3Vos réactions face à leur projet

Surprise, tristesse, joie… Il existe de nombreuses réactions face à l’annonce d’un voyage. Peu importe la façon dont vous réagissez, sachez que vos émotions sont valides et normales. Nous ne contrôlons pas nos émotions. Il est donc important de conscientiser ce qu’on ressent, d’accepter nos émotions et d’être bienveillant envers soi-même. Toutefois, nous contrôlons ce que nous faisons de ces émotions. Alors il est aussi important d’être vigilant à la manière dont nous les exprimons. L’annonce d’un voyage pourrait être difficile pour vous, les parents. Mais sachez que ce n’est pas non plus chose facile pour la personne qui part. Chaque voyage est excitant mais est aussi parsemé de doutes, de craintes, et d’un peu (ou beaucoup) d’anxiété. Même si le voyage nous anime, nous laissons tout de même nos proches derrière nous et cela est aussi difficile pour nous. Il s’agit donc d’une aventure que l’on peut tout à fait partager ensemble, même à distance. Et quel que soit leur âge, vos enfants voyageurs ont bien souvent besoin de vous, de votre soutien, et de votre amour.

Nous avons reçu des centaines de témoignages de voyageurs et de parents décrivant ces réactions et les avons regroupés en catégories.

  • L’incompréhension
  • L’inquiétude et l’hyper-protection
  • La colère et l’accusation
  • Le doute et le mépris
  • La tristesse
  • La surprise (étonné, épaté, curieux)
  • Le soutien et la joie

L’incompréhension

Certains d’entre vous ne comprennent pas vraiment le choix de leurs enfants.

  • Pourquoi voyager ? À quoi ça sert ?
  • Qu’est-ce que mon enfant va faire là-bas ?
  • Pourquoi quitter une situation stable / un CDI pour une vie instable ?
  • Mon enfant a tout pour être heureux ici. Pourquoi donc partir et se mettre dans une situation inconfortable par choix ?
  • Pourquoi faire encore un autre voyage ? N’a-t-il pas suffisamment profité ? Ne serait-il pas temps de se poser ?

Nous ne pouvons pas vous dire ce qui a motivé le choix de votre enfant. Peut-être que cela vous aiderait d’ailleurs de lui poser la question et de se mettre à sa place. Quoi qu’il en soit, il est bien souvent difficile de comprendre cette envie de voyager si vous ne la partagez pas vous-même. Mais rassurez-vous, nous les voyageurs, on ne vous demande pas de comprendre. Nous avons tout simplement besoin que nos choix soient respectés, que vous les acceptiez malgré votre vision à vous du projet.

Et croyez-nous, savoir que vous soutenez notre projet, souvent, ça aide beaucoup.

Les pvtistes témoignent…

“Je n’ai pas beaucoup posté sur pvtistes.net depuis mon inscription mais bon là, il s’agit d’un sujet assez… comment dirais-je… coloré ! ^^ Lorsque j’ai dit que je voulais partir, ne serait-ce qu’une année, au Canada, j’ai eu droit au « Mais qu’est ce que tu vas faire là-bas ?? Il n’y a pas de boulot, tu vas voir, c’est comme en France… et puis j’ai le  » fils de » qui est rentré plus tôt parce qu’il n’avait pas de travail ». Je préfère ne pas tout dire mais bon c’est genre je pars en enfer… et ça, ce n’est que les amis… pour ce qui est de la famille, c’est plus dans le déni, comme si ce n’était qu’une simple idée dite en l’air. Bref, quoi que disent les gens, je n’ai pas changé d’avis sur le fait de partir au Canada… envers et contre tous !!” – Nolwenn

L’inquiétude et l’hyper-protection

On m’a toujours dit que devenir parent, c’était aussi avoir une inquiétude permanente pour son enfant qu’on aime tant. Alors je ne peux imaginer ce que ça fait de voir son enfant partir au bout du monde, loin de nous.

  • Et s’il arrivait quelque chose ? Comment l’aider s’il est si loin ?
  • Comment va-t-il trouver un travail et un logement ?
  • Il est trop jeune, il ne peut pas partir maintenant.
  • J’ai besoin de connaître le projet dans le moindre détail.
  • Comment ça le plan, c’est qu’il n’y a pas de plan ?
  • Vous participez très (trop ?) activement aux démarches de votre enfant, jusqu’à remplir la demande de visa vous-même.

