- 20/09/17, 21:46 #401Hey ! Bonjour à tous (enfin toutes apparemment),
Ca fait plus d'un an que je check cette discussion car mon projet est identique au vôtre.
Je viens d'arriver à MOntréal il y a peu et je déposerais mon dossier à la session de décembre.
J'aimerais vraiment échanger et discuter sur ce long parcours qu'est la demande, faire une sorte de coping social!
Si ça intéresse du monde d'aller échanger dans un café ou autour d'une bière, cela serait vraiment fun !
Envoyez-moi un message si ça intéresse quelqu'un
Hey ! Bonjour à tous (enfin toutes apparemment),
Ca fait plus d'un an que je check cette discussion car mon projet est identique au vôtre.
Je viens d'arriver à MOntréal il y a peu et je déposerais mon dossier à la session de décembre.
J'aimerais vraiment échanger et discuter sur ce long parcours qu'est la demande, faire une sorte de coping social!
Si ça intéresse du monde d'aller échanger dans un café ou autour d'une bière, cela serait vraiment fun !
Envoyez-moi un message si ça intéresse quelqu'un
- 04/10/17, 17:07 #402Bonjour à tous !
J'espère que tout se passe bien pour vous dans vos projets d'équivalence et autre.
Je viens vers vous pour vous poser une question qui parait un peu bête mais... Pour ceux/celles qui ont obtenu leur équivalence et qui travaillent en tant que psy, ou pour ceux/celles qui réalisent leur stage, quelles sont les différences que vous avez remarqué (s'il y en a) entre votre pratique française et canadienne ? Au niveau de la reconnaissance, de ce que vous faites, de la considération qu'ont les patients/soignants envers vous, la place qu'on vous donne...
J'ai lu quelques articles sur le sujet mais je voulais avoir vos témoignages à vous. Je suis jeune diplômée, premier poste, quelques remplacements, et je fais mon dossier d'équivalence pour partir l'été prochain, n'en pouvant déjà plus de la situation des psys en France... !
Merci à ceux qui répondront à ma question !
- 08/10/17, 22:46 #403Bonsoir à tous,
Depuis la rentrée 2017, je suis en Master 2 de Psychologie du Travail et je prévois de partir à Montréal en septembre ou octobre 2018.
Je compte partir en PVT, et jusqu'ici je ne pensais pas demander de permis car je pensais que cela prendrait beaucoup trop de temps pour un séjour en PVT. Mais au vu des différents messages des uns et des autres, je me dis que ce serait une bonne chose, plutôt que de faire des jobs alimentaires car je n'ai de compétences dans aucun autre domaine.
Je me pose maintenant la question de savoir si je peux demander cette équivalence courant de l'année 2018 alors que j'aurais tout juste le titre de psychologue à l'été 2018 ? Aussi, mes seules expériences professionnelles se limiteront à mes stages, et j'ai peur qu'on estime que mes compétences seront beaucoup trop limitées.
Mes excuses si ce sujet a déjà été abordé dans les pages précédentes de la discussion, mais je vous avoue ne pas avoir tout lu avec assiduité.
- 09/10/17, 15:24 #404Bonjour,
Pour ma part j'ai noté qu'au niveau de la formation, les canadiens sont plus axés sur la pratique les techniques là où en France on fait souvent plus de place à la théorie. (Beaucoup de cours en intervention, évaluation, assez "pratico-pratique")
J'ai l'impression d'un respect de la profession plus fort ici, comme pour toutes les professions régies ici par un ordre professionnel au Canada, comme si cela apportait un certain prestige (le mot est peut être fort mais je n'ai pas trouvé autre chose pour nommer).
Dans les pratiques, une grande part à la TCC, notamment pour certains programmes comme par exemple la prise en charge précoce de l'autisme qui au niveau public est uniquement comportementale avec l'ICI (ce qui est assez critiqué). Malgré cela, il y a tout de même beaucoup de place pour d'autres approches (psychodynamiques, humanistes, intégratives...).
Au niveau de l'emploi, la pratique privée se fait très souvent très la sortie de l'université (après le doctorat), tandis que j'avais l'impression qu'en France on est plus guidé vers le travail en institution avant de se lancer dans le privé.
En termes d'emploi, si on est souple sur ce que l'on cherche, il me semble qu'il est beaucoup beaucoup plus facile de trouver un poste ici, et beaucoup plus de temps plein par rapport à la France.
