est dur de se faire violence :/
- 06/04/16, 04:16 #33Salut toi ,
Ces peurs elles sont normales et font parties de l'aventure. Tout comme toi, j'étais diplômée et ne trouvais pas d'emploi depuis presque deux ans et tout comme toi je suis très même trop fusionnelle avec ma mère mais ces peurs dépassées, tu verras que c'était sans doute l'un des meilleurs choix de ta vie. Une fois dans l'avion on se sent déjà mieux. Si tu as peur de la sollicitude alors commence ton séjour en auberge de jeunesse moi j'avais commencé comme ca en tant que bénévole mais tu peux aussi être juste cliente. On rencontre pas mal de personnes tout comme toi, seul(e) et tout d'un coup on se sent moins seul(e). Concernant le travail, tu as tout à y gagner ici, si malheureusement ta situation en France n'est pas top. Je suis ici depuis presque 8 mois, j'ai pu me faire de l'expérience dans mon domaine et toucher à autre chose aussi. Ici tu pourras rapidement trouver un emploi si tu n'as pas peur de faire autre chose que tu sais faire. Personnellement, mon premier emploi je l'ai trouvé en 3 semaines. Il a duré 2 mois, pis j'ai enchaîné avec un deuxième job qui a duré 3 mois, pis maintenant j'en commence un nouveau. Il faut être flexible et surtout avoir quelques économies car ici, tu peux aussi faire face à un renvoi rapidement par manque de travail... . Courage ça va le faire et surtout dit toi que tu pars pour mieux revenir ( tu vas donner un second souffle à ta vie, voir d'autres paysages villes, voyager, apprendre d'une nouvelle culture et sympathiser avec pas mal de personnes & ça, c'est plutôt magique et inestimable!) ...
A très bientôt!
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- 07/04/16, 11:21 #34
- 08/04/16, 09:07 #35
- 09/04/16, 04:52 #36Non ce n'est pas indiscret. Via ce site, j'ai pu trouver un job administratif qui se rapprochait un peu de mes études. Mais sinon tu trouveras dans les boutiques. Surtout que l'été va s'en venir donc y'aura pas mal de postes . Ici faut se faire une première expérience dans ce que tu peux pis après ça sera un peu plus facile de trouver dans ton domaine .
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- 21/07/18, 20:46 #37Bonjour,
Je pars dans un mois (le 17 août) et il y a encore deux-trois semaines, j'étais sûre de moi!
J'étais même impatiente et n'en pouvais plus de l'année scolaire!
Entre cours du soir et travail à temps partiel lors de remplacements, je ne rêvais que du Canada et en parlais à quiconque veuille m'écouter!
J'en ai loué des livres à la bibliothèque pour découvrir cet intriguant et fascinant pays, sans compter ceux sur les Etats-Unis!
Je me réjouissais que le jour J se rapproche et à l'idée que je retournerais enfin à Los Angeles après huit ans et que je puisse découvrir des tas d'autres villes américaines lors de mes longs week-ends de trois jours!
J'ai ma L.I depuis le 4/05/2018, ai trouvé un job d'Au Pair à North Vancouver donc pas de recherche de travail et de logement à l'arrivée.
Je n'ai pas de boulot en Belgique et j'arrive à terme de mes droits donc je ne perds rien à partir.
Je suis diplômée avec distinction "Educatrice spécialisée en accompagnement psycho-éducatif" depuis le 25 juin 2018 donc que du bonheur!
Et pourtant, maintenant, j'ai peur!
Je n'ai pas d'attache ici en Belgique. J'ai quelques amis éparpillés aux quatre coins du pays que je vois une à deux fois l'année et je ne suis pas proche de ma famille donc ici ou ailleurs, ce point ne changera pas trop.
Par contre, malgré les engueulades quotidiennes, je suis très attachée à ma mère.
J'ai vécu 4 mois seule à Los Angeles, elle est venue le 5ème et dernier mois de mon année d'immersion linguistique.
J'ai vécu seule 9 mois dans mon pays mais ai fini par retourner chez ma mère car je supportais tellement mal la solitude (dont j'ai pourtant toujours eu l'habitude), que j'ai fini par faire des crises d'angoisse.
Et puis, cette année, j'ai recommencé à bouger seule (pas très loin ^^) mais tout allait bien.
Je sais que je n'aime pas vivre seule mais au Canada, c'est d'office collocation ou famille d'accueil donc je ne suis pas seule.
Mais la peur est bien présente avec plein de "Et si?".
Je reviens de trois semaines à Winchester. Je travaillais dans une école de langue qui était aussi un camp de vacances pour enfants et adolescents.
Je devais y rester 7 semaines mais le job n'était pas fait pour moi.