Apprenez à avoir confiance en votre enfant, en ses capacités. Non, ça ne sera pas toujours facile. Mais au cours de votre parentalité, vous lui avez sans doute appris à être autonome et indépendant. Vous l’avez accompagné dans bien des apprentissages et des obstacles de la vie. Vous lui avez donné des outils. Remarquez ses forces de caractère et souvenez-vous qu’il s’agit d’un jeune adulte qui part avec son petit lot d’expériences, pour en vivre d’autant plus. Dédramatisez également vos peurs. Les craintes sont normales. Toutefois, elles peuvent vite nous envahir et devenir de plus en plus irréalistes et anxiogènes.

Sachez aussi que, nous, pvtistes.net, sommes là pour accompagner votre enfant pour qu’il prépare sérieusement son projet. Nous mettons à disposition de nombreux guides, dossiers, articles et témoignages gratuitement afin de couvrir des sujets liés au PVT comme la demande de leur visa, l’ouverture d’un compte en banque, l’achat d’une voiture, mais aussi des sujets plus généraux comme le choc culturel, les types de jobs que l’on peut faire en tant que backpackers, etc.

Nous sommes également présents sur notre forum pour répondre aux questions des (futurs) pvtistes et nous proposons souvent des événements en ligne ou en présentiel, où vous pouvez nous poser vos questions, si vous le souhaitez. Enfin, sachez que la communauté des pvtistes est grande et assez soudée. Il est donc très facile de se retrouver sur les réseaux et de créer des liens.

Les pvtistes témoignent…

“Pour ma part, des amis, j’ai toutes les réactions : contents, épatés, surpris… tristes. J’ai eu le droit à « de toute façon le Canada sera bientôt là, je n’existerai plus ! » ou « tu es vraiment obligé de partir ? ».Mes parents… Plus délicat 😁. J’ai beaucoup hésité aussi à cause de leur réaction… “Tu retrouveras plus de travail. C’est la crise mondiale… Faut grandir, arrêter les bêtises, à 27 ans tu peux être papa ». Mais avec ma sœur, on a fait un travail de fond et ils ont compris que je partais pour ne pas regretter !!! « Bah si tu as décidé de partir, fais-le ». Résultat, je pars dans 2 mois au Canada !!! Le froid ? Même pas peur 😄😄” – Flavien

“Pour ma part, les avis ont été partagés dans ma famille. Comme cela faisait longtemps que je parlais de ce voyage, mon père et ma sœur s’attendaient à ce départ, et me soutiennent vraiment. Ils savent que c’est un souhait profond, que ce voyage me rendra heureuse et m’épanouira. Ma mère, elle, est très paniquée. Mais c’est dans sa nature, elle a toujours été une grande angoissée ! Ce qui est énervant c’est de ressentir constamment son angoisse. Il faut apprendre à mettre de la distance vis-à-vis de ça. Après, je sais qu’au fond, elle pense que ce voyage sera bénéfique pour moi. Mais la séparation sera certainement très difficile pour elle. Ensuite, il y a mon grand frère, qui lui, était totalement contre ce voyage. Il ne faisait que me dénigrer et disait ces fameuses phrases « tu rentreras dans un mois », « tu vas jamais y arriver toute seule là-bas », etc. Tout ce qui pourrait me décourager en fait. Après avoir creusé, j’ai compris que c’était aussi la peur de la séparation qui lui faisait dire ça. Parfois, notre entourage peut avoir des mots durs, ce n’est pas forcément qu’ils ne croient pas en nous ou en nos capacités, c’est surtout parce qu’ils nous aiment trop et, redoutant d’être loin de nous, font tout pour nous décourager de partir.” – Ophélie

La colère et l’accusation

Certains ressentent de la colère. Vous pourriez vous sentir abandonnés, ou penser que le projet est un caprice, quelque chose d’irresponsable. Cette colère peut aussi s’exprimer comme de l’accusation. L’accusation est un peu une façon de vous protéger.