Toutes ces différences susnommées ne sont pas un jugement de valeur. Il y a du bon et du moins bons dans chacune des façons de faire...
- 09/10/17, 15:38 #405Oui tu peux le demander à partir du moment où tu as ton titre pro, et oui les stages sont des expériences qui comptent puisque tu pratiquais avec une supervision (=maître de stage).
Par contre, le fait de demander l'équivalence pour le titre de psychologue ça dépend vraiment de ton PROJET et DE TON BUDGET.
Envisages-tu de venir uniquement le temps du PVT et ne pas rester ? Dans ce cas es tu prête à passer 2 ans à reprendre des cours et faire un internat avec une forte probabilité de ne pas être rémunérée pour avoir un titre professionnel que tu n'utiliserais pas ensuite ? Pourquoi pas si tu vois ça comme un moyen de te faire de l'expérience professionnelle qui pourrait te servir de retour en France ; c'est pas tant le titre qui serait intéressant mais le parcours à revendre après ? Faut voir ce que tu attends de cette expérience PVT si pour toi c'est plus profiter d'un pays, visiter (faut avoir du temps et de l'argent, pas toujours facile quand tu es en processus d'équivalence à faire un stage non payé, et à travailler des cours qui coutent cher), ou alors vivre dans le pays tout en enrichissant ton parcours pro, pas se trouver avec un trop grand trou dans le CV .. ?
A toi de réfléchir à ces questions ... je sais bien que parfois on est pas sure de savoir ce qu'on veut, ce qu'on va faire dans 2 ans ...
Sinon pour celles et ceux qui ont des études en psycho, ici les emplois dans le domaine sans diplôme sont souvent des emplois d'"intervenant" (intervenant social, intervenant en relation d'aide...). C'est des postes très variés qui peuvent dans certains milieu être équivalent à aide-soignant, dans d'autre un peu éducateur spécialisé mais sans les responsabilités... Il y a beaucoup de monde qui postulent donc pas facile d'avoir une place, mais pas impossible non plus selon vos expériences. Ils recrutent souvent pour travailler auprès des itinérants (=SDF), dans le domaine de la toxicomanie aussi, etc. Par contre vous commencez souvent sur appel (tu travailles quand on t'appelle la veille, le matin même, la semaine d'avant), avant d'être embauché.
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- 09/10/17, 16:20 #406Merci Aodrena pour tes réponses et ton éclairage !!Bonjour,
Pour ma part j'ai noté qu'au niveau de la formation, les canadiens sont plus axés sur la pratique les techniques là où en France on fait souvent plus de place à la théorie. (Beaucoup de cours en intervention, évaluation, assez "pratico-pratique")
J'ai l'impression d'un respect de la profession plus fort ici, comme pour toutes les professions régies ici par un ordre professionnel au Canada, comme si cela apportait un certain prestige (le mot est peut être fort mais je n'ai pas trouvé autre chose pour nommer).
Dans les pratiques, une grande part à la TCC, notamment pour certains programmes comme par exemple la prise en charge précoce de l'autisme qui au niveau public est uniquement comportementale avec l'ICI (ce qui est assez critiqué). Malgré cela, il y a tout de même beaucoup de place pour d'autres approches (psychodynamiques, humanistes, intégratives...).
Au niveau de l'emploi, la pratique privée se fait très souvent très la sortie de l'université (après le doctorat), tandis que j'avais l'impression qu'en France on est plus guidé vers le travail en institution avant de se lancer dans le privé.
En termes d'emploi, si on est souple sur ce que l'on cherche, il me semble qu'il est beaucoup beaucoup plus facile de trouver un poste ici, et beaucoup plus de temps plein par rapport à la France.
Toutes ces différences susnommées ne sont pas un jugement de valeur. Il y a du bon et du moins bons dans chacune des façons de faire...
Je me permets d'intervenir car je suis en pleine réflexion sur ce que tu viens d'aborder.
Je compte partir en PVT, faire l'équivalence (au Québec) et j'ai vu que le seul moyen de rester par la suite était de demander une résidence permanente, ce qui est une sacrée démarche compte tenu du fait que je compte prolonger de "seulement" 2 ou 3 ans après le PVT.
Connaissez vous des moyens de rester après le PVT sans passer par la résidence permanente ?
Je me demande si c'est vraiment pertinent de faire une démarche d'équivalence si c'est pour ne rester que 2 ans...
