Perrine : deux PVT, en Nouvelle-Zélande et au Canada
Perrine a fait deux PVT, l’un en Nouvelle-Zélande et l’autre au Canada. Emploi, voyages, rencontres… Elle nous raconte son expérience !
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Bonjour Perrine ! Peux-tu te présenter ?
Bonjour, je suis Perrine, 30 ans et je vis actuellement à Vancouver au Canada. Je viens de Grenoble, j’ai vécu à Toulouse durant une bonne partie de mes études, tout en voyageant en Europe. J’ai étudié puis travaillé dans le tourisme. Je ne connais quasiment que ce milieu professionnel, même si j’ai quelques expériences en vente et en restauration. Je me suis rarement aventurée hors de l’industrie du voyage.
Je ne dirais pas réellement que j’ai un métier spécifique, mais j’ai quelques dominances : promotion/communication touristique, beaucoup (trop) la réception/relation client, puis du management d’équipe et d’hébergement ces 3 dernières années (ma spécialité ce sont les auberges de jeunesse).
Je travaille maintenant en agence de voyage ce qui est tout nouveau pour moi : je crée des voyages à vélo personnalisés en Europe et au Canada (un tout petit peu aux États-Unis). Je promeus aussi l’agence sur les réseaux sociaux et je bosse sur le nouveau site web. Si je suis à plein temps, je prends quelques shifts de reception par semaine à l’auberge downtown. Juste parce que c’est fun et que ça me fait un peu plus d’argent.
Je ne dirais pas réellement que j’ai un métier spécifique, mais j’ai quelques dominances : promotion/communication touristique, beaucoup (trop) la réception/relation client, puis du management d’équipe et d’hébergement ces 3 dernières années (ma spécialité ce sont les auberges de jeunesse).
Je travaille maintenant en agence de voyage ce qui est tout nouveau pour moi : je crée des voyages à vélo personnalisés en Europe et au Canada (un tout petit peu aux États-Unis). Je promeus aussi l’agence sur les réseaux sociaux et je bosse sur le nouveau site web. Si je suis à plein temps, je prends quelques shifts de reception par semaine à l’auberge downtown. Juste parce que c’est fun et que ça me fait un peu plus d’argent.
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Tu es partie en PVT en Nouvelle-Zélande il y a quelques temps. Pourquoi ce pays ?
A la fin de mes études en 2012 j’étais déjà bien renseignée sur le concept du PVT et je voulais tenter l’aventure. Master tourisme en poche, je me suis dit qu’avant 30 ans, je pouvais essayer pas mal de choses niveau voyage et tout me permettre professionnellement parlant. Je voulais partir dans un pays anglo-saxon et essayer un truc loin de l’Europe « juste pour voir ». Je fantasmais les parcs nationaux et les grands espaces, ainsi que les villes du « nouveau monde ». L’Australie me paraissait un peu trop grande et me faisait peur car je n’avais pas mon permis de conduire. Le Canada me tentait aussi mais le PVT semblait difficile à obtenir. Et il y avait la Nouvelle-Zélande, qui semblait être « à taille humaine » et facile d’accès pour une première approche. Je suis donc partie en PVT en Nouvelle-Zélande pour 1 an en mars 2014.
Pour demander votre PVT Nouvelle-Zélande, suivez notre tuto !
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Qu’est-ce que tu as aimé dans ton quotidien en Nouvelle-Zélande ?
J’ai aimé le fait que je n’avais pas vraiment d’attentes avant de venir : j’ai eu un effet wahou assez vite. Puis s’en est suivie une longue période de lune de miel avec la Nouvelle-Zélande. Je suis arrivée en mars et il faisait 25 degrés. L’automne est superbe dans ce pays. Plusieurs Kiwis m’ont dit que c’était leur saison préférée et je les comprends. J’ai aimé le fait de pouvoir voyager facilement en bus ou en stop partout : changer de direction si envie / besoin / possibilité. Je suis tombée en amour des couleurs de ce pays. C’est un condensé de bleus, de verts et de couleurs chaudes au lever / coucher du soleil.
J’ai beaucoup apprécié le no stress, la tranquillité, la gentillesse des Kiwis et la rapidité avec laquelle on échange avec les gens.