  • Mon enfant est en train de fuir (et alors ?).
  • Il va gaspiller tout son argent.
  • C’est un caprice, un coup de tête.
  • Il m’abandonne.
  • Certains pourraient même aller jusqu’à ne plus parler à leur enfant un petit temps.

Ces émotions sont sans doute très difficiles à vivre autant pour vous que pour votre enfant. En accusant votre enfant, vous le rendez responsable de vos émotions négatives. Pourtant, vos émotions vous appartiennent et accuser l’autre peut engendrer d’autres émotions chez vous comme chez votre enfant. Il pourrait culpabiliser, se sentir seul, ou lui aussi, se sentir en colère.

Les pvtistes témoignent…

“Depuis l’été dernier, j’ai pour projet de partir en Nouvelle-Zélande pour un PVT toute seule. J’en avais parlé à mes parents pour voir leur réaction, qui était très excessive (furieuse). J’ai donc décidé d’arrêter d’en parler mais de me renseigner de mon côté sur le sujet (je le gardais en tête pour réaliser ce rêve d’ici un an). Je travaille depuis ma sortie du lycée (ça fait 5 ans) et j’enchaîne les CDD. Et là, paf, déclic ! J’ai 23 ans, je suis célibataire, rien ne me retient ! C’est maintenant ou jamais ! J’ai donc relancé le sujet : les réactions sont toujours les mêmes du côté de mes parents. Depuis que j’ai acheté mon billet, ma mère « pète un plomb », elle refuse que j’y aille et que j’utilise une somme de mes économies pour faire ça (elle a peur que je dépense tout et veut que j’utilise ça pour un futur achat immobilier). Elle est catégorique (elle ne m’avait pas fait part du fait qu’elle refusait que je m’en serve pour autre chose que pour une maison avant aujourd’hui). J’accepte donc de ne pas toucher à cet argent qui vient de mes grands-parents. Je me retrouve donc avec une somme très restreinte pour partir, ça me stresse, mais pas question de leur montrer cette faiblesse, car mes parents feront tout, je dis bien tout, pour me retenir. Seulement ils ne comprennent pas que j’ai 23 ans et que je suis libre de mes choix. Mon père (avec qui je suis hyper fusionnelle) est hyper triste et préférerait que je parte un mois en vacances à Londres ou en Espagne (évidemment), ils sont bouleversés. Mon frère est un peu bousculé aussi et voudrait que j’attende pour partir, il a peur de « ramasser les parents à la petite cuillère » comme il dit , la peur est dans toutes les discussions. Je suis déterminée, malgré leurs peurs, je vais essayer de les rassurer, il me reste 2 mois pour le faire. Aucune envie de partir fâchée avec eux… Pas évident tout ça.” – Melina

“Des phrases assassines du genre « tu nous abandonnes », « tu as passé l’âge » (j’ai 33 ans), etc. Heureusement que je suis tenace, que j’ai plus que jamais envie de vivre cette aventure, et que je trouve plus de soutien du côté des amis… Quoi qu’on vous dise, si vous avez un rêve, ne le lâchez surtout pas !” – Marc

Le doute et le mépris

D’autres émotions possibles sont le doute et le mépris. Dans le doute, vous remettez en question la décision de l’autre alors que dans le mépris, vous émettez un jugement qui implique une sorte de supériorité.

  • Mon enfant n’est pas capable de faire un tel voyage.
  • Je ne crois pas en sa débrouillardise et ses capacités d’adaptation. Il n’a clairement pas les ressources nécessaires pour y parvenir.
  • Il est temps que mon enfant redescende sur terre. Ce n’est pas ça, la vraie vie.
  • Il ne pourra plus reprendre des études après une année de césure.
  • Il ne parle même pas la langue du pays, il n’y arrivera jamais.

Ces attitudes peuvent malheureusement avoir un impact très négatif sur l’estime de soi des voyageurs. La décision de voyager n’est déjà pas toujours facile et peut d’elle-même entraîner de nombreux questionnements. Ajouter du doute et du mépris à ces sentiments n’aidera certainement pas ni votre enfant, ni votre relation. Posez-vous donc les questions suivantes. Pourquoi ressentez-vous ces émotions ? D’où viennent-elles ? Et comment les transformer en des émotions plus saines pour la relation ?