Et je me demande donc si je ne changerai pas de province afin de pouvoir rester qqes années après le PVT en tant que psychologue (ce qui est réellement mon projet, je souhaite partir pour exercer mon métier de psy là bas et pas autre chose).
Avez vous rencontré ces difficultés ? Qu'en pensez vous ou connaissez vous des psys qui ont été confrontés à ce questionnement ?
- 09/10/17, 17:48 #407Trouver un employeur qui accepte de te payer un permis de travail fermé, ou faire des études et avoir un permis d'études, ou encore être en couple avec quelqu'un qui a un permis de travail pouvant te donner accès au permis conjoint de fait. Peut être d'autres auxquelles je n'ai pas pensé ?
Quand on change de province cela peut impliquer des démarches pour faire reconnaître son titre de psychologue dans une autre province, mais je ne sais pas exactement lesquelles... Il serait intéressant que celles et ceux ayant posé des questions à ce sujet partagent leurs informations.
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- 09/10/17, 18:44 #408Oui j'ai vu ce que tu viens d'énoncer, et obtenir un permis de travail fermé semble fastidieux pour l'employeur et sans garanti de succès. A essayer au cas où quand même car c'est le seul permis que je pourrais obtenir dans mon cas !Trouver un employeur qui accepte de te payer un permis de travail fermé, ou faire des études et avoir un permis d'études, ou encore être en couple avec quelqu'un qui a un permis de travail pouvant te donner accès au permis conjoint de fait. Peut être d'autres auxquelles je n'ai pas pensé ?
Quand on change de province cela peut impliquer des démarches pour faire reconnaître son titre de psychologue dans une autre province, mais je ne sais pas exactement lesquelles... Il serait intéressant que celles et ceux ayant posé des questions à ce sujet partagent leurs informations.
Effectivement, j'ai lu que les démarches changeaient selon la province. Je me renseigne actuellement sur le Nouveau Brunswick qui est à moitié francophone mais dur de trouver des infos sur la situation des psys là bas !
Merci à toi en tout cas
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- 09/10/17, 21:22 #409Merci beaucoup pour ta réponse.
Pour l'instant j'ai pour projet de partir seulement le temps du PVT, mais c'est vrai qu'on ne sait pas de quoi l'avenir sera fait, et il se pourrait que je veuille rester sur place au final. Mais pour l'instant, je ne me vois pas ne plus vivre en France.
C'est vrai que je me suis rendue compte que les démarche seraient longues et fastidieuses et finalement pas adaptées à mon projet actuel (rester seulement le temps du PVT). Mais je viens de faire 5 ans d'étude et je ne me vois pas travailler dans un autre domaine, ou même avoir un emploi sous payé qui ne me donnera pas envie de me lever le matin. Et le trou dans le CV me fait aussi très peur. Aussi, la culture d'entreprise Québécoise autour du bien être au travail m'intrigue et c'est aussi la raison de mon séjour (c'est le domaine dans lequel je souhaite me spécialiser en psychologie du travail). Mais es-tu sur qu'il est impossible de trouver un stage rémunéré ?
- 09/10/17, 23:00 #410Je dis qu'il est plus probable de trouver un stage non rémunéré que rémunéré, mais rien n'est impossible. J'avais moi-même trouvé un stage rémunéré mais à mi-temps (après c'était très très loin d'être assez pour vivre). Aussi je ne connais pas ici le monde de la psychologie du travail (regroupé sous l'appellation psychologie organisationnelle)...
- 12/10/17, 11:35 #411
AnonymeSalut Nour !
As-tu un PVT pour partir ? Auquel cas tu peux facilement travailler là-bas ; donc si le projet d'équivalence te tient à coeur et ce, quelque soit la réponse de l'Ordre, je te conseillerais d'y aller et d'attendre ta réponse là-bas, en scrutant un peu autour les possibilités de stages et de cours etc. C'est ma principale difficulté à moi, d'être loin ; je me trompe peut-être, mais je me figure qu'en étant sur place, je trouverais sûrement plus facilement les infos dont j'ai besoin...
Si tu n'as pas de permis travail, c'est plus compliqué : le visa vacances ne te permet pas, si je ne me trompe pas, de travailler au Canada...et si on te chope, tu risques gros. Peut-être serait-il plus sage d'attendre la réponse et de demander un permis d'étude ou d'être tirée au sort pour le PVT...?