J’ai beaucoup apprécié le no stress, la tranquillité, la gentillesse des Kiwis et la rapidité avec laquelle on échange avec les gens.
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Et ce que tu as moins aimé ?
Les maisons mal isolées (alors qu’elles sont si mignonnes), la peur d’aborder les points négatifs au travail, la fuite du conflit, le fait que ce soit si loin de l’Europe. 20 h d’avion minimum, c’est beaucoup si on pense rester un peu plus longtemps.
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Parlais-tu anglais avant de partir ?
Oui et ça m’a facilité la vie au début. En revanche je me suis pris l’accent kiwi en plein dans la face ! Qu’est-ce que j’ai galéré les premiers temps au travail ! Parfois le téléphone sonnait, je répondais et s’en suivait un charabia anglo-kiwi incompréhensible ! Ou on me demandait le nom d’une bière locale dont je n’avais jamais entendu parler… Les débuts au travail furent quelque peu épiques.
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Justement, parle-nous du travail pendant ton PVT…
J’utilise mes PVT pour me faire de nouvelles expériences. A chaque fois je me dis que je vais faire un peu de bénévolat. Mais je trouve un travail et une colocation. Puis je ne pense plus à faire quelque chose de différent excepté voyager.
J’ai travaillé 10 mois à Wellington à la reception d’un hôtel. J’ai trouvé du boulot en 2 semaines et quelques entre des voyages sur l’île du nord, et des entretiens par-ci, par-là. Franchement je ne me suis pas foulée : j’ai envoyé/déposé une vingtaine de CV et fait 4 entretiens…. Mais la difficulté c’est qu’en mars-avril, j’étais aussi en concurrence avec les étudiants qui revenaient à l’université. Ils cherchaient tous un travail eux aussi. Certains de mes amis ont trouvé en une semaine ou 10 jours à peine en arrivant entre septembre et décembre. C’est une meilleure période.
Le job était tout simplement du service client classique en hôtel (check-in/out, conseils pour découvrir Wellington…) avec un standard 5 étoiles (version kiwi-cool tout de même). J’ai bien progressé en anglais-kiwi. Et c’est vrai que mes managers m’ont vraiment donné ma chance alors qu’elles n’avaient jamais embauché de jeunes en PVT avant (pas assez « reliable » comme ils disent là-bas). J’ai travaillé sur un logiciel de réservations que je connaissais déjà, et ça, ce fut d’une grande aide. J’ai aussi appris à être barista : faire mousser du lait pour des flat whites, lattes ou cappuccinos fût kiffant ! Enfin, j’ai découvert des bières locales et quelques vins. Nous avions un côté réception et un côté café/bar, donc je ne m’ennuyais jamais.
J’ai travaillé 10 mois à Wellington à la reception d’un hôtel. J’ai trouvé du boulot en 2 semaines et quelques entre des voyages sur l’île du nord, et des entretiens par-ci, par-là. Franchement je ne me suis pas foulée : j’ai envoyé/déposé une vingtaine de CV et fait 4 entretiens…. Mais la difficulté c’est qu’en mars-avril, j’étais aussi en concurrence avec les étudiants qui revenaient à l’université. Ils cherchaient tous un travail eux aussi. Certains de mes amis ont trouvé en une semaine ou 10 jours à peine en arrivant entre septembre et décembre. C’est une meilleure période.
Le job était tout simplement du service client classique en hôtel (check-in/out, conseils pour découvrir Wellington…) avec un standard 5 étoiles (version kiwi-cool tout de même). J’ai bien progressé en anglais-kiwi. Et c’est vrai que mes managers m’ont vraiment donné ma chance alors qu’elles n’avaient jamais embauché de jeunes en PVT avant (pas assez « reliable » comme ils disent là-bas). J’ai travaillé sur un logiciel de réservations que je connaissais déjà, et ça, ce fut d’une grande aide. J’ai aussi appris à être barista : faire mousser du lait pour des flat whites, lattes ou cappuccinos fût kiffant ! Enfin, j’ai découvert des bières locales et quelques vins. Nous avions un côté réception et un côté café/bar, donc je ne m’ennuyais jamais.
Notre dossier pour trouver un travail en Nouvelle-Zélande.
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Et tu as pu visiter le pays ?
