J’ai bossé quelques années en CDI dans ma boîte et, un peu du jour au lendemain, pour des raisons pro et perso, j’ai eu envie de changer d’air donc, je suis parti en direction de l’Australie.

Arrivé là-bas, le travail n’était vraiment pas top (travail d’usine à la chaîne). Le temps était très long, mais on pouvait faire pas mal d’heures et c’était plutôt bien payé pour du travail “en ferme”. Finalement, j’y suis resté un mois et demi.
Après, je suis allé à Perth. J’ai trouvé un job de trade assistant dans une entreprise de maintenance de pompes hydrauliques (je faisais ça en parallèle de ma recherche de boulot en mine). C’est un travail que j’ai franchement vraiment bien apprécié, qui m’a donné de l’expérience avec l’utilisation de différents outils, mais qui a aussi été assez court (3 semaines) parce que j’ai finalement trouvé un job d’utility en mine.
Ce job, je l’ai fait pendant deux mois avant mon retour en France. C’était une expérience très particulière, je n’aurais jamais pu imaginer vivre ça dans ma vie : être payé à prendre l’avion pour aller au travail au fond du désert australien. J’ai adoré l’expérience, mais je pense aussi que ce n’est pas fait pour tout le monde.
Même si les salaires sont bons et que c’est facile de mettre de l’argent de côté, il ne faut pas négliger l’impact négatif que peut avoir l’isolement sur la santé mentale.
Ce qui différencie cette deuxième année de la première se trouve surtout au niveau professionnel. J’ai eu une première année de PVT “classique”, avec un peu de travail, des road trips et des voyages. J’ai travaillé en ferme et j’ai bougé un peu partout en Australie. Je pense que c’est la vision classique du PVT.
Mais cette deuxième année, je compte vraiment économiser autant d’argent que possible. Je me suis fixé un objectif de 50 000 € économisés sur l’année (vous pouvez d’ailleurs suivre l’aventure sur TikTok ou sur Instagram/Youtube)
Aussi, j’ai ressenti le besoin d’avoir plus de stabilité pour cette seconde année par rapport à la première que j’ai passée entre auberges, road trips et voyages. J’ai donc pris un bail sur un an pour avoir mon propre chez moi et plus de confort, parce que mine de rien, socialement, les auberges c’est top mais parfois on a aussi envie d’avoir son cocon et ses moments de calme.


Il ne faut pas s’arrêter à cette barrière, ils ont l’habitude de travailler avec des employés qui ont un niveau d’anglais vraiment bas.
Mais le vocabulaire et la langue viendront avec le temps, faites-vous confiance.
J’ai un objectif final, mais pour l’instant je préfère ne pas me porter l’œil…
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