Tiens bon en tout cas, tu vas la recevoir cette réponse, où que tu décides d'être, et tout s'enclenchera ensuite !
Bonjour à tous, j'ai une question très certainement idiote, mais le doute s'empare de moi, et cette petite question sans réponse commence légèrement à me gratter le cerveau...!
Les heures de stage, demandées par l'Ordre, doivent-elles être obligatoirement effectuées sur le sol canadien (québecois pardon ! ) ? Peuvent-elles être effectuées en France avec l'accord de l'Ordre ?
J'en profite pour poser une autre question : connaissez-vous des sites internet où l'on pourrait trouver un peu tous les postes d'intervenants proposés ? Ou bien est-ce au cas par cas qu'il faut postuler ? Et est-ce que le principe de l'interim existe au Québec ? (j'y ai pensé lorsque tu as dit, Aodrena, que l'on commençait souvent en étant appelé la veille pour le lendemain...)
Un grand merci :* !
- 16/10/17, 03:18 #412Bonjour, OUI il est possible avec l'accord de l'OPQ d'effectuer ses heures de stage à l'étranger. Je connais une personne qui travaillait en France et qui a demandé à ce que son travail soit reconnu par l'OPQ (donc elle a travaillé 1600h avec une supervision en France) et a ainsi quasiment validé son permis de psychologue avant de partir vivre au Québec (elle n'avait que le cours de déontologie à valider par la suite). Un autre psy avait réussi à faire valider un projet de bénévolat en Amérique du sud avec la supervision d'un psychologue sur place... Il faut bien présenter un projet d'internat qui correspond à ce qui est attendu par l'OPQ.
quelques sites d'emploi pour intervenants :
https://www.emploiquebec.gouv.qc.ca/
Offres d
Parfois des annonces relayées sur le groupe facebook : Log into Facebook | Facebook
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- 23/10/17, 17:50 #413Salut NNour,
Si tu as un PVT tu peux aller faire du bénévolat, ils ont besoin de beaucoup de monde dans l'associatif.
Si c'est une question d'argent et d'économie (ce qui est complètement compréhensible), je pense qu'il est plutôt facile de trouver des petits jobs ici.
Personnellement, je suis arrivée à Montréal 1 ou 2 mois avant d'avoir eu ma réponse (j'ai du renvoyer des papiers, je ne pensais pas que ce serait si long!). Mais j'en ai profiter pour commencer à envoyer des CV ou prendre contact avec des gens sur place. Il y a pleins de choses que tu peux commencer à faire ici en attendant de recevoir ta réponse!
Bon courage
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- 30/10/17, 14:26 #414Salut la communauté psy
J'écris ce message car je commence à être un peu perdue avec ce système de demande d equivalences
Je fais pour ma part une demande pour l'ontario et j'ai contacté le secretariat savoir comment m organiser pour pratiquer sur place
Visiblement il faudrai un certificat de pratique supervisée
Valide deux ans sur lesquels il faut avoir exercé 1500h (environ 12 mois de travail en 35h) plus les examens d éthique et jurisprudence
Jusque là tout va bien
Or il faudrai avoir exercé 6000 h post master pour avoir ce certificat
C est la que je me perds
Sur quel poste pensez vous qu on puisse exercer sans ce certificat?
Mon projet pro à terme serai d être psy en ong donc référent santé mentale et soutien psychosocial
(Exemple d annonce pour clarifier
Référent santé mentale et soutien psychosocial (H/F) France - Paris - Coordination SUD )
Mon départ pour la zone anglophone se justifie par l'idée de vouloir valider des compétences en anglais
(Je suis très a l aise en anglais mais tant que cela n est pas validé par une expérience je crois que c est juste une tâche de rorschach ;-P)
Bref du coup sur quel poste exercer sans ce certificat ?
Est ce que ça vaut le coup de payer tous les frais pour au final peut être repartir en tant qu expat par la suite?
Voilà
Courage à toutes et tous dans vos démarches
Et merci d'avance pour les réponses
- 01/11/17, 03:25 #415Bonjour,
Je ne connais pas bien le système en Ontario, mais il me semble qu'ils demande 1500 h de pratique supervisée (avec 2 superviseurs) au moins la première année, et qu'ensuite dans les 4 années il faut totaliser 6000h de pratique pour avoir le droit à pratiquer sans supervision.