Je vivais dans la résidence universitaire avec mes collègues qui venait d'un peu partout dans le monde mais je n'ai pas réussi à m'intégrer.
Je ne leur rejette pas la faute. J'ai toujours eu dû mal à m'intégrer dans n'importe quel groupe. C'est con à dire mais ce n'est pas naturel chez moi, je ne sais juste pas comment on fait...
Autant dire que je me suis sentie seule!
tie
J'ai peur! De quoi? Je ne sais pas trop.
J'ai déjà vécu seule à l'étranger! Je n'avais pas peur à Los Angeles à 19 ans!
Et à 28 ans, alors que rien ne me retiens, j'ai peur! Cherchez le paradoxe!
Je sais pourquoi je voulais partir. J'ai lu l'année passée le mythe de Sisyphe qui parle de l'être humain absurde que nous somme quasi tous.
Je ne veux pas être cet être humain absurde et suivre la routine sociétale "Métro-Boulot-Dodo" sans savoir pourquoi ou pour seul but de gagner de l'argent pour construire un foyer.
Et après? Quel est le but? Quel est mon but?
Je veux un travail qui me plaise et me permette de voyager. Après quelques recherches, j'ai découvert toutes les possibilités du PVT que je croyais réservé à l'Australie.
Contrairement à beaucoup, je n'ai jamais rêvé du Canada. Je suis une U.S.A addict mais ayant découvert le PVT un jour ou deux avant l'ouverture des bassins, je me suis lancée.
Une chose sûre, je ne voulais pas rester en Belgique et le Canada est proche des Etats-Unis donc pourquoi pas.
Et puis, lectures, vidéos, j'en ai rêvé et envie de faire tout le tour de cet intriguant pays! Aurais-je assez d'un an?
Et maintenant, c'est tout le contraire! J'ai peur de ne pas tenir un an!
J'ai toujours eu dû mal à tenir les délais que je m'impose.
Par exemple, ma mère savait d'avance que Winchester, ce n'était pas pour moi et me dit depuis le départ que pour le Canada, je ne vais pas tenir longtemps. Que je m'engage dans des trucs improbables.
Je rappelle qu'on s'aime mais que c'est en permanence conflictuel et que c'est soit rester ici sans boulot et chômage (que je perds) ou partir travailler, économiser et voyager au Canada?
Limite, depuis que je suis revenue d'Angleterre, je n'ai plus envie de partir. Mais j'irais. J'ai déjà engagé de l'argent prêté par ma mère donc pression.
J'en suis très reconnaissante, je suis consciente que tout le monde n'a pas cette chance mais j'ai peur de ne pas me plaire sur place et de ne pas tenir les 1 an!
Je décolle dans 27 jours et je n'arrive plus à me projeter...
Peur "iraisonnée" car j'ai une famille qui m'attend à North Vancouver pour 1 an et rien qui me retient en Belgique...
Désolée pour ce long pavé mais ce forum me fait tellement de bien! ;-)
- 22/07/18, 08:24 #38Tu n'es pas obligée de rester un an . Peu importe la durée, c'est toujours intéressant et enrichissant!
Avec une famille qui t'attend, tu as un peu d'avance sur la plupart d'entre nous, moi j'ai passé presqu'un mois en auberge de jeunesse à Vancouver puis Seattle avant de trouver un appartement à Victoria pour mon boulot sur l'île de Vancouver.
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- 30/07/18, 00:42 #39C'est sûr que je ne suis pas restée un an mais ma mère me reproche déjà que je ne vais pas tenir plus de 1 ou 2 mois. Oui, oui, elle est devin, hum! :-p J'ai choisi une famille car je ne supporte plus trop la solitude mais en même temps, faut que je la réaprenne et ça arrivera certainement lors de mes city-trip.
Je crois que j'ai peur de me sentir seule (c'est con, je sais) et ce n'est pas tant ma mère qui m'inquiète. Ces remarques m'énervent plutôt. Quant à moi, je n'ai aucune idée si je suis capable de rester sur le long-terme...
- 01/08/18, 06:48 #40La seule façon de savoir, c'est d'essayer! Je n'ai pas pour habitude de prêter attentions aux râleurs/jaloux/sapeurs de moral autour de moi, je vis ma vie et c'est très bien comme ça . Dans mon cas, un PVT d'un an s'est transformé en 3 ans et demi d'aventures autour du monde avec un super boulot, la rencontre de ma femme, nos deux mariages et maintenant un nouveau boulot et une demande de citoyenneté Canadienne en cours pour moi. Rien ne serait arrivé si je n'avais pas pris l'avion de Francfort le 19 mai 2014. Fonce! Juste Fonce! C'est tout ce que je peux te conseiller.
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