Qu’est-ce que tu apprécies le plus dans la vie à Vancouver et, à l’inverse, quels sont selon toi les principaux inconvénients ?
Je vais commencer par les inconvénients. Le premier, c’est évidemment le climat : Vancouver ne porte pas pour rien le surnom de “Raincouver”. Les hivers ne sont pas très froids, mais la pluie peut durer de longues semaines, et la luminosité est réduite, puisqu’il fait nuit le matin et déjà nuit en fin de journée. Il faut apprendre à s’adapter, trouver des activités en intérieur ou accepter de sortir malgré la pluie. Ensuite, la vie à Vancouver est chère : le coût du logement est élevé, et il faut rester vigilant car il existe des arnaques immobilières. Sans un emploi qualifié, il peut être difficile de s’en sortir. Enfin, un autre petit désagrément est le trafic : les routes ne sont pas toujours adaptées à la circulation dense, surtout lorsqu’on veut rejoindre les montagnes ou sortir de la ville.
Mais à côté de cela, les aspects positifs sont extraordinaires. Ce que j’aime le plus à Vancouver, c’est le mélange unique entre la ville, l’océan et les montagnes. On peut travailler dans un environnement urbain dynamique le jour, puis aller randonner, skier ou simplement se promener au bord de la plage le soir ou le week-end. L’offre culinaire est incroyable : on retrouve toutes les influences du monde entier, ce qui permet de voyager sans quitter la ville. La nature est omniprésente, avec une diversité de paysages et d’activités : randonnée, ski, raquettes, camping, surf sur l’île de Vancouver, sorties en bateau, observation de la faune et de la flore… C’est un terrain de jeu permanent.
Au final, malgré la pluie ou le coût de la vie, Vancouver me permet d’avoir une qualité de vie exceptionnelle. J’ai trouvé ici un équilibre entre ma carrière, ma vie sociale et ma passion pour le sport et l’outdoor, ce qui me rend pleinement épanouie.
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