La reconnaissance et l'équivalence des diplômes au Chili

Contrairement à certains PVT dans d’autres pays, vous n’avez pas de restrictions concernant l’emploi (ni de restriction de durée de travail hebdomadaire, ni d’obligation de quitter votre poste au bout de 6 mois). La seule problématique qui peut se poser, c’est la validité de vos diplômes : dans certains cas, vous pouvez être amené à faire traduire votre diplôme ou à le faire certifier (« apostiller ») ; en effet, depuis 2015, le Chili étant adhérent à la Convention de La Haye (un accord international visant à réglementer la certification de documents), il faut désormais faire apostiller vos diplômes pour pouvoir les faire valoir sur le territoire chilien (« une apostille est un cachet émis par l’autorité compétente pour confirmer l’authenticité d’une signature, d’un sceau ou timbre sur un acte public » – site de l’ambassade de France au Chili). Toutes les infos sont disponibles sur le site de l’ambassade de France.
À noter également, si à l’inverse vous obtenez un diplôme au Chili et que vous souhaitez l’utiliser par la suite en France, vous serez amené à faire les mêmes démarches, au Chili cette fois. Enfin, certains domaines spécifiques, notamment celui de la santé ou de la justice, peuvent exiger des équivalences nationales : vous pourriez repasser certains examens pour faire valider votre diplôme et surtout votre capacité à exercer au Chili. Pour vérifier cela, rendez-vous sur le site de l’Université du Chili.