Oui je me suis d’abord baladée 2 mois sur l’île du nord. Puis comme j’ai commencé à mi-temps à l’hôtel, j’ai encore voyagé autour de Wellington pour quelques longs weekends.
Je suis partie sur l’île du sud après la fin de mon job de réceptionniste. J’ai dû voyager bien 2 mois entre la fin du PVT et la validation de mon visa de touriste. Puis je suis aussi allée 1 semaine à Sydney, et une journée à Melbourne. Je crois que je suis restée presque 14 mois en Nouvelle-Zélande au total. Le retour a été plus dur que prévu pour être honnête.
Je suis partie sur l’île du sud après la fin de mon job de réceptionniste. J’ai dû voyager bien 2 mois entre la fin du PVT et la validation de mon visa de touriste. Puis je suis aussi allée 1 semaine à Sydney, et une journée à Melbourne. Je crois que je suis restée presque 14 mois en Nouvelle-Zélande au total. Le retour a été plus dur que prévu pour être honnête.
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Quels conseils donnerais-tu à un PVTiste qui hésite à partir en Nouvelle-Zélande ?
Vas-y ! Non je rigole.
Je dirais que c’est un super pays pour le PVT car il a une taille raisonnable pour voyager, faire du bénévolat et travailler. On peut se retrouver à la plage, en montagne, en ville ou en campagne. Au choix ! Ceux qui ne conduisent pas comme moi seront ravis de tester le bus, le train et… le pouce !
Je conseillerais d’avoir pas mal d’économies pour voyager si jamais on ne se sent pas de rester ou que l’on doit rentrer en urgence en France. Ça peut arriver.
Je conseille aussi de venir léger : j’avais un sac de 15 kg pour 1 an et un bagage à main. Je conseillerais presque 12 kg avec pour unique bagage a main une tablette ou un mini-ordi. De toutes façons, la Nouvelle-Zélande n’est pas le pays de la mode alors ne vous cassez pas trop la tête.
J’ai beaucoup apprécié les conseils des autres voyageurs en auberge de jeunesse. Alors même si vous êtes un peu timides à cause de votre anglais vacillant, évitez de trop squatter vos écrans, lancez-vous et n’hésitez pas à échanger avec les gens autour de vous.
Je dirais que c’est un super pays pour le PVT car il a une taille raisonnable pour voyager, faire du bénévolat et travailler. On peut se retrouver à la plage, en montagne, en ville ou en campagne. Au choix ! Ceux qui ne conduisent pas comme moi seront ravis de tester le bus, le train et… le pouce !
Je conseillerais d’avoir pas mal d’économies pour voyager si jamais on ne se sent pas de rester ou que l’on doit rentrer en urgence en France. Ça peut arriver.
Je conseille aussi de venir léger : j’avais un sac de 15 kg pour 1 an et un bagage à main. Je conseillerais presque 12 kg avec pour unique bagage a main une tablette ou un mini-ordi. De toutes façons, la Nouvelle-Zélande n’est pas le pays de la mode alors ne vous cassez pas trop la tête.
J’ai beaucoup apprécié les conseils des autres voyageurs en auberge de jeunesse. Alors même si vous êtes un peu timides à cause de votre anglais vacillant, évitez de trop squatter vos écrans, lancez-vous et n’hésitez pas à échanger avec les gens autour de vous.
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Tu es ensuite partie en PVT au Canada. Qu’est-ce qui t’a fait choisir ce pays ?
A la fin de mon PVT en Nouvelle-Zélande je me voyais peut-être enchaîner avec l’Australie. Mais j’ai eu envie de rentrer un peu en France entre deux. Et je voulais tout de même tenter l’ouverture du PVT Canada. En fait le Canada m’attirait depuis longtemps et j’avais déjà tenté de l’obtenir plusieurs fois sans succès. J’ai retenté, finis sur liste d’attente, me suis faite repêcher et j’ai eu ma lettre d’introduction en juillet 2015. Alors j’ai laissé tomber l’Australie. Je suis arrivée au Canada en février 2016.
Je pense que mon attraction pour le Canada me vient en partie d’une partie de ma famille qui vit au Québec, de leur accent exotique, du fantasme des grands espaces, et de la cabane au fond des bois (alors que j’ai tendance à vivre en ville, cherchez l’erreur).