Les pvtistes témoignent…

“J’ai 24 ans et je projette de partir en PVT en début d’année prochaine.
Le seul problème : mes parents, ça coince… Je leur en avais parlé quand j’étais plus jeune et ils m’avaient dit : « quand tu seras plus grand, que tu auras un boulot et de l’argent, tu pourras faire ce que tu veux ». Aujourd’hui, j’ai 24 ans et encore hier, j’ai relancé le sujet et ils m’ont dit : « tu ne vas pas encore recommencer avec ça, redescend sur Terre, trouve-toi un meilleur job et prends-toi un appartement ». Je tiens à rajouter qu’ils ne voient que le côté négatif « qu’est ce que tu vas faire 1 an là-bas ? Et si tu trouves pas de petits boulots, tu vas vider tout ton compte en banque, et quand tu vas revenir, tu vas encore devoir crécher chez nous”, voilà ce que je me prends dans la face. Ce PVT est un rêve pour moi, dont je connais l’existence depuis bientôt 6 ans, j’ai un emploi depuis 1 an et 3 mois, j’ai de l’argent de côté et des envies. Mais je n’ai pas envie de partir en étant en conflit avec eux, de ce fait, je n’ose plus leur en parler, je ne cherche pas leur autorisation car j’ai 24 ans mais leur soutien. C’est un minimum que je demande, et ils m’ont clairement dit “tu auras notre soutien seulement pour des projets concrets”.” – Anthony

“Hello ! Pour ma part, mes parents sont très inquiets, c’est loin et difficile pour eux de se dire que leur petite fille part 1 an. Beaucoup d’amis m’ont déçue en me disant que de toute façon je n’y arriverai pas, impossible de reprendre mes études après, la langue sera un immense frein pour moi. Mais je suis prête à me lancer pour leur prouver qu’ils ont tort !” – Lucie

La tristesse

Qui ne serait pas triste de passer un long moment sans voir une personne qu’il aime ? La tristesse est souvent ressentie universellement par les parents de voyageurs. Toutefois elle peut s’exprimer de nombreuses manières et peut se transformer en d’autres émotions tant positives que négatives.
Mon enfant va beaucoup me manquer.

  • J’ai une petite pointe au cœur lorsqu’il m’annonce son projet de voyage.
  • Je veux profiter des derniers instants ensemble.
  • Votre tristesse vous rend un peu dur parfois.

La tristesse peut nous envahir mais la tristesse est aussi une émotion douce qui peut être communiquée, et surtout reçue, avec bienveillance. N’hésitez donc pas à vous entourer, à en parler à vos proches, et surtout à vous focaliser sur les belles choses qui peuvent découler de ce projet.

Les pvtistes témoignent…

“Ça y est, je l’ai annoncé à mes proches… Mes parents ont été dépités, je crois. Ils ne comprennent pas trop pourquoi je veux partir encore une fois… (après 2010, 2012 et 2014). Mais ils ne sont pas trop durs, je crois qu’ils sont contents pour moi quand même. Heureusement, cette fois-ci, mes frères et sœurs m’ont remonté le moral en me disant qu’ils allaient venir !” – Isa

“Quand j’ai annoncé mon départ en PVT au Canada, ma mère n’a pas essayé de m’en dissuader, elle ne m’a pas trop parlé de ses ressentis en fait, mais je savais, au fond, qu’elle était triste. On vivait toutes les deux, on était très proches, donc forcément ça allait faire un gros vide. Alors je lui ai proposé de venir me voir à Toronto pendant 2 semaines (ça a été son premier grand voyage) et on en a profité pour aller à New York, une autre grande première. Elle était aux anges et elle a pu découvrir un bout de ma vie au Canada. Quand je suis repartie en PVT, en Australie cette fois, on s’est dit qu’on allait faire la même chose. Deux mois et demi après mon arrivée, elle est venue me rendre visite et a pu découvrir Sydney, Melbourne et la Tasmanie avec moi, pendant 3 semaines. Ça a été l’occasion pour elle de tester la vie de “backpacker”. Ça nous a fait de beaux souvenirs ensemble.” – Julie

La surprise (étonné, épaté, curieux)

L’annonce d’un voyage tombe parfois un peu de nulle part. Certains jeunes changent radicalement de style de vie en voyageant, d’autres voyagent à la suite d’un bouleversement dans leur vie. D’autres encore n’ont même jamais abordé l’idée de voyager.

