La junk food et les influences américaines au Canada
Le Canada partage avec son voisin américain une passion pour la junk food. Partout, on retrouve barres chocolatées, snacks et sodas, mais aussi quelques classiques locaux bien sucrés.
Une avalanche de sucreries
Difficile de passer à côté du goût prononcé des Canadiens pour le sucre !
Dans les supermarchés, les stations-service ou les dépanneurs, les étalages débordent de douceurs : Reese’s (chocolat et beurre de cacahuète), Whippets (biscuit garni de guimauve et enrobé de chocolat), bonbons Wonka, et une multitude d’autres friandises colorées.
Les grandes marques américaines sont omniprésentes, mais le Canada a aussi ses propres classiques, souvent tout aussi sucrés : barres au caramel, biscuits nappés, gâteaux moelleux à la crème…

Entre imports et classiques locaux
L’influence américaine se ressent jusque dans les rayons des supermarchés : chips, céréales sucrées, sodas XXL et barres chocolatées aux goûts parfois surprenants occupent une large place dans l’alimentation canadienne.
Mais les Canadiens ont aussi un faible pour les produits venus d’ailleurs. Les biscuits Lu, le Nutella, ou encore les chocolats Kinder et Lindt sont bien présents, même s’ils coûtent plus cher qu’en Europe. Côté salé, le fromage et le vin importés de France, d’Italie ou de Suisse restent des produits de luxe, tandis que les fromageries et vignobles canadiens gagnent peu à peu du terrain.
Entre influence américaine, souvenirs européens et fierté locale, les rayons canadiens racontent à eux seuls la diversité culinaire du pays.
Une influence américaine assumée
Difficile de nier l’influence américaine au Canada : fast-foods, cafés à emporter et snacks à toute heure font partie du paysage. Les chaînes comme Tim Hortons, McDonald’s ou A&W sont partout, et les dépanneurs, petites épiceries ouvertes tard, permettent de grignoter ou d’acheter une bière à toute heure du jour ou de la nuit.
Mais cette culture du rapide cohabite avec un vrai attachement au local et à l’artisanal. Les microbrasseries, le sirop d’érable, les fromages québécois ou les produits de saison des marchés montrent qu’on peut aimer le confort du fast-food tout en valorisant le terroir.
(33)Commentaires
Pour rebondir sur le chapitre « Comment préparer une poutine, une fois rentré en Europe ? », eh bien voici un site qui devrait ravir les amoureux de la poutine :
Sauce poutine - Acheter sa poutine du Quebec en France - La Poutine
Ce site vous propose le nécessaire pour réalisé sa poutine à domicile, notamment le fameux fromage en grain sans quoi la poutine n’est rien !
Venez faire un petit tour en BC !
Malgré un an de PVT, je me rends compte qu’il y a encore plein de spécialités culinaires à découvrir !!!!!!!
Hâte d’avoir mon visa étudiante !!!!!!
Bon appétit à tous !!!!!!!!!!!!!! 😉
Je m’appelle Mélanie et je suis québécoise. La beauté de la cuisine québécoise c’est qu’elle est très diversifiée. En effet, elle est née d’un héritage amérindien, français et anglais. Il n’y a pas que le sirop d’érable et la poutine au Québec rassurez-vous! Nos produits et mets nationaux sont très rassembleurs et très réconfortants. À Montréal, par exemple, c’est pas le choix qui manque! Vous trouverez de très bons restaurants français et québécois digne des meilleurs chefs. Vous trouverez moyen de manger d’autres mets internationaux un peu partout également. Selon moi, quoi de mieux que de se retrouver entre amis autour d’une bière et d’une poutine devant un match de hockey des canadiens de Montréal pendant la saison hivernale! Pour les intéressés, voici un lien utile (et combien apprécié des québécois) afin de trouver les meilleures adresses à Montréal et au Québec selon vos critères de sélection.
Bon appétit
Super article
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