Je pense que mon attraction pour le Canada me vient en partie d’une partie de ma famille qui vit au Québec, de leur accent exotique, du fantasme des grands espaces, et de la cabane au fond des bois (alors que j’ai tendance à vivre en ville, cherchez l’erreur).
Pour découvrir le fonctionnement du PVT Canada, c’est par ici !
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Comment as-tu vécu ce second PVT ?
Je suis arrivée en solo, et j’ai retrouvé une amie de longue date par hasard.
Sinon je suis devenue bien trop sédentaire ! J’ai atterri à Montréal, passé un peu de temps en famille, puis j’ai traversé le Canada en train. En plein hiver c’était super beau. J’ai trouvé un travail à Vancouver alors que je cherchais entre la Colombie Britannique et l’Alberta. J’ai eu plein de bons plans pour me loger durant ma première année de PVT. Ceci est exceptionnel à Vancouver (baby-sitting pour chat contre logement gratuit, sous-location, et logement proposé par le boulot). Du coup je suis restée.
J’ai voyagé de nouveau : gros road trip aux États-Unis avec ma sœur. Puis je suis revenue et restée car j’ai commencé à prendre des responsabilités au travail et j’ai rencontré mon copain. C’était devenu intéressant sans que je ne m’y attende vraiment. C’est à ce moment-là que la sédentarisation a réellement pris le dessus. J’ai fini par demander ma résidence permanente en 2018. Je ne sais pas combien de temps je resterai au Canada. On verra, mais je suis contente de ne plus avoir de « date d’expiration » et je commence à avoir envie d’explorer d’autres provinces. Je viens aussi de voir que le PVT Australie est passé à 35 ans et je suis aussi tentée par l’Amérique du sud… Mais il faut que je prenne une décision avant mes 31 ans.
Sinon je suis devenue bien trop sédentaire ! J’ai atterri à Montréal, passé un peu de temps en famille, puis j’ai traversé le Canada en train. En plein hiver c’était super beau. J’ai trouvé un travail à Vancouver alors que je cherchais entre la Colombie Britannique et l’Alberta. J’ai eu plein de bons plans pour me loger durant ma première année de PVT. Ceci est exceptionnel à Vancouver (baby-sitting pour chat contre logement gratuit, sous-location, et logement proposé par le boulot). Du coup je suis restée.
J’ai voyagé de nouveau : gros road trip aux États-Unis avec ma sœur. Puis je suis revenue et restée car j’ai commencé à prendre des responsabilités au travail et j’ai rencontré mon copain. C’était devenu intéressant sans que je ne m’y attende vraiment. C’est à ce moment-là que la sédentarisation a réellement pris le dessus. J’ai fini par demander ma résidence permanente en 2018. Je ne sais pas combien de temps je resterai au Canada. On verra, mais je suis contente de ne plus avoir de « date d’expiration » et je commence à avoir envie d’explorer d’autres provinces. Je viens aussi de voir que le PVT Australie est passé à 35 ans et je suis aussi tentée par l’Amérique du sud… Mais il faut que je prenne une décision avant mes 31 ans.
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Quels sont tes meilleurs souvenirs au Canada pour le moment ?
Les voyages et les rencontres sans hésiter ! Ma traversée du Canada en train a été une très belle introduction à mon PVT. Puis les Rocheuses canadiennes en été sont superbes! J’ai aussi passé de très beaux moments dans les parcs nationaux aux États-Unis lors de mon road-trip. Puis j’aime vivre à Vancouver, à côté de la plage tout en pouvant aller skier en hiver, ainsi que les paysages environnants très sauvages.
Mais j’ai aussi eu des missions intéressantes et variées au travail. J’ai notamment coordonné les réservations pour les auberges-refuges des Rocheuses canadiennes, et j’ai formé/managé des équipes en auberge de jeunesse pour la réception/réservation.
Mais j’ai aussi eu des missions intéressantes et variées au travail. J’ai notamment coordonné les réservations pour les auberges-refuges des Rocheuses canadiennes, et j’ai formé/managé des équipes en auberge de jeunesse pour la réception/réservation.
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Et les pires ?