  • Mon enfant, habituellement casanier, veut partir en PVT, pardon ?
  • Il n’avait jamais mentionné l’envie de partir.
  • Vous vous demandez « ça ferait quoi de partir loin ? » vous aussi.

La surprise peut susciter bien d’autres émotions en vous. Vous pourriez tout simplement être étonné mais aussi être épaté (mélange de surprise et de fierté) ou être curieux.

Les pvtistes témoignent…

“Ma famille et mes amis sont très admiratifs à l’égard de mon projet, ce qui m’a encore plus motivée à franchir le pas. Certains sont également un peu tristes de me voir partir pour un an à l’autre bout du monde, mais c’est l’encouragement qui prédomine. De toute façon, c’est un choix qui n’appartient qu’à nous-même et bien que ce soit une bonne chose d’avoir le soutien de ses proches, il faut vivre avant tout pour ses rêves (on a qu’une vie !).” – Mathilde

Le soutien et la joie

Nous avons abordé beaucoup d’émotions plus ou moins négatives mais, heureusement, de nombreux pvtistes déclarent que leurs parents ressentent de la joie et les soutiennent dans leur projet, et ce malgré les autres émotions un peu plus négatives qu’ils peuvent ressentir.

  • Quelle joie de voir mon enfant suivre ses rêves !
  • Moi aussi, plus jeune, si j’en avais eu l’opportunité, je serais parti comme ça à l’autre bout du monde.
  • Je suis fier de voir mon enfant réaliser ses projets.
  • Vous vous demandez comment vous pouvez aider votre enfant à se préparer au mieux.

En plus d’être une émotion agréable à ressentir, la joie peut venir renforcer les liens avec votre enfant. La joie permet donc de créer une fondation solide sur laquelle se reposer lorsque le jeune sera à l’étranger.

Les pvtistes témoignent…

“J’ai énormément de chance d’avoir une famille très compréhensive et avec qui le dialogue est ouvert. Ce projet de PVT au Canada traîne sur nos bouches depuis bien 4-5 ans, mais pas possible de le réaliser avant d’avoir fini mes études (choix personnel). Maintenant que mes études sont finies, je me suis inscrite au PVT et j’ai été tirée au sort ! Ma mère et mon père ont été très heureux pour moi, ma sœur est triste, nous avons 9 ans d’écart et elle n’a que 14 ans. Mon frère n’est pas très expressif mais je sais qu’il est content pour moi. Mon oncle a été très excité et m’a de suite encouragée, félicitée et fait tout son possible pour m’aider. Il m’a donné le contact de son amie qui est partie vivre au Canada. Mes collègues ont été très contents pour moi et me filent plein de tuyaux/astuces, même des contacts de gens qu’ils connaissent la-bas ! Mes amis… je n’en ai pas beaucoup, mais certains m’ont encouragée, d’autres ne sont pas au courant, c’est un peu chiant de détailler le PVT et le projet à chaque fois car ils ne connaissent pas ! Mes deux amies proches ont été toutes joyeuses et très excitées par la nouvelle ^^ C’est vraiment agréable d’en discuter avec elles. En soi, tout le monde a été super positif avec ça ! Quelle chance !” – Emeline

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Pamela

Voyageuse belge depuis 2012, j'ai vécu aux USA et aux Bahamas avant de m'envoler vers la Nouvelle-Zélande où je vis depuis 2019. Je partage avec vous mes meilleurs tips NZ grâce à pvtistes.net et vous accompagne dans votre préparation au départ, avant de moi-même prendre à nouveau mon envol...

Belgian traveler since 2012. I have lived in the USA and the Bahamas and I have now been living in New Zealand since 2019. I share my best NZ tips with you and I help you prepare for your big adventure. I will soon be going on to my next one myself...

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(2) Commentaires

Jérôme I |

Super article ! Très bien écrit ! Et puis ça m’a permis de découvrir Polarsteps et le recueil d’expériences Paroles de PVTistes 🙂

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Pamela I |

Merci beaucoup Jérôme !

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