Anaïs, une Française de 35 ans, partage son parcours depuis son arrivée à Montréal en 2011 grâce à un PVT. Originaire du sud-est de la France, elle a fondé une compagnie de street dance et se passionne pour l'écriture. Son livre, "Du coup, j’ai fui la France", explore son expérience d'expatriation, marquée par des hauts et des bas émotionnels qu'elle compare à des montagnes russes plutôt qu'à une simple courbe d'adaptation.
Elle aborde la difficulté de s'intégrer au Québec, oscillant entre intégration et assimilation, et se sent souvent "Autre", différente, que ce soit au Québec ou en France. Anaïs réfléchit actuellement à ses raisons de rester au Québec, tout en envisageant son avenir avec une approche année par année, sans plan à long terme.
Son récit est un mélange de réflexions personnelles et de conseils, comme celui de ne pas forcément écouter les conseils des autres lorsqu'on envisage l'expatriation. Elle prévoit de se consacrer davantage à l'écriture dans les mois à venir, ayant reçu une subvention pour un nouveau roman.
Découvrez toute l'histoire d'Anaïs et ses réflexions sur la vie entre deux cultures en lisant son livre, disponible au Québec et à Paris.
Elle aborde la difficulté de s'intégrer au Québec, oscillant entre intégration et assimilation, et se sent souvent "Autre", différente, que ce soit au Québec ou en France. Anaïs réfléchit actuellement à ses raisons de rester au Québec, tout en envisageant son avenir avec une approche année par année, sans plan à long terme.
Son récit est un mélange de réflexions personnelles et de conseils, comme celui de ne pas forcément écouter les conseils des autres lorsqu'on envisage l'expatriation. Elle prévoit de se consacrer davantage à l'écriture dans les mois à venir, ayant reçu une subvention pour un nouveau roman.
Découvrez toute l'histoire d'Anaïs et ses réflexions sur la vie entre deux cultures en lisant son livre, disponible au Québec et à Paris.
(1) Commentaire
Mouais…
Ça fait vraiment problème de français du plateau…
J’ai plutôt l’impression qu’il n’y avait pas une réelle volonté de sa part de vouloir s’installer et s’intégrer au Canada, mais plutôt une envie de quitter la France.
Faudrait aussi arrêter de tout ramener à la couleur de peau, que l’on soit blanc ou noir on galère tous en arrivant ici. Pour ce qui est des non francophone je rappelle tout de même que le Québec est une province francophone, c’est normal que ça soit pas simple si on parle pas français.
Ici le vrai privilège vient du cash, pas de la couleur de peau, quand on n’a pas à travailler 40 heures semaine de nuit dans un Couche-Tard pour commencer sa nouvelle vie avec un salaire de misère (oui, c’était comme ça avant la pénurie de main d’oeuvre), mais encore une fois, on l’a choisi.
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