Quand je suis arrivée à Vancouver les premières choses que j’ai vues furent la pluie, les SDF qui se droguaient dans la rue et les nuages bas sans aucune visibilité. J’ai mis un peu de temps avant d’apprécier. Pas d’effet wahou comme en Nouvelle-Zélande. Mais j’ai découvert la ville sous un angle différent ensuite.
Sinon, j’avoue, j’ai du mal avec le coût du logement ici, ainsi que la pluie en hiver même si ça signifie pas mal de neige en montagne pour skier.
Enfin, entre collègues, nous avons vécu des changements un peu rudes parfois au travail en termes de management.
Sinon, j’avoue, j’ai du mal avec le coût du logement ici, ainsi que la pluie en hiver même si ça signifie pas mal de neige en montagne pour skier.
Enfin, entre collègues, nous avons vécu des changements un peu rudes parfois au travail en termes de management.
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Si tu comparais ton PVT Nouvelle-Zélande et ton PVT Canada, lequel as-tu préféré ?
Je ne sais pas. Disons que ce fut différent pour chaque PVT. Ce qui est bizarre c’est qu’en Nouvelle-Zélande je n’avais pas trop d’attentes au niveau voyage/culture. Alors que j’espérais trouver un emploi avec un peu de responsabilités. J’ai été agréablement surprise en voyage et je me suis ajustée à l’emploi, heureuse, au final, d’intégrer une équipe de travail motivée.
Ensuite au Canada je n’avais aucune attente au niveau de l’emploi alors que ça s’est avéré très intéressant très rapidement. Mais j’avais des attentes en termes de rencontres en auberge de jeunesse et d’ambiance à Vancouver. J’ai vraiment eu du mal les premiers temps comme je l’ai mentionné plus haut : la pluie, le centre-ville de Vancouver pas top, avec une ambiance bof bof en auberge.
Ensuite au Canada je n’avais aucune attente au niveau de l’emploi alors que ça s’est avéré très intéressant très rapidement. Mais j’avais des attentes en termes de rencontres en auberge de jeunesse et d’ambiance à Vancouver. J’ai vraiment eu du mal les premiers temps comme je l’ai mentionné plus haut : la pluie, le centre-ville de Vancouver pas top, avec une ambiance bof bof en auberge.
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Est-ce que la France te manque parfois ?
Oui pour la nourriture : je fais le grand écart entre les petites échoppes de fruits et légumes et les supermarchés pour trouver de la nourriture pas trop chère et bonne. Ce n’est pas facile.
Mes proches me manquent aussi parfois.
Mes proches me manquent aussi parfois.
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Quels sont tes projets, pour les mois ou les années à venir ?
J’ai obtenu ma résidence permanente grâce au système de l’entrée express et ce fut assez facile. J’ai très envie de rester encore quelques années au Canada et découvrir plus de provinces. Ou peut-être voyager de nouveau puis revenir tant que ma carte de résidente est valide.
J’aimerais aussi monter mon entreprise, et voyager encore aux États-Unis. Bref j’ai trop d’idées comme d’habitude. Il faut que je fasse le tri dans ma tête !
J’aimerais aussi monter mon entreprise, et voyager encore aux États-Unis. Bref j’ai trop d’idées comme d’habitude. Il faut que je fasse le tri dans ma tête !
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Retrouvez Perrine sur les réseaux sociaux !
Je tiens un blog sur lequel je parle pas mal de mes expériences en PVT. Je blablate un peu sur Twitter mais c’est irrégulier. Je publie sur Instagram des photos de paysages, street art et autres. On ne voit pas trop mon minois mais plutôt ce que mes yeux voient. Au plaisir d’échanger !
Annelise
Après un an passé à découvrir l'Australie en PVT, puis un an à Toronto et 6 mois dans l'ouest canadien (toujours en PVT), je suis ensuite partie en vadrouille un peu partout autour du globe.
I spent one year exploring Australia on a working holiday, followed by another year in Toronto and 6 months in Western Canada. After that, I travelled around the globe.
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(2) Commentaires
Viens me voir 😀
Merci Perrine ton article est très intéressant ! Je vais partir a Vancouver des le mois de juillet pour faire mon PVT et tes photos sont superbes . J’aurais une question ,aurait tu une banque a me conseiller pour ouvrir un compte a Vancouver ? merci
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