Je pense que cela ressemble aux états-Unis, où seuls les titulaires du doctorat ont le droit d'être psychologues, mais que ceux qui ont la maîtrise doivent exercer sous supervision pendant longtemps, et ont le titre d'associé en psychologie.
J'en comprends que les premières 1500h la première année sont celles nécessaires pour ensuite accès à l'examen de pratique Examination for Professional Practice in Psychology (EPPP) and the Jurisprudence and Ethics Examination (JEE). Si tu réussis cette première étape, tu obtiens un certificat de pratique supervisée. Ensuite si tu atteints 6000 heures dans les 4 ans tu peux obtenir un certificat de pratique autonome.
ICI le lien du texte explicatif.
Je trouvais ça déjà compliqué au Québec ...
- 03/11/17, 16:57 #416Bonjour à toutes et tous,
Je suis psychologue clinicienne diplômée depuis 2011 en France (Aix Marseille Université), nous venons d'arriver en famille à Montréal depuis juillet et sommes résidents permanents. Je cherche depuis longtemps des retours d'expérience de psychologue ayant fait la démarche d'équivalence et je remercie chaleureusement celles et ceux qui ont pris le temps de créer ce fil, leur retour d'expérience, leur galère...
j'ai lu les 21 pages, je ne vous cache pas qu'à la fin j'étais mitigée: contente d'avoir lu certaines infos, légèrement anxieuse devant l'ampleur du "truc" *-*...!
Bref je pense avoir récupéré la plupart des documents demandés, me reste les résumés de mes travaux universitaires à faire, détailler mes stages et mon expérience professionnelle de 3 ans et juste à trouver une plaquette de M2 que mon université ne me fournit pas, ni les professeurs...ni anciens "collègues"
Je en sais pas comment faire à aprt prendre mon relevé de note et détailler les cours à partir de ce document.
En lisant la plaquette de M1 j'ai même constaté qu'il y avait des incohérence d'heures ...dire que le département dans lequel j'étais était particulièrement mal organisé est léger...
J'envisage de déposer le dossier pour fin Novembre début décembre (j'y crois!), encore merci à ceux qui font des retours sur la formes, la mise en page, on se sent moins seule!
Subsiste quelques interrogations :
1. J'ai lu qu'il était possible de postuler dans des cliniques privés- et c'est là que je n'ai pas saisi-
en attendant que le dossier soit traité par l'ordre?
Ou une fois qu'il a rendu ces conclusions avec ces préconisations dans le cas d'un internat (et avec un projet à faire valider en amont)? J'ai bien lu la nécessité d'avoir un superviseur soit dans la clinique soit à mes frais.
2. Nous sommes en couple, mon compagnon travaille, j'aimerai commencer moi aussi à avoir une activité rémunérée, me faire de l'expérience etc etc. J'ai refait mon Cv de manière à pouvoir postuler dans le communautaire, soit en intervention soit dans l'organisation en me servant d'expérience antérieur à mon expérience de psycho, mais je n'avais pas pensé qu'en fonction de ce que l'ordre me demandera de refaire (nombre d'heure d'internat) je me retrouverai à quitter un emploi pour trouver un stage... Tout ça me semble compliqué.
Chaque situation est unique et en fonction de nos expériences, mais j'aimerai bien avoir vos retours ou suggestions. Je me mets à chercher un lieu qui pourrait faire office de stage au cas ou?
Je cherche dans le communautaire et j'arrête pour trouver un stage si besoin...
Bref j'échangerai avec plaisir.
Je suis aussi partante pour voir ceux disponible à Montréal In Real Life comme on dit, je trouverai ça chouette de pouvoir créer un groupe, pour échanger sur ces démarches et sur nos pratiques ici versus en France... Y aurait-il des personnes motivées?
Merci pour vos réponses au plaisir d'échanger!
- 03/11/17, 18:48 #417Bonjour,
Parfois, ce que certain.e.s font quand les documents n'existent plus ou sont incomplets, c'est de réécrire eux-même le descriptif, et de le faire valider par l'université... si elle est conciliante à ce sujet (ça arrive en tout cas). Autrement, tu peux fournir la plaquette et écrire sur l'honneur pour compléter les informations manquantes. Tu verras à l'étape de la réclamation si tu dois aller plus loin ou pas pour fournir des preuves supplémentaires.
Officiellement tu dois attendre la réponse de l'OPQ puisque c'est le papier qui t'autorise à travailler. Plus facile et plus clair quand tu as la réponse de l'OPQ, d'autant plus que tu as une idée du nombre d'heure sous supervision à faire. C'est pas pareil pour un employeur de t'embaucher pour 500h sous supervision que 1600h. Mais le plus souvent en clinique privée, tu es travailleur autonome, tu peux être amené.e à payer toi-même ta supervision. Il arrive que des candidat.e.s cherchent et trouvent leur internat avant la réponse de l'OPQ (trouver le stage et commencer le stage peut être 2 étapes différentes).
Cela peut être du temps partiel pour le travail comme pour le stage ...
- 03/11/17, 18:49 #418Salut Saugnya et Beryl!
Merci pour vos réponses! Je vous réponds toutes les deux puisque vous m'avez posé la même question; je n'y vais pas en PVT. En fait j'ai la nationnalité canadienne mais un diplome étranger, n'ayant jamais vécu au Canada. J'espere que ca dérange personne que je profite de vos conseils. Sauf pour le PVT, je suis dans la même situation et cette discussion m'a été TRES utile (la seule de tout l'internet d'ailleurs!)
Bref, je ne suis toujours pas sur place. J'attends la réponse de l'OPQ qui est censée arriver la semaine prochaine. Je vous tiendrai au courant, ca pourrait aider Aucune piste de stage payé pour le moment mais je réessayerai avec comme appui l'equivalence et puis on verra bien! Sinon ca sera des petits jobs comme dis Beryl et beaucoup de patience...
@Saugnya des nouvelles de ton coté? Ca avance j'espere! @Beryl as-tu trouvé un stage finalement? Comment as-tu fait niveau travail en attendant?
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- 03/11/17, 18:49 #419
- 03/11/17, 19:06 #420 AnonymeSalut Nour !Salut Saugnya et Beryl!
Merci pour vos réponses! Je vous réponds toutes les deux puisque vous m'avez posé la même question; je n'y vais pas en PVT. En fait j'ai la nationnalité canadienne mais un diplome étranger, n'ayant jamais vécu au Canada. J'espere que ca dérange personne que je profite de vos conseils. Sauf pour le PVT, je suis dans la même situation et cette discussion m'a été TRES utile (la seule de tout l'internet d'ailleurs!)
Bref, je ne suis toujours pas sur place. J'attends la réponse de l'OPQ qui est censée arriver la semaine prochaine. Je vous tiendrai au courant, ca pourrait aider Aucune piste de stage payé pour le moment mais je réessayerai avec comme appui l'equivalence et puis on verra bien! Sinon ca sera des petits jobs comme dis Beryl et beaucoup de patience...
@Saugnya des nouvelles de ton coté? Ca avance j'espere! @Beryl as-tu trouvé un stage finalement? Comment as-tu fait niveau travail en attendant?
C'est sympa de demander des nouvelles
Pour ma part, je pars le 27décembre (ouais, j'aime les défis à -30 degrés...) ; en attendant je commence à postuler pour des stages en institution publique (mais ça semble bien saturé) puis ensuite en privé j'imagine. J'attends avec impatience le nom des profs pour les cours que j'ai choisis et pour lesquels l'OPQ m'a donné son accord. Après je leur demanderai leur accord à chacun pour m'inscrire à leur cours.
Ce qui commence légèrement à me donner quelques extrasystoles, c'est que je n'ai toujours pas reçu par la poste le papier me donnant mon numéro d'étudiant (en gros) : pour les prochains qui voudraient s'inscrire, je trouve que c'est une bêtise d'avoir mis mon adresse française ; j'avais des amis canadiens qui auraient pu réceptionner cette lettre et me donner le numéro (si vous avez cette possibilité, moi je trouve ça mieux). Mais aujourd'hui et depuis le 12 septembre, je n'ai toujours rien reçu... Après une relance de ma part, le registrariat de l'UQAM m'a répondu hier que je la recevrai dans quelques semaines...j'espère juste que c'est une "réponse généralisée" et pas qu'ils ont seulement "relancé" mon dossier hier...les inscriptions commençant le 4 déc, ça risque d'être ricrac... On verra !
Tu nous diras pour ta réponse Nour ! Tu dois trouver le temps long, tous les jours devant ta boîte aux lettres...! Je te souhaite davoir une belle surprise
Sonia.
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